18 cas de rougeole… et voici la santé publique qui panique. Luc Boileau, son chef, appelle à vacciner, le vaccin étant « sur et efficace ». Déjà les masques sont obligatoires dans certains hôpitaux tandis que les enfants non vaccinés ne peuvent plus aller à l’école s’il y a un seul cas dans l’établissement. On a l’impression d’avoir déjà vu et entendu ça quelque-part. En fait, on nous rejoue exactement la même partition que pour le covid. À quand le confinement?

Rappelons que les compagnies pharmaceutiques nous préparent plus de 500 “vaccins” à ARNm. La covid les a mis en selle et les autorités ne raisonnent plus qu’en pensant “une maladie = un vaccin”. Ainsi, dès qu’il y a quelques “cas” d’une maladie, c’est la panique et le mot “vaccin” est immédiatement brandi.

 

Méningocoque : 25 “cas” et c’est parti

Avant de parler de la rougeole, on en a une illustration très récente avec le méningocoque Y. La Santé publique constate qu’il y a 25 “cas” en un an? La voici qui s’apprête à lancer une campagne de vaccination chez les 14-18 ans.

 

Y-a-t-il une réelle urgence? Ce vaccin est-il “sur et efficace”? Quelles sont les études qui montrent son efficacité? Son innocuité? Quelle est la durée de la “protection”?

Mystère. Mais vaccinons!

 

Rougeole : 18 cas et c’est la panique

Mais on n’avait pourtant encore rien vu avec la rougeole.

Loin de nous de minimiser la gravité de cette maladie qui peut être une pathologie très sérieuse pour les enfants infectés. Cependant, voilà qu’avec dix-huit cas la Santé publique panique! La presse subventionnée a tout d’abord rapporté 4 cas de rougeole… en affirmant que la situation risquait d’empirer rapidement. Comme aux plus belles heures de la covid, les « modélisateurs » s’en donnent à coeur joie. Voici les projections de l’un d’entre eux  :

 

L’auteur de ce graphique est Mathieu Maheu-Giroux, épdimiologiste à McGill. Il déclare que « le vaccin [contre la rougeole] est beaucoup plus efficace que tous ceux contre la COVID-19, procurant une protection de 95 %, à vie, à raison de deux doses. » Mais ne nous avait-on pas dit que les vaccins contre la covid n’étaient pas déjà efficaces à 95%? Il y a de quoi se poser de sérieuses questions : si un vaccin annoncé efficace à 95%… n’est finalement pas si efficace, que penser du suivant annoncé à nouveau efficace avec un même pourcentage?

Du coup, on peut s’interoger quant à ses prévisions. On avait déjà eu le droit durant la covid à des modèles qui avaient prédit des centaines de milliers de morts. Par exemple, Neil Ferguson avait prévu 510 000 morts en Angleterre pour la seule « 1e vague ». Quatre ans plus tard, la santé publique anglaise affiche 234 000 morts au 31 décembre 2023 (et encore faudrait-il retirer les personnes mortes AVEC la covid, les ainés morts de faim et de soif dans les maisons de retraite, ceux que l’on a tués avec du Midazolam, etc.).

 

Peut-on se fier à la Santé publique?

Il faut donc considérer avec une extrême prudence les modélisations. D’ailleurs, si l’on en croit le « modèle » de M. Maheu-Giroux, on devrait déjà avoir des centaines de cas. Certes, il explique que la vaccination freine la courbe des contaminations. Mais pourquoi en présenter une qui ne tient pas compte de ce paramètre?

Voilà en tout cas qui permet à Luc Boileau, le chef de la Santé publique, de se dire “préoccupé” :

« C’est une maladie qui doit être prise au sérieux et il y a une façon très simple de l’éviter et c’est en étant vacciné », a expliqué le Dr Boileau. En effet, deux doses de vaccin protègent à 95 % contre la maladie, et ce, pour toute la vie.

 

On aimerait pouvoir croire M. Boileau sur parole. Mais vu ses déclarations lorsqu’il affirme que « les effets secondaires du vaccin COVID se résument essentiellement à un petit mal de bras et un petit peu de fatigue », on a des doutes.

 

N’est-ce pas oublier les myocardites chez les jeunes (le minitre de la Santé de l’Ontario en reconnait une sur 5000 jeunes), les caillots sanguins, les thromboses, les problème de cycles chez les femmes, les paralysies, les « morts subites », la hause « inexpliquée » de 23% de la mortalité chez les moins de 50 ans, etc. ? Voici ce que rapporte le VAERS, le système américain de surveillance des vaccins :

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Déclarer qu’il n’y a pas d’effets secondaires est du négationisme vaccinal. Avec cette déclaration, M. Boileau perd totalement sa crédibilité. Crédibilité déjà largement écornée puisqu’il ne cesse de promouvoir les injections ARNm… alors même que les propres données des autorités montrent une efficacité négative de la « vaccination ». Pour que nous puissions le croire, il doit donc nous présenter les études indépendantes qui prouvent que le vaccin contre la rougeole est sur et efficace. Et que la « protection » est durable. Tout comme on aimerait qu’il nous présente des études qui montrent que c’est « une maladie qui doit être prise au sérieux ». Les autorités ont exigé des études aléatoires en double aveugle pour les traitements. Il est on ne peut plus légitime de demander la même chose dans l’autre sens.

 

Vaccins et mortalité

Mais il y a un petit problème : il n’en présente aucune. Pire : quand on fait des recherches, on constate que les données sont caviardées. Par exemple, voici le graphique que présente Santé Canada des « cas » (incidence) de la rougeole de 1924 à 2023 :

Figure 1. Text version below.

 

Le vaccin contre la rougeole a été introduit en 1963. Pour savoir s’il a eu un véritable impact sur la baisse de la mortalité, il faudrait pouvoir examiner les années précédentes et les suivantes. Mais on ne le peut pas car Santé Canada affirme que « la surveillance a été interrompue de 1959 à 1968 »! On voudrait cacher les données et ce qui s’est effectivement passé durant cette période que l’on ne s’y prendrait pas autrement.

Malgré tout, on voit en 1958 une baisse drastique du nombre de décès qui ne peut être due au vaccin. La cause en serait une amélioration des conditions de vie, à savoir une meilleure alimentation ainsi qu’une amélioration de l’hygiène et des systèmes publics d’approvisionnement en eau potable, des systèmes d’égouts et des usines de traitement de l’eau. Même si cela reste une maladie à prendre au sérieux, il en ressort qu’avec une population en santé, qui mange à sa faim, et de bonnes conditions d’hygiène, la rougeole (comme la plupart des maladies) devient beaucoup moins létale et dangereuse.

Il devient alors très difficile de conclure à l’efficacité du vaccin. Cette présomption est renforcée lorsque l’on regarde les données d’autres pays. Par exemple, on voit qu’en France, pays dans lequel le vaccin n’a été recommandé qu’à partir de 1983… il n’y avait à ce moment quasiment plus de morts de la rougeole :

Ce graphique de la France contredit totalement les déclarations de Santé Canada qui affirme que c’est le vaccin qui a fait réduire drastiquement le nombre de morts puisqu’on voit qu’en France il n’y avait déjà quasiment plus aucun mort AVANT l’introduction du vaccin.

On peut multiplier les exemples. Voici les données des États-Unis :

 

File:Measles cases graph.svg

Là encore, on voit que le nombre de décès était quasiment rendu à zéro largement avant l’introduction du vaccin. On notera à ce sujet que selon Michel de Lorgeril, un médecin français spécialiste des vaccins (et dont nous vous recommandons la lecture de son livre : Introduction générale à la médecine des vaccins), le premier vaccin contre la rougeole (introduit donc en 1963) était inefficace (ce que d’après lui, personne ne conteste).

Ce sont donc bien l’amélioration des conditions de vie et d’hygiène qui ont permis la chute du nombre de décès. Dans ces conditions, il est quasiment impossible de déterminer l’efficacité du vaccin. D’autant que des foyers d’infection dans des lieux très vaccinés sont assez fréquents. Voici un exemple, ou un autre, et il y a en a bien d’autres.

Il faudrait donc que M. Boileau nous fournisse les études sur le sujet. Mais comme on l’a vu, il ne le fait pas, se contentant de déclarer que le vaccin est « sur et efficace ». Mais quelle est la durée de la protection? Si on vaccine les bébés, qu’en restera-t-il quand ils seront adultes? On aimerait bien entendre M. Boileau. Mais aucune question ne lui est posée.

Par contre, le débat sur son inocuité ne peut être écarté puisqu’il s’agit du deuxième vaccin avec le plus d’effets secondaires. Mais on a vu que ce que pense M. Boileau des effets indésirables des vaccins.

Finalement, quand on sait que les risques de la maladie sont très réduits (aucun mort en occident depuis des décennies et cela sans l’aide des vaccins) tandis que les bénéfices des injections ne sont pas prouvés, il en ressort que l’on n’a en fait aucune idée de la balance bénéfice/risque. D’autant, comme on l’a vu, que ces vaccins ont de nombreux effets secondaires et qu’ils contiennent de l’aluminium, suspecté d’avoir un effet sur l’explosion des cas d’autisme depuis que l’on multiplie les doses.

Dans ces conditions, les parents doivent y réfléchir à deux fois avant de faire vacciner leurs enfants contre la rougeole.

 

Des mesures exagérées?

Malgré les doutes sur l’efficacité et l’inocuité des vaccins, le fait que plus personne ne meurt de la rougeole depuis des décennies au Canada, que selon une étude publiée par Cochrane une supplémentation en vitamine A réduit la mortalité de la rougeole de 87% chez les enfants de 2 ans, M. Boileau est allé très loin : affirmant que la vaccination est LA solution, il a passé une directive qui interdit aux enfants non vaccinés d’aller à l’école tant qu’il y a des cas, comme le montre ce document envoyé aux parents d’écoles du Grand Montréal :

 

Retour 14 jours après le dernier cas de rougeole dans l’école. Autant dire que l’on condamne les non vaccinés contre la rougeole à passer l’année scolaire à la maison. C’est une sorte de passeport vaccinal déguisé, mesure qui contrevient comme on l’a déjà dit pour la covid, a de nombreux réglements, traités internationaux et lois. Si on laisse faire cela, les mesures de ce genre deviendront rapidement la norme…

Mais ce n’est pas tout puisque certains hôpitaux et centres de santé (CIUSSS) rendent même obligatoire le port du masque… à cause de 18 cas de rougeole. Rappelons que de nombreuses études montrent l’inutilité des masques tandis que leurs effets délétères ne sont plus à démontrer (ils contiennent des matières toxiques et retardent le développement des enfants). Que dire?

 

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On voit que les autorités sont donc prêtes à rejouer les mêmes scènes de peur que pour la covid à la moindre micro-alerte. Pour comprendre l’évolution de la situation, il est bon de se remémorer les deux évènement suivants :

  • L’ « épidémie » de 2011, alors que 776 « cas » avaient été rapportés. Il n’y avait eu aucun mort. Personne n’avait paniqué et l’épidémie s’était arrêtée d’elle-même.
  • L’épidémie de rougeole qui avait touché un quartier de New york en 2019… ce qui préfigurait de la suite. En effet, les autorités avaient rendu la vaccination contre la rougeole obligatoire… alors qu’il n’y avait eu que 285 « cas » et aucun mort. Les garderies qui acceptaient des enfants non vaccinés se rendaient également passibles de poursuites pénales et même de fermeture administrative.

 

Vers une société de contrôle

On voit donc une forte évolution vers l’émotionnel au cours des dernières années. Le scénario est désormais bien rodé et tout est prêt. Même les « experts » qui ont sévi durant la covid sont sur les « starting blocks » : 11 000 médecins (sur un total de 25 000) ont ainsi participé à un webinaire, avec notamment Luc Boileau et Caroline Quach, intitulé : « La rougeole: bien la comprendre pour mieux la déceler ». À quand le confinement? Car ce qui choque est de voir s’opérer le même modus operandi que pour la covid :

  • D’abord faire paniquer la population avec un virus déclaré très dangereux
  • Rendre le masque obligatoire
  • Opérer une ségrégation entre vaccinés et non vaccinés pour contraindre les « récalcitrants »
  • Appeler à la vaccination, peu importe que l’on ait des études qui prouvent l’efficacité de l’injection

 

Il faut être conscient que cette opération se déroule alors que l’OMS mène de front trois programmes :

  • Le Traité mondial sur les pandémies, qui prévoit d’accorder à l’OMS le pouvoir de décréter des confinements et des vaccinations obligatoires en cas de pandémie. Il faut savoir que si ce traité est signé, le directeur général de l’OMS aura le pouvoir de décider seul de déclarer une pandémie. Même si les États peuvent toujours refuser de se conformer, la pression internationale sera telle qu’il sera quasiment impossible dans les faits de résister. On l’a vu avec la covid, alors que seule la Suède a tenu bon, on ne sait trop comment d’ailleurs. Si ce traité est voté en mai prochain, une homme seul, non élu, disposera de l’autorité nécessaire pour faire enfermer les milliards de terriens et les forcer à s’inoculer un produit. Il est à noter que Luc Boileau est représentant du Canada pour négocier le traité.
  • Le passeport sanitaire mondial, qui empêchera quiconque n’est pas vacciné de franchir une frontière. Mais il est très probable que ce « passeport », inspiré du passeport pour la covid… qui devait être temporaire, de mondial devienne local.

Ainsi, cette « pandémie » de 18 cas de rougeole est extrêmement importante pour les autorités car il s’agit d’une nouvelle étape, après la covid, pour nous propulser davantage dans un monde de surveillance et de contrôle. Dans quelques mois, au mieux quelques années, les autorités auront votre carnet de vaccination électronique qui sera incorporé à votre « passeport numérique ». Elles sauront automatiquement si vous êtes vaccinés. Ce sera intégré dans votre cellulaire. Cellulaire (qui pourrait en fait être remplacé par des caméras à reconnaissance faciale) que vous devrez présenter, comme au bon vieux temps de la covid, pour pouvoir aller à l’école, au restaurant, au cinéma… Et ce, dès que le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’aura décidé. Avant, pourquoi pas, de devenir sans doute permanent.

Quand on sait que l’OMS est de fait dirigée par Bill Gates, très impliqué dans les vaccins (la plupart des employés de l’OMS ont leur feuille de paie au nom de… la Fondation Bill et Melinda Gates, tandis qu’il possède des parts importantes dans des compagnies pharmaceutiques qui produisent des vaccins), on comprend qu’il y a des enjeux financiers gigantesques qui dépassent largement la « protection » de nos enfants. Bref, cette « panique » pour 18 cas est loin d’être anodine. Il y a un agenda en arrière qui doit nous conduire à accepter toutes les « mesures » jusqu’à temps de pouvoir nous contrôler via l’identité numérique, la biométrie, l’intelligence artificielle, etc.

 

Et la tubercolose?

Mais ce n’est pas tout! Voici que l’on apprend qu’en plus d’être affligé de pandémies de méningocoque Y et de rougeole, le Québec fait aussi face à une épidémie de tubercolose. En effet, la Direction régionale de santé publique de Montréal confirme qu’elle a « enregistré plusieurs cas de tuberculose au cours des dernières semaines », 21 au moins de janvier pour être précis.

 

Cependant, étonnamment, alors que la santé publique panique pour 18 cas de rougeole, appelle à la vaccination et interdit d’école les enfants non vaccinés, ces 21 cas de tubercolose ne créent pas de psychose. La Direction régionale de santé publique de Montréal affirme ainsi qu’il est encore « trop tôt pour parler d’une tendance lourde confirmée ».

Se pourrait-il que cette réserve soit due au fait qu’il y a des doutes sur l’efficacité du BCG, le vaccin anti-tubercolose? C’est probable car voici ce que l’on peut lire sur la fiche Wikipedia consacrée au vaccin contre la tubercolose, dit BCG :

En 1997, dans un document mettant en avant la Stratégie DOTS, l’OMS attribue l’échec de la lutte mondiale contre la tuberculose à plusieurs raisons, dont une « confiance exagérée dans le BCG », avec ainsi des moyens de lutte moindre mis en oeuvre (dépistage, traitement), sans pour autant remettre en cause l’efficacité du vaccin.

Si on étudie l’évolution de la régression de la tuberculose depuis le xixe siècle dans de nombreux pays, on constate objectivement qu’elle a régressé avant la découverte des antituberculeux, ou de la vaccination. Les épidémiologistes l’interprètent essentiellement par l’amélioration des conditions d’hygiène et nutritionnelles. (c’est nous qui soulignons)

Quand on est « objectif », Wikipedia reconnait que ce ne sont pas les vaccins qui ont fait quasiment disparaitre les maladies infectieuses… mais une meilleure alimentation et une amélioration de l’hygiène.

Mieux, si on lit ce qui est dit concernant le vaccin BCG sur Wikipedia, on note que la seule étude citée est celle-ci, publiée en 2017 : Phase 2b Controlled Trial of M72/AS01E Vaccine to Prevent Tuberculosis. Cette étude portant sur 3 500 patients nous apprend que le vaccin BCG contre la tuberculose aurait une efficacité de 54%. C’est apparemment tout ce que l’on a. Une étude de phase 2 n’est pas suffisante pour pouvoir conclure. On comprend mieux pourquoi en France la vaccination BCG n’est plus obligatoire.

Il n’y a donc pas de vaccin « sur et efficace » contre la tuberculose. Serait-ce pourquoi, alors qu’il y a plus de cas que pour la rougeole, les autorités n’appellent pas à vacciner et relativisent la « menace »? Finalement, le niveau de panique serait-il corrélé au fait que l’on dispose d’un vaccin « sur et efficace » ou non?

 

Toujours plus de piqures, quelles conséquences?

Les autorités, prises dans le tout vaccin, incitent donc la population à s’inoculer avec toujours davantage d’injections. Pour ce faire, elles n’hésitent pas à nous faire paniquer dès qu’il y a quelques cas… pourvu qu’il y ait un vaccin « sur et efficace » disponible. La conséquence est que les enfants reçoivent de plus en plus de doses de toutes sortes.

Alors que ces derniers sont de plus en plus piqués (et ce n’est que le début puisque l’ouverture de l’usine Moderna a Laval promet toutes sortes de nouveaux « vaccins » ARNm), alors que l’on apprend, même si les causes sont multifactorielles, que les enfants souffrent de plus en plus d’autisme (1 enfant sur 36 aurait un trouble du spectre autistique aux USA, c’était 1 sur 150 en 2000) et que la presse subventionnée s’interroge sur la hausse fulgurante des cancers chez les jeunes, ne serait-il pas temps de se poser quelques questions sur cette stratégie du tout vaccin?