PAGE DESTINÉE AUX MÉDECINS DU QUÉBEC

Cette page a été spécifiquement conçue pour donner de l’information aux médecins du Québec sur les enjeux liés à la Covid-19. Vous y trouverez les différentes lettres transmises au Collège des médecins du Québec (CMQ) ainsi que d’autres articles permettant de mieux comprendre la situation, afin que vous puissiez exercer votre jugement de professionnel. N’hésitez à pas à nous écrire pour toute question ou commentaire.

 

Introduction aux lettres adressées au CMQ et aux médecins

 Le CMQ est une institution qui fête cette année 175 ans d’existence au service de la population québécoise. Cette institution est réputée indépendante et est le dernier rempart de sécurité dans la protection de la population en matière de santé.

Or, la crise COVID-19 et sa gestion ont bouleversé cette institution en profondeur. En effet, il a été convenu par les officiers du CMQ de donner un aval complet aux directives de la Santé Publique du Québec concernant cette crise. Dans ce processus, il nous est apparu que de grands pans de l’éthique médicale tel le principe de précaution contenu dans le serment d’Hippocrate, le principe d’un consentement libre, celui d’un consentement éclairé, le droit de disposer de son corps particulièrement pour un produit expérimental, ont été mis à mal, ignorés et le sont toujours.

En sacrifiant son indépendance, le CMQ n’a pas pu et ne peut pas, à notre avis, remplir la mission qui est la sienne.

C’est pourquoi un regroupement de professionnels, de chercheurs compétents en ARNm et de médecins se sont réunis et ont rencontré en personne le Président du CMQ en plus de lui adresser plusieurs lettres dont le contenu n’a pas été réfuté mais qui sont malheureusement restées sans réponse.

Devant le silence du Collège des médecins et des autres instances de la santé, une vaste opération a été mise ne route pour donner directement une information juste et factuelle aux 25,000 médecins du Québec concernant les “vaccins” à base d’ARN messager covid-19.

LETTRE AUX 25,000 MÉDECINS DU QUÉBEC - Janvier et février 2024 - 9 signataires

Le 15 février 2024

Dr <<Prénom>> <<Nom>>
Nom de l’établissement
123 Rue
Ville, Code postal

Objet : Vaccination anti-covid

Bonjour Dr <<Nom>>,

Nous sommes un regroupement de médecins, de scientifiques et de chercheurs spécialisés en ARN. Nous n’avons aucun conflit d’intérêts et nous avons rédigé ce que nous pensons être une information non politisée, indépendante de toute interférence biopharmaceutique ou commerciale, conforme à la science et en vue de permettre un choix libre et éclairé concernant le vaccin génique COVID-19, le tout en accord avec les articles 7, 29, 40, 49, 56, 61, 63, 88.0.1 de notre code de déontologie.

Nous partons du principe que, comme nous, vous avez l’intérêt de la population à cœur et c’est pourquoi nous croyons que la présente lettre ainsi que celle en annexe pourraient vous intéresser. Nous vous invitons à consulter aussi nos documents sourcés en lien avec la vaccination anti-covid à cette adresse  : www.reinfoquebec.ca/medecins.

Nous pensons que vous devriez lire le message qui suit car nous l’avons présenté au Collège des médecins du Québec (CMQ) et à son président lors de plusieurs lettres précédentes et lors d’une rencontre officielle aux bureaux du CMQ. Des centaines de références scientifiques ont été fournies. Aucune réfutation ni du CMQ, ni de la Santé publique ne nous a été exprimée. Ce message pourra susciter chez vous différentes réactions que nous respectons toutes. Mais la vérité doit être dite.

Que savons-nous maintenant de ces produits vaccinaux à ARNm ?

  • Ces produits ne sont pas efficaces, puisqu’ils n’empêchent ni l’infection ni la transmission, ni les maladies graves, ni les hospitalisations, ni même les décès COVID-19. Les données québécoises et internationales le démontrent.
  • Ces produits ne sont pas sécuritaires. Ces produits ont causé plus d’effets indésirables graves, y compris des décès chez les enfants et adultes, que tous les autres vrais vaccins combinés depuis 30 ans (VAERS).
  • Ces produits sont contaminés. Santé Canada a reconnu avoir été trompée par le fabricant, Pfizer, qui n’avait pas révélé que son produit était contaminé avec de l’ADN plasmide incluant des fragments du virus oncogène SV40. La population québécoise a reçu ces produits contaminés à son insu. Or, avec cette contamination, la possibilité d’altérer le génome humain, de développer des cancers, de générer des malformations fœtales (mutagénèse) ou de transmettre un génome altéré aux descendants devient tout à fait réelle. Le taux de contaminants est des centaines de fois plus élevé que les taux acceptés.

En conclusion, un moratoire immédiat sur tous les produits vaccinaux à base d’ARNm s’impose. Le CMQ via son président doit demander l’arrêt immédiat de l’utilisation des produits à base d’ARNm. Ces produits sont impropres à une utilisation chez les êtres humains, particulièrement chez les enfants et les femmes enceintes.

Ne pas le faire équivaudrait à sacrifier le principe de précaution contenu dans le serment d’Hippocrate.

Le CMQ, au cent-soixante-quinzième anniversaire de sa fondation, ne saurait être un simple instrument du Politique et doit jouer un rôle non pas servile mais central en matière de protection de la santé publique comme l’exige sa mission. C’est essentiellement le message que nous avons livré en personne au président du CMQ dans ses bureaux lors d’une rencontre le 7 décembre 2022.

Vous êtes cordialement invité, Dr <<Nom>>, à rejoindre notre collectif ainsi qu’à communiquer avec nous si vous le désirez (www.reinfoquebec.ca/formulaire). Nous garantissons votre anonymat et que tout restera confidentiel. Nous aimerions également solliciter votre aide afin de partager cette lettre à vos collègues de travail et ainsi les sensibiliser eux aussi aux dangers de ces produits géniques expérimentaux. S’il s’avérait que votre opinion diffère de la nôtre, n’hésitez pas à nous le faire savoir en prenant bien soin toutefois de citer les sources scientifiques qui sous-tendent votre avis. Vous pouvez nous contacter.

Au plaisir de discuter avec vous,

René Lavigueur, M.D., Simon Ruelland, M.D., Robert Béliveau, médecin retraité, Jean Saint-Arnaud, médecin obstétricien retraité, Danielle Fisch, médecin retraitée, Patrick Provost, PhD, Bernard Massie, PhD, Commissaire de la Commission d’enquête nationale citoyenne, Christian Linard, PhD, Euridice Prado, PhD, ainsi que les membres du Comité scientifique indépendant de Réinfo Québec.

ANNEXE – LETTRE ENVOYÉE AU PRÉSIDENT DU COLLÈGE DES MÉDECINS DU QUÉBEC

Le 17 octobre 2023

Dr Mauril Gaudreault, président du CMQ

Objet : Santé Canada, contamination d’un produit pharmaceutique et désinformation

Docteur,

Nous avons appris la venue d’un évènement majeur qui aura lieu au Palais des Congrès de Montréal le 30 novembre 2023 et intitulé  : «  La démocratie au temps de la désinformation  ». Nous appuyons cette initiative, en ce qui concerne la crise COVID-19.

La plus grande offense qu’on puisse imaginer en pharmacologie et en science de vaccinologie est l’«  adultération  » i.e. la dissimulation d’un produit contaminant dans un médicament à l’insu des autorités régulatrices et surtout à l’insu de la population à qui est destiné ce produit. Santé Canada a en effet reconnu avoir été trompée par le fabricant Pfizer  ; lequel fabricant a dissimulé dans son produit vaccinal une substance étrangère, le promoteur SV40. En conséquence, il devient plausible que l’ADN présent dans ce produit puisse altérer le génome de l’individu et de sa descendance. Que compte faire le CMQ après que la population québécoise ait reçu à son insu un produit contaminé  ?

Nous vous demandons par ailleurs que soient corrigées des informations erronées notamment les affirmations à l’effet que  :

1) le vaccin Covid-19 est un «  vaccin comme les autres  ».

2) que le vaccin de rappel à ARNm protège contre l’infection et la contamination.

Ces deux affirmations sont en totale contradiction avec ce qui est bien établi. Diffuser des messages que l’on sait erronés constitue à nos yeux de la malveillance. Le CMQ se doit de lutter contre la désinformation d’où qu’elle provienne.

D’autre part, auriez-vous l’obligeance de répondre aux dernières lettres que nous vous avons fait parvenir. La question en résumé est celle-ci  : Comment concilier la gestion COVID-19 qui a prévalu avec la mission du CMQ notamment le serment d’Hippocrate, le principe de précaution et le droit à une information permettant un choix libre et éclairé  ? Une réponse de votre part serait très appréciée dans les 30 jours qui suivent.

Nous vous soumettons également pour approbation un feuillet sur la vaccination génique COVID-19 (ci-joint) qui répondrait aux exigences déontologiques du CMQ. Il figure aussi sur le site du collectif Réinfo Québec à l’adresse : www.reinfoquebec.ca/medecins. Si vous y trouviez des imprécisions, nous nous empresserions d’y apporter les correctifs requis. Vous nous aideriez si des références scientifiques indépendantes accompagnaient vos commentaires.

Recevez, Dr Gaudreault, l’expression de nos sentiments distingués.

René Lavigueur, M.D., Robert Béliveau, médecin retraité, Jean Saint-Arnaud, médecin obstétricien retraité, Danielle Fisch, médecin retraitée, Patrick Provost, PhD, Bernard Massie, PhD, Commissaire de la Commission d’enquête nationale citoyenne, Christian Linard, PhD, Euridice Prado, PhD, ainsi que les membres du Comité scientifique indépendant de Réinfo Québec.

Copies conformes aux membres du CA du CMQ.

LETTRE AU COLLÈGE DES MÉDECINS - 30 novembre 2023 - 8 signataires - On nous a dit...

Le 30 novembre 2023

Dr Mauril Gaudreault, président du CMQ
1250 Boul. René-Lévesque O bureau 3500
Montréal, QC H3B 0G2

 

Sujet : Santé Canada ; Adultération d’un produit pharmaceutique et lutte contre la désinformation

Docteur,

Nous avons appris la venue d’un évènement majeur qui aura lieu au Palais des Congrès de Montréal le 30 novembre prochain et intitulé : « La démocratie au temps de la désinformation ». Nous appuyons cette initiative, en ce qui concerne la crise COVID-19 et ce, conformément à l’obligation éthique inscrite au code de déontologie des médecins du Québec (art.29) de favoriser un « consentement libre et éclairé ». Nous savons à quel point ce principe est cher au Collège des médecins du Québec. C’est dans un souci de respect de ce principe que nous nous adressons à vous.

  1. Adultération : La plus grande offense qu’on puisse imaginer en pharmacologie et en science vaccinologique est l’« adultération » i.e. la dissimulation d’un produit contaminant dans un médicament à l’insu des autorités régulatrices et surtout à l’insu de la population à qui est destiné ce produit. Nous parlons ici de la reconnaissance récente par Santé Canada, d’avoir été trompés par le fabricant Pfizer ; lequel fabricant a dissimulé dans son produit vaccinal une substance étrangère (le promoteur du virus oncogène SV40).

De telle sorte que toute la population canadienne a reçu un produit contaminé de thérapie génique avérée sous le couvert d’un « vaccin comme les autres ». En conséquence, il devient plausible que le contaminant ADN plasmide présent dans ce produit puisse pénétrer le noyau de la cellule avec toutes les conséquences que comportent les thérapies géniques. (Art. 61)

  1. Désinformation: nous vous demandons également de corriger les messages erronés de désinformation qui circulent : notamment l’affirmation à l’effet que 1) le vaccin Covid-19 est un « vaccin comme les autres » 2) le vaccin de rappel à ARNm protège contre l’infection et la contamination. Ces deux affirmations pour ne nommer que celles-là sont en totale contradiction avec ce qui est bien établi.  Diffuser des messages que l’on sait erronés constitue à nos yeux de la malveillance. La fonction du CMQ n’est-elle pas de surveiller et d’empêcher ce genre de dérives ?

L’ex-directrice du « Centers for diseases Control » Madame Rochelle Walensky a reconnu que le produit génique offert n’empêche ni l’acquisition de l’infection, ni sa transmission. Le fabricant Pfizer dans sa monographie ne recommande pas la vaccination des femmes enceintes. (Art. 48 et 49)

En somme nous sollicitons votre aide et celle des plus hautes autorités de santé afin de lutter contre la désinformation d’où qu’elle provienne.

  1. Feuillet d’information: C’est dans cet esprit que nous vous soumettons pour approbation officielle un feuillet d’information qui répondrait aux exigences déontologiques du CMQ et qui lutterait contre la désinformation. Devant l’urgence de la situation et étant donné qu’une vaccination génique de rappel est déjà en cours, nous avons publié ce feuillet avec toutes les références requises sur le site du collectif RéinfoQuébec ainsi que sur les réseaux sociaux.

Nous sollicitons l’approbation officielle de ce feuillet de la part du CMQ et de celle de la Santé publique du Québec.

Si vous y trouviez des imprécisions notables, nous nous empresserions d’y apporter les correctifs requis. Vous nous aideriez si des références scientifiques indépendantes accompagnaient vos commentaires. Le CMQ n’est pas une société savante mais, étant imputable de ses orientations et décisions, il peut à loisir, solliciter des avis indépendants.

  1. Liberté de parole, Programme d’indemnisation: Dr Mauril Gaudreault, nous vous demandons également et instamment de rassurer les médecins du Québec sur non seulement le droit qu’ils ont de s’exprimer publiquement sur la crise COVID-19 et sa gestion, mais le devoir qu’ils ont de le faire. La vénérable institution qu’est le CMQ, qui fête notamment ses 175 ans d’existence, a pour but de protéger le public. Or, une censure qui fait en sorte qu’il est interdit pour les médecins de parler des effets indésirables graves et à long terme du produit génique COVID-19, (effets secondaires anticipés par le fabricant lui-même dans sa monographie et dans les contrats de vente), cause un tort considérable à la population québécoise. Ainsi la censure médicale fait en sorte que des centaines de victimes de cette vaccination génique sont privés d’un programme gouvernemental qui leur est pourtant destiné ne trouvant aucun médecin pour les représenter.
    Dr Gaudreault, nous vous demandons de réaffirmer publiquement le droit de parole des médecins du Québec en conformité avec les données de la science et également de faire connaître ce programme d’indemnisation auprès des médecins du Québec.

Pour terminer, et conformément à votre suggestion Dr Gaudreault, nous sollicitons une rencontre avec la direction de la Santé publique du Québec, de l’INESSS et de l’INSPQ afin de contribuer au mieux-être de la population.

Sincèrement,

Ci-joint une proposition de feuillet d’information concernant le vaccin génique COVID-19 et mis à la disposition du public dans l’attente de vos commentaires fort désirés.

Recevez, Dr Gaudreault, l’expression de nos sentiments distingués,

 

René Lavigueur, M.D., Robert Béliveau, médecin retraité, Jean Saint-Arnaud, médecin obstétricien retraité, Danielle Fisch, médecin retraitée, Patrick Provost, PhD, professeur à l’Université Laval et spécialiste de l’ARN, Bernard Massie, PhD, Commissaire de la Commission d’enquête nationale citoyenne, Christian Linard, PhD, Euridice Prado, PhD, ainsi que les membres du Comité scientifique indépendant de Réinfo Québec.

 

Copie conforme :

  • Membres du C.A. du CMQ
  • Dr Luc Boileau, Directeur de la Santé publique du Québec
  • Christian Dubé, ministre de la Santé du Québec
  • Michèle de Guise, président de l’INESSS
  • Pierre Gerlier Forest, INSPQ

 

 

 

 

___________________Feuillet d’information ___________________

Informations à la population concernant le vaccin génique COVID-19

Introduction :

Nous avons constaté que l’information fournie aux québécois concernant la vaccination à ARNm de rappel était soit mal adaptée aux connaissances actuelles, soit malheureusement trompeuse dans certains aspects et en général très peu disponible.

Or, la déontologie médicale impose d’offrir à la population une information juste, complète et adéquate concernant tout produit ou toute intervention à caractère médical.

C’est pourquoi nous proposons ce texte d’information destiné au grand public. Nous avons examiné la littérature médicale scientifique la plus pertinente à cet égard. Nous joignons à la présente une bibliographie.

………………………………………………………………………………..

Note :

Votre corps vous appartient. Vous ne devez accepter aucune pression d’aucune nature pour vous faire vacciner ou non. La mission du Collège des médecins du Québec est de garantir votre liberté de choix. L’information qui suit est factuelle, vérifiable et a pour but de vous aider à prendre une décision éclairée, tout en luttant contre la désinformation.

Il a été dit au sujet de ce produit de rappel qui vous est offert et au sujet des produits à ARNm :

On nous a dit : Il est sûr. Or, voici ce que l’on sait maintenant

  • Il s’agit en réalité du produit vaccinal qui à lui seul a causé plus d’effets secondaires graves que tous les vaccins administrés depuis 30 ans dont des atteintes du cœur, des maladies chroniques, des décès.
  • Pfizer mentionne dans sa monographie que les vaccins COVID-19 à ARNm autorisés ou approuvés montrent un risque accru de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite (inflammation de la paroi entourant le cœur), en particulier dans la première semaine suivant la vaccination.
  • Les composants du vaccin (Nanoparticules lipidiques, ARNm et Protéine S) sont des substances étrangères à l’organisme, toxiques, dont l’innocuité n’a pas été étudiée.

*Il est donc faux d’affirmer que ce produit est sûr.

On nous a dit : Il a été parfaitement testé avant d’être approuvé. Et pourtant…

  • Les produits à ARNm ont été développés rapidement parce qu’ils ont évité toutes les études de toxicité normalement exigibles pour un vaccin et pour un produit génique en l’occurrence.
  • Il n’y a plus d’urgence mais les études de toxicité ne sont toujours pas faites. La dose de rappel a néanmoins été approuvée par Santé Canada.

*En conclusion, ce produit a escamoté plusieurs étapes de validation et on ne peut en aucun cas affirmer qu’il a été suffisamment testé.

On nous a dit : Ce n’est pas un produit expérimental. Qu’en est-il ?

  • Tant que les études de toxicité exigées normalement pour ce type de produit n’auront pas été faites, ces produits devront être considérés comme expérimentaux.
  • Par ailleurs, bien que le fabricant ne dévoile pas la composition de son produit, il a été démontré qu’il contient des substances qui nécessitent un examen approfondi (ARN fractionné, ADN plasmide, fragments SV40, enveloppe de nanoparticules lipidiques, lipides cationiques etc.).
  • Les fioles et les lots de vaccin sont différents l’un de l’autre. Ainsi, tous ne reçoivent pas le même produit et à une dose qui peut être très différente. Le fabricant ne maîtrise pas les bonnes pratiques de fabrication de son produit. Ceci devrait être inadmissible, même pour un produit expérimental en essai clinique chez l’humain, car la variation du produit invalide toutes les conclusions des essais cliniques.

On nous a dit : Il empêche la transmission. Voici les faits…

  • Les études ont toutes montré que les injections n’empêchaient pas la transmission. Ceci était connu en mars 2021. Ceci est reconnu par le fabricant lui-même.
  • Or le message véhiculé est à l’effet qu’il faut recevoir ce vaccin pour se protéger soi-même et pour protéger les autres. La question se pose : Quelle peut être l’utilité d’un produit « vaccinal » qui n’empêche ni l’infection, ni la transmission de l’infection de laquelle il doit nous protéger ?

*Ce produit n’empêche ni l’infection, ni sa transmission. Il ne peut donc ni nous protéger, ni protéger les autres.

On nous a dit : Il est efficace. On se demande encore comment ?

  • Ce produit n’empêche ni l’infection, ni sa transmission. Certaines données montrent plutôt que les personnes vaccinées sont beaucoup plus à risque d’être infectées par le Covid-19 que les personnes non vaccinées.
  • Contrairement à ce qui est couramment affirmé, ce produit ne protège ni contre les formes graves de la maladie, ni contre les décès ou les hospitalisations. Les données de l’Angleterre concernant les décès toutes causes en fonction du statut vaccinal le montrent parfaitement. Au Québec, les statistiques d’hospitalisation en fonction du statut vaccinal le confirment aussi.
  • Les personnes vaccinées ont jusqu’à 3,6 fois plus de risque de contracter l’infection. (Étude de Cleveland et données du Québec)

 

On nous a dit : Il est efficace contre le variant en cours. Vraiment?

  • Le vaccin bivalent actuel a été conçu pour une protection contre le variant XBB.1.16. Or ce variant est en perte de vitesse et ce sont deux nouveaux variants (Eris et Pirola) qui prédominent actuellement.
  • La mutation constante du virus favorisée par la vaccination et par l’utilisation de médicaments fait en sorte qu’un nouveau vaccin à ARNm devient vite désuet, ce qui est le cas avec ce vaccin de rappel.
  • L’efficacité annoncée a été mesurée chez des souris et en laboratoire. Elle n’a pas été mesurée chez des humains dans la vraie vie.

*Pour toutes ces raisons, on ne peut pas dire que ce vaccin de rappel soit efficace pour le variant en cours.

On nous a dit : Il offre une protection contre tous les variants.

  • Contrairement à l’immunité naturelle qui confère à la personne une défense contre tous les composants du virus, l’immunité que donne le vaccin à ARNm ne concerne que la protéine de surface (Spike) du virus. Or cette protéine mute constamment pour échapper au vaccin; ce qui est le cas actuellement.
  • Il en sera de même avec tous les variants futurs.

*Cette affirmation exprime seulement une présomption souhait et n’a pas été validée scientifiquement.

On nous a dit : La vaccination des femmes enceintes a été prouvée sécuritaire. Attention, prudence, principe de précaution.

  • Le fabricant, par prudence, n’a pas étudié son produit chez les femmes enceintes ni chez les femmes allaitantes. Il ne recommande pas la vaccination des femmes enceintes.
  • Plusieurs statistiques notamment celles très robustes du département de la défense des É.U. font état de fausses couches, d’avortements, de mort-nés, d’anomalies placentaires et ce, à un taux alarmant.

*Comme le fabricant n’a pas pris le risque d’étudier son produit chez les femmes enceintes, la vaccination des femmes enceintes est en flagrante contradiction avec le principe de précaution et enfreint les règles d’éthique médicale rudimentaires qui étaient déjà admises bien avant la création du CMQ en 1847.

On nous a dit : La vaccination des enfants a été prouvée sécuritaire.

  • Les autorités reconnaissent que le vaccin peut causer une inflammation du cœur chez les enfants et les adolescents. Si la COVID-19 génère elle aussi parfois des problèmes cardiaques, les vaccins en provoquent beaucoup plus.
  • D’après une étude sur une cohorte nordique (2 millions de jeunes de 16 à 24 ans), le vaccin Pfizer multiplie le risque de myocardite par 4 et celui de Moderna par 13.
  • Une étude suisse indique qu’un enfant sur 35 montrerait des signes de myocardite.
  • Plus de 55 % des enfants de 6 mois à 2 ans ont une réaction systémique importante après avoir eu le vaccin selon les CDC.
  • La Suède, le Danemark, la Finlande, le Royaume Uni, l’Australie, la Norvège, la Floride, Taiwan et quelques autres ont limité ou interdit la vaccination des enfants.

*Il n’y a aucune preuve qu’il soit avantageux de vacciner les enfants. Il a été prouvé que ce produit génique comporte de très graves dangers.

On nous a dit : Ce vaccin ne cause pas le cancer. Les substances contenues dans le « vaccin » sont connues. Qu’a découvert Santé Canada ?

  • Dans la hâte qui a entouré la fabrication de ce produit génique, on a omis de s’assurer que ce produit ne cause pas le cancer chez les personnes injectées (études de carcinogénicité non effectuées).
  • Or, plusieurs mécanismes immunologiques rendent plausible l’induction de cancers par ce produit génique.
  • Par ailleurs, Santé Canada, l’agence canadienne de régulation des médicaments, a annoncé récemment que Pfizer ne l’avait pas informée de la contamination (adultération) de son vaccin par deux produits soit l’ADN plasmidique et le promoteur SV40. Ceux-ci ont donc été administrés aux canadiens sans que ni Santé Canada, ni les Canadiens ne le sachent. Or, en ce qui concerne le promoteur SV40, il existe un débat parmi les scientifiques à savoir si ce produit peut causer le cancer chez les humains.

*Pour ces raisons, il est impossible d’affirmer que ce produit ne peut pas causer le cancer et au contraire, il y a plusieurs motifs de le craindre. Ce produit de thérapie génique doit être soumis à des tests de carcinogénicité.

On nous a dit : Les personnes asymptomatiques sont les plus grands propagateurs. Chacun doit-il se méfier de l’autre ?

  • Cette notion ne se retrouve pas dans aucun livre médical et n’est supportée par aucune science.
  • Les personnes infectées qui transmettent les maladies respiratoires le font par la toux et les sécrétions respiratoires.

On nous a dit : Les enfants transmettent l’infection aux adultes et à leurs grands-parents.

  • Il a été bien démontré que les enfants sont de faibles propagateurs de la COVID-19.
  • Ce sont plutôt les adultes qui infectent les enfants.

*Laisser entendre que les enfants soient responsables du décès de leurs grands-parents est un message traumatisant et non supporté par la science.

On nous a dit : Il se loge dans le bras injecté et ne se répand pas dans l’organisme. Difficilement concevable…

  • Le produit vaccinal ne reste pas séquestré dans le bras de la personne mais il se répand dans tout l’organisme comme le prouvent les études d’autopsie.
  • Le produit vaccinal diffuse dans tous les organes du corps humain y compris le cœur, le système nerveux, le cerveau, les ovaires, les testicules et jusque dans le lait maternel.
  • Les autopsies ne mentent pas. On trouve des composants du vaccin partout dans le corps humain.

 

On nous a dit : Il disparaît de l’organisme en peu de temps. Et pourtant…

  • On retrouve la protéine de surface (spike) dans le corps humain jusqu’à 2 ans après la vaccination.
  • On retrouve l’ARNm des mois après la vaccination jusque dans le cerveau et le lait maternel.
  • La vaccination génique proposée consiste à injecter des milliards d’unités d’ARNm ce qui transforme les cellules du corps humain en usines de production de protéine de pointe. Il n’y a pas de mécanisme prévu pour interrompre cette production.

*En conclusion on ignore combien de temps ces produits demeurent dans l’organisme puisque dans la hâte, le fabricant n’a pas effectué les études requises à cet effet (études de bio-distribution).

On nous a dit : Il empêche les formes graves d’infection. Quoique…

  • Les données épidémiologiques montrent que les personnes vaccinées sont autant à risque d’être hospitalisées aux soins intensifs que les personnes non vaccinées.
  • Les personnes vaccinées ont un risque de décès au moins aussi grand que les personnes non vaccinées.

*Cette affirmation est contraire à ce qui est observé

On nous a dit : Il diminue le risque de mortalité par le coronavirus. Faux

Comme on vient de l’aborder, la vaccination contre le COVID-19 ainsi que les rappels ne diminuent pas le risque de mourir du COVID.

On nous a dit : La balance risques/bénéfices est favorable. Preuves?

  • Aucune des études évaluant les risques/bénéfices de la vaccination ne tient compte des effets secondaires à long terme. Or les fabricants ont toujours souligné ces risques dans leur monographie et dans les contrats de vente aux différents pays.
  • Ces effets secondaires à long terme sont documentés dans tous les systèmes mondiaux de rapport des effets indésirables et la surmortalité dans le monde suggère aussi une grande prévalence des effets secondaires à long terme sous forme de maladies chroniques.
  • Les statistiques officielles du gouvernement ne montrent aucune réduction des hospitalisations/mortalités Covid-19; celles-ci montrant plutôt un risque accru pour les vaccinés trois doses.
  • Il est pratiquement interdit aux médecins de parler des effets indésirables des vaccins géniques. Cette censure médicale inédite a pour effet de fausser le calcul de la balance risques/bénéfices.

L’affirmation à l’effet que la balance risques/bénéfices soit favorable est donc sans fondement bien qu’abondamment diffusée.

On nous a dit : Il s’agit d’un vaccin comme les autres. Comme les autres ?

  • Ce vaccin n’agit absolument pas comme un vaccin traditionnel.
  • Les vaccins traditionnels utilisent généralement des virus morts ou désactivés afin que le système immunitaire produise des anticorps. Il s’agit d’une technique éprouvée. Pour leur part, les vaccins ARNm consistent à envoyer un code génétique (ARN) aux cellules pour qu’elles produisent la protéine de pointe, ce qui génère une réponse immunitaire et donc des anticorps.
  • Ainsi, il s’agit d’un produit de thérapie génique. Il été présenté comme un vaccin comme les autres afin que le fabricant soit soumis à moins de normes de sécurité et afin qu’il obtienne la faveur du public (qui a généralement confiance aux vrais vaccins).
  • La découverte d’ADN plasmidique dans les fioles confirme encore davantage qu’il s’agit d’un produit génique avec des risques accrus de génotoxicité et d’oncogénicité.

Ce produit correspond plutôt à la définition de thérapie génique.

 

On nous a dit : Les vaccins à ARNm sont plus efficaces que les vaccins traditionnels. On aimerait bien croire mais…

  • Les anticorps générés par ces produits commencent à diminuer au bout de deux mois et des études montrent une efficacité négative (ils nuisent plus qu’ils n’aident) à partir de 8 mois.
  • Pour être pleinement vacciné il faudrait avoir reçu de multiples doses. Ce n’est pas le cas des vaccins traditionnels.

*Il est donc impossible d’affirmer que ces produits soient plus efficaces que les vaccins traditionnels.

 

On nous a dit : Les vaccins à ARNm ne modifient pas le code génétique. Très plausible pourtant.

  • Puisqu’il n’y a eu aucune étude de génotoxicité sur ces produits, cette affirmation ne peut pas être faite.
  • À l’opposé, on connaît plusieurs mécanismes par lesquels ces produits peuvent changer le code génétique d’une personne (transcriptase inverse, ADN plasmide).
  • La présence d’ADN (plasmidiques) dans les fioles rend tout à fait possible le risque d’insertion de cet ADN dans le génome des cellules.
  • Des études en laboratoire ont prouvé que ces produits peuvent pénétrer le noyau de la cellule et qu’ils peuvent donc altérer le code génétique.

*Le fardeau de la preuve pour une question aussi grave que l’altération du patrimoine génétique de l’être humain revient au fabricant. Cette affirmation est à l’encontre du concept de « consentement éclairé ».

On nous a dit : Les vaccins à ARNm ne causent pas de maladies graves.

  • La compagnie Pfizer en février 2021 avait identifié 1 291 effets indésirables possibles de son produit dont plusieurs très graves.
  • L’agence de médicaments des États-Unis (FDA, CBER) avait prévu 21 classes d’effets secondaires graves déjà en 2020.
  • Tous ces effets indésirables prévus ont été retrouvés dans les systèmes de surveillance du monde entier. Il y a eu 96 signaux de sécurité chez les 12-17 ans et 770 chez les 18 ans et plus dans le plus important Système de notification des évènements indésirable des vaccins (VAERS, É.U.).
  • Chacune de ces notifications aurait normalement justifié un arrêt immédiat de cette vaccination. Il est donc indiscutable que ce produit cause des maladies graves et chroniques.
  • Ces produits ont causé plus d’effets indésirables graves que tous les vrais vaccins combinés depuis 30 ans (VAERS).

*Ces produits de thérapie génique peuvent causer des maladies graves ainsi que la mort.

On nous a dit : Ces produits n’affaiblissent pas le système immunitaire. Et pourtant…

  • L’affaiblissement du système immunitaire notamment chez les enfants a été signalé par un des plus grands conseiller en matière de vaccin aux États-Unis, le Dr Paul Offit qui en outre, refuse de recevoir lui-même une dose de rappel.
  • L’affaiblissement du système immunitaire pourrait expliquer : Maladies auto-immunes induites par le vaccin, risque accru de zona chez les vaccinés, et un risque plus grand de subir une infection symptomatique par le virus SARS-CoV-2 si on est vacciné que si on ne l’est pas.

On nous a dit : L’immunité naturelle ne suffît pas et il faut aussi être vacciné. D’où cela vient-il?

  • Un concept totalement inexistant en science médicale a été avancé; celui « d’immunité hybride ». On laisse entendre que le fait d’être vacciné en plus d’avoir acquis une immunité naturelle confère un avantage.
  • En réalité, la vaccination affaiblit le système immunitaire et des phénomènes immunologiques précis et connus (tels que l’original antigenic sin (OAS), l’antibody dependent enhancement (ADE) et l’imprinting) peuvent rendre la combinaison vaccination génique suivie d’une contamination naturelle, des plus dangereuses. Les moins vulnérables sont ceux qui ont eu la chance d’avoir eu une infection naturelle avant la vaccination.

On nous a dit : Le COVID-19 est encore une grave menace pour la population. Et pourtant…

  • 99,9% de la population a survécu à la COVID.
  • On sait maintenant que le COVID-19 en termes de mortalité, a été tout à fait comparable à une forte saison de grippe (influenza).
  • D’après Karl Weiss, microbiologiste et spécialiste en maladies infectieuses à l’Hôpital général juif à Montréal, les symptômes causés par les variants qui ont cours actuellement s’apparentent à un rhume banal. C’est là l’évolution normale et prévisible d’un virus pandémique qui devient de plus en plus contagieux mais de moins en moins dangereux.

 

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Références :

 

La FDA reconnait qu’il n’y a aucune preuve à l’effet que le vaccin puisse empêcher la transmission :

https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-takes-key-action-fight-against-covid-19-issuing-emergency-use-authorization-first-covid-19

 

55% des enfants âgés de 6 mois à 2 ans ont une réaction systémique importante après leur vaccin.

https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2022-09-01/05-COVID-Shimabukuro-508.pdf

 

19/40 adolescents (12-18 ans) atteints de myocardites ont des signes d’atteinte cardiaque cicatricielle permanente.

https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCULATIONAHA.123.064772

 

1,291 effets secondaires rapportés par Pfizer au 28 février 2021 :

https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf

 

Effets secondaires graves Pfizer et Moderna indiquent la nécessité d’une réévaluation du calcul Risques/bénéfices. Peter Doshi 06-2022 :

https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4125239

 

1,000 articles évalués par les pairs concernant les effets indésirables graves de la vaccination génique COVID-19 :

https://drtrozzi.org/2023/09/28/1000-peer-reviewed-articles-on-vaccine-injuries/

 

3,500 autres articles décrivant les différents effets secondaires de la vaccination génique COVID-19 :

https://react19.org/science

 

Dr Philip Buckhaults Témoignage Sénat Caroline du Sud sur la contamination ADN plasmidique du vaccin génique :

https://www.youtube.com/watch?v=IEWHhrHiiTY

 

Variant actuel Pirola avec 30 mutations de la protéine S :

https://viralimmunologist.substack.com/p/the-pirola-variant-of-sars-cov-2?utm_source=substack&utm_medium=email

 

McCullough; étude de 325 autopsies. Lien entre vaccination COVID et décès :

https://zenodo.org/records/8120771

 

Dr James Thorp. Vaccination des femmes enceintes. Données de Pfizer p.12 :

https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf

 

CDC : Effets indésirables prévisibles 2020 Rapport d’un comité de la FDA (CBER) :

https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-10/COVID-Anderson-508.pdf

 

Rochelle Walensky directrice du CDC reconnaît que le vaccin n’empêche pas la transmission (ce qui rend nul et non avenu les passeports vaccinaux) :

https://newsrescue.com/cdc-director-inadvertently-destroys-argument-for-vaccine-passports-by-surprisingly-saying-vaccines-do-not-prevent-transmission-video/?utm_source=substack&utm_medium=email

 

COVID long et VAX long: 70% des “COVID long” sont vaccinés. Il pourrait donc s’agir plutôt de Vax-longs; ce qui s’expliquerait par une quantité de protéine « S » de surface générée par le mécanisme du vaccin à ARNm beaucoup plus importante que générée par l’infection.

https://petermcculloughmd.substack.com/p/unvaccinated-with-omicron-infection?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=137448236&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=12claq&utm_medium=email

 

92% des décès COVID en Angleterre en 2022 sont survenus chez des triple vaccinés :

https://www.shtfplan.com/headline-news/uk-government-data-shows-92-of-2022-covid-deaths-were-among-the-triple-vaccinated?utm_source=substack&utm_medium=email

 

Augmentation de 44% de la mortalité cardiovasculaire chez les 15-44 ans au Royaume Uni :

https://phinancetechnologies.com/HumanityProjects/Resources/Project%20Brief%20-%20UK%20Cardiovascular%2015-44_091723.pdf

 

Mécanismes physiopathologiques de la toxicité des vaccins géniques à ARNm :

https://doctors4covidethics.org/mrna-vaccine-toxicity/

 

Chez 77% des femmes allaitantes vaccinées (10/13), on trouve de l’ARNm dans le lait maternel :

https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(23)00366-3/fulltext

 

Intégration de l’ADN des thérapies géniques dans le génome humain et par conséquent pouvant être transmis à de futures générations:

https://www.nature.com/articles/s41598-023-33862-0

 

Les personnes vaccinées plus à risque d’hospitalisation selon la CDC :

https://www.documentcloud.org/documents/23852341-cdc-presentation-on-vaccine-effectiveness

 

Mécanismes par lesquels on retrouve dans le sang des personnes vaccinées la protéine de surface « Spike » jusqu’à 6 mois après la vaccination :

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/prca.202300048

 

Poursuite en Australie à l’encontre de Pfizer et Moderna pour avoir distribué des produits de thérapie génique sans avoir obtenu une license pour le faire :

https://news.rebekahbarnett.com.au/p/australian-gp-sues-pfizer-and-moderna?utm_source=cross-post&publication_id=791657&post_id=135329619&isFreemail=true&utm_campaign=773468&utm_medium=email

 

Plus on est vacciné, plus on est à risque d’infection. Étude revue par les pairs :

https://www.cureus.com/articles/179946-covid-19-infection-rates-in-vaccinated-and-unvaccinated-inmates-a-retrospective-cohort-study#!/

 

Toxicité de la protéine de surface « S » :

https://www.mdpi.com/2227-9059/11/8/2287?utm_source=substack&utm_medium=email

 

Vaccination génique COVID-19 et cancers : Dr Angus Dalgleish et John Campbell :

https://www.youtube.com/watch?v=PnJ5T1Enwq4

 

“The child is not to blame”: Ce ne sont pas les enfants qui transmettent l’infection aux adultes :

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32457212/

 

Taux de létalité du SARS-Cov-2 inférieure à la grippe chez les moins de 60 ans et légèrement supérieure à la grippe chez les 0-69 ans :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9613797/

 

Contrats secrets Pfizer avec différents pays. Dévoilement de celui d’Afrique du Sud : Pfizer : « Nous ne connaissons pas les effets secondaires à long terme de notre produit ».

https://maryannedemasi.substack.com/p/the-secrecy-of-covid-19-vaccine-contracts?utm_campaign=email-post&r=12claq&utm_source=substack&utm_medium=email

 

Surmortalité. Mortalité toute cause. Denis Rancourt. Lien causal entre vaccination COVID-19 et surmortalité :

https://correlation-canada.org/covid-19-vaccine-associated-mortality-in-the-southern-hemisphere/

 

Multiples Impacts défavorables des vaccins COviD-19 sur la grossesse et les menstruations :

https://jpands.org/vol28no1/thorp.pdf

 

SV40 et son rôle dans le cancer :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC452549/

 

Contamination par SV40, ADN plasmidique. Aveu par Santé Canada qui reconnaît avoir été induit en erreur par Pfizer.

https://childrenshealthdefense.org/defender/canada-dna-contamination-pfizer-covid-vaccine/?utm_source=luminate&utm_medium=email&utm_campaign=defender&utm_id=20231020

 

Les myocardites post vaccinales sur une cohorte nordique de 2 millions de jeunes de 16 à 24 ans.

https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2791253

 

Le ministre de la Santé de l’Ontario reconnait que les jeunes ont un risque de 1 sur 5000 de contracter une myocardite après avoir été vacciné (juillet 2022)

https://twitter.com/thevivafrei/status/1547693525373841408?s=20&t=cOmzdhZ5zgZ4GhM_0pqlZQ

 

Pharmacovigilance finlandaise qui rapporte un effet indésirable grave toutes les 2000 doses

https://www.fimea.fi/web/en/current-events/coronavirus-covid-19-/adverse-reactions-reported-on-corona-vaccines

 

Selon l’Institut Paul Ehrlich, le rapport pour les effets secondaires graves est de 1:3333 (mars 2023)

Pourquoi Karl Lauterbach pourrait bientôt perdre son statut de héros populaire – FOCUS online

 

Étude qui montre que les nanoparticules lipidiques sont hautement inflammatoires

https://www.cell.com/iscience/fulltext/S2589-0042(21)01450-4?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fretrieve%2Fpii%2FS2589004221014504%3Fshowall%3Dtrue

 

Efficacité négative des vaccins au bout de 8 mois

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35131043/

 

 

 

LETTRE AU COLLÈGE DES MÉDECINS - 18 septembre 2023 - 15 signataires, 584 cosignataires

Ne pas parler, c’est parler. Ne pas agir, c’est agir.

Dietrich Bonhoeffer (1906–1945)

Les médecins devraient toujours se rappeler que leurs interventions ne sont légitimes que si elles reposent sur la certitude, ou, du moins, une forte présomption, de faire plus de bien que de mal.

Norbert Bensaïd

 

Destinataires principaux (envoi par huissier):

Docteur Mauril Gaudreault, Président du Collège des médecins du Québec

Monsieur Pierre-Gerlier Forest, Président-directeur général de l’INSPQ

Docteure Michèle de Guise, Présidente-directrice générale de l’INESSS

Madame Danielle Boué, Conseil interprofessionnel du Québec

 

Objet: La plus grande crise de l’histoire en matière de santé au Québec:  l’injection massive des « vaccins » géniques expérimentaux?

Mesdames,

Messieurs,

La présente communication fait suite à plusieurs autres adressées au CMQ et fait aussi suite à une rencontre de cinq de nos membres avec autant de membres de la direction du CMQ, dont le Dr Mauril Gaudreault, président, tenue aux bureaux du CMQ le 7 décembre 2022.

Notre collectif de médecins (actifs et retraités), et scientifiques (actifs et retraités) a convenu de poursuivre son action de sensibilisation auprès du public, notamment à travers une tournée de conférences tenue à travers le Québec cet été et qui a rejoint plus d’un millier de citoyens.

L’information qui a été communiquée au cours de cette tournée de même que celle présentée ici s’appuie sur les recherches de centaines de scientifiques indépendants de réputation internationale qui ont présenté leurs travaux (voir Annexe A) à la Commission d’enquête nationale citoyenne (CeNC, ou NCI, pour National Citizens Inquiry)[1]. La CeNC est une initiative entièrement indépendante du gouvernement, dirigée et financée par des citoyens. Elle s’est déroulée au printemps 2023, dans 8 villes canadiennes réparties dans 7 provinces. Au cours de cette commission, des commissaires désignés et assermentés ont entendu le témoignage de centaines de Canadiens et d’experts dans le but d’examiner les politiques des gouvernements face à la COVID-19 et leurs conséquences, de manière juste et impartiale. La CeNC avait pour objet d’écouter, d’apprendre et de proposer des recommandations, d’établir ce qui a bien fonctionné et ce qui n’a pas bien fonctionné, et de voir comment les Canadiens et nos gouvernements peuvent mieux faire en cas de crise nationale, et ce, d’une façon qui tienne compte des intérêts de tous les membres de notre société.

Cette lettre vous est livrée par huissier ou par courrier recommandé afin qu’elle soit notée aux registres. Le contexte de censure entourant cette pandémie déclarée de COVID-19, le musellement de nombreux scientifiques, l’absence totale de débats et l’adoption d’un discours unique ont privé le public de l’information complète et pondérée à laquelle il a droit. La gravité de cette entorse historique aux droits fondamentaux de la personne impose, à nos yeux, une communication certifiée afin de laisser une trace historique indélébile.

Plusieurs informations contenues dans la présente vont à l’encontre de clichés, slogans et déclarations péremptoires non sourcées qui ont eu cours lors des trois dernières années.

Nous vous invitons donc à être particulièrement attentifs aux arguments avancés et à la qualité des preuves présentées.

À ce sujet et au préalable, nous formulons deux demandes au CMQ.

La première demande est de ne pas s’attaquer aux messagers sans étudier et considérer sérieusement le contenu du message et sa portée. D’autres collèges médicaux, notamment en Ontario (affaire Trozzi) et en Colombie-Britannique, ont suspendu la licence de pratique de médecins parce qu’ils avaient déclaré trop d’effets indésirables suite à la vaccination génique à ARNm ou parce qu’ils avaient tenté d’ouvrir un débat scientifique sur cette pandémie déclarée. Heureusement, le CMQ n’est pas allé jusqu’à prendre ce genre de décisions extrêmes. Nous lui demandons ici d’adopter une approche d’ouverture, objective et rationnelle.

La seconde demande que nous formulons au CMQ, est celle de nous faire savoir s’il lui apparaissait que des éléments d’information contenus dans la présente étaient susceptibles d’induire en erreur la population qu’elle a le devoir de protéger.

Comme le Dr Mauril Gaudreault nous l’a souligné, le CMQ n’est pas une société savante et a recours aux avis et aux recommandations de l’INESSS et de l’INSPQ. Cependant, le CMQ n’existe pas en vase clos et a le devoir et l’obligation de se conformer à la science et aux règles de la science, incluant les débats contradictoires scientifiques, et de questionner l’INESSS et l‘INSPQ, d’autant plus que sa responsabilité est de protéger la population et qu’il ne peut pas déléguer cette responsabilité à ces organisations. Le CMQ a accès à toutes les expertises qu’il juge bon de demander et les décisions qu’il prend ou qu’il endosse mettent en jeu sa crédibilité ainsi que la santé de la population dont il a la responsabilité.

La réponse du CMQ à notre correspondance devra être sourcée. De simples opinions d’experts, trop souvent en conflit d’intérêts, car bénéficiant de privilèges, d’allocations et/ou de fonds de recherche financés par l’industrie pharmaceutique, ne suffisent pas. Il faudra nous dire en quoi les experts ayant témoigné à la CeNC se seraient trompés et il faudra étayer une position divergente avec une rigueur scientifique à la hauteur de celle qui vous est présentée. Il faudra identifier et reconnaître les acteurs politiques, commerciaux ou financiers qui peuvent influencer les avis d’organismes aussi réputés que le Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ), l’INSPQ, l’INESSS et d’autres, et tenir compte de ces influences.

Le principe de précaution et l’intérêt de la personne sont le socle sur lequel toute décision concernant la santé de la population doit être fondée, et ce, sans aucune interférence.

Le dialogue et la confrontation des idées auxquels vous êtes invités ne sont-ils pas le modus operandi de toute science? Sans quoi il ne saurait être question de science?

L’enjeu est majeur. Le CMQ a fait le pari d’un pacte avec le gouvernement du Québec (gestionnaire de la pandémie, selon la loi de la santé) et avec la Direction de la santé publique, dont le directeur est sous-ministre de la santé. Le pacte semble avoir été de suivre à la lettre toutes les recommandations de la Santé publique, sinon de les bonifier, sans jamais questionner leur bienfondé, en présumant qu’elles étaient indiscutablement inspirées par le souci du bien public. Le pacte semble avoir été d’endosser toutes ces recommandations en présumant qu’elles n’avaient été l’objet d’aucune influence délétère infligée par des intérêts autres, qu’ils soient de nature politique, commerciale ou économique.

Il s’est avéré qu’en acceptant cette forme de sous-traitance ou de subordination implicite du CMQ, pourtant réputé indépendant, à la Direction de la Santé publique, le principe de précaution contenu dans le serment d’Hippocrate, le droit et l’obligation d’un consentement libre et éclairé ainsi que de grands pans de l’éthique et de la déontologie médicale ont été entièrement bafoués. Le CMQ a été le témoin silencieux de sa propre dérive.

Nous pouvons comprendre, sans toutefois l’accepter, que notre gouvernement, qui facilite l’installation des compagnies pharmaceutiques au Québec – dont l’usine Moderna au coût de plus d’un $ milliard à Laval –, ait pu fermer les yeux sur d’inquiétantes alertes de sécurité concernant le vaccin génique expérimental COVID-19.  Mais comment expliquer que le CMQ, réputé indépendant et libre de toute contrainte pouvant interférer dans sa mission de protection de la population, ait pu lui aussi fermer les yeux sur le danger potentiel de ces vaccins pour la santé de la population?

Nous allons démontrer ici que la « vaccination » génique expérimentale, présentée comme LA solution unique et déployée à l’ensemble de la population québécoise, y compris aux enfants et aux femmes enceintes, a été téméraire, inappropriée et, à plusieurs égards, criminelle. L’échec est patent et les preuves abondent.

L’enjeu est vraiment majeur, car si le CMQ et ses officiers continuaient à donner un aval inconditionnel à toute recommandation de la Santé publique, du CIQ, de la FDA (via Santé Canada), des CDC ou de toute autre institution concernant des vaccins utilisant la plateforme à ARNm, ou concernant toute urgence sanitaire future, selon le concept élargi de l’OMS de « santé globale », elle trahirait une seconde fois son mandat, sa mission et son propre code de déontologie. Le CMQ pourrait alors voir son immunité présumée être contestée, ce qui le rendrait juridiquement vulnérable.

Le scandale de l’utilisation inconséquente d’un produit expérimental à l’échelle planétaire, un produit non testé adéquatement, administré à une population d’enfants sains et à des femmes enceintes saines à l’aide de techniques de propagande visant à tromper la population, est le plus grand crime de l’histoire de la médecine moderne. Rappelons qu’Albert Bourla, PDG de Pfizer, a lui-même reconnu que « l’ARNm était une technologie qui n’avait jamais livré un seul produit, que Pfizer et BioNtech ne travaillaient sur l’ARNm que depuis deux ans » et que c’est son « instinct » qui l’a amené à prendre la décision d’aller de l’avant avec cette technologie[2].

Le CMQ est une institution qui appartient aux Québécois. Nous n’accepterons pas qu’elle soit trahie ou rendue défaillante ou inopérante par les officiers mêmes à qui son administration a été confiée.

Le CMQ doit être ce fort inexpugnable voué entièrement à la défense de la population et imperméable à toute influence perverse. Tout comme le médecin ne peut déontologiquement confier à un tiers ses responsabilités, le CMQ ne peut confier sa mission de protection de la population à quiconque en sous-traitance sans en conserver l’entière responsabilité.

Expérimentation humaine, observation active, analyse et conclusions

 Il y a eu, de toute évidence, une expérimentation humaine à très grande échelle d’un produit inédit et en grande partie inconnu. Jamais auparavant ce produit à ARNm n’avait été administré à une population saine. Mais :

  • Y a-t-il eu une observation active et vigilante inhérente à toute expérimentation?
  • Y a-t-il eu une analyse détaillée des répercussions médicales de cette expérimentation?
  • A-t-on analysé et tiré les conclusions qui s’imposaient?

Nous allons démontrer que la réponse à ces trois questions est négative.

Vaccination génique COVID-19 des Québécois : une expérimentation à l’aveugle?

Les institutions qui ont promu cette vaccination génique, si elles avaient souhaité vérifier l’hypothèse d’innocuité et d’efficacité de cette procédure (qui ont, à tort, été présumées), se seraient donné les moyens de le faire. Il aurait fallu qu’on favorise les autopsies plutôt que de les interdire. Il aurait fallu qu’on mesure les niveaux circulants de troponines et qu’on anticipe les myocardites chez les adolescents. Il aurait fallu qu’on développe un test de détection de la protéine Spike (S) dans les tissus, le lait maternel et le sang. Il aurait fallu qu’on s’assure, voire qu’on encourage, la déclaration des effets secondaires indésirables par les médecins. Il aurait fallu bien d’autres moyens de surveillance active connus des nombreux experts hautement qualifiés de la Santé publique du Québec. Il aurait fallu également prendre en considération les études de Pfizer (Pfizer files)13 et celles de Christine Cotton[3]. Rien de tout cela n’a été fait.

Aussi, les experts de la Santé publique se devaient d’examiner et de suggérer des hypothèses explicatives aux nombreuses observations troublantes dont nous faisons ici état. En présence d’une nouvelle technologie vaccinale, aucune information ne devait être écartée, même si elle semblait menacer une conclusion préétablie ou une doxa dominante.

Comment les experts de la Santé publique du Québec ont-ils pu accepter la confusion entre la définition de « cas » et de « malades »? Des experts internationaux reconnus tels Laurent Toubiana et Christian Perronne ont souligné la nécessité de bien distinguer l’un de l’autre. Ainsi, on a obtenu des données de décès falsifiées par une mauvaise méthode de calcul[4] !

Le résultat voulu ou conséquent a été d’amplifier la menace posée par la COVID-19 et de terroriser inutilement une population captive, avec tout ce que cela implique. Combien de personnes décédées l’ont été en vain, de peur de se rendre à l’hôpital pour des maladies pourtant curables?  Au total, les décès découlant de la gestion de cette crise et de l’adoption d’une injection génique inédite et hasardeuse dépassent amplement ceux causés par la COVID-19, comme l’ont démontré de nombreux experts ayant témoigné à la CeNC. Au final, la pandémie déclarée, prise indépendamment des mesures adoptées, a entrainé une mortalité tout à fait comparable à celle de l’influenza.

Les experts de la Santé publique du Québec ne pouvaient ignorer la vaste base de données VAERS aux États-Unis[5], ni les 1 291 effets indésirables différents connus du fabricant[6] et révélés par la FDA au début de l’année 2021. Ces mêmes experts ne pouvaient ignorer les études des fabricants, réalisées notamment chez les enfants et les femmes enceintes, démontrant la dangerosité de cette vaccination ciblée.

Tout cela tend à démontrer que la Santé publique du Québec a été incapable de faire la preuve de sa compétence dans la mise en œuvre d’une intervention expérimentale à grande échelle.

Ces questions pourraient aussi être abordées lors de notre tournée du Québec, et votre avis et vos commentaires revêtent donc la plus haute importance.

Voici des directives gouvernementales, des politiques, des décisions, etc.  ayant eu pour but ou pour résultat de dissimuler, de confondre ou d’entraver l’analyse des effets de cette vaccination génique COVID-19 sur la population soumise à cette expérimentation :

  • Interdiction d’autopsies
  • Signature de contrats secrets (cachés à la population) avec des compagnies à but strictement lucratif[7] et au passé criminel[8].
  • Utilisation du test PCR, pourtant inadéquat pour le dépistage
    ® Ce test ne peut distinguer un génome viral entier, donc pathogène, d’un génome fragmenté inactif, sa fiabilité ne dépasse pas 20%[9] et finalement il ne distingue pas les différents coronavirus[10].
  • Aucune preuve scientifique solide, jusqu’à aujourd’hui, de l’innocuité de ce vaccin chez les femmes enceintes et leurs bébés.
    ® C’est une tragédie et un scandale que l’utilisation du vaccin ait été recommandée, voire imposée aux femmes avant, pendant et après la grossesse. Nous avons pris connaissance de l’étude Pfizer sur la vaccination génique des femmes enceintes[11]. Cette étude est déficiente au plan méthodologique et statistique, puisque seulement 348 patientes ont été recrutées alors qu’il fallait un minimum de 40 000 à 60 000 patientes pour détecter des effets secondaires graves[12]. Cette étude et ses résultats sont donc totalement inutilisables. Mais il y a plus. Les femmes enceintes et allaitantes ont toujours été exclues par Pfizer des essais cliniques de phases 1, 2 et 3. Le fabricant a toujours été très explicite quant à la nécessité d’étudier les effets secondaires à court et long terme de son produit chez les femmes enceintes et chez les fœtus. Or, les seules études animales dont nous disposons sont celles effectuées en France sur 44 rats durant 42 jours. Pour ce qui est des humains, la vaccination des femmes enceintes a été autorisée malgré les réserves du fabricant et on a observé, durant les 68 premiers jours (du 20 décembre 2020 au 28 février 2021) des fausses-couches, des avortements, des malformations congénitales, des morts fœtales, etc.[13] Comment le CMQ, dont la mission est la protection du public, a-t-il pu donner son aval et même promu la vaccination des femmes enceintes avec un produit expérimental à l’encontre du principe de précaution, à l’encontre de son propre code d’éthique, sans aucune base scientifique et contre les mises en garde du fabricant Pfizer lui-même?
  • Utilisation d’un test PCR à 35-45 cycles, alors que les recommandations internationales sont de 24 à 30 cycles.
    ®Cela a entrainé un énorme surdiagnostic faussant totalement les statistiques et nourrissant une peur injustifiée.
  • Statistiques gonflées diffusées dans les médias heure après heure
    ® Cela a généré de la peur dans la population et a entrainé une confusion entre le vrai et le faux.
  • Dissuasion de rapporter des effets indésirables vaccinaux
    ® Aucun effort n’a été fait de la part des directions de santé publique dans le but d’informer les médecins de leur obligation de rapporter les effets indésirables possibles de la « vaccination » COVID-19. Certaines déclarations ont été rejetées arbitrairement par les régies régionales, déclarations qui se trouvent ainsi soustraites du registre national. Parler des effets indésirables, même si on est médecin, est risqué et considéré tabou. Le témoignage d’infirmières d’Info Santé le confirme[14], tout a été fait pour dissimuler les effets indésirables afin de donner une illusion de sécurité à la population concernant les injections géniques.
  • Aucune campagne de communication pour informer le public de l’importance de faire des déclarations d’effets indésirables afin d’améliorer la pharmacovigilance
    ® Comment le CMQ et les autorités de santé peuvent-ils déclarer une rareté des effets indésirables graves[15] alors que c’est tout le contraire qui est observé dans des pays où la pharmacovigilance est effectuée plus sérieusement (par exemple la Finlande)[16] et [17]?
  • Aucun effort des laboratoires québécois (et canadiens), 3 ans après la pandémie, pour détecter la protéine spike, réputée toxique, dans les organes et tissus humains
    ® On ne sait toujours pas pendant combien de temps nos cellules continuent à produire la protéine de pointe après l’injection. On sait cependant qu’elle est détectable dans le sang plus de 2 ans après l’injection.
  • Aucun effort pour détecter les myocardites chez les adolescents vaccinés
    ® Combien y-a-t-il d’adolescents victimes de séquelles cardiaques permanentes post-vaccination? Les statistiques à ce sujet sont non publiées ou dissimulées. D’après une étude sur une cohorte nordique, les risques d’avoir une myocardite post-vaccinale chez les jeunes peuvent être multipliés par plus de 20[18]. Une autre étude réalisée par des chercheurs suisses montre que le nombre de myocardites dans les jours suivant l’injection est beaucoup plus élevé que ce l’on pouvait penser[19]. Les auteurs le situent à 2,8%, soit à 1 chance sur 36. On est loin des taux de 1 sur 10 000 ou 100 000, avancés sans aucune preuve par les autorités dans les mois suivant les débuts de la « vaccination ». Et contrairement à ce qu’ont dit les « experts » invités sur les plateaux télé ou dont les propos ont été rapportés dans la presse, avoir une myocardite est loin d’être « bénin » sachant que cela a un impact sur l’espérance de vie. Ainsi, selon le NIH (National Institute of Health), le taux de mortalité suivant une myocardite est de 20 % un an après l’évènement et de 50 % au bout de cinq ans[20].
  • Tentative de la FDA de retarder de 75 ans la publication de 1 291 effets indésirables vaccinaux bien identifiés lors des études humaines préliminaires de Pfizer[21]
    ® Il a fallu un ordre de cour pour en forcer la publication. Malgré cette publication, le gouvernement du Québec a continué de parler d’un vaccin « sûr et efficace ». Idem avec les données de Moderna, que la compagnie voulait rendre publiques dans 25 ans (on parle ici des effets indésirables qu’ils avaient trouvés dans leurs essais cliniques) et qu’une demande d’accès à l’information nous a récemment révélées.
  • Refus de la FDA de dévoiler le résultat des autopsies réalisées chez des personnes décédées à la suite d’une injection génique.
  • Dissimulation par la FDA des effets cardiaques de cette vaccination génique et des morts subites post-injection chez les jeunes Américains[22].
  • Autres informations dissimulées par Pfizer[23].

Voici quelques observations et informations qui doivent être prises en compte et étudiées par la Santé publique dans le cadre de cette expérimentation

  • Augmentation de 300% des morts subites chez les footballeurs de la FIFA après la « vaccination », si on compare aux 12 années précédentes[24]
  • Augmentation des morts subites dans tous les groupes de population hautement vaccinés (policiers, pompiers, pilotes d’avion, médecins etc.)[25].
  • Quatre fois plus d’avortements et de mort-nés rapportés au VAERS avec l’injection COVID-19 que ceux rapportés par tous les autres vaccins combinés depuis 33 ans[26].
  • Plus d’effets secondaires rapportés au VAERS avec l’injection COVID-19 que ceux rapportés pour tous les autres vaccins depuis 33 ans26.
  • Mortalité accrue de 50% chez les personnes vaccinées âgées de moins de 50 ans comparativement aux non-vaccinés[27] et explosion de la surmortalité chez les 0-49 ans[28]
  • Autopsies qui démontrent que l’injection COVID-19 cause la mort[29]
  • Injection proposée contre le coronavirus pour l’automne 2023 périmée[30] et [31]
    ® L’immunité naturelle acquise, la meilleure immunité qui soit, est généralisée dans la population, ce qui rend le vaccin proposé inutile, voire dangereux. À noter que même le Dr Gaston De Serres, membre du CIQ et médecin-conseil à l’INSPQ, a reconnu du bout des lèvres la supériorité de l’immunité naturelle sur les vaccins, en accord avec la littérature scientifique. Paradoxalement, ce même Dr De Serres encourageait la vaccination de masse sans se préoccuper de leur immunité naturelle.
  • Interdiction pour les médecins du Québec d’émettre des exemptions basées sur des considérations de santé personnelles.
    ®Aux États-Unis, Rochelle Walensky, directrice démissionnaire du CDC a affirmé que les Américains devaient baser leurs décisions sur leurs risques personnels et non sur des avis influencés par la politique[32].
  • Statut vaccinal inconnu des personnes atteintes de « covid long »[33], [34] et [35]
  • Éthique, bioéthique, incitation des enfants à se faire vacciner par la distribution de crème glacée, de billets de loto ou autres. Ostracisation des enfants non « vaccinés » dans les écoles.
    ® Il est pourtant interdit par le code de Nuremberg et par tous les codes de déontologie médicale de faire la promotion d’un produit expérimental[36] et [37]! Il est aussi illégal d’user d’« éléments de force », de « contrainte » ou « d’autres formes sournoises de coercition ». Tout cela a été confirmé lors de la Déclaration d’Helsinki adoptée en 1964 et dont le Canada est signataire.
  • Comment l’expérimentation au cours de cette crise COVID s’inscrit-elle dans l’histoire de l’expérimentation médicale humaine[38]?
  • Essai clinique inquiétant de Pfizer chez les femmes enceintes[39]
  • Dommage au système immunitaire par la technologie ARNm COVID-19[40]
  • Morts subites chez les enfants[41]
  • Augmentation de la notification des maladies à prions[42]?
  • Augmentation apparente de la mortalité post- « vaccin » COVID-19 avec l’âge
    ® Plus on est âgé, plus le « vaccin » COVID-19 semble mortel, ce qui signifierait que le vaccin ne serait non pas protecteur, mais plutôt dangereux chez les personnes âgées[43].
  • Multiples signaux de sécurité du VAERS (769)[44] qui, chacun pris individuellement, aurait dû commander l’arrêt immédiat de l’utilisation des injections COVD-19 selon les normes reconnues et appliquées dans le passé[45] et [46].
  • Qualité disparate des contenus des vials[47]
    ® Un tiers des vials semblent se comporter comme des placébos selon une étude danoise[48].
  • Disparité et failles de fabrication du produit vaccinal génique.
    ® Les vials contiennent de l’ADN plasmidique susceptible de transformer les cellules humaines en usines de protéines de surface S toxiques à long terme. Cela pourrait augmenter la propension des injections à produire des effets secondaires à long terme[49] et [50].
  • Danger d’altération du génome humain par la technologie ARNm malgré qu’on ait prétendu le contraire en l’absence de toute étude de génotoxicité par le fabricant[51] et [52]
  • Morts subites d’athlètes hautement vaccinés[53]
  • Augmentation de la vulnérabilité et de la contagiosité en fonction de l’augmentation du nombre de doses reçues, ce que Pfizer savait[54]
  • Données épidémiologiques qui indiquent une pandémie des vaccinés. Edward Dowd[55].
  • L’efficacité absolue d’un produit, indispensable en science, donne un tableau très différent que l’efficacité relative annoncée par les fabricants.[56].
  • Plusieurs pays dont Israël ne vaccinent plus les enfants pour des motifs dont il faut tenir compte [57].
  • Connaissance, par Pfizer, du fait que son produit causait des fausses couches et des avortements[58] et [59]
  • Immunité naturelle meilleure que l’immunité vaccinale
    ® Qu’on ait prétendu le contraire est malhonnête et va à l’encontre de toute science. Lancet[60] et [61].
  • L’excès de mortalité chez les japonais est très important bien qu’ils soient parmi les plus vaccinés au monde.[62] et [63]?
  • On a retrouvé de l’ARNm dans le lait maternel. Les implications de ceci ne peuvent être négligées. JAMA[64].

Affirmations trompeuses, faussetés, absence de transparence, le tout en violation du principe de consentement libre et éclairé:

  • Vacciner les enfants pour protéger les adultes : la vaccination ne protège nullement contre la transmission. Ce ne sont pas les enfants qui transmettent l’infection aux adultes mais plutôt l’inverse. Cette affirmation faite par le premier ministre lui-même est la plus grande violence qu’on puisse imaginer contre les enfants qui sont les victimes innocentes de cette tragédie. Qui a conseillé le premier ministre ? Il n’y a aucune science dans cette affirmation.
  • Le passeport vaccinal est nécessaire. En réalité le passeport vaccinal est inutile et dangereux : la vaccination n’empêche pas la transmission et plus on est vacciné, plus on est à risque d’être atteint de la COVID-19 (étude de Cleveland). Ainsi le passeport vaccinal devient une mesure qui accélère la transmission de l’infectio Étonnamment, les fabricants n’ont jamais étudié la question de la transmission bien que les autorités sanitaires internationales se soient donné l’objectif d’atteindre d’une immunité de masse. Le passeport vaccinal était donc une imposture.
  • Il est faux d’affirmer que le vaccin est « sûr et efficace». Une efficacité négative du vaccin a même été démontrée. Il n’y a jamais eu d’épidémie de non-vaccinés. Celle-ci a été créée de toutes pièces en classant comme « non-vaccinés » les personnes vaccinées depuis moins de 14 jours, alors que le pic des effets indésirables se situe durant cette période.  On constate par contre une épidémie de vaccinés. Il s’agit du « vaccin » le plus dangereux de l’histoire des vaccins selon tous les systèmes internationaux de détection des effets indésirables (Eudravigilance, Yellow card, VAERS, etc.) et celui ayant déclenché le plus grand nombre d’alertes de sécurité.
  • Dire que le vaccin COVID-19 est un « vaccin comme les autres » est faux et volontairement trompeur. Il s’agit d’une thérapie génique selon la définition même de la FDA. Les effets indésirables anticipés par la FDA en 2020 sont ceux des thérapies géniques. Les effets indésirables observés par tous les systèmes de détection sont ceux des thérapies géniques. Le protocole du fabricant utilisé pour les études humaines est celui d’une thérapie génique. Que les pharmaceutiques aient changé la définition du vaccin dans le dictionnaire Webster pour assimiler lexicalement ce produit à un vaccin n’y change rien. Si, au final, le but est de créer des anticorps et une mémoire immunitaire, la méthode pour y arriver (faire produire la protéine de pointe par nos cellules) n’a rien à voir avec les vaccins « traditionnels ». L’objectif de la fabrication d’anticorps IgG par l’injection génique est incohérente avec une Infection respiratoire virale qui transite par les voies muqueuses.
  • Il est faux d’affirmer que la balance bénéfice-risque du vaccin COVID-19 est favorable. Les institutions qui ont rédigé des avis favorables ont exclu tous les effets indésirables survenant dans les deux semaines post-injection génique, elles ont systématiquement ignoré les effets indésirables à long terme et elles ont également ignoré les données internationales de notification des effets indésirables. Les blessures, les décès et les effets indésirables graves de ce produit résultent en une balance bénéfice-risque défavorable pour tous les âges.
  • Dire que le produit vaccinal (génique) demeure au site d’injection (muscle deltoïde) est une affirmation trompeuse. Pfizer savait depuis 2013 qu’un produit à ARNm se diffusait dans tous les organes. Les spécialistes de santé publique du Québec ne pouvaient ignorer qu’il s’agissait d’un mensonge adressé à une population apeurée.
  • La transmission de la COVID par des personnes asymptomatiques est un mensonge. A-t-on pensé aux effets sociétaux et relationnels désastreux d’une telle affirmation mensongère absente de tous les traités d’infectiologie? Ou était-ce voulu? C’est par la toux et les sécrétions que les infections virales respiratoires se propagent. Que chacun se méfie de l’autre n’est pas anodin. C’est l’effet recherché par certaines sociétés non démocratiques.
  • Affirmer que l’immunité vaccinale est meilleure que l’immunité naturelle est faux et frauduleux. Ce mensonge a été relayé par les plus hautes autorités au mépris de toute science. Les personnes vaccinées sont plus infectées par le SARS-CoV-2 que les non- vaccinées, et ce, en proportion du nombre de doses reçues. Les personnes vaccinées meurent plus de la COVID et sont plus à risque d’hospitalisation et de séjour aux soins intensifs. Les propres données de Santé Québec le montrent. L’immunité clonale, fragmentaire et évanescente conférée par ce produit génique contre une seule des protéines du virus SARS-CoV-2, n’est en aucune mesure comparable à l’immunité naturelle globale et au long cours du système immunitaire de l’homme.
  • Affirmer que le vaccin génique réduit les décès dus au virus est également faux. Cette thérapie ne réduit pas les décès dus à l’infection COVID-19. Au contraire, des données obtenues grâce à une demande d’accès à l’information montrent que davantage de vaccinés décèdent de la COVID que de non-vaccinés. Que révèlent les données des décès toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal?[65] et [66]

Informateurs, désinformateurs et vice-versa

Les décrypteurs, souvent illettrés en science, les Tik Tok de ce monde et tous ceux qui ont claironné les slogans de propagande énumérés ci-dessus, ont tenu le haut du pavé durant toute la durée de cette crise. C’était les bienpensants, ceux qui définissaient une nouvelle science, virtuelle, qui se passe volontiers de toute controverse.

Au sein de la population, on trouve aussi ces citoyens et ces travailleurs qui ont compris instinctivement le principe de précaution pour eux-mêmes et pour leurs proches. Ils ont subi les pires outrages. Ils ont été ostracisés et traités d’antisociaux et ont subi des pertes financières considérables.

On trouve également ces mères qui ont protesté contre la vaccination forcée des enfants; celles-là mêmes qu’on a matraquées par une loi spéciale votée le 23 septembre 2021 à toute vapeur par l’Assemblée nationale du Québec[67].

En dernier lieu on trouve ces centaines de victimes fragilisées et brisées dans leur corps et leur âme. Celles d’entre elles qui désirent se prévaloir du « Programme d’indemnisation des victimes d’une vaccination », programme inscrit dans la loi sur la santé publique (LSP), et ne peuvent le faire, car les médecins terrorisés par le climat de censure et craignant de perdre leur licence de pratique, se désistent, se taisent et refusent de les défendre.

Le CMQ a définitivement établi son camp parmi les bienpensants. Il a vilipendé les personnes non vaccinées, contrevenant ainsi au principe d’égalité de traitement.

Aujourd’hui, les multi-vaccinés travailleurs de la santé, immunodéprimés par ces produits, sont plus à risque d’infection et plus susceptibles de propager le virus. Du point de vue du patient, être soigné par un non-vacciné est nettement plus sécuritaire.

Quelle leçon le CMQ tire-t-il de cette expérience, plutôt gênante aujourd’hui et pour l’avenir?

Conclusion

 Tirer les leçons qui s’imposent

 Nous sommes témoins du plus grand scandale médical de l’histoire de la médecine moderne. Les officiers du CMQ n’ont pas le droit de baisser les bras devant l’ampleur de la tâche. Leur mandat est de servir le public en tout premier lieu. Pour ce faire, ils doivent se libérer de l’influence des firmes de consultants (ex. : McKinsey) ainsi que des compagnies pharmaceutiques dont les activités criminelles sont intégrées dans leur plan d’affaires. La gouvernance doit être totalement revue.

L’utilisation d’un produit génique comportant des risques gravissimes et n’ayant jamais été utilisé chez une population saine, administré à l’humanité entière, aura été un succès commercial, certes, mais une mésaventure médicale innommable.

L’instabilité de ce produit à ARNm in vivo et in vitro, couplée à des déficiences de production majeures dans les différents lots, sont notoires et documentés. La présence d’ADN plasmidique et de microARN dans les vials (dont le contenu est considéré « secret commercial » avec interdiction d’analyse) soulève des doutes de génotoxicité et des risques à long terme tout à fait légitimes.

La distribution tout à fait aléatoire de ces produits dans le corps humain, l’impossibilité d’une posologie fiable, la présence non étudiée de l’ARNm et de la protéine Spike dans le placenta et dans tous les organes, incluant les ovaires, le cerveau et le lait maternel, l’impact inconnu de ces substances toxiques pour le fœtus et ses organes, ajoutent à l’indicible arrogance de cette aventure vaccinale.

Le cumul des affirmations qu’on savait erronées et qui ont plutôt été présentées comme des certitudes, le nombre d’observations qui démontrent l’échec des prétentions associées à cette injection génique expérimentale, son efficacité négative, sa toxicité, le rapport bénéfice-risque nettement défavorable pour tous les âges (si l’on tient compte de la surmortalité et des effets indésirables au long cours), les effets sociétaires immenses en termes de détresse psychologique notamment chez les enfants et adolescents, les scissions dans les familles imposent l’ordonnance d’un arrêt immédiat de l’utilisation de la plateforme à ARNm ainsi qu’une réflexion en profondeur.

 RECOMMANDATIONS

Le CMQ doit, en tout premier lieu, recommander l’interdiction, à l’instar de plusieurs pays, de l’utilisation de vaccins géniques à ARNm chez les enfants et les femmes enceintes.

Il doit également recommander la tenue d’une enquête publique indépendante sur cette pandémie déclarée et sur sa gestion au Québec. Le CMQ devrait constituer un groupe de travail composé de professionnels intègres et libres de tout conflit d’intérêts. Nous avons déjà offert notre appui à cet égard et nous réitérons notre offre.

Ces produits de thérapie génique ont surtout des effets indésirables tardifs, qui surviennent au-delà de la période stricte de 6 semaines considérée par l’INSPQ, tels que maladies dégénératives, immunosuppression, cancers, maladies cardiaques, morts subites, etc. Toutes ces complications avaient été prévues par un comité CBER de la FDA en 2020[68] et ont été constatées dans les études chez les humains effectuées par les fabricants. Ces effets indésirables tardifs sont systématiquement ignorés par les organismes qui maintiennent leur avis d’une balance bénéfice-risque favorable.

Nous nous opposerons à l’avis du CIQ qui recommande des doses de rappel cet automne, même pour les enfants âgés de 6 mois. Nous nous y opposerons pour tous les motifs déjà énumérés lors de nos communications; motifs qui n’ont d’ailleurs pas été réfutés.

Le CIQ ne recommande pas de vérifier le statut immunitaire des personnes qu’on souhaite injecter, alors que la grande majorité de la population est déjà naturellement immunisée. Par conséquent, le produit proposé contraindra le virus à accélérer ses mutations. La propension exceptionnelle de ce virus à muter spontanément devant toute contrainte est connue depuis plus de 50 ans et on a conclu depuis toujours à la futilité de la fabrication d’un vaccin contre le rhume et le coronavirus. L’expérience de cette crise COVID-19 le confirme.

Comme nous l’avions souligné aux directeurs du CMQ, cette vaccination génique est totalement injustifiable pour les enfants et pour les femmes enceintes, ne serait-ce que sur les plans éthique et déontologique. Même les juristes de Nuremberg n’avaient pas fait de provision dans la rédaction de leur traité pour le cas des enfants et des femmes enceintes.

Il était impensable pour ces juristes qu’un jour on puisse expérimenter chez eux un produit potentiellement toxique, potentiellement stérilisant, totalement inconnu, ne disposant d’aucune donnée de bio-distribution, de génotoxicité ou de carcinogénicité. Cela a pourtant été fait.

Nul doute qu’un jour, des juristes étudieront cette question. Des milliers de recours légaux ont été intentés aux États-Unis seulement, et des actions légales contre des ordres professionnels, contre la FDA, les CDC et l’OMS ont également été entreprises. Au Japon, c’est le gouvernement qui fait l’objet d’une poursuite. En Australie, un pays avec un fort taux de vaccination COVID, les dirigeants de Pfizer et de Moderna font l’objet d’une enquête sénatoriale.

Si le CMQ entretenait encore des doutes sur les souffrances immenses infligées par le vaccin génique et sur les milliers de décès découlant de la gestion de cette pandémie, s’il entretenait des doutes sur la mortalité qui a suivi de près la vaccination (et non pas les vagues de variants), alors il se devrait d’écouter les témoignages sous serment de la CeNC. Le fait que cette commission d’enquête, financée entièrement par des citoyens, ait été volontairement ignorée par les médias de masse pourtant informés de la tenue de cet évènement et invités à y assister, n’enlève rien à leur valeur exceptionnelle et historique. À l’opposé, ce déni volontaire est la signature d’un malaise éprouvé par les acteurs de ce drame, qui ont de plus en plus de difficulté à contenir une réalité émergente qui n’a plus rien de virtuel.

Si le CMQ était en désaccord avec nos affirmations et notre campagne d’information qui a pour but de « donner à la population une information libre et éclairée sans menace ni contraintes », droit dont elle a été privée, alors il a l’obligation de nous faire part de ses objections.

Nous vous avons proposé une explication, abondamment documentée et qui a l’avantage d’expliquer l’ensemble des observations entourant cette crise sanitaire COVID-19. Nous vous invitons à ne pas laisser un seul arbre (ou une seule étude) nous cacher la forêt entière. Ainsi, si l’explication proposée que nous avançons concernant la toxicité du vaccin génique à ARNm ne vous satisfaisait pas, il faudra nous présenter une autre explication qui ne cherche pas à se conformer à une conclusion préétablie, mais qui embrasse du regard l’ensemble des preuves existantes sans exclusion aucune.

Nous demandons donc instamment au CMQ de nous signifier sans ménagement, preuves à l’appui, toute affirmation qu’il jugerait fausse. Nous aimerions également que le CMQ nous fournisse les études qui montrent que les injections empêchent la contamination, la transmission et les formes graves, ainsi que leur innocuité pour les jeunes, les enfants, les femmes enceintes et leurs bébés. Il peut, pour ce faire, demander les avis qu’il jugera nécessaires.

Lorsqu’on représente une institution aussi vénérable que le CMQ, on ne peut plaider l’ignorance. La responsabilité du CMQ et de tous les ordres professionnels qui ont incité la population du Québec à recevoir ce produit de thérapie génique expérimental en laissant croire qu’il s’agissait d’un « vaccin comme les autres » reste à être établie.

Sa responsabilité morale, quant à elle, est entière, immédiate et inéluctable.

Finalement, il est essentiel de libérer la parole des professionnels. Les professionnels ne devraient pas être harcelés et on ne devrait pas leur interdire d’émettre une opinion basée sur la science. Qu’il soit nécessaire de le souligner est une aberration en soi. Tous les ordres professionnels doivent dès maintenant lutter contre la propagande et permettre à leurs professionnels de s’exprimer librement. Il en va de la confiance du public envers ses institutions et, plus largement, de notre vie démocratique.

Anticiper le futur

Le CMQ, qui a été un acteur principal dans la promotion de cette « vaccination » génique, doit se tourner vers le futur. Il doit, à l’instar de tous les ordres professionnels, saisir toute la portée des politiques envisagées par l’ONU et l’OMS.

Alors que les bénéfices générés par les injections anti-covid n’ont pas de base scientifique, les compagnies sont impatientes de se positionner afin d’avoir leur part de bénéfices futurs.  Plus de 500 vaccins ARNm sont en préparation.

 Si le traité international sur les pandémies de l’OMS est adopté comme prévu en 2024, alors cette Organisation pourrait devenir la seule gestionnaire des crises sanitaires et la responsable de leur déclaration, de leur maintien et de leur résolution. Les gouvernements seront alors réduits au rôle d’exécutants. La population ne sera alors plus représentée par des personnes élues, mais par des personnes aux intérêts privés menaçant les intérêts publics (n’oublions pas, par exemple, l’influence prépondérante de Bill Gates sur l’organisation, puisqu’il en est le premier donateur (via la Fondation Bill et Melinda Gates et Gavi).

Le concept élargi de santé globale de l’OMS fera en sorte qu’une urgence sanitaire pourra être déclenchée à partir de préoccupations environnementales, éducatives, vétérinaires, agroalimentaires etc.

 

Que fera le CMQ?

 

Il a le choix.

Continuera-t-il de se soumettre aveuglement et sans aucun regard critique aux directives de la Santé publique et du gouvernement, même si elles vont à l’encontre de ses obligations éthiques et déontologiques ?

Continuera-t-il de recommander la vaccination des femmes enceintes, alors que le fabricant lui-même ne le recommande pas et que le nombre de fausses-couches rapporté dans la base de données VAERS atteint des niveaux alarmants ?

Recommandera-t-il toujours la vaccination des travailleurs de la santé sachant que les triples et quadruples vaccinés sont plus contagieux que les non-vaccinés (étude de Cleveland)?

Continuera-t-il à soutenir le passeport vaccinal dont on a pourtant prouvé la contre-productivité?

Entretiendra-t-il un lien de dépendance envers le politique? Acceptera-t-il d’être le serviteur docile d’une santé publique politisée?

Se soumettra-t-il à des liens de dépendance et aux influences malsaines de l’industrie pharmaceutique ainsi que de celles des firmes de conseil comme McKinsey?

Ou…

Choisira-t-il plutôt la protection du public et la défense de sa mission? La défendra-t-il bec et ongles, le cas échéant?

Alertera-t-il les autorités et la population sur tous les « vaccins » géniques utilisant une plateforme à ARNm, sachant qu’il s’agit de produits de thérapie génique, que ce sont des produits ne répondant à aucune norme pour ce genre de produits, comme l’a prouvé leur utilisation durant la crise COVID-19?

S’abstiendra-t-il de toute promotion de ces produits à ARNm au contenu imprévisible d’un lot à l’autre, à la distribution biologique totalement aléatoire d’une personne à l’autre et dont la composition demeure inconnue, bien qu’administrés à l’humanité entière?

Reconnaîtra-t-il que la marchandisation de la médecine et la politisation de la santé ont forcé le sacrifice de pans entiers de l’éthique et de la déontologie médicale et ont mené à la situation actuelle? Corrigera-t-il la situation ?

Le CMQ est probablement devant le plus grand défi de son histoire. Il doit réaffirmer les valeurs millénaires qui ont encadré la pratique de la médecine et fait la noblesse de cette profession au cours des siècles. Il doit réaffirmer la mission première de la médecine qui est d’œuvrer au bien-être du patient en dehors de toute interférence économique, financière, politique ou autre.

L’abolition de facto du serment d’Hippocrate, du principe de précaution, du droit à un consentement libre et éclairé et du droit de refus durant cette pandémie déclarée est un sacrilège. Ces principes doivent être restaurés dans les plus brefs délais.

Veuillez noter qu’un silence de votre part sera considéré comme une reconnaissance de la justesse de nos propos.

Le souci de protection de nos enfants, de nos familles, des personnes démunies, de notre société démocratique menacée et de ses institutions est la plus noble des motivations qui soit. Si vous jugez que nos recommandations ne sont pas justifiées, si vous jugez qu’aucun débat n’est nécessaire, nous le déplorerons mais nous ne cesserons pas de promouvoir ces valeurs qui sont l’essence même de la mission du CMQ.

Cordialement,

René Lavigueur, MD; Snezana Stanojlovic, MD; Simon Ruelland, MD; Mario Giroux, MD; Alain Roux, MD; Dr Jacqueline Magny, MD; Euridice Prado, DDS, Ph.D.;

Robert Béliveau, Méd. retraité; Danielle Fisch, Méd. retraité; Jean St-Arnaud, Méd. retraité; Anne Marie Begué Simon, Méd. retraité;

Bernard Massie, PhD; Christian Linard, PhD; Patrick Provost, PhD; Paul Héroux PhD.

 

Cosignataires (584)

 

  • Gaétan brouillard, médecin retraité
  • Barry Breger, médecin retraité
  • Marie-Josée Dubois, médecin
  • Damien Chaveron, médecin Anesthésiologiste
  • Gilles Genest, médecin retraité
  • Richard Vallée, pharmacien retraité
  • Michel de Maupeou, médecin retraité
  • Michel Robillard, médecin retraité
  • Marianne Hébert, médecin vétérinaire retraitée.
  • Donna Flynn, Medical Laboratory Technologist, retired
  • Franck Hugbéké, dentiste
  • Diane Leroux, dentiste
  • Jean Laurendeau, infirmier autorisé
  • Mathieu Simard, infirmier auxiliaire
  • Patrick Dodier, infirmier clinicien
  • Guy Racine, infirmier de première ligne
  • Ada Sturzu, infirmière
  • Lucie Asselin, infirmière
  • Myriam Levesque, infirmière
  • Maryse Landry, infirmière
  • Micheline Darius, infirmière
  • Marie-Claude Allard, infirmière à la retraite
  • Helene Bussières, infirmière retraitée
  • Lisette Guay, infirmière auxiliaire retraitée
  • Francine Ledoux, infirmière ASI
  • Réjeanne Marois, infirmière autorisée
  • Karine Dorais, infirmière aux en neurochirurgie
  • Pierre MJ, infirmier
  • Patricia Forget, infirmière
  • Julie Morissette, infirmière
  • Nathalie Ricloux, infirmière clinicienne
  • Julie Arsenault, infirmière auxiliaire retraitée
  • Manon Lainesse, infirmière Clinico
  • Danielle Bourgeois, infirmière retraitée
  • Hélène Plamondon, infirmière retraitée
  • Carole Laurendeau, infirmière retraitée
  • Annie Lavoie, infirmière auxiliaire
  • Diane Albert, infirmière clinicienne
  • Sophie Major, infirmière clinicienne
  • Elisabeth-Anne Hains, infirmière clinicienne
  • Caroline Simard, infirmière clinicienne
  • Gabriela Lucaciu, infirmière première assistante en chirurgie
  • Christine Groleau, infirmière retirée du travail
  • Nancy Pelletier, infirmière retraitée
  • Lucie Rochette, infirmière retraitée
  • Gisèle Proulx, infirmière retraitée
  • Francine Brien, infirmière retraitée
  • Manon Landry, infirmière retraitée
  • Nicole Roy, infirmière retraitée
  • Carole Plamondon, infirmière retraitée
  • Francine Dufort, infirmière retraitée
  • Sylvie Tremblay, infirmière retraitée
  • Louise Bisson, infirmière retraitée
  • Paule Desgagné, infirmière retraitée
  • Carole Dionne, infirmière retraitée et hypnothérapeute
  • Alexandra Duclos, acupunctrice
  • Vanessa Bernier, adjointe administrative
  • Josee Roy, adjointe administrative
  • Fabienne MARTINO, adjointe administrative
  • Evelyne Therrien, adjointe administrative, traductrice
  • Chantal Belanger, adjoint bureau poste canada
  • Isabelle Joly, adjointe administrative
  • Line Anne Labelle, agente administrative
  • Raymond-Louis Laquerre, administrateur
  • Jocelyn Richard, agent correctionnel
  • Patricia Cyr, agente administrative
  • Melinda Fournier, agente administrative
  • Line Anne Labelle, agente administrative
  • Mélanie Berthiaume, agente administrative
  • Nancy Bouchard, agente correctionnelle
  • France Paré, agente d’aide socio-économique
  • Patricia Martel, agente de bureau
  • Nadia Castanha, agente de bord
  • Camille Picard, agent de bord
  • Sylvie Loiselle, agente de bord
  • France Beauregard, agent de bord
  • Nadia Pasinato, agente de bord
  • Luc Grenier, agriculteur
  • Karl Gagnon, agriculteur
  • Véronique Budry, agricultrice
  • Réjean Villeneuve, agriculteur
  • Raymond Schmidt, aidant naturel
  • Sylvie Cloutier, aide personnelle à domicile
  • Sylvie Laprise, analyste en informatique
  • Alain Vicet, analyste programmeur
  • Josée Demers, ancienne aide de service
  • Ninon P Poisson, ancienne infirmière – naturopathe
  • Louis Desrochers, architecte
  • Denis Clermont, architecte
  • Katia Stoimenova, architecte
  • Guillaume Dufour, architecte logiciel
  • Michèle LaPalme, archiviste médicale retraitée
  • Carole Laplante, archiviste médicale, retraitée
  • Marie Julien, archiviste médicale retraitée
  • Catherine Robitaille, assistante en redressement et insolvabilité
  • Jean sylvestre, artiste et ébéniste
  • Hélène Perron, artiste et thérapeute
  • Diane Boulet, artiste peintre
  • Francine Paquin, artiste-peintre
  • Marie-France Thompson, assistante administrative
  • France Clermont, ASSS
  • Jean-Yves Nantel, artisan
  • Louise Readman, biotechnicienne retraitée
  • Guy Nantel, biochimiste retraité
  • Benoît Champagne, biologiste
  • Robert Ducharme, biologiste (Physiologie-Biochimie) retraité.
  • Jean-Pascal Vesin, biologiste de formation, enseignant de yoga
  • André Fortin, boulanger
  • Robert Dupuis, camionneur
  • Jean François Viens, camionneur
  • Michel Berry, camionneur entrepreneur
  • Linda Poulin, carrossière
  • Benoit Paquin, chargé de cours collégial et universitaire (retraité)
  • Anne-Hélène Jutras, chargée de cours, Université de Montréal
  • Amélie Caya Houle, chargée de projets numériques
  • Georgi Lazarov, chimiste-coordonnateur-service d’analyses
  • Louise Marcotte, chiropraticienne
  • Isabelle Ayers, chiropraticienne
  • Lucie Gagnon, chiropraticienne
  • Gemma Deschenes, coach conscience
  • André Fleury, coiffeur technicien capillaire
  • Julie Dion, coiffure et massothérapie
  • Cathy Goguen, coiffeuse
  • Caroline Laflamme, col bleu / anciennement éducatrice en CPE
  • Alexandre Belanger, commerçant de voiture d’occasion
  • Line Madore, commis administratif secteur finances
  • Euridice Prado, DDS, Ph.D.
  • Fabrice Roy, comptable
  • Denis Laferrière, conseiller financier
  • Diane Dupuis, conseillère en alimentation
  • Carole Sallafranque, conseillère en emploi, retraitée
  • Catherine Fontaine, conseillère en médecines naturelles
  • Helene Gonella, conseillère en relation d’aide
  • Carole Tremblay, conseillère en santé naturelle
  • Agathe Amyot, conseillère en voyages
  • Stéphanie Boucher, conseillère pédagogique
  • Valérie Lagacé-Leboeuf, conseillère pédagogique, en petite enfance
  • Lucien Koty, consultant
  • Jiad Awad, consultant
  • Mario Saint Laurent, consultant
  • Denis Piotte, consultant – amélioration continue
  • Patrick Vesin, consultant gestion du stress
  • Sylvain Bouchard, consultant santé et sécurité au travail
  • Marie Garant, consultante
  • Josée Lacourcière, consultante
  • Isabelle Carrier, coordonnatrice Amélioration continue et Qualité
  • Rémy Blais, courtier immobilier
  • Marjorie Rhéaume, courtière immobilière
  • André Lajoie, DC Dr en chiropractie
  • Louis Lachance, directeur de production audio pour le groupe ADA, musicien, compositeur
  • Jonathan Fisette, directeur en automatisation
  • Ricardo Savard, directeur technique (art)
  • Isabelle Limoges, directrice des achats
  • Josée D’Avignon, directrice recherche et développement
  • Sylvie Brien, écrivaine et conférencière
  • Denis Manseau, éditeur (retraité)
  • Daniel Sterl, éducateur canin
  • Maya Sifaoui, éducatrice
  • Amélie Veilleux, éducatrice
  • Nancy Harel, éducatrice Centre de la petite enfance
  • Marylene Lanois, éducatrice qualifiée
  • Caroline Sauvageau, éducatrice spécialisée
  • Geneviève Ratte, éducatrice spécialisée
  • Julie Leclerc, éducatrice spécialisée
  • Guylaine Thibodeau, éducatrice spécialisée
  • France Fortier, éducatrice spécialisée
  • Josée Bellemare, éducatrice spécialisée
  • Brigitte Neiderer, éducatrice spécialisée
  • Éric Dubé, éducateur spécialisé
  • Karine Wagner, éducatrice
  • Isabelle Robitaille, éducatrice
  • Celine Bourgeois, éducatrice scolaire
  • Line Labonté, éducatrice spécialisée
  • Leonard Archambault, électricien à la retraite
  • Hélène Mathieu, électromécanicienne
  • Lucie Dumais, électricienne
  • Paul Bourassa, électromécanicien
  • Guillaume Comeau, entrepreneur
  • Éric Leclair, enseignant
  • Gilles Couture, enseignant
  • Sylvain Caron, enseignant au primaire
  • Daniel Demers, enseignant retraité
  • Mona Iordache, enseignante
  • Nadine Sirard, enseignante
  • Luce Desgagné, enseignante
  • France Dolbec, enseignante
  • Pascale Demers, enseignante
  • Manon Goulet, enseignante
  • Castonguay Marilou, enseignante
  • Nina Lukova, enseignante
  • Martine Marcheterre, enseignante
  • Linda Gagné, enseignante
  • Marie Corbeil, enseignante
  • France Courchesne, enseignante retraitée
  • Jocelyne Lamothe, enseignante (retraitée) et aidante naturelle
  • Claudine Jouny, enseignante en soins infirmiers
  • Sylvie Lessard, enseignante retraitée
  • Louise de La Bruère, enseignante retraitée
  • Manon Bolduc, enseignante retraitée
  • Johanne Caron, enseignante retraitée
  • Gérald Lafleur, entomologiste
  • Christophe Courteval, entrepreneur
  • Dany Leclerc, entrepreneur
  • Stéphane Roy, entrepreneur
  • Olivier Régnière, entrepreneur général
  • Jean-Gabriel Suzeau, entrepreneur immobilier
  • Nathalie Raymond, entrepreneure
  • Marie-Eve Moïse, entrepreneure
  • Martin Rioux, entrepreneur
  • James David, entrepreneur
  • Renato Pasinato, entrepreneur général
  • Geneviève Calvé, entrepreneure
  • Genève Audet, entretien ménager.
  • Nathalie Fontaine, ergothérapeute
  • Isabelle Dion, esthétique
  • Charles Rainville, étudiant finissant en sexologie
  • Gisanne Valcourt, étudiante
  • Ginette Cyr, étudiante en ayurvéda
  • Nicole Fleury, femme à tout faire
  • Clément Poisson, fiscaliste
  • Élisabeth Bourgault, future éducatrice spécialisée
  • Dominique Teufel, géographe
  • Mathieu Sauvageau, gestionnaire
  • Marie-France Lacoste, gestionnaire
  • Emmanuèle Bompard, gestionnaire
  • Veronica Zuniga, herboriste
  • Liza Rodrigue, herboriste traditionnelle
  • Johanne Caron, homéopathie
  • Christian Calvé, homéopathe retraité
  • Michel J. Deschamps, homme d’affaires
  • Marie-France Lampron, hygiène et salubrité en milieu hospitalier
  • Isabelle Richard, hygiéniste dentaire
  • Marjorie Coté, hypnothérapeute
  • Ghislaine Laroche, hypnothérapeute
  • Marie-France Richer, Infographiste
  • Robert Arsenault, Infographiste
  • Florent Bouchy, informaticien (PhD) et massothérapeute
  • Michel Savage, Ingénieur
  • Emmanuel Racine, Ingénieur
  • Patrick Bureau, Ingénieur de systèmes
  • Alain Vroye, Ingénieur retraité
  • Israël Dubé-Marquis, Ingénieur
  • Josée Roy, Inhalothérapeute
  • Fawzi Hafiz, Inspecteur en bâtiment
  • Daniel Duguay, instructeur aéronautique
  • Helene Simard, intervenante budgétaire
  • Marie Josée Lapointe, intervenante psychosociale/à la retraite
  • Sabrina Tomassini, kinésiologue
  • Pierre-Olivier Pinard, kinésiologue
  • Danielle Desjardins, kinésithérapeute
  • Jean-Claude Côté, lettreur
  • Daniela Andreeva, M.Sc. immunologie et microbiologie
  • Sylvie Charbonneau, massothérapeute
  • Sylvie Bedard, massothérapeute
  • Annie Foucrault, massothérapeute
  • Mario Portolese, massothérapeute
  • Claire St-Laurent, massothérapeute – retraitée
  • Annie Tawel, massothérapeute / adjointe virtuelle
  • Jacinthe Desrosiers, massothérapeute /professeur de Yoga
  • Ariane Graton, massothérapeute intervenante
  • Danièle M Verdi, massothérapeute spécialisée en oncologie
  • Dan Desgreniers, massothérapeute/ Naturopathe
  • Philippe Gélinas, menuisier
  • Stefany Tremblay, mère
  • Pascal Dufour, monteur de lignes
  • Manu Pitois, musicien
  • Evelin Auger, musicien
  • Ghislaine Cazaubon, naturopathe
  • Isabelle Otis, naturopathe
  • Véronik Tanguay, naturopathe
  • Jean-Pierre Deschênes, naturopathe
  • Jonathan Harvey-Maltais, naturopathe
  • Lyna-Lune Ippersiel, naturopathe
  • Madeleine Alarie, naturopathe diplômée
  • Céline Dubeau, naturopathe homéopathe
  • Diane Carrière, naturothérapeute
  • Céline Caza, naturothérapeute
  • Francine Gendreau, naturopathe
  • Dre Sara Lemelin, neuropsychologue
  • Élisabeth Fontaine, notaire et conseillère juridique
  • Mariane Pilote, nutritionniste
  • Mireille Pelletier, opticienne d’ordonnances
  • Sonia Duchesne, opticienne d’ordonnances
  • Sylvie Provencher, optométriste
  • Mélanie Beaudry, optométriste
  • Claudine Tremblay, orthopédagogue
  • Édith Fortin, orthopédagogue
  • Huguette Lebel, orthopédagogue retraitée
  • Christiane Petit, orthopédagogue retraitée
  • Lucie Cambron, orthopédagogue retraitée
  • Serge Roy, orthothérapeute
  • Cédric Ouellet, orthopédagogue
  • Lucie Duquette, orthothérapeute
  • Manon Smeesters, ostéopathe
  • Christine Lysight, ostéopathe
  • Catherine Desaulniers, ostéopathe
  • André Fortier, D.O. ostéopathe, B.Sc.A,
  • Caroline Cormier, ostéopathie
  • Doris Gendreau-Rodrigue, paire aidante famille (santé mentale)
  • Michèle Daneau, paramedic
  • Josée Robitaille, pav
  • Gutschi Maria, pharmacienne
  • Hélène Toupin, pharmacienne
  • Victoria Doudenkova, PhD Bioéthique, chercheuse postdoctorale (santé des femmes)
  • Sylvayn Poirier, photographe
  • Denis Vayer, photographe
  • Vicky Darveau, physiothérapeute
  • Roanne Proctor, physiothérapeute
  • Isabelle Morneau, physiothérapeute
  • Odile Desbois, physiothérapeute et ostéopathe
  • Chantal Dumouchel, phytothérapeute
  • Jean-François Martinet, pompier
  • Patrick Laterreur, pompier
  • Vicky Bélanger, pompier
  • Nicole Dumont, pompière
  • Nicole Dumont, pompière
  • Janic Gargantin, praticienne en santé (naturopathie)
  • Patrick Arseneault, premier répondant
  • Brigitte Girard, préposée aux animaux dans une SPCA
  • Marc Vincent, préposé aux bénéficiaires
  • Julie Bouffard, préposée aux bénéficiaires
  • Vanessa Deslongchamps, préposée aux élèves handicapés
  • May Char, Prof. éducation corporelle consciente
  • Yan April, operateur de machineries lourdes
  • Aleksandar Lukov, plombier
  • Sonia Dionne, préposée aux bénéficiaires
  • Laurent Frenette, président d’entreprise
  • Karen Chery, professeure
  • Lise Séguin, psychothérapeute
  • Johanne Boucher, réceptionniste
  • Gaëtane Lamontagne, recherche socio- économique
  • Francis Babin, professeur
  • Éric Yergeau, professeur
  • Paul Héroux, professeur
  • Raymond Pageau, professeur-chercheur retraité
  • Sophie Houle, professeur de piano
  • Marie-Ève Landriault, prof de Taiji et Qigong
  • Linda Gagnon, prof de yoga et ASSSS
  • Josianne Roy, professeure de chimie au collégial
  • Geneviève Rail, Ph. D., professeure émérite distinguée
  • Nadia Alexan, professeure retraitée
  • Svetla Kaménova, professeure universitaire
  • Joseph Anthony, professionnel de la santé
  • Régent Fortin, professionnel
  • Carla Pescador, professionnelle
  • Danielle Fay, professionnelle de la santé naturelle
  • York Hsiang, professor Emeritus of Surgery, UBC
  • Steven Pelech, professor, Department of Medicine, Univ. of B.C.
  • Yves Fortier, projets humanitaires
  • David Gagnon, propriétaire entreprise
  • Cindy Vallée, propriétaire/actionnaire taxi
  • Paula St-Arnaud, psychoéducatrice
  • Doris O’Connor, psychoéducatrice
  • Geneviève Chartrand, psychologue
  • Jacqueline Bélair, psychologue
  • Paule Mongeau, psychologue
  • Claudette Nantel, psychologue
  • Nathalie Boulet, psychologue
  • Louise Lettre, psychologue-psychothérapeute
  • Guy Forest, psychothérapeute OPQ 60169-12
  • Claude Duquette, citoyen
  • Antoinette de Robien, rédactrice – traductrice
  • Caroline Cloutier, relationniste
  • Claude Robillard, rentier
  • Annie Rivard, inspectrice
  • Louise Amyot, intervenante en relation d’aide
  • Cecilia Colombier, intervenante psychosociale
  • Mario Bergeron, journalier retraité
  • Dianne Sauve, massothérapeute
  • Danielle Chapdelaine, massothérapeute
  • Claire St-Laurent, massothérapeute – retraitée
  • Christian Grenier, répartiteur
  • Kamen Banchev, représentant industriel
  • Marian Laderoute. Ph.D., retraité Medical Research Manager of PHAC
  • Porter Brian, travailleur social retraité
  • Jean-Guy Vallée, retraité
  • Ronald Roy, retraité
  • Luc Menard, retraité
  • Franck Metivier, retraité
  • Sylvain Poirier, retraité
  • Ghislaine Metivier, retraitée
  • Anne-Marie Lavie, retraitée
  • Jean-Claude Thériault, retraité
  • J Louis Monat, retraité
  • Normand Guillemette, retraité
  • Dominique Langlais, retraité
  • Benoit Menard, retraité
  • Diane Sévigny, retraitée
  • Yvan Lacombe, retraité
  • Luc Guillemette, retraité
  • Pierre Saine, retraité
  • Cécile Rex, retraitée
  • Robert Langevin, retraité
  • Gilles Rochette, retraité
  • Claude Desrochers, retraité
  • Denis Lizotte, retraité
  • Marc André Lepage, retraité
  • Philippe Begue, retraité
  • Samir Coussa, retraité
  • Pierre Des Lauriers, retraité chiropraticien
  • Luc Lasnier, retraité de la fonction publique du Québec
  • Collette Drapeau, retraité de la profession d’acupuncteur
  • Robert Adam, retraité de l’éducation – agent de développement sur les saines habitudes de vie.
  • Dalyn Pepin, retraité sec. admin.
  • Louise Nadeau, retraitée
  • Evangéline Jacques, retraitée
  • France Aumont, retraitée
  • Geneviève Gaudreault, retraitée
  • Chantale Guay, retraitée
  • Danielle Roy, retraitée
  • Diane Ruest, retraitée
  • Isabelle Lizotte, retraitée
  • Denise Péloquin, retraitée
  • Lucette Desrosiers, retraitée
  • Micheline Claing, retraitée
  • Doreen Francoeur, retraitée
  • Francine Gauthier, retraitée
  • Jacqueline Jacques Genest, retraitée
  • Sylvie Gignac, retraitée
  • Chantal Coulombe, retraitée
  • Louise Moïse, retraitée
  • Louise Bélisle, retraitée
  • Denise Lauzé, retraitée
  • Flor Leal, retraitée
  • Micheline Brassard, retraitée
  • Joanne Bourcier, retraitée
  • Louise Prévost, retraitée
  • Louise Renald, retraitée
  • Danielle Lemelin, retraitée ancienne éducatrice scolaire
  • Fernande Langlais, retraitée de 90 ans
  • Ginette Lévesque, retraitée de l’enseignement
  • Sylvie Lambert, retraitée de l’enseignement
  • Marielle Chagnon, retraitée de l’enseignement au primaire
  • Murielle Gendron, retraitée de l’optique
  • Claire Vandal, retraitée de l’enseignement
  • Maryse Lavallėe, retraitée éducation
  • Jacques Paquin, retraité
  • René Châtelain, retraité
  • Laurent Bouchard, retraité
  • Régis Duchesne, retraité
  • Joan St-Gelais, rentière
  • Diane Beaudreault, retraitée
  • Gilles Couturier, retraité
  • Johanne Gagnon, retraite
  • Lemay Guy, retraite
  • Monique Martel, retraite
  • Denis Robitaille, retraite
  • Maurice Dufour, retraite
  • Benoit Pineault, retraité
  • Daniel St-Hilaire, retraité
  • Patrick Loret, retraité
  • Christian Drapeau, retraité
  • Nicole Courville, retraitée
  • Alain Coté, retraité
  • Danie Racette, retraitée
  • Pierre Sabourin, retraité
  • Lucette Labbé, retraitée
  • Danielle Desjardins, retraitée
  • Gaston Leblanc, retraité
  • Yves Coté, retraité (physiothérapeute)
  • Denis Hamel, retraité – paramédic
  • Ginette Morin, retraitée
  • Huguette Marquis, retraitée
  • Danielle Landry, retraitée
  • Jo-Ann Boisvert, retraitée
  • Marie-Claude Rivest, retraitée
  • Lyne Seguin, retraitée
  • Denise Lacroix, retraitée
  • Karmen Prud’homme, retraitée
  • Line Mailloux, retraitée
  • Line Paquette, retraitée
  • Sylvie Berthiaume, retraitée
  • Lynda Menard, retraitée
  • Denyse Pinsonneault, retraitée
  • Mireille Locat, retraitée de l’enseignement
  • Mercedes D’Astous, retraitée de l’enseignement
  • Rose Leblanc, retraitée
  • Caroline Béland, RH
  • Nathalie Bouchard, secrétaire dans une école
  • Manon Houde, secrétaire médicale
  • Melanie Bessette, secrétaire/réceptionniste
  • Patrick Lamothe, security
  • André Roberge, semi-retraite
  • Pierre-Yves Lasnier, semi-retraité : conducteur d’autocar
  • Marie-Hélène Beauséjour, semi-retraitée
  • Mario Fontaine, service financier
  • Luc Lelievre, sociologue
  • Jérôme Desrosiers, spécialiste
  • Simon Campeau, tech en télécommunication
  • Marie Danielle Balthazard, tech. Laboratoire, retraitée
  • Michel Guay, technicien dentaire
  • Mario Chatelain, technicien en micro-informatique propriétaire
  • Normand Ranger, technicien TI – programmeur
  • Lynette Tremblay, technicienne capillaire
  • Rebecca Mathieu, technicienne en santé animale
  • Mélanie Ricard, technicienne en santé animale
  • Ginette Guimond, technologiste médicale (retraitée)
  • Roxanne Côté, technologiste médicale, retraitée
  • André Lirzin, technologue en radiologie
  • Francois Gervais, technologue systèmes automatisés
  • Catherine Marchand, tech. Phys.
  • Jose Descoteaux, technicien
  • Stéphane Rancourt, technicien électromécanique
  • Carolyn Foster, technicienne en chimie
  • Guylaine Paul, technicienne en travail social
  • Chantal Dumaine, technologue en imagerie médicale, retraitée
  • Alain Forget, SAQ
  • Renée Girard, serveuse
  • Yvan Picard, superviseur
  • Suzie Guillemette, transport public
  • Pierrette Pleau, travail général de bureau
  • Lysette Aubé, travailleur autonome
  • Sylvain Livernois, travailleur autonome
  • Linda Hébert, travailleur autonome installation commerciale
  • Serge Patenaude, travailleur social professionnel
  • Sabine Thomas, vendeuse
  • Marie-Laure Turmel, vidéaste
  • Carole Messier, thérapeute
  • Daniel Ethier, thérapeute
  • Louise Boisvert, thérapeute Bowen
  • Stéphanie Bazot, thérapeute en Relation d’aide
  • Céline Parr, thérapeute en santé intégrative
  • Christophe Vienne, thérapeute et comédien
  • Line Delisle, thérapeute sportive retraitée
  • Isabelle Duclos, toiletteuse
  • Audrey Hébert, travailleuse autonome
  • Christian Leray, travailleur autonome
  • Marlaine Lefrançois, travailleur autonome
  • Danny Pauzé, mécanicien
  • Luc Lacasse, mécanicien
  • Nathalie Ste-Marie, MSc Sciences de la santé – épidémiologie
  • André Chalifour, musicien
  • Jessica Victoria Dubuc, travailleur social
  • Guy Moïse, travailleur social retraité
  • Christian Martin, travailleur social retraité
  • Mélanie Rheault, travailleuse autonome
  • Natasha Kitzler, travailleuse sociale
  • Geneviève Lafleur, travailleuse sociale
  • Prisca Diano, travailleuse sociale
  • Stéphanie Vézina, étudiante
  • Morneau Brigitte, étudiante en naturothérapie
  • Janet Gelinas, étudiante en nutrition
  • Sophie Bergeron, facteure
  • Marguerite Chamberland, gardienne d’enfants à domicile
  • Carine de Pauw, graphiste
  • Reginald Lachance, imprimeur à la retraite
  • Anne-Marie Bellemare, travailleuse sociale
  • Véronique Dussault, travailleuse sociale
  • Isabelle Lepage, travailleuse sociale, enseignante TTS collège et Massothérapeute
  • Anne-Marie Begué Simon, universitaire retraitée
  • Michel Martel, vendeur
  • Pauline Plourde, vente et service clientèle et professeur de yoga
  • David Speicher, virologist/Visiting Professor
  • Jean-François Moïse, commerçant
  • Anne Lauber, compositrice, cheffe d’orchestre
  • Marylin Neveu, comptable
  • Florence Garneau, copropriétaire- centre de Méditation
  • Marc-André Caron, courtier immobilier
  • Nicholas Parent, designer industriel
  • Yves Turcotte, directeur de cinéma
  • Josée Davignon, directrice recherche et développement
  • Pierre Thiffault, citoyen
  • Melissa Lafleur, citoyenne
  • Rich Duf, citoyen
  • Arnaud Brien, citoyen
  • Anne Émond, citoyenne
  • Nancy Jacques, citoyen
  • Sandra Dufour, citoyenne
  • Raynald Bernier, citoyen
  • Christiane Larivière, citoyenne
  • Marie Carrière, citoyen
  • Vladimir Mihaylov, citoyen
  • Guy Clermont, citoyen
  • Brigitte Beaudoin, citoyenne
  • Christian Labbe, citoyen
  • Robert Leblanc, citoyen
  • Guylaine Berthelette, citoyenne
  • Line Labbé, citoyenne
  • Marc Chulak, citoyen
  • Carole boulet, citoyenne
  • Viviane Andraos, citoyenne
  • Andien Carreau, citoyen
  • Marlène Labrie, citoyenne
  • Guy St-Pierre, citoyen
  • Martine Dufleit, citoyenne

 

 

Références

 

[1] Site de la Commission d’enquête nationale citoyenne sur la gestion de la COVID-19 : https://nationalcitizensinquiry.ca/fr/nci-homepage-francais/

[2] « Albert Bourla on why mRNA technology was “counterintuitive” to producing an effective vaccine », Washington Post, 10 mars 2022 : https://twitter.com/verity_france/status/1686376710454059008?s=20 (1er août 2023).

[3] Christine Cotton. Tous vaccinés, tous protégés? Vaccins COVID-19, chronique d’une catastrophe sanitaire annoncée. Éd. Trédaniel. 2023.

[4] Jade, « Un homme de la Floride décédé dans un accident de moto a été classé comme étant mort du Covid-19 par l’État », Aube Digitale, https://www.aubedigitale.com/un-homme-de-la-floride-decede-dans-un-accident-de-moto-a-ete-classe-comme-etant-mort-du-covid-19-par-letat/ (18 juillet 2020, mis à jour le 12 février 2021).

[5] VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) : https://vaers.hhs.gov/. Le VAERS est le système américain de surveillance et de déclaration des effets indésirables des vaccins.

[6] War Room / DailyClout. Pfizer Documents Analysis Volunteers’ Reports eBook: Find Out What Pfizer, FDA Tried to Conceal. Pfizer Documents Investigation Team, Amy Kelly, Ed. DailyClout LLC. Janvier 2023.

[7] Cheikh Dieng, « Coup de théâtre : 194 pays membres de l’OMS se révoltent et exigent de publier les contrats entre labos et gouvernements », Le Courrier du soir, https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-194-pays-membres-de-loms-se-revoltent-et-exigent-de-publier-les-contrats-entre-labos-et-gouvernements/ (15 mars 2023)

[8] Denis G. Arnold, Oscar Jerome Stewart, Tammy Beck, « Financial Penalties Imposed on Large Pharmaceutical Firms for Illegal Activities », JAMA. 2020;324(19):1995–1997. doi:10.1001/jama. 2020. 18740 : https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2772953

[9]  Romain Bernard, Christian Grégoire, Herve Seligmann, « Unreliability of COVID19 PCR tests: less than 20 percent of swabs producing initial positive PCR were positive when re-tested within 24 hours »,   ResearchGate, juillet 2023: https://www.researchgate.net/publication/372775872_Unreliability_of_COVID19_PCR_tests_less_than_20_percent_of_swabs_producing_initial_positive_PCR_were_positive_when_re-tested_within_24_hours.

[10] Ulrike Kämmerer, PhD1, Sona Pekova, PhD, Rainer J. Klement, PhD, Rogier Louwen, PhD, Pieter Borger, PhD, Klaus Steger, PhD, « RT-PCR Test Targeting the Conserved 5′-UTRof  SARS-CoV-2 Overcomes Shortcomings of  the First WHO-Recommended RT-PCR Test », International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/71/204 (4 avril 2023)

[11] « To Evaluate the Safety, Tolerability, and Immunogenicity of BNT162b2 Against COVID-19 in Healthy Pregnant Women 18 Years of Age and Older », Clinicaltrials.gov, https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/history/NCT04754594?V_21=View#StudyPageTop (7 août 2023)

[12] « CeNC – Commission d’enquête nationale citoyenne – Dr. Jérôme Sainton témoigne », Actualité politique du Québec, 20 mai 2023 : https://www.actualitepolitiqueduquebec.com/article-et-video/cenc-commission-denquete-nationale-citoyenne-dr-jerome-sainton-temoigne/.

[13] War Room / DailyClout Pfizer Documents Analysis Volunteers’ Reports eBook: Find Out What Pfizer, FDA Tried to Conceal. de Pfizer Documents Investigation Team (Author), Amy Kelly (Author), DailyClout LLC (Editor)

[14] « Les effets secondaires de la vaccination : des infirmières témoignent », Réinfo Québec, https://reinfoquebec.ca/effets-secondaires-de-la-vaccination-des-infirmieres-temoignent/ (9 novembre 2021)

[15] Gouvernement du Canada , « Manifestations cliniques inhabituelles à la suite de l’immunisation contre la COVID-19 au Canada », https://sante-infobase.canada.ca/covid-19/securite-vaccins/ (26 mai 2023)

[16] « Effets secondaires de la vaccination : vous n’êtes pas seul! », Réinfo Québec https ://reinfoquebec.ca/effets-secondaires/.

[17] « Adverse reactions reported on corona vaccines », Finnish Medicines Agency, FIMEA : https://www.fimea.fi/web/en/current-events/coronavirus-covid-19-/adverse-reactions-reported-on-corona-vaccines.

[18] Øystein Karlstad, MScPharm, PhD; Petteri Hovi, MD, PhD; Anders Husby, MD, PhD; et al, « SARS-CoV-2 Vaccination and Myocarditis in a Nordic Cohort Study of 23 Million Residents », Jama Network, https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2791253 (20 avril 2022)

[19] Natacha Buergin, Pedro Lopez-Ayala, Julia R Hirsiger, Philip Mueller, Daniela Median, Noemi Glarner, Klara Rumora, Timon Herrmann, Luca Koechlin, Philip Haaf, Katharina Rentsch, Manuel Battegay, Florian Banderet, Christoph T Berger, Christian Mueller, « Sex-specific differences in myocardial injury incidence after COVID-19 mRNA-1273 booster vaccination », European Journal of Heart Failure, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37470105/ (20 juillet 2023)

[20] Michael Kang; Venu Chippa; Jason An., « Viral Myocarditis », National Library of Medicine, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK459259/#:~:text=Immediate%20complications%20of%20myocarditis%20include,and%2050%25%20at%205%20years (6 septembre 2022)

[21] CUMULATIVE ANALYSIS OF POST-AUTHORIZATION ADVERSE EVENT REPORTS OF PF-07302048 (BNT162B2) RECEIVED THROUGH 28-FEB-2021. https://childrenshealthdefense.org/wp-content/uploads/pfizer-doc-5.3.6-postmarketing-experience.pdf#page=30

[22] Kyle Becker, « The FDA is Under Fire for Covering Up Covid Vaccine Deaths Amid Disturbing Rise in Heart Attacks », Relentless, https://thekylebecker.substack.com/p/the-fda-is-under-fire-for-covering?utm_source=substack&utm_medium=email (11 juillet 2023)

[23] Lioness of Judah Ministry, « What Did Pfizer Know? A Shot in the Dark », Exposing The Darkness, https://lionessofjudah.substack.com/p/what-did-pfizer-know-a-shot-in-the?utm_source=substack&utm_medium=email (21 juillet 2023)

[24] « Le nombre de footballeurs de la FIFA décédés subitement au cours de l’année qui a suivi le déploiement du vaccin contre la COVID était 300 % plus élevé que la moyenne des 12 années précédentes. », Uncut News, https://uncutnews.ch/die-zahl-der-fifa-fussballer-die-im-jahr-nach-der-einfuehrung-des-covid-impfstoffs-ploetzlich-starben-war-300-hoeher-als-der-vorherige-12-jahres-durchschnitt/ (5 avril 2023)

[25] Dr William Makis. NEWS: 132 Canadian doctors have died suddenly or unexpectedly since COVID-19 vaccine rollout (Part 2/2), https://makismd.substack.com/p/news-132-canadian-doctors-have-died-38e?utm_source=substack&utm_medium=email (19 février 2023)

[26] Steve Kirsch. BREAKING: VAERS data clearly shows that the COVID vaccines are an unmitigated disaster for pregnant women. https://kirschsubstack.com/p/breaking-vaers-data-clearly-shows?utm_source=substack&utm_medium=email (17 juillet 2023)

[27] Jonas Vesterberg, « 600,000 Americans Per Year Are Dying From COVID Shots Says Top Insurance Analyst », The Florida Standard, https://www.theflstandard.com/top-insurance-analyst-600-000-americans-per-year-are-dying-from-covid-shots/ (11 avril 2023)

[28] Institut de la Statistique du Québec, « Surmortalité hebdomadaire selon le groupe d’âge, Québec, 2020‑2023 », https://statistique.quebec.ca/fr/document/surmortalite-hebdomadaire/publication/surmortalite-hebdomadaire-selon-groupe-dage-quebec (6 juillet 2023)

[29] Dr. Peter McCullough, « Kim Iversen: “We Now Have Definitive Proof the COVID-19 Vaccines are Causing Death” », Courageous Discourse, https://petermcculloughmd.substack.com/p/kim-iversen-we-now-have-definitive?utm_source=substack&utm_medium=email (18 juillet 2023)

[30] Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante, « En Belgique, la campagne v*****ale de rentrée s’annonce houleuse », https://www.aimsib.org/2023/07/09/en-belgique-la-campagne-vale-de-rentree-sannonce-houleuse/ (9 juillet 2023)

[31] Dr. Peter McCullough, « FDA VRBPAC Hopelessly Chasing Outgoing XBB.1.5 as Fall Target », Courageous Discourse, https://petermcculloughmd.substack.com/p/fda-vrbpac-hopelessly-chasing-outgoing?utm_source=substack&utm_medium=email (14 juillet 2023)

[32] Kyle Becker, « The CDC Director Has the Nerve to Warn Americans About ‘Politicized Science’ in Exit Interview », Relentless, https://thekylebecker.substack.com/p/the-cdc-director-has-the-nerve-to?utm_source=substack&utm_medium=email (2 juillet 2023)

[33] Joel Selvakumar, MD; Lise Beier Havdal, MD; Martin Drevvatne, MD; et al, « Prevalence and Characteristics Associated With Post–COVID-19 Condition Among Nonhospitalized Adolescents and Young Adults », https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2802893?s=03 (30 mars 2023)

[34] Michael C. Sneller, MD, C. Jason Liang, PhD, Adriana R. Marques, MD, Joyce Y. Chung, MD, Sujata M. Shanbhag, MD, Joseph R. Fontana, MD, Haniya Raza, DO, Onyi Okeke, MD, Robin L. Dewar, PhD, Bryan P. Higgins, RN, Katie Tolstenko, FNP, Richard W. Kwan, MPAS, Kathleen R. Gittens, RN, Catherine A. Seamon, RN, Genevieve McCormack, Jacob S. Shaw, Grace M. Okpali, Melissa Law, RN, Krittin Trihemasava, Brooke D. Kennedy, Victoria Shi, MS, J. Shawn Justement, Clarisa M. Buckner, PhD, Jana Blazkova, PhD, Susan Moir, PhD, Tae-Wook Chun, PhD, and H. Clifford Lane, MD, « A Longitudinal Study of COVID-19 Sequelae and Immunity: Baseline Findings », Annals of Internal Medecine, https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M21-4905#f1-M214905 (juillet 2022)

[35] Joane Matta, PhD; Emmanuel Wiernik, PhD; Olivier Robineau, MD, PhD; et al, « Association of Self-reported COVID-19 Infection and SARS-CoV-2 Serology Test Results With Persistent Physical Symptoms Among French Adults During the COVID-19 Pandemic », https://jamanetwork.com/journals/jamainternalmedicine/fullarticle/2785832 (8 novembre 2021)

[36] Robert Malone, MD, MS, « Perspective, Values, and the COVID crisis », Robert W Malone, https://rwmalonemd.substack.com/p/perspective-values-and-the-covidcrisis?utm_source=substack&utm_medium=email (8 juillet 2023)

[37] Lioness of Judah Ministry, « COVID: The Destruction of Medical Ethics and Trust in the Medical Profession », Exposing The Darkness, https://lionessofjudah.substack.com/p/covid-the-destruction-of-medical?utm_source=substack&utm_medium=email (13 mai 2023)

[38] Lioness of Judah Ministry, « Globalists Run ‘Orwellian Doublespeak Psyop’ To Cover Up Out Of Control ‘Genocide Debacle’ While Barbaric Medical Experiments Continue And ‘The Masses’ Are Turned Into Human Guinea Pigs », Exposing The Darkness, https://lionessofjudah.substack.com/p/globalists-run-orwellian-doublespeak?utm_source=substack&utm_medium=email (18 juillet 2023)

[39] Dr Joseph Mercola, « Why Did Pfizer Halt COVID Vaccine Clinical Trials for Pregnant Women? », The Defender, https://childrenshealthdefense.org/defender/pfizer-covid-vaccine-clinical-trials-pregnant-women-cola/?utm_source=luminate&utm_medium=email&utm_campaign=defender-wk&utm_id=20230716 (12 juillet 2023)

[40] Dr William Makis, « COVID-19 mRNA vaccines destroy your immune system – Cleveland Clinic proved it, but negative vaccine efficacy was known as early as Dec.2021 – 9 shocking graphs prove immune system damage by mRNA! », Covid Intel, https://makismd.substack.com/p/mrna-vaccine-injury-graphs-from-cleveland?utm_source=substack&utm_medium=email (25 juin 2023)

[41] Dr William Makis, « Children Dying Suddenly – Over 96 Canadian children ages 2-19 have died suddenly or unexpectedly in the past 3 months – a warning call for Canadian parents. », Covid Intel, https://makismd.substack.com/p/over-96-canadian-children-ages-2?r=12claq&utm_medium=ios&utm_campaign=post (27 février 2023)

[42] John-Michael Dumais, « Prion Disease and the mRNA Shots: Some Light in the Dark », The Defender, https://childrenshealthdefense.org/defender/prion-disease-brain-mrna-covid-vaccine/?utm_source=luminate&utm_medium=email&utm_campaign=defender&utm_id=20230706 (6 juillet 2023)

[43] Denis G. Rancourt, PhD ; Marine Baudin, PhD ; Joseph Hickey, PhD ; Jérémie Mercier, PhD, « Age-stratified COVID-19 vaccine-dose fatality rate for Israel and Australia », Denis Rancourt, https://denisrancourt.ca/entries.php?id=126&name=2023_02_09_age_stratified_covid_19_vaccine_dose_fatality_rate_for_israel_and_australia (9 février 2023)

[44] Steve Kirsch, «  Safety signals for 770 different serious adverse events in VAERS were ignored by the CDC ». https://kirschsubstack.com/p/safety-signals-for-770-different?utm_source=substack&utm_medium=email) (5 janvier 2023)

[45] Steve Kirsch, « Is the CDC totally blind to all the adverse events from the COVID vaccines? », Steve Kirsch’s newsletter, https://kirschsubstack.com/p/is-the-cdc-totally-blind-to-all-the?utm_source=substack&utm_medium=email (18 juillet 2023)

[46] Ramesh Thakur, « What Is a Safety Signal and Why Does It Matter? », Brownstone Institute, https://brownstone.org/articles/what-is-safety-signal-why-does-it-matter/ (18 avril 2023)

[47] Lise Barnéoud, « Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments », Le Monde, https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html (16 janvier 2021)

[48] John Leake, « Were 1/3 of Pfizer Shots in the EU “Placebos”? », Courageous Discourse, https://petermcculloughmd.substack.com/p/were-13-of-pfizer-shots-in-the-eu?utm_source=substack&utm_medium=email (12 juillet 2023)

[49] Will Jones, « mRNA Vaccines Contain DNA That May Turn Human Cells Into Long-Term Spike Protein Factories – Study », The Daily Sceptic, https://dailysceptic.org/2023/03/01/mrna-vaccines-contain-dna-that-turns-human-cells-into-permanent-spike-protein-factories-study/ (1er mars 2023)

[50] Qinyang Jiang, Yuhong Dong, M.D., Ph.D., « Pfizer Knowingly Allowed Dangerous Components in its Vaccines (Part 1) », The Epoch Times, https://www.theepochtimes.com/health/pfizer-knowingly-allowed-dangerous-components-in-its-vaccines-part-1-5060324?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge (19 février 2023)

[51] Markus Aldén, Francisko Olofsson Falla, Daowei Yang, Mohammad Barghouth, Cheng Luan, Magnus Rasmussen and Yang De Marinis, « Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell Line », Current Issues in Molecular Biology, https://www.mdpi.com/1467-3045/44/3/73 (25 février 2022)

[52] Lioness of Judah Ministry, « Special Message From Dr.Bhakdi About the Discovery of Plasmid DNA Contaminating RNA Injectables », Exposing The Darkness, https://lionessofjudah.substack.com/p/special-message-from-drbhakdi-about?utm_source=substack&utm_medium=email (4 juin 2023)

[53] Dr Paul Alexander, « Catastrophic: over 270 athletes & former American athletes have died from cardiac arrests & serious issues from taking ‘mRNA technology’ based COVID-19 gene vaccines (Polykretis & McCullough) », Alexander COVID News-Dr. Paul Elias Alexander’s Newsletter, https://palexander.substack.com/p/catastrophic-over-270-athletes-and?utm_source=substack&utm_medium=email (6 mars 2023)

[54] James Lyons-Weiler, « The Cleveland Clinic Study is Now Published as Peer Reviewed Science: If You Get More Doses, You Put Others at Higher Risk, Popular Rationalism, https://popularrationalism.substack.com/p/the-cleveland-clinic-study-is-now?utm_source=substack&utm_medium=email (31 mai 2023)

[55] Lioness of Judah Ministry, « CV19 Bioweapon Caused a Pandemic of the Vaccinated – Ed Dowd», Exposing The Darkness, https://lionessofjudah.substack.com/p/cv19-bioweapon-caused-a-pandemic (5 mai 2023)

[56] Meryl Nass, « Peter Doshi: Pfizer and Moderna’s “95% effective” vaccines—let’s be cautious and first see the full data/ BMJ », Meryl’s COVID Newsletter, https://merylnass.substack.com/p/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95?utm_source=substack&utm_medium=email (8 mars 2023)

[57] « 93 Israeli doctors: Do not use Covid-19 vaccine on children », Israel National News, https://www.israelnationalnews.com/news/304124 (11 avril 2021)

[58] David Bell, « The False Messaging on Vaccines Given to Pregnant Women », Brownstone Institute, https://brownstone.org/articles/the-false-messaging-on-vaccines-given-to-pregnant-women/ (19 avril 2023)

[59] Hélène Banoun, « Grossesses pathologiques sous ARNm anti-Covid, la FDA savait déjà tout en 2021 », Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante, https://www.aimsib.org/2023/04/30/grossesses-pathologiques-sous-arnm-anti-covid-la-fda-savait-deja-tout-en-2021/ (30 avril 2023)

[60] COVID-19 Forecasting Team, « Past SARS-CoV-2 infection protection against re-infection: a systematic review and meta-analysis », The Lancet, https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(22)02465-5/fulltext?utm_source=substack&utm_medium=email (16 février 2023)

[61] Dr. Sean Lin, Jacky Guan, « All Vaccines Perform Worse Than Natural Immunity Against COVID: Systematic Review and Meta-Analysis », The Epoch Times, https://www.theepochtimes.com/health/all-vaccines-perform-worse-than-natural-immunity-against-covid-systematic-review-and-meta-analysis-5116769?utm_source=HT_article_paid&src_src=HT_article_paid&utm_campaign=health-2023-03-20-ca&src_cmp=health-2023-03-20-ca&utm_medium=email&est=lqvbnaTQZoRnrZs%2FTJ%2B%2B9KhV2EJQOYkOXA7I1CheCwHCtGxNg1FpNqC7E3hiSMc%3D (16 mars 2023)

[62] Dr William Makis, « Japan sees major push back against big pharma and corrupt Japanese health officials who are covering up COVID-19 mRNA vaccine injuries and deaths – highest excess deaths now since WWII », Covid Intel, https://makismd.substack.com/p/japan-sees-major-push-back-against?utm_source=substack&utm_medium=email (15 mars 2023)

[63] Dr William Makis, « Excess deaths – Japan has skyrocketing excess deaths after its population was mRNA COVID-19 vaccine overdosed – 2023 is going to be the worst year yet »,  https://makismd.substack.com/p/excess-deaths-japan-has-skyrocketing?utm_source=substack&utm_medium=email (13 mai 2023)

[64] Nazeeh Hanna, MD1; Ari Heffes-Doon, MD1; Xinhua Lin, PhD2; et al, « Detection of Messenger RNA COVID-19 Vaccines in Human Breast Milk », Jama Network, https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2796427 (26 septembre 2022)

[65] Denis Rancourt, Marine Baudin, Joseph Hickey et Jérémie Mercier. « La campagne de vaccination COVID-19 est responsable d’une mortalité excédentaire en Israël et en Australie. » Correlation, Research in the Public Interest. https://odysee.com/@DenisRancourt:e/Campagnes-de-vaccination—mortalité-toutes-causes:2 (13 février 2023)

[66] Denis Rancourt, Marine Baudin, Joseph Hickey et Jérémie Mercier. « Mortalité par dose de vaccin COVID-19 stratifiée selon l’âge taux pour Israël et l’Australie. » Correlation, Research in the Public Interest. https://correlation-canada.org/wp-content/uploads/2023/02/2023-02-09-Correlation-Taux-mortalite-par-dose-vaccin-stratifie-selon-age-Israel-Australie.pdf (9 février 2023)

[67] CanLII. « Loi établissant un périmètre aux abords de certains lieux afin d’encadrer les manifestations en lien avec la pandémie de la COVID-19, LQ 2021, c 26. » https://www.canlii.org/fr/qc/legis/loisa/lq-2021-c-26/derniere/lq-2021-c-26.html

[68] Steve Anderson, PhD, « CBER Plans for Monitoring COVID-19 Vaccine Safety and Effectiveness », U.S. Food & Drug Administration, https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-10/COVID-Anderson-508.pdf (30 octobre 2020)

LETTRE AU COLLÈGE DES MÉDECINS - 9 février 2023 - 119 signataires

 

Dr Mauril Gaudreault
Président du Collège des Médecins du Québec
1250, boulevard René-Lévesque Ouest,
Montréal (Québec), H3B 0G2

Monsieur le Président du CMQ,

Suite à notre dernière rencontre, vous nous aviez laissé entendre que vous nous communiqueriez le fruit de votre réflexion possiblement en janvier 2023. Nous n’avons toujours reçu aucune réponse à ce jour.

Toutefois, nous tenons à vous remercier de nous avoir reçus le 7 décembre dernier à titre de médecins, chercheurs et représentants de citoyens pour discuter de la gestion de la crise sanitaire COVID-19.

Nous remercions également les Dr Isabelle Tardif (Adjointe à la Direction), Marie-Josée Dupuis (Syndic), et Dr André Luyet (Directeur général) pour leur écoute particulièrement attentive et professionnelle. Tous trois nous ont semblé faire preuve d’une grande ouverture d’esprit. Nous les saluons et les remercions de tout cœur. Nous remercions également Monsieur Jacques Tétrault, directeur des communications de sa présence.

Nous avons le sentiment que cette rencontre a été fructueuse.

Bien que d’entrée de jeu, vous ayez exclu la participation éventuelle de nos experts ou d’un membre de notre groupe à la formation d’un comité de réflexion, bien que vous ayez exclu également une étude par comité des questions éthiques soulevées, bien que vous n’ayez également pas jugé bon d’examiner les pistes de solution que nous vous avons proposées ni voulu répondre à cinq questions que nous avions formulées, vous nous avez tout de même permis de nous exprimer sur la vaccination expérimentale des enfants et femmes enceintes du Québec.

Nous notons également que vous n’avez formulé aucune opposition aux informations et interprétations proposées lors de nos communications écrites (Lettre du 19 octobre, des 3 et 21 novembre 2022), et verbales. Vous êtes évidemment toujours invité à le faire. Entretemps, nous nous croyons autorisés à poursuivre notre réflexion sur ces mêmes bases et bien que les faits évoqués et les affirmations avancées s’érigent parfois en porte-à-faux, à l’encontre du narratif habituel, elles sont recevables puisque supportées par la science. N’est-ce pas là la nature même de la science que d’examiner les controverses et d’en tirer le meilleur enseignement ?

Vous nous avez souligné Dr Gaudreault que le CMQ n’est pas une société savante. Mais le CMQ peut-il pour autant se situer en marge de la science? Sa conduite doit-elle s’inspirer des firmes de commercialisation ou doit-elle s’inspirer des analyses scientifiques les plus rigoureuses et indépendantes qui soient?

Motifs de l’industrie pharmaceutique eu égard à la vaccination génique des enfants :

Les véritables motifs que poursuit l’industrie en matière de vaccination des enfants sont : D’une part mettre les fabricants sous le parapluie juridique de la loi sur les vaccins en leur garantissant ainsi une immunité judiciaire totale conférée par ce statut particulier et, d’autre part, s’assurer d’un revenu récurrent considérable année après année en introduisant ce produit dans le calendrier vaccinal des enfants.

Dans ce plan d’affaires purement mercantile comme on peut s’y attendre d’une société à but lucratif, en aucun cas l’intérêt de l’enfant n’est pris en compte.

Le CMQ prendra-t-il le relais ? Le CMQ n’est-il pas l’ultime rempart, le garde-fou, statutairement apolitique, pour garantir le bien-être et la sécurité de nos enfants ?

De quel côté de l’histoire, de la science et de l’éthique, sur ce sujet capital touchant les enfants et les femmes enceintes du Québec, le CMQ se positionnera-t-il?

Des injections qui se poursuivent…:

Chaque jour des centaines, voire des milliers d’enfants du Québec sont injectés par un vaccin génique à ARN messager. Ce « vaccin » génique leur est administré prétendant qu’il s’agit d’un produit « sûr et efficace »,  

  • Sans que les parents ne soient informés de façon complète et intelligible des dangers et risques inconnus, méconnus et potentiels de ce produit à court, moyen et long terme,
  • sans qu’on ne leur dise clairement qu’il s’agit là d’un produit expérimental qui n’a pas été testé chez les animaux de façon adéquate,
  • sans que les parents ne sachent que ce produit peut affaiblir de façon durable le système immunitaire de leur enfant (V. Dr P. Offitt),
  • sans qu’on leur dise qu’il s’agit d’un produit complètement différent des vaccins qu’ils connaissent et qui interfère avec les mécanismes intimes de la génétique humaine (lesquels mécanismes sont le fruit de 3,5 milliards d’années d’évolution),
  • sans qu’on ne leur dise que ce produit assujettit et prend en otage les cellules endothéliales du corps de leur enfant pour fin de fabrication d’une substance étrangère, à la fois immunogénique et toxique pour l’enfant,
  • sans qu’on souligne qu’environ 70 à 90% des enfants n’en ont pas besoin, ayant déjà acquis une immunité naturelle, laquelle immunité, humorale et cellulaire, surpasse en qualité et en durée l’immunité lacunaire et instable conférée par le produit qui leur est offert,
  • sans qu’on leur explique que le produit qu’on leur donne, lequel a un caractère d’irréversibilité, n’a été l’objet d’aucune étude d’innocuité concernant la carcinogénicité, la tératogénicité, ni même la toxicité et la bio distribution,
  • sans qu’on les informe que cette substance inflammatoire a le potentiel d’entraîner des perturbations fonctionnelles et des dommages durables à certains organes du corps humain. Tout ce qui précède se rapportant spécifiquement à la technologie à ARNm et non aux vaccins traditionnels auxquels ils ont été mensongèrement associés.

Ces injections sont faites en grande partie « en aveugle » avec des données minimales dont des indices qui laissent croire que la fertilité future de nos enfants injectés pourrait être compromise (étude japonaise Pfizer chez les rats). Les taux sanguins de ces substances, leur degré de fragmentation de même que leur durée d’action et leurs demi-vies sont inconnus et souvent aléatoires.

Un rappel de deux tragédies concernant des produits insuffisamment étudiés:

L’utilisation de la Thalidomide et du Diéthylstilbestrol durant la grossesse dans les années 1960 avait eu pour conséquence des malformations fœtales et des cancers gynécologiques des décennies après l’administration de ces produits. Lors de notre rencontre, vous n’avez pas démenti le parallèle tout à fait opportun qu’il convient de faire entre ces produits et les vaccins géniques qui ont cours. Le CMQ qui a 150 ans d’histoire, se souvient-il de ce drame iatrogénique dont les victimes sont encore identifiables aujourd’hui? Le CMQ prendrait-il le risque d’assister en spectateur à la répétition d’un drame similaire ?

Promotion d’un produit expérimental :

Le CMQ a-t-il été entraîné dans le sillon d’une campagne de promotion? Si c’est le cas, aurait-il, ce faisant, suspendu ou occulté des pans entiers de son propre code de déontologie dont le droit des citoyens à un consentement libre et éclairé? Rendant ainsi les parents et femmes enceintes inaptes à prendre une décision lourde de conséquence au nom de leur enfant bien vivant ou à naître?

Femmes enceintes et leur foetus:

La Compagnie Pfizer dans le feuillet explicatif de son vaccin génique, dit ce qui suit: « There is no data establishing safety for pregnant women ». Pourquoi alors imposer au Québec ce produit aux femmes enceintes en les gardant ignorantes de sa véritable nature ? Pourquoi le principe de précaution implicitement évoqué par Pfizer n’est-il pas pris en compte par le CMQ lui-même ?

Une procédure irréversible :

Ces substances sont injectées à nos enfants et à nos femmes enceintes par une procédure irréversible i.e. par des injections qui franchissent les barrières naturelles de protection du corps humain. Elles ont été présentées à la population comme étant des « vaccins comme les autres », comme des produits « sûrs et efficaces »; ce qui constitue à notre avis une désinformation de haut niveau. La FDA elle-même définit ce produit comme relevant d’une thérapie génique: “Human gene therapy seeks to modify or manipulate the expression of a gene or to alter the biological properties of living cells for therapeutic use 1 ». (Si ce vaccin génique répond cependant à la définition de la CDC, c’est que cette définition a été modifiée arbitrairement à cette fin.) Le public a droit à la vérité.

Des parents mal informés prenant des décisions au nom de leur enfant :

On proclame haut et fort le principe déontologique de « choix libre et éclairé sans menaces ni contraintes ».

Qui osera encore prétendre que ce principe a été respecté alors qu’on a constitué une loterie pour les enfants vaccinés, qu’on a ostracisé dans les écoles les enfants non-vaccinés, qu’on a interdit à des enfants non-vaccinés l’accès aux sports et qu’on est allé jusqu’à menacer de refuser l’assistance médicale à des femmes enceintes non vaccinées ?

Les parents n’ont pas été informés des dangers potentiels de ces produits à court, moyen et long terme. Pourtant les autorités de santé savent ou auraient dû savoir depuis longtemps que ces produits ont causé une foule d’effets secondaires; ce que tous les systèmes de détection du monde ont démontré: VAERS, V-Safe, Yellow card, Eudravigilance, Vigi Access etc). Ces produits ont causé plus de morts, plus de morbidité que tous les véritables vaccins combinés en 30 années d’utilisation.

Déni des effets secondaires et affirmations trompeuses :

En février 2021, Pfizer avait colligé 1,291 effets secondaires de son produit.

Il a fallu un ordre de la cour pour forcer Pfizer à dévoiler les effets secondaires de son produit (que la compagnie ne voulait dévoiler que dans 75 années).

Qu’on ait décidé d’étendre l’utilisation de tels produits autorisés uniquement en vertu d’une clause dite « Utilisation en situation d’urgence », aux enfants et aux femmes enceintes pour lesquels il n’y a jamais eu d’urgence, qu’on l’ait fait avec des affirmations trompeuses en ayant recours à des firmes de marketing en complicité avec nombre de médecins aux conflits d’intérêts si patents qu’ils auraient dû par simple décence s’abstenir de toute intervention publique, qu’on l’ait fait à l’échelle entière de la planète, constitue aux yeux de beaucoup d’observateurs le plus grand crime de l’histoire de la médecine en matière de santé.

Violations déontologiques :

Ces violations de nombreux principes de notre code de déontologie sont si flagrantes et sont vectrices de conséquences si pernicieuses et préjudiciables pour nos enfants et nos femmes enceintes, qu’elles imposent une action urgente. Une simple réflexion théorique n’est pas de mise.

Ces violations imposent plutôt des recommandations urgentes de la part du CMQ à la santé publique du Québec et au gouvernement pour déclarer un moratoire immédiat sur la vaccination des enfants et des femmes enceintes provisoirement à l’obtention des résultats de travaux de comités d’experts indépendants à l’instar de la proposition que nous vous avons faite.

Financement de la recherche bio médicale et conflits d’intérêts :

Il est malheureusement nécessaire de préciser ici qu’en concordance avec notre code de déontologie, il ne doit y avoir ni conflit d’intérêt, ni même apparence de conflit d’intérêt. Par conséquent, les experts qui entretiennent des liens étroits avec l’industrie pharmaceutique devront être exclus d’emblée de tout comité indépendant statuant sur ces injections géniques. Les articles 7, 63 et 64 de notre code de déontologie ne sont on ne peut plus explicites à ce sujet. La population a droit à une information libre et éclairée. Doit-on le rappeler?

Pratiquement toute la recherche biomédicale au Québec étant financée par l’industrie pharmaceutique, la désignation par le CMQ ou par nos autorités sanitaires d’experts qui soient de bonne foi et libres de tout lien pouvant interférer avec leur jugement est d’autant plus importante. On doit prendre acte comme gestionnaire, à titre d’exemple, que la Société des obstétriciens et gynécologistes du Canada (SOGC) a des sources très conflictuelles de financement qui peuvent altérer leurs avis.

Canada. Censure de la science. Éthique sacrifiée. Avenir de la profession :

En Ontario et en Colombie Britannique, dans la foulée de la crise sociétaire que nous vivons, l’avenir de la profession médicale se joue sur le plan juridique. En Ontario avec l’affaire Trozzi-Luchkiw’s-Philips et en Colombie Britannique (Projet de loi Bill 36) on pose une question vitale : Le médecin doit-il prioriser son serment d’Hippocrate et son code de déontologie lorsque des directives administratives vont à l’encontre de ses obligations éthiques ou doit-il plutôt obéir à ces mêmes directives ? Assisterons-nous à la fin de la médecine comme profession libérale ? La mission et le devoir premier du médecin de défendre d’abord et avant tout les intérêts du patient ne seraient plus alors qu’un vœu pieux ? Quelle est la position du CMQ sur ce sujet brûlant d’actualité ?

Alertes de sécurité :

Le 22 octobre 2020, le CBER (Center for Biologic Evaluation and Research) de la FDA, avant que ne débute la vaccination de masse, avait produit un rapport énonçant 22 classes d’effets secondaires prévisibles basés sur la technologie du vaccin à ARNm. On les retrouve tous dans les systèmes de surveillance du monde entier tels le VAERS, V-Save, Yellow Card, Eudravigilance etc.

Après beaucoup de retard et sous pression, le CDC a finalement dévoilé en juillet 2022 les alertes de sécurité (safety signals) concernant les effets indésirables rapportés dans le VAERS. Un signal d’alerte est un signal qui après analyse statistique comparative, se révèle être associé selon toute probabilité à l’administration du vaccin génique. Parmi ces signaux d’alerte, on note 65 signaux pour les enfants de 5-11 ans et 92 signaux pour ceux de 12-17 ans.

Le déni face à de telles informations n’est plus possible. Les slogans publicitaires, tous plus rassurants les uns que les autres (vaccin comme les autres, vaccin sûr et efficace, myocardite rare et bénigne, immunité vaccinale meilleure que l’immunité naturelle etc..) affirmés en boucle, ne pourront nous soustraire à nos responsabilités face à la justice. Les médecins, les administrateurs, les influenceurs ainsi que les autorités de santé du Québec sont soumis au code pénal et doivent tous prendre conscience de leur responsabilité légale, immédiate et future. C’est pourquoi nous vous implorons une fois encore, Dr Mauril Gaudreault, de recommander la suspension immédiate de la « vaccination » Covid-19 des enfants et des femmes enceintes au Québec ne serait-ce que par respect du principe de précaution.

Une incursion dans le monde des adultes ici et ailleurs et ce qu’il faut en déduire pour nos enfants :

Nos propos ne concernent pas l’injection génique des adultes. Cependant, cette vaccination génique expérimentale des adultes concerne aussi les enfants, d’une part parce qu’il s’agit du même produit que l’on a d’abord injecté aux adultes sous le couvert d’une « Utilisation en situation d’Urgence » pour ensuite l’injecter aux enfants sous la même couverture et ce, sans qu’il n’y ait aucune urgence pour eux. Et, d’autre part, parce que l’analyse des effets bénéfiques et délétères de ce produit chez les adultes est utile pour savoir à quoi s’attendre si on s’avisait, comme ce fut le cas, d’administrer ce produit chez les enfants en l’absence de preuve d’une balance risques/bénéfices favorable.

Au Québec :

  • Force est de constaterque malgré les mesures de confinement parmi les plus contraignantes qui soient en comparaison du reste du monde occidental, malgré un taux de personnes injectées bien au-delà des objectifs initiaux, le coronavirus SARS-CoV2 réputé par son haut taux de mutation, n’a jamais pu être contenu.
  • Force est de constater égalementqu’au Québec selon les statistiques gouvernementales officielles, en juin 2022 (on ne publie pas les données après cette date) les personnes qui avaient reçu 3 doses de vaccin étaient largement surreprésentées parmi les hospitalisés de la COVID-19. Ainsi, alors que les personnes qui s’étaient faites inoculer 3 fois composaient 51,2% de la population, elles représentaient 70% des hospitalisations pour la COVID-19. Elles étaient donc surreprésentées de 18,8 points négatifs. Le risque pour un vacciné 3 doses d’être hospitalisé était de 1,46 fois celui d’un non vacciné. Dit autrement, être vacciné adéquatement devenait un facteur de risque d’hospitalisation COVID-19.
  • Force est de constater égalementqu’entre juillet 2021 et juin 2022, toujours selon les statistiques gouvernementales québécoises, le risque de décéder du COVID-19 était beaucoup plus grand si on était adéquatement vacciné que si on ne l’était pas.

On excusera les citoyens ordinaires d’ignorer ces statistiques québécoises connues sans aucun doute par la direction de la santé publique. Ces statistiques embarrassantes qui s’opposent au discours promotionnel de la vaccination génique, ont cessé d’être publiées ici au Québec, mais également au Royaume-Uni et dans le monde occidental. Elles nous ont été communiquées suite à une demande spécifique via la Loi sur l’accès à l’information.  Qu’on le veuille ou non, il n’y a jamais eu d’épidémie des non-vaccinés (sauf par fraude statistique) et nous assistons plutôt à une épidémie des vaccinés. (1)

En outre, ailleurs dans le monde, on doit impérativement se questionner sur le pourquoi de la cessation de la vaccination génique des moins de 12 ans dans des pays développés tels que la Finlande, le Danemark, la Suède, la Norvège, l’Allemagne, l’Australie, la Floride et le Royaume Uni. On doit pareillement prendre en considération plusieurs observations cliniques et épidémiologiques qui laissent perplexes dont : 1) La surmortalité (mortalité non covidienne) dans les groupes d’âge des moins de 50 ans, surmortalité déjà prise en compte par les actuaires des compagnies d’assurance-vie qui n’ont aucun parti-pris sinon la rentabilité, 2) les alertes de sécurité très significatives du VAERS qui auraient dû forcer l’arrêt d’utilisation de ces produits expérimentaux selon les standards mêmes de la FDA.

La seule évocation de ces faits observables par les meilleurs statisticiens du monde tel le professeur Norman Fenton ou épidémiologistes tels que Dr John Ioannidis, sera de nature à faire monter aux barricades une cohorte de journalistes, décrypteurs et médecins sous influence. Nous leur rappelons qu’une approche dénuée de tout biais commercial, dans le meilleur intérêt des enfants, ordonne à tous une grande honnêteté intellectuelle afin de trouver une explication à ces observations indéniables.

  • https://reinfocovid.ca/deux-ans-de-vaccination-anti-covid-19-les-vaccins-ont-une-efficacite-negative-ce-nest-pas-nous-qui-le-disons-mais-les-donnees-de-la-sante-publique/

Quoiqu’il en en soit, en ce qui regarde notre propos, si le principe de précaution avait dû être sacrifié annihilant avec lui le serment d’Hippocrate, ces observations concernant les adultes ainsi que les alertes de sécurité, à elles seules, devraient suffire à justifier un moratoire immédiat pour la vaccination des enfants et femmes enceintes au Québec.

Indépendance du CMQ :

Ce n’est qu’une question de temps avant que Santé Canada n’autorise l’intégration du vaccin bivalent COVID-19 dans le calendrier vaccinal des enfants, comme ceci est en voie de se faire aux USA. Cette autorisation sera transformée en obligation de facto au Québec puisque ce produit étant introduit dans le calendrier vaccinal des enfants il sera difficile pour des parents mal informés de déceler le subterfuge. D’autant plus que ce produit génique risque fort d’être fusionné aux vrais vaccins que sont celui de la rougeole et la rubéole; les fabricants ayant reconnu ouvertement leur intention de le faire. Si cela était, vous auriez contribué par votre inertie et votre passivité à une fraude colossale aux répercussions délétères dont vous serez ou non témoin durant les années à venir et qui affectera toute une génération.

Les politiciens du Québec ont hérité, bien malgré eux, de la gestion de cette pandémie conformément à la Loi sur la Santé Publique du Québec. On comprend également que les politiciens sont la cible et le point de mire d’un lobbying impitoyable de la part des firmes de commercialisation (McKinsey) et des pharmaceutiques. Ils se doivent de veiller au maintien des nombreux sièges sociaux des compagnies pharmaceutiques au Québec et à l’installation de Moderna dans la ville de Laval. Tout cela pour préserver des emplois bien rémunérés.

Ainsi, seul un organe politiquement indépendant comme le CMQ, voué à la protection du public et qui constitue en quelque sorte son ultime gardien, peut agir sans interférence aucune pour le bien-être des enfants.

Ce devoir de protection des enfants vous incombe.

Un « corps étranger » dans la cédule vaccinale des enfants?

On ne peut pas permettre qu’un tel produit ait, fort habilement de la part des fabricants et par un trafic d’influence bien ciblé, tracé son chemin et évité par la porte arrière, tous les organismes de contrôle et de protection du public, tous les gouvernements ainsi que les directions de santé publique. On ne saurait permettre que l’industrie pharmaceutique escamote définitivement toutes les étapes de mises en marché normales d’un produit qui se retrouverait ainsi sous une fausse appellation, durablement incrusté dans la cédule vaccinale des enfants sans que la population n’en sache rien et à son plus grand détriment. Ce serait là une vile imposture. Dr Mauril Gaudreault, il y a dans la carrière de tout homme ayant une haute responsabilité de service envers les siens, des décisions courageuses qu’il lui faut prendre. Cette décision de demander un moratoire sur la vaccination génique des enfants et femmes enceintes en est une.

Conclusion :

Vous comprendrez donc à la lecture de ce qui précède, que bien que nous vous soyons reconnaissants de nous avoir rencontrés, et considérant que la mission de protection du public appartient d’abord aux médecins qui ont prêté un serment personnel à cet égard en sus de leurs obligations déontologiques, nous ne pouvons accepter le statu quo. Notre code de déontologie et notre obligation de fidélité aux données de la science nous appartiennent et ne sauraient être donnés en sous-traitance aux médias et à des influenceurs plus ou moins qualifiés.

Il y a urgence et nous nous engageons à travailler ensemble pour que la mission de notre institution du CMQ soit respectée particulièrement en ce qui concerne nos enfants et nos mères gestantes qui constituent l’avenir du Québec.

En l’absence de décision résolue et concrète de votre part, nous allons poursuivre inlassablement notre travail. Nous sommes des professionnels ayant bénéficié d’une éducation de haut niveau; laquelle éducation ne saurait être dissociée d’un devoir de service et de protection de la population. La présente est aussi une invitation à tous les médecins et aux autorités sanitaires du Québec à adopter une position qui sera gravée dans l’histoire et jugée selon les plus hauts principes d’éthique et de science.

Nous représentons de nombreux médecins et professionnels qui préfèrent l’anonymat dans une période de censure factuelle et scientifique implacable. Plus important, nous représentons des milliers de citoyens qui ont été des victimes impuissantes et qui appuient notre démarche. Il ne sera pas dit que nous n’aurons pas fait avec des moyens limités, tout ce qui est en notre pouvoir.

Sincèrement,

Collectif de médecins et professionnels de la santé
www.reinfocovid.ca

(Voir liste de signataires)

p.j. Principes du code de déontologie mis en péril ou occultés,

Alertes de sécurité de la CDC basés sur le VAERS.

  1. : INSPQ, MSSSQ, Association des pédiatres du Québec, Ordres professionnels, FMOQ, FMSQ, Association des cardiologues, DRMG
  2. Médias : Le Devoir, La Presse, Le Soleil, Journal de Montréal, Radio-Canada, Le Droit, L’actualité et autres.
  3. Politiciens de l’Assemblée Nationale, Associations de parents

 

Signataires :

  1. Dr René Lavigueur, Md
  2. Dr Robert Béliveau, médecin retraité
  3. Dr Danielle Fisch, médecin retraité
  4. Dr Alain Roux, médecin retraité
  5. Dre Snezana Stanojlovic, Md
  6. Simon Ruelland, médecin de famille, Pessamit, Côte-Nord
  7. Bernard Massie, Ph.D. en microbiologie U. de M, carrière au CNRC Canada
  8. Patrick Provost, Ph.D., Professeur titulaire, Faculté de médecine, Université Laval
  9. Christian Linard, D., DEPD en biochimie clinique
  10. Dr Gaétan Brouillard, médecin retraité
  11. Dr Jacqueline Magny, Md
  12. Mario Labrie, BPharm
  13. Barry Breger, médecin retraité
  14. Pierre Thériault, médecin de famille
  15. Anne Marie Begué Simon, md retraité
  16. Michel de Maupeou, omnipraticien retraité
  17. Marie-Claude Bourquel, Md
  18. Pierre Larose, dentiste
  19. Mariane Hébert, médecin vétérinaire retraitée.
  20. Sarah Paradis, pharmacienne
  21. Priscilla Guenette, pharmacienne
  22. Jean St Arnaud, md de famille obstétricien retraité
  23. Raymond Pageau, md chercheur et professeur retraité
  24. Euridice Prado, DDS, Ph.D.
  25. Diane Leroux, dentiste retraitée
  26. Guy Duquet, dentiste
  27. Luc Limoges, dentiste à la retraite
  28. Robert Bergeron, denturologiste retraité
  29. Dre Lyne Naud, optométriste
  30. Alain Roy, sociologue de la santé
  31. Karine Dorais, infirmière aux. en neurochirurgie – CIUSS
  32. Gabriela Lucaciu, infirmière première assistante en chirurgie
  33. Claudine Jouny, infirmière enseignante
  34. Lucie Asselin, Infirmière bachelière
  35. Sébastien Cormier, infirmier auxiliaire
  36. Isabelle Plante, Infirmière
  37. Nathalie Hamel, Infirmière en soins palliatifs
  38. Anne-Louise Boily, infirmière
  39. Caroline Raymond, infirmière auxiliaire
  40. Dalila Ghelid, infirmière auxiliaire
  41. Adéline Plante, infirmière auxiliaire
  42. Lucette Nadeau, infirmière à la retraite
  43. Jason Garant, infirmier auxiliaire
  44. Nicole Roy, infirmière retraitée
  45. Yulia Babakova, infirmière
  46. Marie-Claude Dubé, infirmière
  47. Réjeanne Marois, infirmière
  48. Guylaine Berthelette, infirmière clinicienne
  49. Sonia Fulham, infirmière EPSH et enseignante
  50. Melissa Viau, infirmière clinicienne
  51. Jenny Faulkner, IPSPL membre de l’OIIQ
  52. Stéphanie Paradis, infirmière clinicienne
  53. Francine Brien, infirmière retraitée
  54. Lucie Rochette, Infirmière et IBCLC Retraité
  55. Ninon Poisson, ex infirmière
  56. Guylaine Berthelette, Infirmière clinicienne
  57. Guy Racine, infirmier
  58. Nathalie Marcotte, infirmière
  59. Diane Albert inf. B.Sc., M. Sc
  60. Claudia Faille, sage-femme
  61. Michèle Daneau, paramédic
  62. David Turgeon, paramédic
  63. Dr André-Marie Gonthier, BSc, DDDC, FICC
  64. Jean-Michel Juste, intervenant en soins spirituels, CISSS
  65. Odile Desbois, physiothérapeute
  66. Sylvie Moquin, physiothérapeute
  67. Dany Boudreau, physiothérapeute au CISSSAT
  68. Laine Roczniak, physiothérapeute
  69. Isabelle Morneau, physiothérapeute
  70. Liliya M Gurvits, orthothérapeute
  71. Dre Nolwenn Falquet, chiropraticienne, D.C.
  72. Dre Tanya Doyon, chiropraticienne
  73. Dr Jean-Luc Flipo, chiropraticien D.C.
  74. Dre Louise Marcotte, chiropraticienne, B.Sc., D.C.
  75. Isabelle Ayers, chiropraticienne
  76. Dr Pierre Bernier, chiropraticien
  77. Dr André Lajoie, chiropraticien
  78. Pierre Des Lauriers, chiropraticien, D.C., N.D.
  79. Dr Jasmin Pitre, chiropraticien
  80. Jean-Marc Doyon, acupuncteur
  81. Sébastien Côté, acupuncteur
  82. Sophie Titley, acupuncteur
  83. Marilène Côté, acupuncteure
  84. Julie Gazard, acupuncteur
  85. Alexandra Duclos, acupunctrice
  86. Emmanuel Francoeur, acupuncteur (A-040-87)
  87. Isabelle Bories, ergothérapeute
  88. Nathalie Fontaine, ergothérapeute
  89. Esther Gauthier, ostéopathe
  90. André Fortier, ostéopathe
  91. Christine Lysight, ostéopathe
  92. Rachel Paquette, ostéopathe
  93. Geneviève Sévigny, ostéopathe
  94. Josée Villemaire, ostéopathe
  95. Daniel Parent, ostéopathe
  96. Suzanne St-Pierre, ex infirmière et ostéopathe
  97. Mélinda Fournier, agente au GAP
  98. Daniela Andreeva. M.Sc en Immunologie et microbiologie
  99. Janick Lussier, préposée aux bénéficiaires, CIUSSS
  100. Nadia Dicaire, préposée aux bénéficiaires
  101. Josée Robitaille, préposée aux bénéficiaires
  102. Sindy Laflamme, intervenante
  103. Jean-Pascal Vésin, B.Sc. Sciences biologiques
  104. Céline Parr, hypnose thérapeutique
  105. Lisette Duchesne, massothérapeute agrée
  106. Chantal Charest, inhalothérapeute
  107. Patrick Vésin, gestion du stress
  108. Paul Labrèche, homéopathe
  109. Liza Rodrigue, herboriste
  110. Ghislaine Cazaubon, naturothérapeute
  111. France Meunier, naturothérapeute
  112. Daniel Ethier, massothérapeute
  113. Véronik Tanguay, naturopathe
  114. Keven Arseneault, naturopathe
  115. Andrée Royer, naturopathe
  116. Lucie Caron, M.Ed
  117. Josianne Roy, M.Sc. chimie
  118. Roseline Gagnon M.Sc. Nutrition, Naturopathe Agréé
  119. Mélissa Laflamme, technologue en physiothérapie

 

LETTRE AU COLLÈGE DES MÉDECINS - 19 octobre 2022 - 33 signataires

À :

Dr Luc Boileau, Directeur National de Santé Publique du Québec
Dr Mauril Gaudreault, Président du Collège des Médecins du Québec
Dr Marie-Claude Roy, Présidente de l’Association des pédiatres du Québec
Pierre-Gerlier Forest, PDG de l’INSPQ
Christian Dubé, ministre de la Santé du Québec

 

Lettre ouverte au Collège des médecins du Québec
et à la Direction générale de la santé publique du Québec

concernant l’information à laquelle les parents ont droit
afin d’autoriser ou non l’injection pour leur enfant
d’un produit génique à base d’ARN-m en Phase III d’expérimentation

Les informations contenues dans ce texte sont vérifiables et proviennent des Centers for Disease Control (CDC), de la U.S. Food and Drug Administration (FDA) ainsi que des fabricants Pfizer et Moderna. Les principes à la base de ce texte sont ceux qu’on trouve dans le Code Civil du Québec, articles 10 et 11 et du Canada ainsi que le code de déontologie des médecins du Québec. Certains relèvent du Code de Nuremberg.

Le devoir personnel et incontournable du médecin, inscrit dans son code de déontologie, et auquel il ne peut se soustraire, lui impose de s’assurer qu’un consentement libre et éclairé soit obtenu de la part du patient. Libre signifie sans menace ni contrainte et, dans le cas d’un produit pharmaceutique expérimental, sans promotion aucune. Éclairé veut dire que le patient reçoit une information véridique, factuelle, complète et clairement exprimée. Le médecin a aussi le devoir déontologique de signaler des situations de santé publique à propos desquelles il juge que le public est mal protégé et/ou mal informé (articles 39 et 40 du code de déontologie des médecins).

Force est de constater que le public est mal servi à cet égard dans le contexte de la pandémie. On a présenté un produit expérimental de manipulation génique comme un « vaccin comme les autres ». On a présenté ce produit comme un « vaccin sûr et efficace ». On a répandu des messages non validés par la science, empreints d’une violence inouïe, faisant peser sur les fragiles épaules des enfants une responsabilité lors de la maladie ou du décès éventuel d’un de leurs parents ou grands-parents. On a dressé les citoyens les uns contre les autres, toujours à l’encontre de la science, en répandant les idées fallacieuses de contamination asymptomatique et de « pandémie des non-vaccinés » pour ne citer que celles-là.

Les médias ont comblé le vide d’information et se sont proclamés détenteurs et défenseurs de la vérité. Des journalistes souvent peu qualifiés ont présenté des vérités établies comme étant de la « désinformation » et des informations totalement fausses comme étant des dogmes scientifiques. Les médias ont stigmatisé tous ceux qui se sont questionnés sur les « vaccins » expérimentaux en leur accolant des épithètes dégradantes : anti-vaxx, complotistes, irresponsables, coucous, anti-science etc.

Si nous sollicitons l’appui des institutions que sont la Direction de la santé publique et le Collège des médecins du Québec (CMQ), c’est afin de permettre aux parents du Québec de prendre des décisions libres et éclairées ; décisions qui, il faut le mentionner, ont un caractère d’irréversibilité. Indirectement, cette lettre est adressée aux parents et le langage est volontairement simplifié, comme l’exige la loi qui encadre le « consentement libre et éclairé ».

Avis préliminaire : Les informations contenues dans ces pages sont rigoureusement conformes à des connaissances scientifiques reconnues et accessibles. Nous sommes conscients qu’elles pourront heurter le lecteur qui en prendra connaissance pour la première fois.

Une information complète, qui inclut tous les dangers d’un produit pharmaceutique, est une obligation éthique incontournable. Ce que nous avons trouvé comme information communiquée aux parents dans le contexte des vaccins anticovid est éthiquement et scientifiquement insuffisant d’où ce texte, qui, vise à mieux les informer. Des universitaires et scientifiques renommés du Québec et du monde entier ont été congédiés pour s’être exprimés publiquement et avoir émis des réserves pourtant tout à fait justifiées au sujet des injections anticovid. La censure qui prive les parents d’informations indispensables à une prise de décision éclairée, est inadmissible.

Ce texte sera également envoyé aux médias. Il se peut que des journalistes ou « décrypteurs » veuillent commenter ces informations. Libres à eux de le faire. Nous leur demandons toutefois de dévoiler leurs sources et leurs possibles conflits d’intérêts et d’exiger la même chose de tous les spécialistes qu’ils appelleront à s’exprimer publiquement ainsi que l’exige le code de déontologie journalistique. Il n’en va de rien de moins que de la vie et de la santé des enfants du Québec.

Soulignons que tous les professionnels ayant signé cette lettre, déclarent n’avoir aucun conflit d’intérêts. Mentionnons finalement que les principales références sont immédiatement accessibles en cliquant sur les hyperliens (texte souligné).

Obligation d’information, Consentement éclairé
Avant de prescrire ou de donner un traitement ou un médicament, le médecin, le gouvernement ou la Santé publique, en l’occurrence, a l’obligation éthique et légale de fournir à la personne toutes les informations relatives au produit concerné. Il s’agit d’un devoir incontournable des médecins et il s’agit également d’une obligation légale inscrite au Code civil du Québec articles 10 à 25. Cette obligation s’inspire du principe d’« inviolabilité de la personne » et de son « droit à la vérité ».

Liberté de choix  

La personne doit avoir l’entière liberté d’accepter ou de refuser tout produit pharmaceutique sans être récompensée, ni pénalisée par son choix. Cela est valable autant pour les adultes que pour les enfants.[1] Comme le vaccin génique contre la COVID-19 est un produit expérimental non homologué mais autorisé sous le couvert de l’urgence sanitaire et qui, de plus, n’a pas été adéquatement testé chez les animaux, il ne devrait y avoir aucune promotion de ce produit, et, surtout, il ne devrait y avoir aucune conséquence fâcheuse pour quiconque refuse. Aucune pression ne devrait être exercée sur la personne. [2] (Voir section 9).

Choix éclairé : aucune information ne doit être cachée

Pour que le choix soit éclairé, il faut que toutes les informations disponibles (avantages et inconvénients potentiels, risques, incertitudes) soient fournies et transmises dans un langage compréhensible. Or les plus hautes autorités (Dre Rochelle Walensky, CDC) ont affirmé que les informations sur le vaccin génique ne sauraient être toutes divulguées. De plus, les fabricants des injections à ARNm refusent toujours, même si leurs produits sont déployés à l’échelle de la planète, d’en dévoiler la composition exacte alléguant qu’il s’agit d’un secret commercial. Les autorités concernées, l’Organisation mondiale de la Santé, la Santé publique du Québec, Santé Canada, le Collège des médecins du Québec (CMQ), nos gouvernements (fédéral et provincial) n’ont pas exigé des compagnies pharmaceutiques qu’elles dévoilent la composition exacte de leurs produits. En conséquence il y a impossibilité d’un consentement vraiment éclairé, ce qui contrevient aux principes fondamentaux du CMQ.

En dépit de ces difficultés, nous devons tout mettre en œuvre pour partager les informations connues et émergentes concernant ce vaccin génique. Qu’elles proviennent des fabricants eux-mêmes, de la FDA ou des CDC, du VAERS, du V-Safe américain du système Eudravigilance européen, ces informations sont toutes vérifiables.

Consentement et responsabilités du parent

Jamais un produit expérimental n’a été administré aux êtres humains sans expérimentation animale complète depuis les tragiques médicaments qu’ont été la thalidomide[3] et le DES[4] administrés aux femmes enceintes. L’application du « principe de précaution » n’est pourtant jamais aussi capitale que lorsqu’il s’agit d’enfants et de fœtus.

Les enfants ne sont pas en mesure de comprendre les informations transmises pour qu’un consentement soit considéré comme vraiment « éclairé ».

Ainsi, le parent qui donne son autorisation au nom de son enfant doit comprendre

  1. qu’il s’agit d’une intervention irréversible dont les conséquences à court et moyen terme sont méconnues et souvent sous-estimées, et dont les retombées à long terme (y compris le risque d’infertilité) sont inconnues du fait de l’absence de recul ;
  2. qu’il prend une décision au nom de son enfant, considéré inapte à décider pour lui-même, et qu’il s’agit d’une responsabilité au long cours;
  3. que cette injection à ARN-m est un produit qui n’a jamais été utilisé à grande échelle chez les humains et est totalement différent de tous les vaccins auxquels on nous a habitués. Il est faux de prétendre que cette injection est un « vaccin comme les autres ».

Balance risques/bénéfices

On doit toujours se demander si le produit comporte plus d’avantages ou plus d’inconvénients (risques). On doit aussi tenir compte de l’âge et des particularités de l’enfant concerné.

Les études effectuées chez les enfants par les fabricants n’ont pas rempli les critères minimaux de validité (nécessité, efficacité et sécurité). Ces études sont scientifiquement insuffisantes et insatisfaisantes. Elles ont néanmoins été acceptées par la FDA et par Santé Canada.

Il faut d’abord savoir que la vaste majorité des enfants ont déjà acquis une immunité naturelle contre la COVID-19 et ensuite que les enfants sont très rarement gravement affectés par la maladie. De plus, c’est maintenant reconnu par le CDC, depuis le 6 août 2021, que cette vaccination n’empêche ni de contracter la maladie ni de la transmettre. Finalement, comme les personnes triplement vaccinées occupent dans une grande proportion les lits d’hôpitaux et de soins intensifs, la pertinence de la vaccination est de plus en plus remise en question, particulièrement chez les personnes saines âgées de moins de 60 ans. Elle est dorénavant interdite au Danemark chez les moins de 18 ans, et ce, depuis le 1er septembre 2022.

Les risques de myocardite sont, eux, indéniables et la substance injectée peut causer divers dommages au cœur et à tous les organes où la protéine Spike, toxique, peut se loger. Les avantages de ce produit pour nos enfants n’ont pas été expliqués de façon satisfaisante et encore moins démontrés par la Santé publique ou par le gouvernement du Québec.

Il y a donc des avantages non démontrés, mais les risques, eux, sont indiscutables et parfois irrémédiables, soumettant ainsi les enfants à un danger inutile et injustifié.

Myocardite
Les myocardites affectent principalement les adolescents et les jeunes hommes.

Selon Pfizer, le risque de myocardite peut être aussi élevé qu’un enfant sur mille «vaccinés». Selon une étude thaïlandaise basée sur une surveillance active de jeunes vaccinés, près de 30% des jeunes avaient des marqueurs d’atteinte cardiaque. La question qui s’impose est: « Pourquoi exposer des enfants sains à une substance (protéine Spike) bien connue pour être potentiellement toxique pour le cœur ? »

Certains ont dit que la myocardite était « rare et bénigne ». Elle n’est ni aussi rare ni aussi banale qu’on nous le laisse entendre. Une maladie du cœur avec un risque de séquelles graves à moyen et long terme ne peut certainement pas être qualifiée de bénigne.

Effets indésirables à long terme  

La protéine S, que les cellules du corps humain produisent à la suite du vaccin génique à ARNm, se répand dans tout le corps, d’où le risque d’inflammation (ex. : caillots et thromboses)[5] et de dommage aux organes incluant le cerveau. Les dommages causés par cette substance pourraient apparaître des années après la « vaccination ». Ainsi on ne peut pas connaître précisément la balance risques/bénéfices. En revanche, il faudrait que les avantages de cette injection soient majeurs et indéniables pour faire pencher favorablement cette balance risques/bénéfices, ce qui n’est pas le cas. C’est pourquoi le Danemark a interdit la vaccination des enfants sains.

Dommages potentiels au système immunitaire de l’enfant

Le Dr Paul Offit, directeur du comité aviseur sur les vaccins à la FDA, a déclaré qu’il y avait un risque réel que le produit à ARNm administré à l’enfant puisse affaiblir durablement son système immunitaire, ce qui le rendrait plus vulnérable à des infections futures que s’il n’était pas vacciné (7). Récemment il ajoutait qu’il fallait être particulièrement prudent face aux injections bivalentes, celles-ci ayant été mises sur le marché sans aucune expérimentation humaine préalable.

Produit non testé chez les animaux ?

Pour qu’un produit médicamenteux soit approuvé, il doit d’abord avoir été testé chez les animaux (souris, rats, et lapins des deux sexes et animaux gestants). Dans le climat d’urgence ayant entouré cette pandémie et dans la hâte de fabriquer un « vaccin », le fabricant a considérablement abrégé l’étape cruciale qu’est l’expérimentation sur les animaux, laquelle aurait nécessité plusieurs années pour que toutes les phases soient complétées. Ont également été négligées les études complètes de bio-distribution et de toxicité normalement exigibles. Les exemples funestes plus haut de la Thalidomide et du DES qui ont causé malformations fœtales, infertilité et cancers vaginaux auraient pourtant dû nous inciter à plus de prudence. Il est important de mentionner que les vaccins à ARNm novateurs, expérimentaux et, dont le profil risques/bénéfices est défavorable pour les jeunes et les enfants en bonne santé, profitent d’une autorisation de mise en marché en vertu d’un arrêté d’urgence, et ce, alors qu’il n’y a jamais eu d’urgence dans la population pédiatrique.

En cas de dommages, aucun recours légal possible envers le fabricant

En cas de dommages, c’est-à-dire, d’effets indésirables causés par ce vaccin génique (myocardites et ses séquelles, mort, allergie au PEG[6] et anaphylaxie, désordres immunitaires, troubles neurologiques etc.), le fabricant ne saurait être tenu légalement responsable pour deux raisons :

Les fabricants ont posé comme condition à la vente de leurs produits aux pays concernés la signature d’un contrat de non-imputabilité à leur égard. Ces contrats conclus avec nos gouvernements sont strictement confidentiels.

L’utilisation de ce vaccin génique est rendue possible grâce à une clause dite : autorisation d’utilisation en cas d’urgence. Pour que cette clause soit évoquée, aucun autre produit efficace ne doit être disponible et il doit y avoir une urgence sanitaire. Dans ce cas, il ne peut y avoir de recours judiciaire[7].

Le produit à ARN messager est-il un vaccin ? « Un vaccin comme les autres » ?

Normalement, un vaccin est considéré efficace s’il empêche la personne de contracter la maladie ET s’il prévient la transmission du virus. Or, nous savons actuellement que ce produit n’empêche la personne ni de contracter la COVID-19, ni de la transmettre et ce, avec le même degré de contagiosité.

Voilà qui ne répond pas aux critères d’un vaccin efficace. La raison pour laquelle les injections contre la COVID-19 ont été présentées comme des vaccins était de favoriser leur acceptation dans un habile plan de marketing.

Affirmer qu’il s’agit de « vaccins comme les autres » est mensonger. C’est de la désinformation. Aucun vaccin traditionnel n’utilise une technologie génique à ARNm. Ces “vaccins” sont entièrement différents de tous les vaccins que l’on connaît. Leurs effets secondaires connus et répertoriés sont multiples, différents, plus fréquents et parfois graves.

Est-ce un produit « sûr et efficace » ?

Un produit sûr ? Non, puisque la compagnie Pfizer a identifié 1 291 effets secondaires pouvant résulter de son produit. Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) qui est système d’auto-rapport des effets secondaires par la population américaine, dont chacun peut consulter les données, mentionne, en date du 16 septembre 2022, 1,418,220 rapports d’effets secondaires dans tous les groupes d’âge, incluant plus de 31,000 décès et près de 260,000 dommages sérieux. De plus, on considère, selon une analyse commandée par la FDA, que la fréquence réelle devrait être multipliée par 10 ou 100.

Efficace ? Actuellement les autorités ne s’expliquent pas certaines statistiques officielles dont les nombreux décès par COVID chez les doublement ou triplement vaccinés, les décès subits chez les athlètes ainsi que les statistiques de surmortalité; voilà qui soulève de légitimes questions. L’efficacité des « vaccins » chez des personnes saines a-t-elle vraiment été démontrée ? [8]

Dommage aux ovaires et infertilité ?

Qu’en est-il de la seule étude de bio-distribution animale effectuée par Pfizer ? Il s’agit d’une étude japonaise découverte par un virologue et immunologue de l’Ontario, Dr Byram Bridle, qui l’a fait traduire. On a injecté de l’ARNm à des rats et étudié où le produit (nanoparticules lipidiques) se distribuait. On a noté que ce produit toxique se retrouvait dans plusieurs organes et en quantité très importante dans les ovaires. Cette étude a été faite en 2012. Malheureusement le fabricant n’a pas réalisé d’études complémentaires pour documenter cette information pour le moins inquiétante. Cette information, associée à la découverte par Pfizer d’anticorps anti-sperme et à d’autres études montrant une diminution transitoire du sperme des hommes injectés, nous autorise à nous demander si les injections à ARNm peuvent nuire à la fertilité future de nos enfants. Le fardeau de la preuve, puisqu’il s’agit de produits expérimentaux, repose sur les épaules du fabricant et de ceux qui en font la promotion. Cette question, malgré une étude préliminaire du fabricant pour le moins inquiétante, demeure sans réponse les études animales ou humaines complémentaires n’ayant pas été faites. Quel parent, en toute connaissance de cause, est prêt à faire courir ce risque à son enfant ?

Éthique : vacciner les enfants pour protéger les adultes ???

L’INSPQ affirme dans son rapport destiné au gouvernement du Québec qu’il peut être éthique de vacciner les enfants pour protéger les personnes âgées et vulnérables.

Cette logique de l’INSPQ est d’autant plus questionnable que :

(1) Ce ne sont pas les enfants qui transmettent le COVID aux personnes âgées, mais les adultes qui la transmettent aux enfants.

(2) La « vaccination » n’empêche ni de contracter la maladie, ni de la transmettre, et ce, avec la même intensité.

Une autre publication par un groupe de professeurs d’éthique d’Oxford et des Pays-Bas s’oppose à ce principe et propose une longue et pertinente réflexion.

Les parents qui décident au nom de leur enfant sont les seuls juges en la matière. La question est la suivante : « Le parent accepte-t-il le risque de compromettre la santé de son enfant dans l’espoir de prolonger la vie de personnes très âgées et vulnérables ? Accepte-t-il que son enfant serve en quelque sorte de bouclier ?

Le parent seul doit décider de ce qui est éthique dans ces circonstances. Comme le CMQ n’a pas aboli le principe de précaution ni le principe d’un consentement libre et éclairé, ces principes devraient s’appliquer pour des produits, toujours en investigation, non testés suffisamment sur les animaux, lorsqu’il est question de les administrer aux enfants, une population déjà largement immunisée naturellement dans un contexte, pour eux de non-urgence.

Produit expérimental de manipulation génique destiné à être inclus sous le couvert d’une fausse représentation dans le calendrier vaccinal des enfants : méfiance vaccinale accrue ?

Le fabricant et les autorités sanitaires envisagent une « mise à jour » régulière de la vaccination chez les adultes, possiblement conjuguée à une vaccination anti-influenza.

Pour les enfants, on étudie la possibilité d’introduire ce produit dans leur calendrier vaccinal. Ce produit s’introduirait en douce sous une fausse représentation

d’« autorisation en cas d’urgence ». À cet égard, il appartient à la Direction de la santé publique et au Collège des médecins du Québec d’être vigilants et de remplir leur mission première de protection du public. Les enfants sont notre richesse et représentent l’avenir du Québec.

Si ces vaccins bivalents ou polyvalents étaient acceptés, ils pourraient alimenter une méfiance grandissante envers tous les vaccins en général, incluant ceux dont l’efficacité et la sécurité sont présentement reconnus. La responsabilité de nos institutions s’en trouve accrue.

En guise de conclusion :

Nous nous sommes attachés à l’obligation de vérité et à la nature et l’étendue des informations qui doivent être transmises aux parents et qui sont indispensables à une prise de décision éclairée concernant l’inoculation de leur enfant avec un produit expérimental à base d’ARN messager. Comme mentionné, un consentement tout à fait éclairé n’est pas possible, dans la situation actuelle, étant donné le manque de recul face à ce nouveau produit et la décision de la FDA et du fabricant de ne pas diffuser toutes les informations nécessaires à une prise de décision.

D’autre part, nous croyons que le Collège des médecins du Québec et la Direction de la santé publique pourraient faciliter la prise d’une décision plus éclairée en produisant un document qui ne soit ni promotionnel, ni propagandiste et qui inclurait les informations contenues dans la présente.

Pour l’instant, les risques du vaccin contre la COVID-19 pour un enfant normal nous apparaissent de toute évidence supérieurs aux bénéfices. Il y a également nécessité d’obtenir des avis légaux et éthiques totalement indépendants. Ces avis font cruellement défaut.

En somme, nous les signataires, demandons à nos indispensables institutions de réglementation que sont la Direction de la santé publique et le Collège des médecins du Québec de remettre la science à l’ordre du jour concernant la vaccination des enfants.  On ne peut pas laisser les médias et les « décrypteurs » bien intentionnés mais non habilités à décortiquer les études scientifiques, à comprendre les mécanismes d’action d’une thérapie génique ou à saisir les subtilités de la science, être de facto les instances qui dictent aux parents ce qu’il convient de faire concernant la vaccination de leur enfant.

Où est le choix libre et éclairé lorsqu’on défend bec et ongles une vaccination expérimentale chez des enfants qui n’en ont pas besoin, lorsqu’on censure les opinions différentes, et les scientifiques qui osent évoquer l’existence d’effets secondaires pourtant graves, nombreux et bien documentés par la FDA et les CDC eux-mêmes ?

Nous demandons instamment à nos institutions d’intervenir et de reprendre la place qui leur revient dans cette question de la vaccination des enfants.

La présente constitue également un avis formel en respect de l’article 39 du code de déontologie des médecins concernant le signalement d’une situation qui met en péril la population, en l’occurrence les enfants du Québec. Si ce qui précède est conforme, une interdiction complète et immédiate de la vaccination des enfants du Québec contre la COVID-19 s’impose, ne serait-ce qu’en vertu du principe de précaution (« D’abord, ne pas nuire »).

Dans l’attente d’une réponse expresse de votre part, nous vous prions d’accepter nos sincères salutations.

Collectif de médecins et de scientifiques

En partenariat avec Réinfo Covid Québec
www.reinfocovid.ca
reinfo@reinfocovid.ca
Membre d’un collectif international de 4000 médecins et 80,000 adhérents

Quelques signataires et cosignataires – Médecins, scientifiques, pharmaciens, etc.

  1. Dr René Lavigueur, MD
  2. Dr Robert Béliveau, médecin à la retraite
  3. Dr Danielle Fisch, MD
  4. Dr Alain Roux, MD
  5. Dre Snezana Stanojlovic, MD
  6. Simon Ruelland, MD
  7. Bernard Massie, PhD en microbiologie U. de M. Vecteurs de génomique et thérapie génique, carrière à l’INRS, Québec, Canada
  8. Patrick Provost, PhD, Biochimiste et chercheur, Université Laval
  9. Christian Linard, PhD
  10. Dr Gaetan Brouillard, MD
  11. Dr Andrée Mathieu Serra, MD
  12. Dr Robert Flood, MDCM
  13. Dr Jacqueline Magny, MD
  14. Jean-Yves Dionne, BPharm
  15. Mario Labrie, BPharm
  16. Barry Breger, médecin à la retraite
  17. Pierre Larose, Dentiste

 

ANNEXE 1

Quelques questions au Collège des médecins du Québec
et à la Direction de la santé publique du Québec

  1. Est-il scientifiquement justifié d’affirmer à la population que l’inoculation à ARN messager contre la COVID-19 est un « vaccin comme les autres » ?
  2. Le principe de précaution (Primum, non nocere) et l’obligation d’un consentement libre et éclairé sans menace, ni contrainte, ni promotion aucune ont-ils été suspendus en vertu de la loi de l’urgence sanitaire qui a entouré la pandémie COVID-19 ? Si oui, précisez.
  3. Est-il scientifiquement justifié de s’inquiéter des nombreux effets secondaires avérés ou potentiels de ce produit pharmaceutique génique expérimental ? De s’inquiéter notamment de la fertilité future de nos enfants inoculés avec ce produit compte tenu des études de diminution du sperme des hommes inoculés, de la découverte d’anticorps anti-sperme par la compagnie Pfizer, et de la découverte d’une concentration exceptionnellement abondante de la protéine « S », toxique, dans les ovaires de rats, sans qu’aucun suivi soit effectué ou qu’aucune étude complémentaire soit menée ?
  4. Est-il scientifiquement permis dans le contexte d’un produit expérimental toujours en investigation et dans un contexte de non-urgence pour les enfants, de se questionner sur les risques de dommages irréparables à leur système immunitaire ? Rappelons que le Dr Paul Offit, pédiatre membre du comité aviseur de la FDA sur les vaccins s’inquiète spécifiquement de cette question.
  5. Que pensez-vous des cas du Danemark et du Royaume-Uni qui ont non seulement abandonné, mais interdit la vaccination des enfants sains ? Quels seraient leurs motifs ? Pourquoi est-ce différent ici ? Quelle leçon peut-on en tirer ?
  6. Nous faisons le constat de beaucoup de désinformation de la part des médias de masse. Plusieurs médecins ayant d’importants conflits d’intérêts s’expriment publiquement sans déclarer ces conflits et sans divulguer leurs sources, contrevenant ainsi à leur code de déontologie. Le CMQ pourrait-il intervenir sur ce plan ?
  7. Peut-on parler d’un consentement libre dans le contexte de l’annonce, au printemps 2021, d’un pourcentage de vaccination à atteindre par l’école secondaire pour que les activités parascolaires aient lieu à la rentrée ? Tout cela étant, de toute évidence, associé à une intense pression de groupe par les pairs et les enseignants, sans que les médecins de famille ne puissent s’exprimer librement ?
  8. Comment justifiez-vous, sur le plan sanitaire, l’imposition d’un passeport vaccinal pour tous les adolescents ?
  9. Que pensez-vous de l’analyse critique rédigée par le comité consultatif médical et scientifique du CCCA (Canadian Covid Care Alliance) récemment mis en ligne sur le site du CCCA, qui analyse et réfute point par point les recommandations du comité canadien de vaccination (NACI) ? Comme toute la justification de la vaccination y est remise en cause, avec nombreuses sources à l’appui, un dialogue ne devrait-il pas être initié ?

ANNEXE 2

Sources et références

Australia has quietly stopped recommending more Covid vaccines for almost everyone under 50, and Norway under 65.

Étude japonnaise. Haute concentration dans les ovaires et la moelle osseuse. Byram Bridle :

Protéine S : Distribution du vaccin et de la protéine spike : (Étude japonnaise et du Dr Byram Bridle :

British Medical Journal

Efficacité négative. Plus de mal que de bien avec la « vaccination » obligatoire contre COVID :

« Whatever teenagers and families decide, their views must be heard and respected”.

Considérer avec soin la vaccination des enfants. Vaccination enfants à risque.

CCCA : Contre-arguments NACI guidelines

CDC: Nouvelles orientations de la CDC qui renie des affirmations précédentes.

Directrice CDC Rochelle Wolensky: “what they can’t do anymore is prevent transmission.”  (2 octobre 2021) –

CDC: Non-vaccinés = vaccinés. CDC Quietly Ends Differentiation on Covid Vaccination Status

COVID-19. Transmission and children: The child is not to blame.

 Contrats secrets et inaccessibles aux citoyens de la CEE

Exemption de vaccination : Usurpation du droit du médecin d’exercer son jugement. Contrindications à la vaccination selon une directive gouvernementale : Un « choix libre et éclairé » devient-il une obligation?

Documents piliers :

  1. Stephanie Seneff : Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccineshttps://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/23
  2. Dr Byram Bridle, PhD, Associate Professor of Viral Immunology – COVID-19 Vaccines and Children:
  3. Bernard Massie : L’absence de fondement scientifique de l’obligation vaccinale pour la COVID-19 :

COVID-19 Vaccines and Informed Consent

  1. Kennedy, Robert F. Livre; A letter to liberals, Censorship and COVID: An Attack on Science and American Ideals’
  2. Russel L. Blaylock nous offre un résumé pluridisciplinaire de cette pandémie :
  3. Dr Aseem Malhotra, Royaume Uni. Exposé magistral.

European journal of Epidemiology : Les pays les plus vaccinés ont le plus de nouveaux cas de COVID :

Harvard : Étude de 68 pays : L’augmentation des cas COVID n’a aucun lien avec le taux de vaccination :

Effets secondaires de la vaccination. 1 366 références pour l’ensemble des effets secondaires rapportés. Par Dr K.E. Thorp :

Effets indésirables au nombre de 1,291, dévoilés par ordre de cour via documents Pfizer : 03-2022

Infections augmentées post inoculation. Risque infectieux. Virology journal. NIH. Pubmed.gov

Israel : Pays le plus vacciné au monde : Le plus de cas et Atteinte de l’immunité.

JAMA

Myocardite post vaccination. Fréquence :

Guillain Barré et inoculation mARN :

Lancet. Transmissibility of SARS-COV-2 among fully vaccinated individuals. Vaccinés et contagieux:

Liberté d’expression. Patrick Provost, professeur universitaire congédié pour s’être exprimé :

Marketing : Appellation « vaccin » = Stratégie de marketing du dirigeant de Bayer : Reconnait que ce produit n’est pas un vaccin.

McCullough, Dr Peter Cardiologue épidémiologiste, conseillé au Congrès américain

Myocardites : Reconnaissance par Moderna d’un lien de causalité entre la protéine S et la survenue de myocardites :

Peter Doshi du BMJ: More harm than good:

Peter Doshi : Vaccination enfants. University of Maryland. COVID-19 vaccines in children: be careful.

Myocardite post Covid shots in adolescents. Thailand: ‘Stunning’ Link Between Pfizer Vaccine and Myocarditis in Teens, Study Shows

Young Pfizer covid vaccine recipients suffered heart effects

New England journal of medicine

NEJM-Efficacité négative. Triples vaccinés ont un COVID plus sévère et plus contagieux (Canada (Manitoba), UK, Israël. Canada : Manitoba : les vaccinés sont plus susceptibles d’être infectés et de mourir que les non-vaccinés :

NEJM : A study published in the prestigious New England Journal of Medicine found that individuals fully vaccinated and boosted against COVID-19 actually recover markedly more slowly from the illness and remain five times more contagious 10 days after infection.

 

BMJ – BRITISH MEDICAL JOURNAL

Pfizer: BMJ. Falsification de données de recherche COVID-19 :

Prasad, Vinay. How could they have done this to our children:

Pfizer: Aucune étude de toxicité, de tératogénicité, de carcinogénicité selon documents officiels

Pfizer Contrats secretsPfizer accused of holding Brazil ‘to ransom’ over vaccine contract demands

Pfizer documents : Bio distribution : What Pfizer, J&J COVID Vaccine Animal Trials Reveal About Shots’ Potential Impact on Major Organs

Pfizer BMJ. Falsification de données COViD-19

Pfizer. Documents secrets. Dissimulation des informations par la FDA et Pfizer concernant les fœtus des femmes enceintes vaccinées :

Plateforme ARNm et comment un produit insuffisamment testé peut devenir la norme. Risque de miner la confiance du public (Méfiance vaccinale).

Risque relatif versus absolu pour étude Pfizer :

Suède Elle cesse de recommander la vaccination des 12-17 ans :

Thalidomide – ICI RADIO-CANADA – ARCHIVES

Uruguay : Un juge fait cesser l’inoculation des moins de 13 ans et demande l’obtention des contrats secrets avec Pfizer.

Vaccinés et contagieux Revue Nature

Comment les personnes vaccinées répandent le variant Delta ? Revue nature.

Annexe 3

Quelques auteurs dissidents et/ou censurés

Censure et absence de débat sur un sujet éminemment scientifique.

Liste non exhaustive de médecins et spécialistes du Québec, du Canada, internationaux dont plusieurs ont été censurés ou empêchés de travailler pour avoir jeté un éclairage nouveau ou différent sur la pandémie COVID-19.

  1. Alexander, Dr Paul E. PhD, McMaster University, Oxford University, épidémiologiste, ancien conseiller à la Maison Blanche, Ontario, Canada.
  2. Bhakdi, Sucharit, microbiologiste retraité, Thai-Allemand, Ordre du Mérite Rhineland, Allemagne.
  3. Bilheran, Ariane, docteure en psychopathologie, France.
  4. Bridle, Dr Byram immunologiste viral, chercheur et professeur, McMaster et Guelph Universities, Ontario, Canada.
  5. Christian, Dr Francis chirurgien, humaniste,congédié, Saskatchewan, Canada.
  6. Cole, Ryan, pathologiste, USA
  7. Cotton, Christine Étude sur documents déclassifiés Pfizer, France.
  8. Derome, Nicolas Ph D., Université Laval, Québec, Canada.
  9. Desbiolles, Dr Alice, épidémiologiste, Santé Publique, France.
  10. Desmet, Mattias. Ph D. en psychologie et maîtrise en statistiques, psychologie de masse, Ghent University, Belgique.
  11. Doshi, Peter, éditeur adjoint, BMJ, Pharmacologie, Université Maryland, USA
  12. Fouché, Dr Louis anesthésiste-réanimateur, co-fondateur Réinfocovid, France.
  13. Henrion-Claude, Alexandra Généticienne PhD généticienne, France.
  14. Hoffe, Dr Charles Douglas médecin de famille, Colombie Britannique, Canada.
  15. Ioannidis, Dr John P.A., statistiques, épidémiologie, Santé publique, Université Stanford, USA.
  16. Kulldorff, Martin PhD Harvard Medical School, biostastiticien, Déclaration de Great Barrington, USA
  17. Lawrie, Dr Tess MBBCh, PhD, directrice EBM, Fondatrice A Better Way to Health, Bath, Royaume Uni.
  18. Malone, Robert biochimiste, médecin, co-inventeur technologie mRNA, USA.
  19. Martin, Dr David E. spécialiste des brevets mRNA, USA
  20. Massie, Bernard PhD en microbiologie U. de M. Vecteurs de génomique et thérapie génique, carrière à l’INRS, Québec, Canada.
  21. Mc Cullough, Dr Peter Cardiologue, MPH, célèbre spécialiste qui a conseillé le sénateur Ron Johnson en matière de pandémie ; très nombreuses publications scientifiques, Texas, USA.
  22. Montagnier, Dr Jean-Luc, virologue, décédé 2022, prix Nobel de médecine en 2008, co-découvreur du virus du SIDA, Institut Pasteur, France.
  23. Payne, Dr Eric, pédiatre, neurologue, Alberta, Canada.
  24. Perronne, Dr Christian Médecin infectiologue, spécialiste des maladies infectieuses émergentes, France.
  25. Ponesse, Dr Julie PhD en philosophie et maîtrise en Bioéthique, congédiée de son poste d’enseignante d’éthique, Ontario, Canada.
  26. Prasad, Dr.Vinay Hémato-oncologue, Épidémiologiste et biostastisticien, Université de Californie à San Francisco, Californie, USA.
  27. Provost, Patrick Biochimiste, Université Laval, biogénèse et function de l’ARN, suspendu 8 semaines sans salaire » pour avoir exprimé son avis contre la vaccination expérimentale chez les enfants, Québec, Canada.
  28. Risch, Dr. Harvey, Md PhD. MPH, Yale School of Public Health, conseiller au Sénat américain, USA.
  29. Rose, Jessica PhD en biologie, 2 post-Doc, maîtrise en immunologie, chercheure, Terre-Neuve, Canada.
  30. Seneff, Stéphanie, MIT, intelligence artificielle, Mass, USA
  31. Vanden Bossche, Dr Geert PhD en virologie, expert mondial des vaccins, Belgique.
  32. Yeadon, Dr Myke Ex V.P. Pfizer, lanceur d’alerte, Royaume Uni.
  33. Zelenko, Vladimir Dr humaniste, médecin de famille, décédé 2022, USA.

[1][1] Une gratification sous forme de crème glacée aux enfants ou de loto serait ainsi contraire à l’éthique.

[2] 9 (1) No person shall label, package, treat, process, sell or advertise any drug in a manner that is false, misleading or deceptive or is likely to create an erroneous impression regarding its character, value, quantity, composition, merit or safety

[3] 1960 : Produit tératogène causant notamment des malformations foetales, prescrit aux femmes enceintes sans expérimentation animale préalable et ayant causé une tragédie mondiale.

[4] DES = Diethylstilbestrol : Produit prescrit aux femmes enceintes entre 1940-1971 sans expérimentation animale préalable et ayant causé des cancers vaginaux et des problèmes de stérilité chez les filles avant qu’on interdise sa commercialisation 30 ans après sa mise en marché en 1938.

[5] Les nanoparticules ainsi que le Polyéthylèneglycol (PEG) et l’ARNm qu’elles contiennent sont aussi toxiques

[6] PolyÉthylèneGlycol

[7] Sauf en cas de fraude du fabricant. Pfizer est la compagnie la plus sanctionnée au monde pour fraude.

[8] Les taux d’efficacité annoncés de « 95% » sont des taux basés sur la réduction du risque relatif. La seule donnée acceptée en science est la réduction du risque absolu (RRA). En l’occurrence pour cette étude Pfizer la RRA est de 0,7%.

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