Le magazine allemand « Multipolar » a intenté une action en justice sur la base de la loi allemande sur la liberté d’information pour la publication des procès-verbaux des réunions de l’équipe allemande de crise sur la covid, basée au RKI (Institut Robert Koch, l’équivalent de l’INSPQ au Québec ou de l’Institut Pasteur en France). Ils prouvent que les décideurs ont été informés dès le début que le covid était moins dangereux qu’une épidémie de grippe. Ils savaient aussi que la plupart des mesures ne seraient d’aucune utilité, voire nuiraient. Même chose pour les « vaccins » dont ils ont su quasiment tout de suite qu’ils étaient inefficaces. Finalement, toutes les mesures visant à « lutter contre le covid » en Allemagne (et surement partout ailleurs) ont été ordonnées par les politiciens et les militaires, sans aucun débat scientifique. Il s’agit d’un scandale retentissant dans ce pays… et probablement à venir dans le reste du monde.

Ces documents bien que caviardés sur plusieurs pages (148 sur 1 000 et dont des virologues célèbres en Allemagne dénoncent le fait que cela concerne des pages entières sur les vaccins) démontrent que l’Institut de santé allemand n’était pas du tout inquiet du Covid. Et que ce sont les politiques qui ont fait pression pour imposer les « mesures sanitaires ».

 

« Une mise en scène »

Les documents montrent aussi clairement que le renforcement de l’évaluation des risques de « modéré » à « élevé » annoncé le 17 mars 2020, qui constituait la base de toutes les restrictions liées au Covid, n’était pas basé sur l’évaluation professionnelle de scientifiques… mais sur les instructions directes d’un « acteur politique », dont le nom est masqué pour l’instant. Cela fait titrer à l’Agence de presse autrichienne (OTS) que « les protocoles RKI montrent que les mesures liées au coronavirus étaient une mise en scène sans preuve de la part des politiques et de l’armée. » (c’est nous qui soulignons).

 

Mieux, on découvre également que le RKI a rejeté en interne l’incidence (le nombre de « cas ») comme indicateur… mais que les politiciens le voulaient. On peut ainsi lire : « La fourniture d’indicateurs est largement rejetée d’un point de vue technique, mais ceux-ci sont fortement exigés du côté politique. »

Cela est logique car il est difficile d’entretenir une « pandémie » sans les chiffres alarmants annoncés tous les soirs par les médias. Rappelons qu’un « cas » est simplement une personne qui a un test PCR positif. Comme l’immense majorité des gens qui étaient testés positifs étaient asymptomatiques, cela ne voulait rien dire. Mais la hausse du nombre de « cas », due à un réglage volontairement trop strict des tests (à plus de 40 cycles) cumulé à la multiplication de ces derniers, a permis de faire paniquer la population qui a accepté toutes les mesures. En rester aux décès n’aurait pas été suffisant.

 

Des « mesures sanitaires » qui font plus de mal que de bien

Les Allemands apprennent maintenant que confinements, masques, etc. ont fait plus de mal que de bien. Ainsi, les médias reconnaissent soudainement que les masques qui étaient « surs et efficaces » sont en fait inutiles et dangereux. Ils découvrent tout à coup que les plus grandes revues scientifiques comme Cochrane l’avaient expliqué. Choses que nous n’avons nous-même cessé de répéter!

Pire, ils affirment que pour les masques « le manque de preuves était connu » :

Ils reconnaissent donc qu’ils savaient. Mais ils nous ont laissé porter des masques inutiles qui nuisaient à notre santé, sans parler des retards de développement chez les enfants!

 

Des « vaccins » pas surs et pas efficaces

Mais ce n’est pas fini et on comprend que les médias allemands affirment que ces révélations sont explosives. En effet, en plus des « mesures sanitaires », elle remettent aussi en doute la sécurité et l’efficacité des « vaccins ». À ce sujet, les propos de l’OTS sont ahurissants. L’agence de presse autrichienne affirme ainsi que dès le 8 février 2021 les autorités de santé allemandes savaient que les vaccins n’empêchaient pas l’infection. Et que le discours selon lequel ils protégeaient des formes graves était un mensonge :

Il est documenté depuis le 8 février 2021 que les décideurs étaient pleinement informés que la vaccination ne protège pas contre l’infection. Cependant, on pensait que cela pourrait éviter de graves complications – ce qui s’est finalement avéré être une fausse hypothèse. Ceci est pertinent car les messages véhiculés par les politiciens et les médias à l’époque étaient complètement différents : on disait aux gens que la vaccination les protégerait et protégerait les autres – un mensonge contre leur meilleur jugement. (c’est nous qui soulignons)

D’autres documents prouvent qu’il n’y avait aucune justification technique pour accorder des privilèges aux personnes testées par rapport aux personnes non testées. De même, rien ne justifie de donner la préférence aux personnes vaccinées. Parce que tous ces groupes pourraient très bien être infectés et transmettre la maladie. (c’est nous qui soulignons)

En France, le Dr Delfraissy, président du Conseil scientifique durant la « crise sanitaire », a déclaré « tranquillement » qu’il savait dès mars 2021 que les « vaccins » n’empêchaient pas la transmission, que la « protection » n’était pas durable, qu’il savait que c’était tout nouveau et que l’on ne connaissait pas les risques à long terme, qu’ils « tâtonnaient ». Pourquoi, alors qu’il traite maintenant les experts de plateau de « tartuffes », a-t-il fait comme ces scientifiques de l’institut Robert Koch et n’a-t-il rien dit? Comment ont-ils pu laisser aller le passeport vaccinal alors qu’ils savaient que les « vaccins » n’empêchaient pas la transmission?

On apprend aussi avec intérêt que le passeport vaccinal (en tout cas en Allemagne) devait être élaboré pour « permettre d’enregistrer les effets de la vaccination, les effets à long terme, etc., et non pas pour servir de base à des catégories et à des privilèges. » Mais sur décision du politique, comme en France (et certainement au Québec et au Canada), c’est l’inverse qui a été fait.

Concernant les effets indésirables, l’OTS note que « les protocoles RKI contiennent beaucoup de détails – mais que ceux-ci restent pour l’instant cachés, de nombreuses pages pertinentes étant masquées. » Voilà qui lui semble « inquiétant » car il remarque que « les vaccinations et les certificats de vaccination étaient déjà évoqués le 22 avril 2020, alors qu’il n’y avait encore officiellement aucune vaccination. » À cette époque, il était impossible de savoir si les « vaccins » empêcheraient la transmission, on ne savait même pas s’ils pourraient être commercialisés.

 

Des médias dans l’eau (très) chaude

Comme le titre ZDF (la deuxième station de télévision du pays), ces documents sont explosifs… mais aussi bien pour le pouvoir politique que pour les médias eux-mêmes qui ont caché des informations cruciales au public. Cela atteint de telles proportions que le Berliner Zeitung, l’un des plus grands journaux d’Allemagne, titre enfin sur les conséquences de ce scandale sur le journalisme :

C’est le premier journal à faire son mea culpa non seulement sur la gestion Covid du gouvernement allemand mais surtout parce qu’ils n’ont pas fait leur travail basique de journaliste. Multipolar, qu’ils ont traité de revue complotiste depuis 4 ans (comme France Soir) a réussi tandis qu’ils tentaient de faire taire les opinions divergentes au moyen de leurs « fact-checkers ».

Maintenant il est à espérer que Multipolar obtienne les 148 pages noircies sur les 1000 reçues, pour avoir les noms des politiques qui ont forcé le RKI a mentir sur la dangerosité du covid, « moins dangereux qu’une épidémie de grippe ».

Tout cela confirme les « lockdown files« , ces fichiers qui révélaient les discussions de Matt Hanckok, l’ancien ministre anglais de la Santé, avec ses autres collègues ministres. Ceux-ci montraient que les politiciens savaient parfaitement que le covid ne représentait aucune menace pour l’immense majorité de la population… et qu’ils s’étaient servi du virus pour terroriser le peuple et faire de l’ingénierie sociale, c’est à dire de la manipulation psychologique dans le but de contrôler la population.

 

Qu’en est-il ici au Québec?

La « pandémie » de covid a été gérée mondialement par McKinsey. Radio-Canada l’a prouvé pour le Québec en révélant que le gouvernement payait la firme américaine 35 000$ par jour. MacKinsey vendait aussi ses conseils à la France. Il y a fort à parier que c’était la même chose en Allemagne. Ce qui s’est produit dans ce pays s’est donc produit partout dans le monde et il n’y a pas de raison de penser que le Québec fasse exception.

On comprend mieux alors le niveau abyssal des « études » de l’INSPQ qui devait justifier l’injustifiable. Tous ces gens doivent être entendus dans les plus brefs délais.

 

Avec les informations de Silvano Trotta et les médias allemands et autrichiens.