Voici la copie d’une lettre écrite par Simon Ruelland, médecin à Baie-Comeau, adressée à Luc Boileau, le chef de la Santé publique du Québec. Dans celle-ci, M. Ruelland revient sur chacun des mensonges proférés dans un document publié par l’INSPQ (Institut national de la santé publique) concernant les recommandations de “vaccination” contre le covid pour le printemps 2024. Car, et oui, après plus de trois ans de “vaccination”, alors que l’on sait que ces injections ne protègent de rien et ont en fait une efficacité négative, et en dépit du fait que le virus soit beaucoup moins virulent que la souche initiale de Wuhan, la santé publique s’apprête à lancer une nouvelle campagne d’injections.

 

Baie-Comeau,
4 avril 2024

Monsieur Luc Boileau,
Sous-ministre adjoint
Directeur national de santé publique

 

Bonjour,

J’ai lu le document PDF émanant de l’INSPQ, publié en février mais rendu public à ma connaissance le 20 mars dernier et intitulé Vaccination contre la Covid-19: recommandations pour le printemps 2024.

J’y relève les mêmes faussetés que celles véhiculées ad nauseam depuis plus de 3 ans par les autorités sanitaires, politiques et les médias de masse. Au travers de lieux communs, dont La Palice aurait été fier tels que “les personnes âgées ont davantage de complications graves” ou “les personnes souffrant de maladies chroniques sont plus à risque”, l’on nous balance à la figure toute une série de chiffres et de graphiques pour se donner le vernis scientifique de circonstance. On tente de persuader le lecteur qu’il y a toujours place, 4 ans après l’apparition de ce virus, pour des produits géniques toujours en phase expérimentale et dont la preuve d’inefficacité et de grande dangerosité a été clairement établie pour peu que l’on cherche comme références ailleurs que dans l’INSPQ ou autres instances du même acabit, complaisantes à souhait à l’industrie du vaccin, et à la botte des politiciens.

L’on a qu’à fouiller quelque peu dans les études faites par les fabricants eux-mêmes, Pfizer et Moderna, pour réaliser qu’aucune étude n’a été faite pour vérifier si ces produits expérimentaux empêchaient la transmission du virus du Covid. Aucune étude non plus chez les femmes enceintes ou qui allaitent ni plus d’études dignes de ce nom chez les personnes âgées, immunodéprimées, ou atteintes de maladies chroniques, celles-là mêmes qui font l’objet de la présente invitation à aller “se faire vacciner”. Alors les “nous pensons que” ou les “nous croyons pertinents que” servis dans ce document officiel n’ont rien de rassurant mais indiquent au contraire que les autorités sanitaires et politiques naviguent encore tous ici à l’aveugle. Et sur le dos des personnes qui ont le plus à perdre de ces funestes injections parce-que justement celles-ci amenuisent leur système immunitaire par définition plus fragile augmentant ainsi, contrairement à ce qui est dit dans ce document, leur risque d’attraper le Covid ou toutes autres infections et partant, leur risque d’hospitalisation et de décès. La réalité est que plus les gens reçoivent ces injections plus grand est leur risque de complications médicales souvent gravissimes voire fatales.

J’en constate les dégâts chaque semaine lors de mes journées de clinique chez les Innus que la “santé publique” s’est employée à vacciner tous azimuts et par dessus la tête du clinicien que je suis sans avoir donné toute l’information sur la nature de ces produits, les bénéfices escomptés et les risques y associés. En fait, seul le médecin traitant du patient est habilité à établir cette balance risque-bénéfice ayant une connaissance de l’état de santé physique et psychique de celui-ci mais aussi du contexte socio-familial dans lequel il évolue. Je vois des turbo-cancers, des exacerbations ou apparitions de maladies auto-immunes, des AVC chez de jeunes personnes, des zonas, des paralysies de Bell, des affections cutanées nouvelles ou détériorées, des diabètes nouveaux ou franchement débalancés, des troubles anxieux et dépressifs s’installer ou se détériorer, etc.

Pour revenir, Dr Boileau, au papier publié par votre Alma mater, l’INSPQ, permettez-moi de relever une première fausseté dans les Faits saillants. Aucune étude des fabricants n’a été faite pour vérifier si ces produits prévenaient les “maladies graves” et je peux comme médecin clinicien témoigner du contraire tel que je l’ai rapporté ci-haut. Un autre mensonge dans ce papier est d’affirmer sans vergogne au point no. 4 que “le profil d’innocuité des doses de rappel de vaccins contre la Covid-19 est très favorable”. Les vues de l’esprit de l’INSPQ (et de l’INESSS, cet autre éléphant dans la pièce) sont déconnectées de la réalité. Ces substances à base d’ARN modifié ont donné plus d’effets indésirables que tous les vaccins réunis administrés depuis les trente dernières années. La politique de l’autruche n’a pas sa place ici vous l’aurez j’espère bien compris! Quant à l’acceptabilité “de doses de vaccins additionnelles contre la Covid-19” au point no. 5 et dont il est ardu de comprendre le charabia, mon humble analyse est qu’elle est en chute libre Dieu merci. Et ce n’est pas grâce à vous ni au Collège des médecins du Québec. Les Québécois se réveillent voilà tout et constatent tout comme moi les dégâts. Vous vous en prenez cette fois à une clientèle captive, celle vivant dans nos CHSLD, RPA et autres institutions hébergeant des vieillards et autres malades lourds qui ont perdu la force ou la santé pour questionner et délibérer sur la justesse des “soins” que l’État veut leur prodiguer et dont les proches ne sont pas mieux informés d’ailleurs. L’INSPQ pourra ainsi applaudir une couverture vaccinale de 80%!

Vous avez été interpellé plusieurs fois par des scientifiques et des médecins dont je suis, tout comme le CMQ et les deux éléphantesques instituts cités plus haut. Vous avez collectivement à ce jour refusé de répondre à nos craintes et questionnements légitimes sur la sécurité des produits contenant de l’ARN modifié que l’on sait depuis la fin de l’été 2023 contaminés par de l’ADN plasmidique et fabriquant des protéines absurdes c’est-à-dire complètement étrangères à l’organisme humain. Vous avez systématiquement refusé de débattre sur la question. Vous portez vous quatre, en tant qu’instances sanitaires, une très lourde responsabilité dans le désastre actuel résultant d’une gestion calamiteuse d’une infection qui n’a pas tué plus que la grippe et pour laquelle la simple supplémentation en vitamine D, C et autres ingrédients naturels auraient permis de réduire le nombre de malades parmi la population la plus vulnérable, soit les gens très âgés avec comorbidités.

Vous avez le devoir de faire amende honorable et de conseiller illico les politiciens en place de stopper cette folie vaccinale et de décréter un moratoire sur tout produit à base d’ARN modifié (ARNm). Cette technologie procédant de la thérapie génique n’a jamais fonctionné comme “vaccin” chez les animaux ni plus, comme nous le constatons malheureusement de plus en plus chaque jour, chez les humains. Cher Dr Boileau, il est plus que temps d’user du principe de précaution et de sortir des boules à mites votre serment d’Hippocrate.

Cordialement,

Simon Ruelland MD

P.S. Vous trouverez des informations additionnelles à mes propos et les références pertinentes en suivant ce lien:  Vaccination contre la Covid-19 : tout ce que l’on ne vous dit pas! – Réinfo Québec

Je vous suggère la lecture du livre de Christine Cotton, Tous vaccinés, Tous protégés?  Vaccins Covid-19, Chronique d’une catastrophe sanitaire annoncée, 2023, Guy Trédaniel, éditeur

Petit lexique de la bureaucratie sanitaire au Québec :

-INSPQ : Institut national de la santé publique du Québec

-INESSS : Institut national d’excellence en santé et services sociaux

-CHSLD : Centre d’hébergement et de soins de longue durée

-RPA : Résidences pour personnes âgées

-CMQ : Collège des médecins du Québec (soit l’ordre professionnel)