PAGE DESTINÉE AUX PHARMACIENS DU QUÉBEC
Cette page a été spécifiquement conçue pour donner de l’information aux pharmaciens du Québec sur les enjeux liés à la Covid-19. Vous y trouverez les différentes lettres transmises aux pharmaciens, aux médecins, au Collège des médecins du Québec (CMQ) ainsi que d’autres articles permettant de mieux comprendre la situation, afin que vous puissiez exercer votre jugement de professionnel. N’hésitez à pas à nous écrire pour toute question ou commentaire.
INFORMATIONS ÉCLAIRÉES
Risques associés à la vaccination 2024 contre la COVID-19
Les produits à ARNm modifié utilisés contre la COVID-19 ne sont pas des vaccins au sens traditionnel.
- Ils nécessitent des rappels réguliers, augmentant la production de substances exogènes potentiellement toxiques dans l’organisme.1, 2
- Ils se diffusent dans tout le corps au lieu de rester localisés dans le muscle.3
- Ce sont des produits de thérapie génique n’ayant pas fait l’objet d’études approfondies sur les animaux concernant leur toxicité, génotoxicité, tératogénicité, pharmacodynamie ou bio-distribution.1
- Ces produits ont été autorisés uniquement en situation d’urgence4, or l’urgence sanitaire liée à la COVID-19 a été levée depuis le 1er juin 2022.5
- Ils ne protègent ni contre l’infection à COVID-19, ni contre sa transmission, ni contre la gravité de la maladie ou les décès.6
- Le fabricant admet ne pas connaître les effets à long terme de son produit.7
Responsabilité et contamination
- Le fabricant décline toute responsabilité, rendant les recours juridiques contre lui difficiles à entreprendre. En revanche, les autorités et les professionnels de la santé qui recommandent le vaccin sans fournir une information complète et appropriée peuvent être tenus légalement responsables.7, 8
- Le vaccin de Pfizer contient des contaminants génétiques (ADN) et des impuretés de fabrication, reconnus par Santé Canada, dont les impacts sur la santé restent inconnus et non étudiés.9,10
Effets indésirables et risques
- Ces produits sont associés à divers effets indésirables graves, notamment : Maladies cardiaques (myocardites), auto-immunes, sanguines, neurologiques et dégénératives.11,12
- Le risque associé à ces produits augmente avec le nombre de doses reçues.13,14
Variabilité et imprévisibilité
- La dose exacte reçue est imprévisible d’une personne à l’autre.15 – 18
- La durée pendant laquelle ces produits resteront actifs dans l’organisme est incertaine.
- La composition des injections peut varier, rendant le risque d’effets indésirables graves imprévisible d’une personne et d’une injection à l’autre.19
Populations spécifiques
Femmes enceintes
- Santé Canada n’a pas autorisé l’administration de ces produits aux femmes enceintes, et les fabricants n’ont pas soumis de demande en ce sens. Les effets potentiels sur le fœtus restent inconnus, car aucune étude n’a été réalisée à ce sujet.20
Enfants et jeunes filles
- Des études animales démontrent que ces produits peuvent s’accumuler dans les ovaires des jeunes filles, avec un risque potentiel d’infertilité future.21
- La vaccination des enfants est proposée malgré l’absence d’avantages démontrés.22
Particularités du vaccin actuel
- Le vaccin COVID-19 à ARNm modifié actuellement proposé n’est pas celui qui a été approuvé par Santé Canada car il est issu d’un procédé de fabrication différent.23
Comparaison avec d’autres vaccins
- Les injections à ARNm modifié présentent un risque beaucoup plus élevé d’effets indésirables que tous les autres vrais vaccins connus. 24 – 27
Spécificités du vaccin Novavax
- Le produit de Novavax ne contient pas d’ARNm modifié, mais il contient la protéine spike recombinante associé à l’adjuvant Matrix-M, présumée être la cause des effets indésirables des vaccins ARNm.28
Références :
- Banoun, H. mRNA: Vaccine or Gene Therapy? The Safety Regulatory Issues. J. Mol. Sci.2023, 24, 10514.
- Parry PI, et al. ‘Spikeopathy’: COVID-19 Spike Protein Is Pathogenic, from Both Virus and Vaccine mRNA. Biomedicines. 2023 Aug 17;11(8):2287.
- Australian Government. Department of Health. Nonclinical Evaluation Report. BNT162b2[mRNA] COVID-19 vaccine (COMIRNATYTM) January 2021
- Food and Drug Administration, Office of the Commissioner, Office of the Chief Scientist, Office of Counterterrorism and Emerging Threats. “Emergency Use Authorization of Medical Products and Related Authorities” Guidance for Industry and Other Stakeholders; January 2017.
- https://www.quebec.ca/nouvelles/actualites/details/pandemie-de-la-covid-19-fin-de-lurgence-sanitaire-40896
- Ophir, Y., et al. (2023) The efficacy of COVID-19 vaccine boosters against severe illness and deaths scientific fact or wishful myth? Journal of American Physicians and Surgeons 28,20-7.
- LIONESS OF JUDAH MINISTRY. “The Long Term Effects and Efficacy of the Vaccines Are Not Currently Known” – The Purchase Agreement Between the EU Commission and Pfizer. AUG 14, 2022.
- https://lionessofjudah.substack.com/p/the-long-term-effects-and-efficacy?utm_source=substack&utm_medium=email
- Vogel G. mRNA vaccines may make unintended proteins, but there’s no evidence of harm | Science | AAAS. 6 DEC 2023.
- McKernan, K., et al. (2023, April 10). Sequencing of bivalent Moderna and Pfizer mRNA vaccines reveals nanogram to microgram quantities of expression vector dsDNA per dose.
- Horowitz, D. (2023). Confidential Pfizer document shows the company observed 1.6 million adverse events covering nearly every organ system. Conservative review. Oct 16, 2023,
- Fraiman J, et al. Serious adverse events of special interest following mRNA COVID-19 vaccination in randomized trials in adults. Vaccine. 2022 Sep 22;40(40):5798-5805.
- Handy RD and Shaw BJ. “Toxic effects of nanoparticles and nanomaterials: Implications for public health, risk assessment and the public perception of nanotechnology” Health, Risk, & Society; Volume 9;2007.
- Di Gioacchino, M., et al. (2011). Immunotoxicity of nanoparticles. International Journal of Immunopathology and Pharmacology 24(1 Suppl), 65S-71S.
- Tinari, S. (2021). The EMA COVID-19 data leak, and what it tells us about mRNA instability. BMJ 372, n627.
- Schmeling M, et al. “Batch-dependent safety of the BNT162b2 mRNA COVID-19 vaccine” European Journal of Clinical Investigation. March 30, 2023.
- Bruce Yu, et al. (2021). All vials are not the same: potential role of vaccine quality in vaccine adverse reactions. Vaccine 39, 6565-9.
- Santiago, D. (2022b). Playing Russian Roulette with every COVID-19 injection: The deadly global game. International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, 2(2), 619–650.
- Science Medicines Health. Assessment report. Comirnaty. Procedure No. EMEA/H/C/005735/0000. 19 février 2021
- Wang R, et al. Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive system. Int J Nanomedicine. 2018 Dec 11;13:8487-8506. doi: 10.2147/IJN.S170723. PMID: 30587973; PMCID: PMC6294055.
- Seo, J., et al. (2022). Lipid Polysaccharides have a Detrimental Effect on the Function of the Ovaries and Uterus in Mice through Increased Pro-Inflammatory Cytokines. Development & Reproduction 26(4), 135-144.
- Canadian Covid Care Alliance (CCCA). COVID-19 Vaccine for children are they safe? Are they necessary? 2021
- Pfizer/BioNtech. COVID-19 vaccine EMA/Rapporteur CMC Meeting. November 26,2020
- Kedmi, R., et al. (2010). The systemic toxicity of positively charged lipid nanoparticles and the role of Toll-like receptor 4 in immune activation. Biomaterials 31(26), 6867-75.
- Ndeupen, S., et al. (2021). The mRNA-LNP platform’s lipid nanoparticle component used in preclinical vaccine studies is highly inflammatory. iScience 24, 103479.
- Segalla, G. (2023a). Adjuvant Activity and Toxicological Risks of Lipid Nanoparticles Contained in the COVID-19 “mRNA Vaccines.” International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, 3(1), 1085–1102.
- Center for Disease Control (CDC). “VAERS COVID Vaccine Adverse Event Reports.” US Data. June 16, 2023.
- NUVAXOVIDMD. Vaccin contre la COVID-19 (protéine recombinante, avec adjuvant). inc. 2024
Pour plus de références voir : www.reinfoquebec.ca/ARNm
Autres ressources
LETTRE AUX 10,000 PHARMACIENS DU QUÉBEC - Novembre 2024
Cher confrère pharmacien,
Objet : Injections anti-covid 2024. Efficacité, sécurité, pharmacovigilance et éthique.
Les Québécois ont traversé, ces dernières années, une période marquée par de profondes turbulences. En tant que pharmaciens, vous vous êtes retrouvés en première ligne, à jongler entre vos obligations déontologiques et les exigences politiques d’une crise sanitaire sans précédent. Durant cette période, une population souvent inquiète et déstabilisée s’est tournée vers vous, professionnel de la santé, pour obtenir conseils et réconfort.
Jour après jour, les confidences de vos patients et de vos proches ont résonné en vous, vous exposant à des questionnements intenses.
- Quelle est la réalité derrière l’efficacité relative de 95 % annoncée par les fabricants?
- Comment interpréter l’aveu des autorités de santé (FDA, CDC) que ces vaccins n’empêchent ni l’infection ni la transmission? Quel rôle préventif reste-t-il à leur attribuer?
- Que penser des données québécoises indiquant une mortalité COVID-19 plus élevée parmi les personnes vaccinées par rapport aux non-vaccinées (selon les données obtenues en vertu de la loi d’accès à l’information, réf. : 1847 00/2023-2024.423)?
- Pourquoi envisager la vaccination des enfants avec des produits présentant des risques graves, alors que les rapports de l’INSPQ montrent qu’ils sont peu vulnérables face à cette maladie ?
- Que faut-il déduire du fait qu’aucun fabricant n’ait sollicité de Santé Canada l’autorisation d’usage pour les femmes enceintes ou allaitantes ? Et qu’en conséquence, Santé Canada n’ait jamais approuvé ces produits à cette fin (demande de renseignement au gouvernement Q#2163, Mme Wagentall, 13 décembre 2023)?
- Que signifie l’absence de données, spécifiée dans la monographie de Comirnaty, quant à leur utilisation chez les femmes enceintes ou allaitantes?
- Connaissez-vous le risque d’effets indésirables à long terme, explicitement mentionné dans la monographie de Pfizer et dans le contrat signé avec le gouvernement fédéral ?
- En abrégeant ou omettant certaines études de toxicité (cancérogénicité, génotoxicité, bio-distribution, mutagénicité) pour rendre ces vaccins disponibles en seulement neuf mois – alors qu’un vaccin demande généralement de cinq à dix ans pour être développé –, quels risques ont été pris?
- Saviez-vous que les vaccins présentent des traces d’ADN plasmidique, une contamination reconnue par Santé Canada, susceptible d’augmenter les risques de cancer et d’altérations génétiques?
- Comment interpréter les 1 291 types d’effets indésirables et les 1 223 décès rapportés par Pfizer au 28 février 2021 dans son rapport de pharmacovigilance pour les trois premiers mois de la campagne ?
- Pourquoi “vacciner” une personne ayant déjà acquis une immunité naturelle? Que révèlent les études immunologiques quant aux risques potentiels associés à cette pratique?
Les vaccins à ARNm et le Novavax sont proposés cet automne à un large public, y compris les enfants dès l’âge de six mois. En tant que pharmaciens, vous devrez déterminer individuellement si vous les recommandez. Cette distinction entre « proposer » et « recommander » revêt une importance capitale. En effet, recommander ces produits engage votre responsabilité professionnelle. Il vous faudra compléter l’information manquante afin que la personne soit en mesure de faire un choix « libre et éclairé » et ainsi de décider si elle accepte les risques associés à ces injections. Les effets indésirables graves connus ou potentiels (tels que la myocardite, les maladies auto-immunes, dégénératives, les troubles de la coagulation, ou même un risque accru de cancer) doivent être pris en compte. En l’absence d’information complète et indépendante, une personne affectée pourrait engager des poursuites judiciaires.
Comme l’information fournie par les autorités n’est manifestement pas complète, un groupe d’experts en ARNm, composé de scientifiques, pharmaciens et médecins, a élaboré un feuillet informatif sur ces produits à administration intramusculaire, dont les effets sont irréversibles. Ce document, que nous joignons ici, est accompagné de références rigoureusement sélectionnées, exemptes de tout biais commercial ou politique. La question centrale demeure : comment un pharmacien peut-il, dans ce contexte, agir au mieux dans l’intérêt de son patient tout en préservant son intégrité professionnelle et éthique ?
Si de nombreuses questions restent en suspens, certaines ont été élucidées et reposent sur une base scientifique solide. Nous vous invitons à nous contacter pour toute question. Nous vous invitons également à distribuer ce feuillet d’information à vos patients. Nous soumettons ce document à la santé publique pour qu’elle puisse l’approuver, l’enrichir ou, si elle le juge nécessaire, réfuter certaines affirmations sur la base de preuves scientifiques indépendantes.
Dans le cas où votre opinion divergerait de la nôtre, n’hésitez pas à nous en faire part
Nous vous remercions sincèrement et vous adressons nos respects pour l’engagement et les responsabilités qui incombent à votre profession.
Ce texte a été rédigé par les médecins, pharmaciens et scientifiques de Réinfo Québec.
NB
- Ce message s’inspire des articles 13, 30 et 50 du code de déontologie des médecins du Québec et des articles 10, 38, 90, 92 et 94 du code de déontologie de l’ordre des pharmaciens.
- cc: CMQ, Ordre des Pharmaciens, OIQ, INESSS, INSPQ, Dr Luc Boileau DSP.
LETTRE AUX 25,000 MÉDECINS DU QUÉBEC - Janvier et février 2024 - 9 signataires
Le 15 février 2024
Dr <<Prénom>> <<Nom>>
Nom de l’établissement
123 Rue
Ville, Code postal
Objet : Vaccination anti-covid
Bonjour Dr <<Nom>>,
Nous sommes un regroupement de médecins, de scientifiques et de chercheurs spécialisés en ARN. Nous n’avons aucun conflit d’intérêts et nous avons rédigé ce que nous pensons être une information non politisée, indépendante de toute interférence biopharmaceutique ou commerciale, conforme à la science et en vue de permettre un choix libre et éclairé concernant le vaccin génique COVID-19, le tout en accord avec les articles 7, 29, 40, 49, 56, 61, 63, 88.0.1 de notre code de déontologie.
Nous partons du principe que, comme nous, vous avez l’intérêt de la population à cœur et c’est pourquoi nous croyons que la présente lettre ainsi que celle en annexe pourraient vous intéresser. Nous vous invitons à consulter aussi nos documents sourcés en lien avec la vaccination anti-covid à cette adresse : www.reinfoquebec.ca/medecins.
Nous pensons que vous devriez lire le message qui suit car nous l’avons présenté au Collège des médecins du Québec (CMQ) et à son président lors de plusieurs lettres précédentes et lors d’une rencontre officielle aux bureaux du CMQ. Des centaines de références scientifiques ont été fournies. Aucune réfutation ni du CMQ, ni de la Santé publique ne nous a été exprimée. Ce message pourra susciter chez vous différentes réactions que nous respectons toutes. Mais la vérité doit être dite.
Que savons-nous maintenant de ces produits vaccinaux à ARNm ?
- Ces produits ne sont pas efficaces, puisqu’ils n’empêchent ni l’infection ni la transmission, ni les maladies graves, ni les hospitalisations, ni même les décès COVID-19. Les données québécoises et internationales le démontrent.
- Ces produits ne sont pas sécuritaires. Ces produits ont causé plus d’effets indésirables graves, y compris des décès chez les enfants et adultes, que tous les autres vrais vaccins combinés depuis 30 ans (VAERS).
- Ces produits sont contaminés. Santé Canada a reconnu avoir été trompée par le fabricant, Pfizer, qui n’avait pas révélé que son produit était contaminé avec de l’ADN plasmide incluant des fragments du virus oncogène SV40. La population québécoise a reçu ces produits contaminés à son insu. Or, avec cette contamination, la possibilité d’altérer le génome humain, de développer des cancers, de générer des malformations fœtales (mutagénèse) ou de transmettre un génome altéré aux descendants devient tout à fait réelle. Le taux de contaminants est des centaines de fois plus élevé que les taux acceptés.
En conclusion, un moratoire immédiat sur tous les produits vaccinaux à base d’ARNm s’impose. Le CMQ via son président doit demander l’arrêt immédiat de l’utilisation des produits à base d’ARNm. Ces produits sont impropres à une utilisation chez les êtres humains, particulièrement chez les enfants et les femmes enceintes.
Ne pas le faire équivaudrait à sacrifier le principe de précaution contenu dans le serment d’Hippocrate.
Le CMQ, au cent-soixante-quinzième anniversaire de sa fondation, ne saurait être un simple instrument du Politique et doit jouer un rôle non pas servile mais central en matière de protection de la santé publique comme l’exige sa mission. C’est essentiellement le message que nous avons livré en personne au président du CMQ dans ses bureaux lors d’une rencontre le 7 décembre 2022.
Vous êtes cordialement invité, Dr <<Nom>>, à rejoindre notre collectif ainsi qu’à communiquer avec nous si vous le désirez (www.reinfoquebec.ca/formulaire). Nous garantissons votre anonymat et que tout restera confidentiel. Nous aimerions également solliciter votre aide afin de partager cette lettre à vos collègues de travail et ainsi les sensibiliser eux aussi aux dangers de ces produits géniques expérimentaux. S’il s’avérait que votre opinion diffère de la nôtre, n’hésitez pas à nous le faire savoir en prenant bien soin toutefois de citer les sources scientifiques qui sous-tendent votre avis. Vous pouvez nous contacter.
Au plaisir de discuter avec vous,
René Lavigueur, M.D., Simon Ruelland, M.D., Robert Béliveau, médecin retraité, Jean Saint-Arnaud, médecin obstétricien retraité, Danielle Fisch, médecin retraitée, Patrick Provost, PhD, Bernard Massie, PhD, Commissaire de la Commission d’enquête nationale citoyenne, Christian Linard, PhD, Euridice Prado, PhD, ainsi que les membres du Comité scientifique indépendant de Réinfo Québec.
ANNEXE – LETTRE ENVOYÉE AU PRÉSIDENT DU COLLÈGE DES MÉDECINS DU QUÉBEC
Le 17 octobre 2023
Dr Mauril Gaudreault, président du CMQ
Objet : Santé Canada, contamination d’un produit pharmaceutique et désinformation
Docteur,
Nous avons appris la venue d’un évènement majeur qui aura lieu au Palais des Congrès de Montréal le 30 novembre 2023 et intitulé : « La démocratie au temps de la désinformation ». Nous appuyons cette initiative, en ce qui concerne la crise COVID-19.
La plus grande offense qu’on puisse imaginer en pharmacologie et en science de vaccinologie est l’« adultération » i.e. la dissimulation d’un produit contaminant dans un médicament à l’insu des autorités régulatrices et surtout à l’insu de la population à qui est destiné ce produit. Santé Canada a en effet reconnu avoir été trompée par le fabricant Pfizer ; lequel fabricant a dissimulé dans son produit vaccinal une substance étrangère, le promoteur SV40. En conséquence, il devient plausible que l’ADN présent dans ce produit puisse altérer le génome de l’individu et de sa descendance. Que compte faire le CMQ après que la population québécoise ait reçu à son insu un produit contaminé ?
Nous vous demandons par ailleurs que soient corrigées des informations erronées notamment les affirmations à l’effet que :
1) le vaccin Covid-19 est un « vaccin comme les autres ».
2) que le vaccin de rappel à ARNm protège contre l’infection et la contamination.
Ces deux affirmations sont en totale contradiction avec ce qui est bien établi. Diffuser des messages que l’on sait erronés constitue à nos yeux de la malveillance. Le CMQ se doit de lutter contre la désinformation d’où qu’elle provienne.
D’autre part, auriez-vous l’obligeance de répondre aux dernières lettres que nous vous avons fait parvenir. La question en résumé est celle-ci : Comment concilier la gestion COVID-19 qui a prévalu avec la mission du CMQ notamment le serment d’Hippocrate, le principe de précaution et le droit à une information permettant un choix libre et éclairé ? Une réponse de votre part serait très appréciée dans les 30 jours qui suivent.
Nous vous soumettons également pour approbation un feuillet sur la vaccination génique COVID-19 (ci-joint) qui répondrait aux exigences déontologiques du CMQ. Il figure aussi sur le site du collectif Réinfo Québec à l’adresse : www.reinfoquebec.ca/medecins. Si vous y trouviez des imprécisions, nous nous empresserions d’y apporter les correctifs requis. Vous nous aideriez si des références scientifiques indépendantes accompagnaient vos commentaires.
Recevez, Dr Gaudreault, l’expression de nos sentiments distingués.
René Lavigueur, M.D., Robert Béliveau, médecin retraité, Jean Saint-Arnaud, médecin obstétricien retraité, Danielle Fisch, médecin retraitée, Patrick Provost, PhD, Bernard Massie, PhD, Commissaire de la Commission d’enquête nationale citoyenne, Christian Linard, PhD, Euridice Prado, PhD, ainsi que les membres du Comité scientifique indépendant de Réinfo Québec.
Copies conformes aux membres du CA du CMQ.
LETTRE AU COLLÈGE DES MÉDECINS - 30 novembre 2023 - 8 signataires - On nous a dit...
Le 30 novembre 2023
Dr Mauril Gaudreault, président du CMQ
1250 Boul. René-Lévesque O bureau 3500
Montréal, QC H3B 0G2
Sujet : Santé Canada ; Adultération d’un produit pharmaceutique et lutte contre la désinformation
Docteur,
Nous avons appris la venue d’un évènement majeur qui aura lieu au Palais des Congrès de Montréal le 30 novembre prochain et intitulé : « La démocratie au temps de la désinformation ». Nous appuyons cette initiative, en ce qui concerne la crise COVID-19 et ce, conformément à l’obligation éthique inscrite au code de déontologie des médecins du Québec (art.29) de favoriser un « consentement libre et éclairé ». Nous savons à quel point ce principe est cher au Collège des médecins du Québec. C’est dans un souci de respect de ce principe que nous nous adressons à vous.
- Adultération : La plus grande offense qu’on puisse imaginer en pharmacologie et en science vaccinologique est l’« adultération » i.e. la dissimulation d’un produit contaminant dans un médicament à l’insu des autorités régulatrices et surtout à l’insu de la population à qui est destiné ce produit. Nous parlons ici de la reconnaissance récente par Santé Canada, d’avoir été trompés par le fabricant Pfizer ; lequel fabricant a dissimulé dans son produit vaccinal une substance étrangère (le promoteur du virus oncogène SV40).
De telle sorte que toute la population canadienne a reçu un produit contaminé de thérapie génique avérée sous le couvert d’un « vaccin comme les autres ». En conséquence, il devient plausible que le contaminant ADN plasmide présent dans ce produit puisse pénétrer le noyau de la cellule avec toutes les conséquences que comportent les thérapies géniques. (Art. 61)
- Désinformation: nous vous demandons également de corriger les messages erronés de désinformation qui circulent : notamment l’affirmation à l’effet que 1) le vaccin Covid-19 est un « vaccin comme les autres » 2) le vaccin de rappel à ARNm protège contre l’infection et la contamination. Ces deux affirmations pour ne nommer que celles-là sont en totale contradiction avec ce qui est bien établi. Diffuser des messages que l’on sait erronés constitue à nos yeux de la malveillance. La fonction du CMQ n’est-elle pas de surveiller et d’empêcher ce genre de dérives ?
L’ex-directrice du « Centers for diseases Control » Madame Rochelle Walensky a reconnu que le produit génique offert n’empêche ni l’acquisition de l’infection, ni sa transmission. Le fabricant Pfizer dans sa monographie ne recommande pas la vaccination des femmes enceintes. (Art. 48 et 49)
En somme nous sollicitons votre aide et celle des plus hautes autorités de santé afin de lutter contre la désinformation d’où qu’elle provienne.
- Feuillet d’information: C’est dans cet esprit que nous vous soumettons pour approbation officielle un feuillet d’information qui répondrait aux exigences déontologiques du CMQ et qui lutterait contre la désinformation. Devant l’urgence de la situation et étant donné qu’une vaccination génique de rappel est déjà en cours, nous avons publié ce feuillet avec toutes les références requises sur le site du collectif RéinfoQuébec ainsi que sur les réseaux sociaux.
Nous sollicitons l’approbation officielle de ce feuillet de la part du CMQ et de celle de la Santé publique du Québec.
Si vous y trouviez des imprécisions notables, nous nous empresserions d’y apporter les correctifs requis. Vous nous aideriez si des références scientifiques indépendantes accompagnaient vos commentaires. Le CMQ n’est pas une société savante mais, étant imputable de ses orientations et décisions, il peut à loisir, solliciter des avis indépendants.
- Liberté de parole, Programme d’indemnisation: Dr Mauril Gaudreault, nous vous demandons également et instamment de rassurer les médecins du Québec sur non seulement le droit qu’ils ont de s’exprimer publiquement sur la crise COVID-19 et sa gestion, mais le devoir qu’ils ont de le faire. La vénérable institution qu’est le CMQ, qui fête notamment ses 175 ans d’existence, a pour but de protéger le public. Or, une censure qui fait en sorte qu’il est interdit pour les médecins de parler des effets indésirables graves et à long terme du produit génique COVID-19, (effets secondaires anticipés par le fabricant lui-même dans sa monographie et dans les contrats de vente), cause un tort considérable à la population québécoise. Ainsi la censure médicale fait en sorte que des centaines de victimes de cette vaccination génique sont privés d’un programme gouvernemental qui leur est pourtant destiné ne trouvant aucun médecin pour les représenter.
Dr Gaudreault, nous vous demandons de réaffirmer publiquement le droit de parole des médecins du Québec en conformité avec les données de la science et également de faire connaître ce programme d’indemnisation auprès des médecins du Québec.
Pour terminer, et conformément à votre suggestion Dr Gaudreault, nous sollicitons une rencontre avec la direction de la Santé publique du Québec, de l’INESSS et de l’INSPQ afin de contribuer au mieux-être de la population.
Sincèrement,
Ci-joint une proposition de feuillet d’information concernant le vaccin génique COVID-19 et mis à la disposition du public dans l’attente de vos commentaires fort désirés.
Recevez, Dr Gaudreault, l’expression de nos sentiments distingués,
René Lavigueur, M.D., Robert Béliveau, médecin retraité, Jean Saint-Arnaud, médecin obstétricien retraité, Danielle Fisch, médecin retraitée, Patrick Provost, PhD, professeur à l’Université Laval et spécialiste de l’ARN, Bernard Massie, PhD, Commissaire de la Commission d’enquête nationale citoyenne, Christian Linard, PhD, Euridice Prado, PhD, ainsi que les membres du Comité scientifique indépendant de Réinfo Québec.
Copie conforme :
- Membres du C.A. du CMQ
- Dr Luc Boileau, Directeur de la Santé publique du Québec
- Christian Dubé, ministre de la Santé du Québec
- Michèle de Guise, président de l’INESSS
- Pierre Gerlier Forest, INSPQ
___________________Feuillet d’information ___________________
Informations à la population concernant le vaccin génique COVID-19
Introduction :
Nous avons constaté que l’information fournie aux québécois concernant la vaccination à ARNm de rappel était soit mal adaptée aux connaissances actuelles, soit malheureusement trompeuse dans certains aspects et en général très peu disponible.
Or, la déontologie médicale impose d’offrir à la population une information juste, complète et adéquate concernant tout produit ou toute intervention à caractère médical.
C’est pourquoi nous proposons ce texte d’information destiné au grand public. Nous avons examiné la littérature médicale scientifique la plus pertinente à cet égard. Nous joignons à la présente une bibliographie.
………………………………………………………………………………..
Note :
Votre corps vous appartient. Vous ne devez accepter aucune pression d’aucune nature pour vous faire vacciner ou non. La mission du Collège des médecins du Québec est de garantir votre liberté de choix. L’information qui suit est factuelle, vérifiable et a pour but de vous aider à prendre une décision éclairée, tout en luttant contre la désinformation.
Il a été dit au sujet de ce produit de rappel qui vous est offert et au sujet des produits à ARNm :
On nous a dit : Il est sûr. Or, voici ce que l’on sait maintenant
- Il s’agit en réalité du produit vaccinal qui à lui seul a causé plus d’effets secondaires graves que tous les vaccins administrés depuis 30 ans dont des atteintes du cœur, des maladies chroniques, des décès.
- Pfizer mentionne dans sa monographie que les vaccins COVID-19 à ARNm autorisés ou approuvés montrent un risque accru de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite (inflammation de la paroi entourant le cœur), en particulier dans la première semaine suivant la vaccination.
- Les composants du vaccin (Nanoparticules lipidiques, ARNm et Protéine S) sont des substances étrangères à l’organisme, toxiques, dont l’innocuité n’a pas été étudiée.
*Il est donc faux d’affirmer que ce produit est sûr.
On nous a dit : Il a été parfaitement testé avant d’être approuvé. Et pourtant…
- Les produits à ARNm ont été développés rapidement parce qu’ils ont évité toutes les études de toxicité normalement exigibles pour un vaccin et pour un produit génique en l’occurrence.
- Il n’y a plus d’urgence mais les études de toxicité ne sont toujours pas faites. La dose de rappel a néanmoins été approuvée par Santé Canada.
*En conclusion, ce produit a escamoté plusieurs étapes de validation et on ne peut en aucun cas affirmer qu’il a été suffisamment testé.
On nous a dit : Ce n’est pas un produit expérimental. Qu’en est-il ?
- Tant que les études de toxicité exigées normalement pour ce type de produit n’auront pas été faites, ces produits devront être considérés comme expérimentaux.
- Par ailleurs, bien que le fabricant ne dévoile pas la composition de son produit, il a été démontré qu’il contient des substances qui nécessitent un examen approfondi (ARN fractionné, ADN plasmide, fragments SV40, enveloppe de nanoparticules lipidiques, lipides cationiques etc.).
- Les fioles et les lots de vaccin sont différents l’un de l’autre. Ainsi, tous ne reçoivent pas le même produit et à une dose qui peut être très différente. Le fabricant ne maîtrise pas les bonnes pratiques de fabrication de son produit. Ceci devrait être inadmissible, même pour un produit expérimental en essai clinique chez l’humain, car la variation du produit invalide toutes les conclusions des essais cliniques.
On nous a dit : Il empêche la transmission. Voici les faits…
- Les études ont toutes montré que les injections n’empêchaient pas la transmission. Ceci était connu en mars 2021. Ceci est reconnu par le fabricant lui-même.
- Or le message véhiculé est à l’effet qu’il faut recevoir ce vaccin pour se protéger soi-même et pour protéger les autres. La question se pose : Quelle peut être l’utilité d’un produit « vaccinal » qui n’empêche ni l’infection, ni la transmission de l’infection de laquelle il doit nous protéger ?
*Ce produit n’empêche ni l’infection, ni sa transmission. Il ne peut donc ni nous protéger, ni protéger les autres.
On nous a dit : Il est efficace. On se demande encore comment ?
- Ce produit n’empêche ni l’infection, ni sa transmission. Certaines données montrent plutôt que les personnes vaccinées sont beaucoup plus à risque d’être infectées par le Covid-19 que les personnes non vaccinées.
- Contrairement à ce qui est couramment affirmé, ce produit ne protège ni contre les formes graves de la maladie, ni contre les décès ou les hospitalisations. Les données de l’Angleterre concernant les décès toutes causes en fonction du statut vaccinal le montrent parfaitement. Au Québec, les statistiques d’hospitalisation en fonction du statut vaccinal le confirment aussi.
- Les personnes vaccinées ont jusqu’à 3,6 fois plus de risque de contracter l’infection. (Étude de Cleveland et données du Québec)
On nous a dit : Il est efficace contre le variant en cours. Vraiment?
- Le vaccin bivalent actuel a été conçu pour une protection contre le variant XBB.1.16. Or ce variant est en perte de vitesse et ce sont deux nouveaux variants (Eris et Pirola) qui prédominent actuellement.
- La mutation constante du virus favorisée par la vaccination et par l’utilisation de médicaments fait en sorte qu’un nouveau vaccin à ARNm devient vite désuet, ce qui est le cas avec ce vaccin de rappel.
- L’efficacité annoncée a été mesurée chez des souris et en laboratoire. Elle n’a pas été mesurée chez des humains dans la vraie vie.
*Pour toutes ces raisons, on ne peut pas dire que ce vaccin de rappel soit efficace pour le variant en cours.
On nous a dit : Il offre une protection contre tous les variants.
- Contrairement à l’immunité naturelle qui confère à la personne une défense contre tous les composants du virus, l’immunité que donne le vaccin à ARNm ne concerne que la protéine de surface (Spike) du virus. Or cette protéine mute constamment pour échapper au vaccin; ce qui est le cas actuellement.
- Il en sera de même avec tous les variants futurs.
*Cette affirmation exprime seulement une présomption souhait et n’a pas été validée scientifiquement.
On nous a dit : La vaccination des femmes enceintes a été prouvée sécuritaire. Attention, prudence, principe de précaution.
- Le fabricant, par prudence, n’a pas étudié son produit chez les femmes enceintes ni chez les femmes allaitantes. Il ne recommande pas la vaccination des femmes enceintes.
- Plusieurs statistiques notamment celles très robustes du département de la défense des É.U. font état de fausses couches, d’avortements, de mort-nés, d’anomalies placentaires et ce, à un taux alarmant.
*Comme le fabricant n’a pas pris le risque d’étudier son produit chez les femmes enceintes, la vaccination des femmes enceintes est en flagrante contradiction avec le principe de précaution et enfreint les règles d’éthique médicale rudimentaires qui étaient déjà admises bien avant la création du CMQ en 1847.
On nous a dit : La vaccination des enfants a été prouvée sécuritaire.
- Les autorités reconnaissent que le vaccin peut causer une inflammation du cœur chez les enfants et les adolescents. Si la COVID-19 génère elle aussi parfois des problèmes cardiaques, les vaccins en provoquent beaucoup plus.
- D’après une étude sur une cohorte nordique (2 millions de jeunes de 16 à 24 ans), le vaccin Pfizer multiplie le risque de myocardite par 4 et celui de Moderna par 13.
- Une étude suisse indique qu’un enfant sur 35 montrerait des signes de myocardite.
- Plus de 55 % des enfants de 6 mois à 2 ans ont une réaction systémique importante après avoir eu le vaccin selon les CDC.
- La Suède, le Danemark, la Finlande, le Royaume Uni, l’Australie, la Norvège, la Floride, Taiwan et quelques autres ont limité ou interdit la vaccination des enfants.
*Il n’y a aucune preuve qu’il soit avantageux de vacciner les enfants. Il a été prouvé que ce produit génique comporte de très graves dangers.
On nous a dit : Ce vaccin ne cause pas le cancer. Les substances contenues dans le « vaccin » sont connues. Qu’a découvert Santé Canada ?
- Dans la hâte qui a entouré la fabrication de ce produit génique, on a omis de s’assurer que ce produit ne cause pas le cancer chez les personnes injectées (études de carcinogénicité non effectuées).
- Or, plusieurs mécanismes immunologiques rendent plausible l’induction de cancers par ce produit génique.
- Par ailleurs, Santé Canada, l’agence canadienne de régulation des médicaments, a annoncé récemment que Pfizer ne l’avait pas informée de la contamination (adultération) de son vaccin par deux produits soit l’ADN plasmidique et le promoteur SV40. Ceux-ci ont donc été administrés aux canadiens sans que ni Santé Canada, ni les Canadiens ne le sachent. Or, en ce qui concerne le promoteur SV40, il existe un débat parmi les scientifiques à savoir si ce produit peut causer le cancer chez les humains.
*Pour ces raisons, il est impossible d’affirmer que ce produit ne peut pas causer le cancer et au contraire, il y a plusieurs motifs de le craindre. Ce produit de thérapie génique doit être soumis à des tests de carcinogénicité.
On nous a dit : Les personnes asymptomatiques sont les plus grands propagateurs. Chacun doit-il se méfier de l’autre ?
- Cette notion ne se retrouve pas dans aucun livre médical et n’est supportée par aucune science.
- Les personnes infectées qui transmettent les maladies respiratoires le font par la toux et les sécrétions respiratoires.
On nous a dit : Les enfants transmettent l’infection aux adultes et à leurs grands-parents.
- Il a été bien démontré que les enfants sont de faibles propagateurs de la COVID-19.
- Ce sont plutôt les adultes qui infectent les enfants.
*Laisser entendre que les enfants soient responsables du décès de leurs grands-parents est un message traumatisant et non supporté par la science.
On nous a dit : Il se loge dans le bras injecté et ne se répand pas dans l’organisme. Difficilement concevable…
- Le produit vaccinal ne reste pas séquestré dans le bras de la personne mais il se répand dans tout l’organisme comme le prouvent les études d’autopsie.
- Le produit vaccinal diffuse dans tous les organes du corps humain y compris le cœur, le système nerveux, le cerveau, les ovaires, les testicules et jusque dans le lait maternel.
- Les autopsies ne mentent pas. On trouve des composants du vaccin partout dans le corps humain.
On nous a dit : Il disparaît de l’organisme en peu de temps. Et pourtant…
- On retrouve la protéine de surface (spike) dans le corps humain jusqu’à 2 ans après la vaccination.
- On retrouve l’ARNm des mois après la vaccination jusque dans le cerveau et le lait maternel.
- La vaccination génique proposée consiste à injecter des milliards d’unités d’ARNm ce qui transforme les cellules du corps humain en usines de production de protéine de pointe. Il n’y a pas de mécanisme prévu pour interrompre cette production.
*En conclusion on ignore combien de temps ces produits demeurent dans l’organisme puisque dans la hâte, le fabricant n’a pas effectué les études requises à cet effet (études de bio-distribution).
On nous a dit : Il empêche les formes graves d’infection. Quoique…
- Les données épidémiologiques montrent que les personnes vaccinées sont autant à risque d’être hospitalisées aux soins intensifs que les personnes non vaccinées.
- Les personnes vaccinées ont un risque de décès au moins aussi grand que les personnes non vaccinées.
*Cette affirmation est contraire à ce qui est observé
On nous a dit : Il diminue le risque de mortalité par le coronavirus. Faux
Comme on vient de l’aborder, la vaccination contre le COVID-19 ainsi que les rappels ne diminuent pas le risque de mourir du COVID.
On nous a dit : La balance risques/bénéfices est favorable. Preuves?
- Aucune des études évaluant les risques/bénéfices de la vaccination ne tient compte des effets secondaires à long terme. Or les fabricants ont toujours souligné ces risques dans leur monographie et dans les contrats de vente aux différents pays.
- Ces effets secondaires à long terme sont documentés dans tous les systèmes mondiaux de rapport des effets indésirables et la surmortalité dans le monde suggère aussi une grande prévalence des effets secondaires à long terme sous forme de maladies chroniques.
- Les statistiques officielles du gouvernement ne montrent aucune réduction des hospitalisations/mortalités Covid-19; celles-ci montrant plutôt un risque accru pour les vaccinés trois doses.
- Il est pratiquement interdit aux médecins de parler des effets indésirables des vaccins géniques. Cette censure médicale inédite a pour effet de fausser le calcul de la balance risques/bénéfices.
L’affirmation à l’effet que la balance risques/bénéfices soit favorable est donc sans fondement bien qu’abondamment diffusée.
On nous a dit : Il s’agit d’un vaccin comme les autres. Comme les autres ?
- Ce vaccin n’agit absolument pas comme un vaccin traditionnel.
- Les vaccins traditionnels utilisent généralement des virus morts ou désactivés afin que le système immunitaire produise des anticorps. Il s’agit d’une technique éprouvée. Pour leur part, les vaccins ARNm consistent à envoyer un code génétique (ARN) aux cellules pour qu’elles produisent la protéine de pointe, ce qui génère une réponse immunitaire et donc des anticorps.
- Ainsi, il s’agit d’un produit de thérapie génique. Il été présenté comme un vaccin comme les autres afin que le fabricant soit soumis à moins de normes de sécurité et afin qu’il obtienne la faveur du public (qui a généralement confiance aux vrais vaccins).
- La découverte d’ADN plasmidique dans les fioles confirme encore davantage qu’il s’agit d’un produit génique avec des risques accrus de génotoxicité et d’oncogénicité.
Ce produit correspond plutôt à la définition de thérapie génique.
On nous a dit : Les vaccins à ARNm sont plus efficaces que les vaccins traditionnels. On aimerait bien croire mais…
- Les anticorps générés par ces produits commencent à diminuer au bout de deux mois et des études montrent une efficacité négative (ils nuisent plus qu’ils n’aident) à partir de 8 mois.
- Pour être pleinement vacciné il faudrait avoir reçu de multiples doses. Ce n’est pas le cas des vaccins traditionnels.
*Il est donc impossible d’affirmer que ces produits soient plus efficaces que les vaccins traditionnels.
On nous a dit : Les vaccins à ARNm ne modifient pas le code génétique. Très plausible pourtant.
- Puisqu’il n’y a eu aucune étude de génotoxicité sur ces produits, cette affirmation ne peut pas être faite.
- À l’opposé, on connaît plusieurs mécanismes par lesquels ces produits peuvent changer le code génétique d’une personne (transcriptase inverse, ADN plasmide).
- La présence d’ADN (plasmidiques) dans les fioles rend tout à fait possible le risque d’insertion de cet ADN dans le génome des cellules.
- Des études en laboratoire ont prouvé que ces produits peuvent pénétrer le noyau de la cellule et qu’ils peuvent donc altérer le code génétique.
*Le fardeau de la preuve pour une question aussi grave que l’altération du patrimoine génétique de l’être humain revient au fabricant. Cette affirmation est à l’encontre du concept de « consentement éclairé ».
On nous a dit : Les vaccins à ARNm ne causent pas de maladies graves.
- La compagnie Pfizer en février 2021 avait identifié 1 291 effets indésirables possibles de son produit dont plusieurs très graves.
- L’agence de médicaments des États-Unis (FDA, CBER) avait prévu 21 classes d’effets secondaires graves déjà en 2020.
- Tous ces effets indésirables prévus ont été retrouvés dans les systèmes de surveillance du monde entier. Il y a eu 96 signaux de sécurité chez les 12-17 ans et 770 chez les 18 ans et plus dans le plus important Système de notification des évènements indésirable des vaccins (VAERS, É.U.).
- Chacune de ces notifications aurait normalement justifié un arrêt immédiat de cette vaccination. Il est donc indiscutable que ce produit cause des maladies graves et chroniques.
- Ces produits ont causé plus d’effets indésirables graves que tous les vrais vaccins combinés depuis 30 ans (VAERS).
*Ces produits de thérapie génique peuvent causer des maladies graves ainsi que la mort.
On nous a dit : Ces produits n’affaiblissent pas le système immunitaire. Et pourtant…
- L’affaiblissement du système immunitaire notamment chez les enfants a été signalé par un des plus grands conseiller en matière de vaccin aux États-Unis, le Dr Paul Offit qui en outre, refuse de recevoir lui-même une dose de rappel.
- L’affaiblissement du système immunitaire pourrait expliquer : Maladies auto-immunes induites par le vaccin, risque accru de zona chez les vaccinés, et un risque plus grand de subir une infection symptomatique par le virus SARS-CoV-2 si on est vacciné que si on ne l’est pas.
On nous a dit : L’immunité naturelle ne suffît pas et il faut aussi être vacciné. D’où cela vient-il?
- Un concept totalement inexistant en science médicale a été avancé; celui « d’immunité hybride ». On laisse entendre que le fait d’être vacciné en plus d’avoir acquis une immunité naturelle confère un avantage.
- En réalité, la vaccination affaiblit le système immunitaire et des phénomènes immunologiques précis et connus (tels que l’original antigenic sin (OAS), l’antibody dependent enhancement (ADE) et l’imprinting) peuvent rendre la combinaison vaccination génique suivie d’une contamination naturelle, des plus dangereuses. Les moins vulnérables sont ceux qui ont eu la chance d’avoir eu une infection naturelle avant la vaccination.
On nous a dit : Le COVID-19 est encore une grave menace pour la population. Et pourtant…
- 99,9% de la population a survécu à la COVID.
- On sait maintenant que le COVID-19 en termes de mortalité, a été tout à fait comparable à une forte saison de grippe (influenza).
- D’après Karl Weiss, microbiologiste et spécialiste en maladies infectieuses à l’Hôpital général juif à Montréal, les symptômes causés par les variants qui ont cours actuellement s’apparentent à un rhume banal. C’est là l’évolution normale et prévisible d’un virus pandémique qui devient de plus en plus contagieux mais de moins en moins dangereux.
.
Références :
La FDA reconnait qu’il n’y a aucune preuve à l’effet que le vaccin puisse empêcher la transmission :
55% des enfants âgés de 6 mois à 2 ans ont une réaction systémique importante après leur vaccin.
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2022-09-01/05-COVID-Shimabukuro-508.pdf
19/40 adolescents (12-18 ans) atteints de myocardites ont des signes d’atteinte cardiaque cicatricielle permanente.
https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCULATIONAHA.123.064772
1,291 effets secondaires rapportés par Pfizer au 28 février 2021 :
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf
Effets secondaires graves Pfizer et Moderna indiquent la nécessité d’une réévaluation du calcul Risques/bénéfices. Peter Doshi 06-2022 :
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4125239
1,000 articles évalués par les pairs concernant les effets indésirables graves de la vaccination génique COVID-19 :
https://drtrozzi.org/2023/09/28/1000-peer-reviewed-articles-on-vaccine-injuries/
3,500 autres articles décrivant les différents effets secondaires de la vaccination génique COVID-19 :
Dr Philip Buckhaults Témoignage Sénat Caroline du Sud sur la contamination ADN plasmidique du vaccin génique :
https://www.youtube.com/watch?v=IEWHhrHiiTY
Variant actuel Pirola avec 30 mutations de la protéine S :
McCullough; étude de 325 autopsies. Lien entre vaccination COVID et décès :
https://zenodo.org/records/8120771
Dr James Thorp. Vaccination des femmes enceintes. Données de Pfizer p.12 :
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf
CDC : Effets indésirables prévisibles 2020 Rapport d’un comité de la FDA (CBER) :
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-10/COVID-Anderson-508.pdf
Rochelle Walensky directrice du CDC reconnaît que le vaccin n’empêche pas la transmission (ce qui rend nul et non avenu les passeports vaccinaux) :
COVID long et VAX long: 70% des “COVID long” sont vaccinés. Il pourrait donc s’agir plutôt de Vax-longs; ce qui s’expliquerait par une quantité de protéine « S » de surface générée par le mécanisme du vaccin à ARNm beaucoup plus importante que générée par l’infection.
92% des décès COVID en Angleterre en 2022 sont survenus chez des triple vaccinés :
Augmentation de 44% de la mortalité cardiovasculaire chez les 15-44 ans au Royaume Uni :
Mécanismes physiopathologiques de la toxicité des vaccins géniques à ARNm :
https://doctors4covidethics.org/mrna-vaccine-toxicity/
Chez 77% des femmes allaitantes vaccinées (10/13), on trouve de l’ARNm dans le lait maternel :
https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(23)00366-3/fulltext
Intégration de l’ADN des thérapies géniques dans le génome humain et par conséquent pouvant être transmis à de futures générations:
https://www.nature.com/articles/s41598-023-33862-0
Les personnes vaccinées plus à risque d’hospitalisation selon la CDC :
https://www.documentcloud.org/documents/23852341-cdc-presentation-on-vaccine-effectiveness
Mécanismes par lesquels on retrouve dans le sang des personnes vaccinées la protéine de surface « Spike » jusqu’à 6 mois après la vaccination :
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/prca.202300048
Poursuite en Australie à l’encontre de Pfizer et Moderna pour avoir distribué des produits de thérapie génique sans avoir obtenu une license pour le faire :
Plus on est vacciné, plus on est à risque d’infection. Étude revue par les pairs :
Toxicité de la protéine de surface « S » :
https://www.mdpi.com/2227-9059/11/8/2287?utm_source=substack&utm_medium=email
Vaccination génique COVID-19 et cancers : Dr Angus Dalgleish et John Campbell :
https://www.youtube.com/watch?v=PnJ5T1Enwq4
“The child is not to blame”: Ce ne sont pas les enfants qui transmettent l’infection aux adultes :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32457212/
Taux de létalité du SARS-Cov-2 inférieure à la grippe chez les moins de 60 ans et légèrement supérieure à la grippe chez les 0-69 ans :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9613797/
Contrats secrets Pfizer avec différents pays. Dévoilement de celui d’Afrique du Sud : Pfizer : « Nous ne connaissons pas les effets secondaires à long terme de notre produit ».
Surmortalité. Mortalité toute cause. Denis Rancourt. Lien causal entre vaccination COVID-19 et surmortalité :
https://correlation-canada.org/covid-19-vaccine-associated-mortality-in-the-southern-hemisphere/
Multiples Impacts défavorables des vaccins COviD-19 sur la grossesse et les menstruations :
https://jpands.org/vol28no1/thorp.pdf
SV40 et son rôle dans le cancer :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC452549/
Contamination par SV40, ADN plasmidique. Aveu par Santé Canada qui reconnaît avoir été induit en erreur par Pfizer.
Les myocardites post vaccinales sur une cohorte nordique de 2 millions de jeunes de 16 à 24 ans.
https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2791253
Le ministre de la Santé de l’Ontario reconnait que les jeunes ont un risque de 1 sur 5000 de contracter une myocardite après avoir été vacciné (juillet 2022)
https://twitter.com/thevivafrei/status/1547693525373841408?s=20&t=cOmzdhZ5zgZ4GhM_0pqlZQ
Pharmacovigilance finlandaise qui rapporte un effet indésirable grave toutes les 2000 doses
Selon l’Institut Paul Ehrlich, le rapport pour les effets secondaires graves est de 1:3333 (mars 2023)
Pourquoi Karl Lauterbach pourrait bientôt perdre son statut de héros populaire – FOCUS online
Étude qui montre que les nanoparticules lipidiques sont hautement inflammatoires
Efficacité négative des vaccins au bout de 8 mois
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35131043/
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