Nous reproduisons ici en français un article publié par le docteur canadien Byram Bridle concernant le dévoilement du contrat sur l’achat des « vaccins » anti-covid passés entre Pfizer et le gouvernement du Canada. Cela fait suite à l’annonce de la décision par un tribunal sud-africain il y a quelques semaines de divulguer le contrat entre le gouvernement sud-africain et cette même compagnie. Tout comme le contrat avec l’Afrique du sud, celui avec le Canada montre que « l’acheteur reconnaît en outre que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas connus à l’heure actuelle. » Bref, contrairement à ce qui a été dit pendant des années, les autorités canadiennes (et probablement celles du monde entier) n’ont jamais su si ce produit était « sur et efficace ». Depuis, toutes les données montrent que ce n’est pas le cas. On vient même d’apprendre que ces injections étaient contaminées à l’ADN et contenaient des séquences du virus simien SV40, dont les conséquences sont une possible altération du génome et des cancers. Pourtant, les autorités continuent de promouvoir la « vaccination » pour les enfants de plus de 6 mois et les femmes enceintes.

 

Par le Dr Byram W. Bridle

 

Cela fait deux ans, trois mois et vingt-quatre jours (845 jours au total) que l’administration de mon employeur, l’Université de Guelph, m’a interdit l’accès à mon bureau et à mon laboratoire.

The Canadian Independent (voici leurs liens vers YouTube, Substack et Rumble) a fait un excellent travail en obtenant une copie de l’accord de fabrication et d’approvisionnement de Pfizer Canada approuvé par le gouvernement canadien. Il s’agit plus précisément de l’accord concernant le vaccin COVID-19 de Pfizer. Il vient d’être rendu public. Voici une version PDF :

Accord de fabrication et d’approvisionnement avec Pfizer Canada
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Je n’ai pas eu l’occasion de le lire en détail car je me prépare à me rendre à Bucarest, en Roumanie, pour témoigner devant le Parlement roumain sur « La censure sous le couvert de la santé publique » dans le cadre de l’International Crisis Summit 4. Cependant, je ne veux pas retarder la publication de ce document. J’invite tout le monde à l’examiner par lui-même.

Une partie du texte qui a été portée à mon attention par BrightLight News est la suivante :

« L’acheteur reconnaît en outre que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas connus à l’heure actuelle. »
– page 18

 

Bien sûr, cela ne me surprend pas et ne surprendra pas non plus la plupart des lecteurs. Cependant, le fait que le gouvernement ait donné son accord le 26 octobre 2020 m’a fait penser aux messages publics concernant ce produit. Dès le début, Santé Canada a affirmé qu’il savait que le produit était « sûr et efficace« .

Cet avertissement de Pfizer s’est avéré important, car l’efficacité des vaccins était loin de correspondre à la définition d’un vaccin idéal selon Santé Canada. En outre, de nombreux effets indésirables, y compris des effets très graves (comme la myocardite), ont été découverts dans le cadre de la grande expérience menée auprès du public canadien. De plus, il existe encore des signaux de sécurité émergents (tels que des modifications du cycle menstruel et des saignements vaginaux pathologiques chez les jeunes filles et les femmes de tous âges).

J’aimerais bien voir un représentant de Santé Canada essayer de défendre sa régurgitation confiante et incessante du mantra « sûr et efficace » à côté du texte cité ci-dessus, et le faire dans le contexte de sa promotion apparente du « consentement pleinement éclairé ».

Peut-être que « les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle » et « le vaccin peut avoir des effets indésirables qui ne sont pas connus à l’heure actuelle » auraient mal paru sur les formulaires de consentement, ou en tant que préface aux mandats.

 

Par exemple, le formulaire de consentement de l’Ontario, au Canada, se trouve ici :

Formulaire de consentement au vaccin Covid 19
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Il ne fournit aucune information sur les vaccins. Au contraire, il incombe au destinataire de s’informer, s’il le souhaite, comme l’indique ce texte :

    « Je reconnais avoir eu la possibilité de poser des questions concernant le vaccin que je reçois et avoir obtenu des réponses satisfaisantes. »

Cependant :

  • De nombreuses personnes ne savaient pas quelles questions poser.
  • La plupart des personnes fournissant des réponses manquaient d’expertise dans les domaines scientifiques complexes qui sous-tendent ces vaccins.
  • La plupart des personnes ont régurgité des réponses basées sur leur compréhension superficielle de ce qu’est la description d’un « vaccin idéal ».
  • De nombreuses personnes fournissant des réponses ont diffusé des informations erronées.
  • Il me semble que le gouvernement du Canada a jeté le principe du consentement éclairé par la fenêtre de l’avion dans lequel les « non-vaccinés » en bonne santé (dont beaucoup avaient une immunité supérieure acquise naturellement) n’ont pas été autorisés à monter.

 

Les Canadiens, quelle que soit leur opinion sur les vaccins COVID-19, sont-ils d’accord pour que l’on se débarrasse du « consentement éclairé » ?

Ceux qui se sont fait vacciner sont-ils d’accord pour voir de leurs propres yeux que le gouvernement du Canada a accepté d’assumer en leur nom, sans les en informer, les risques d’une efficacité et d’une sécurité à long terme inconnues ? Et de n’utiliser qu’un système de surveillance passive très imparfait qui sous-estime considérablement les effets néfastes, en particulier ceux à long terme ?

« Ne vous inquiétez pas, Pfizer, nous acceptons que les vaccins puissent s’avérer mauvais à long terme. Nous savons également qu’il est possible que de mauvaises choses arrivent aux gens. Nous allons simplement sceller ce document derrière des portes closes pour que le public ne puisse pas le voir (et nous espérons qu’il ne demandera pas à le voir) et nous dirons ensuite à tout le monde que nous sommes convaincus que les vaccins sont « sûrs et efficaces ». Nous sommes impatients de mener notre propre expérience à l’échelle nationale dans le cadre de notre déploiement public afin de tester l’efficacité et la sécurité à long terme, comme cela se faisait auparavant dans le cadre d’essais cliniques hautement contrôlés sur une période d’une décennie ou plus. Et s’il arrive quelque chose de grave à quelqu’un, vous pourrez essayer d’utiliser ce bout de papier au tribunal pour vous dégager de toute responsabilité et nous blâmer afin que les contribuables puissent payer pour tous les problèmes qu’ils rencontrent. Après tout, Santé Canada sert avec diligence le public canadien qui ne nous fournit pas notre budget de fonctionnement. Oh, et merci, Pfizer, pour vos paiements d’un demi-million de dollars par demande que nous examinons. Comment pourrions-nous veiller aux intérêts des Canadiens si vous ne nous payez pas pour le faire ? »

    – Le gouvernement du Canada