effets secondaires de la vaccination : vous n’êtes pas seul !
Vous, ou une personne de votre entourage, pensez avoir été victime d’effets secondaires suite aux injections contre la COVID-19? Vous avez été témoin de conséquences telles que caillot sanguin, thrombose, myocardite ou péricardite, cécité, syndrome de Guillain Barré, hypertension, troubles du cycle hormonal, ou tout autre problème de santé?
Il faut savoir que ces manifestations sont fréquentes. Pfizer a d’ailleurs répertorié une liste longue de 9 pages (pages 29 à 38) d’effets indésirables possibles de la vaccination (obtenue suite aux déclarations des personnes ayant participé à l’essai clinique initial).
Si vous pensez que cela pourrait être le cas, alors vous devriez faire une déclaration et témoigner de ce qui vous arrive.
Sachez aussi que vous n’êtes pas seul et que nous proposons des groupes de parole qui vous permettront d’échanger avec des personnes également victimes de ces injections.
Cette page se veut être un centre de ressources sur les effets secondaires de la vaccination et vous trouverez toutes les informations possibles en cliquant sur les liens ci-dessous..
À lire l'article : "Aux victimes d’effets indésirables de la vaccination anti-covid"
Préambule
En guise de complément à l’article qui suit, nous invitons les lecteurs à prendre connaissance de notre dossier sur les « Effets secondaires de la vaccination au Québec » auquel vous aurez accès en suivant ce lien internet. Vous y trouverez notamment un rapport en trois parties sur les effets indésirables. Celui-ci présente de nombreux témoignages qui montrent que, contrairement à ce que déclarent les autorités, les effets indésirables sont bien une réalité et que si vous en êtes victime, vous n’êtes pas seul.
En outre, nous tenons à informer le lecteur que nous employons dans ce texte l’expression “injection expérimentale” en lieu et place du mot vaccin. En effet, il s’agit d’une technologie qui n’avait jamais été déployée auparavant à large échelle chez l’homme et qui était encore en période de test (phase 3) durant la majeure partie du temps où elle a été commercialisée.
Que faire si vous croyez être victime d’effets indésirables causés par les injections expérimentales présentées comme des vaccins contre le Covid-19
1/ Demander à rencontrer votre médecin
Que vous ayez reçu une seule ou plusieurs de ces injections contenant de l’ARN messager (ARNm) modifié génétiquement (Comirnaty de Pfizer, Spikevax de Moderna) ou à base d’adénovirus modifié (Vaxzevria COVID-19 d’Astrazeneca) et que vous êtes malade ou craignez le devenir, vous devez demander à rencontrer votre médecin (généraliste ou spécialiste) afin de lui rapporter vos symptômes, vos craintes, et d’être examiné comme il se doit. Vous pouvez lui demander en plus d’avoir un dosage des D-dimères et du fibrinogène sanguins qui sont des marqueurs de thrombose (caillots de sang dans les vaisseaux) ainsi qu’une vitesse de sédimentation et un dosage de la protéine C-réactive (PCR) qui sont des marqueurs d’inflammation dans l’organisme.
2/ Faire une déclaration d’effets indésirables
Après avoir subi cette évaluation clinique par votre médecin ou tout autre praticien compétent, vous devez lui demander de compléter le formulaire « Déclaration de manifestations cliniques inhabituelles après une vaccination » du gouvernement du Québec (AH-728_DT9434 (2019-06) S.pdf). À défaut de pouvoir le faire compléter par un médecin, d’autres personnes sont habilitées par la loi à le faire soit le vaccinateur (il peut y en avoir eu plusieurs), une infirmière, un pharmacien, une inhalothérapeute ou une sage-femme. En autant que ces intervenants soient capables de faire un lien possible entre vos symptômes et les injections Covid-19 reçues.
Nous vous suggérons ensuite :
- d’imprimer ce formulaire et de le remettre en main propre à la personne habilitée à le compléter;
- de vérifier vous-même l’exactitude des informations écrites sur ce formulaire avant qu’il ne soit expédié à la direction de santé publique de votre région;
- de faire de même, le cas échéant, pour votre enfant ou un proche dont vous êtes le représentant.
Il est ainsi de première importance de faire remonter aux autorités sanitaires les changements notés dans votre état de santé suite à l’administration de ces produits géniques jamais utilisés auparavant en vaccination de masse. Ces autorités sanitaires sont au Québec les Directions régionales de santé publique (Coordonnées des Directeurs de santé publique – liste-directeurs-santepub.pdf) qui sont sous la gouverne de la Direction nationale de santé publique (dirigée par le Dr Luc Boileau) et, au Canada, l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC).
La personne qui, à votre demande, a complété le rapport de manifestations cliniques inhabituelles (MCI) recevra les conclusions et recommandations de la Direction régionale de santé publique après enquête de sa part. Les effets indésirables jugés comme reliés à la « vaccination » doivent être inscrits au Registre de la vaccination du Québec. Les effets indésirables graves ou inattendus doivent en plus être signalés dans les 15 jours à l’ASPC.
3/ Faire une demande d’indemnisation
Il importe de savoir qu’en plus du système de pharmacovigilance décrit ci-haut qui enregistre les déclarations et permet d’établir un état des lieux de la sécurité des vaccins, il existe un programme d’indemnisation des victimes de vaccination (form-indemnisation_fr.pdf) ainsi qu’une défense légale pouvant mener à un recours collectif et pilotée par la firme d’avocats CLG dont les détails se trouvent sur le site internet suivant : Programme québécois d’indemnisation des victimes de vaccins | Recours Collectif Canadiens de Groupe de Droit des Consommateurs (sic).
Que faire en cas de refus
S’il s’avérait que vous soyez incapable d’être évalué-e par votre médecin parce que par exemple celui-ci refuse de considérer que vous ayez pu être rendu malade par les injections Covid reçues, ou qu’il ne daignât point compléter malgré votre demande le formulaire « Déclaration de MCI après une vaccination », vous pouvez porter plainte contre ce médecin auprès du Collège des médecins du Québec (CMQ), instance représentant l’ordre professionnel régissant la pratique des médecins au Québec (Formulaire de demande d’enquête – form-demande-enquete-fr.pdf). En effet, les articles 23, 38, 67 et 98 du code de déontologie des médecins proscrivent que ce médecin vous adresse de tels refus.
Le même raisonnement s’applique pour ces autres professionnels infirmier/ère, pharmacien, etc. qui refuseraient de vous aider dans vos démarches. La multiplicité des plaintes auprès des ordres professionnels concernés aidera à faire avancer les choses, à instituer des enquêtes, à mettre en place les ressources médicales appropriées pour enfin prendre soin de toutes ces personnes qui souffrent en silence et sont ignorées par le réseau de la santé. Si vous ne pouvez pas voir votre médecin ou que vous n’en avez pas, n’hésitez pas à vous rendre à une clinique sans rendez-vous, à une clinique externe de CLSC ou d’hôpital, ou dans un service d’urgence afin que l’on s’occupe de vous, que l’on vous soigne et prenne en charge dûment.
N’oublions pas que les autorités médicales, dont le CMQ, ont promu ces injections qu’elles qualifiaient de « vaccins comme les autres » « sûrs et efficaces » et condamné vigoureusement sur la place publique les citoyens et soignants qui ne se conformaient pas à ses injonctions. Il est par conséquent du devoir de ces autorités de faire en sorte que nulle victime d’effets indésirables ne soit abandonnée à son sort.
Poser des actions
Nous sommes d’avis qu’en attendant cette reconnaissance publique des dommages à la santé causés par ces soi-disant vaccins anti-Covid-19, il faille, cela vaut pour tous, mais en particulier pour les personnes injectées, poser des actions de nature à optimiser son système immunitaire i.e. cette capacité à bien se défendre et bien résister aux infections ou autres menaces à notre santé.
Parmi celles-ci :
- se nourrir sainement, en évitant par exemple les aliments ultra-transformés (plus de 5 ingrédients ou, liste de produits chimiques incompréhensibles);
- adopter une alimentation réduite en glucides ce qui prévient l’hyperinsulinémie chronique et ses effets délétères sur la santé (obésité, hypertension artérielle, troubles cardio-vasculaires, diabète…);
- respecter dans la mesure du possible un jeûne minimum de 12 heures par jour s’étirant par exemple du dernier repas de la journée au premier repas de la journée suivante;
- veiller à avoir un microbiote intestinal sain par la consommation de prébiotiques (ail, oignon, poireau asperge, topinambour… ) et probiotiques (produits de lacto-fermentation tels le kimchi, la choucroute, le kombucha, le kéfir, autres légumes lacto-fermentés… ) alimentaires ou sous forme de produits naturels;
- consommer régulièrement ce qu’on appelle des alicaments, ces aliments ou breuvages qui sont des médicaments naturels de par leurs puissants effets anti-oxydants ou anti-inflammatoires aidant à prévenir diverses maladies, aliments que tout nutritionniste ou herboriste qualifié ne manquera pas de conseiller à quiconque les consulte;
- avoir une bonne gestion du stress en intégrant de bonnes techniques de respiration ou par la pratique de la marche 30 à 40 minutes 3 à 4 fois par semaine ou en s’autorisant des moments d’arrêt, de recueillement et de méditation telle la présence attentive (méditation pleine conscience);
- avoir une bonne hygiène de vie et de sommeil ce qui n’interdit nullement d’avoir du plaisir, de rire et de festoyer quand l’occasion se présente.
La prise périodique ou régulière de produits naturels, selon le bénéfice recherché, est également à encourager tels :
- la vitamine D3 (cholecalciférol) à raison d’un minimum de 2000 U.I. par jour avec repas pouvant être doublée en début de traitement ou en cas de maladie intercurrente. Sous nos latitudes nordiques, la majorité d’entre nous est carencée en cette précieuse vitamine aux multiples bienfaits et il est possible d’en effectuer le dosage sanguin afin de s’assurer que la dose prise est adéquate;
- la mélatonine, substance naturellement produite par notre cerveau, qui aide à avoir un bon sommeil pendant lequel elle répare, protège et détoxifie les cellules de l’organisme;
- le magnésium qui sert à maintenir le bon fonctionnement des muscles dont le muscle cardiaque et possède aussi une action bénéfique sur le sommeil;
- la prise cyclique de zinc, de quercétine, de vitamine C, qui aide à maintenir une bonne santé immunitaire et tissulaire.
Ces molécules sont sans danger lorsque convenablement prises, peu coûteuses et facilement disponibles dans les pharmacies et auprès des naturopathes. La médecine intégrative, celle qui englobe le savoir de plusieurs disciplines sans oublier les savoirs traditionnels des différentes cultures, est à favoriser et saura être d’une grande aide pour le maintien d’une bonne santé globale de par la diversité de ses approches.
En résumé
Il existe des choses à faire si vous ou l’un de vos proches avez hérité d’un état de santé altéré suite à l’administration de ces pseudo-vaccins. Ces substances contaminées et défectueuses, introduites dans l’épaule mais capables de se répandre dans tout l’organisme, ont transformé les cellules humaines en usines de production de la protéine toxique[1] appelée « Spike »[2] dans une proportion et pour une durée inconnues[3]! Elles ont théoriquement le potentiel d’altérer le fonctionnement de tous les organes du corps humain y compris le cerveau[4].
Il importe que chacun puisse obtenir un examen médical complet afin d’obtenir un diagnostic, un traitement spécifique et un suivi approprié. Il faut voir ensuite à faire compléter le formulaire dédié témoignant des atteintes à votre santé qui sera acheminé aux autorités de santé publique tel qu’expliqué ci-haut. Une demande d’indemnisation ou un recours collectif sont possibles selon le type et le degré d’atteinte à la santé.
Mais vous pouvez et devez par-dessus tout prendre soin de votre santé par des moyens simples et à la portée de tous. Cela passe d’abord et avant tout par le maintien d’un bon système immunitaire.
Si vous en avez la force, militez pour que cessent ces campagnes de vaccination forcée, en particulier celle à base d’ARNm, qui ont rendu malades tant de nos concitoyens et fauché la vie de tant d’autres dont celle de jeunes qui n’avaient absolument rien à craindre d’une infection par un coronavirus. Une des façons de le faire est de nous rejoindre.
[1] Cet article publié dans la prestigieuse revue Nature, explique comment réduire la toxicité des injections ARNm… reconnaissant du même coup qu’ils sont toxiques et produisent des effets indésirables : https://www.nature.com/articles/s41573-023-00859-3
[2] Cet autre article de Nature, intitulé ‘Circulating spike protein may contribute to myocarditis after COVID-19 vaccination’ explique la protéine Spike contribue aux myocardites et est donc toxique : https://www.nature.com/articles/s44161-023-00222-0
[3] Cet article détaille la toxicité de la protéine Spike : https://www.fortunejournals.com/articles/toxicity-of-sarscov2-spike-protein-from-the-virus-and-produced-from-covid19-mrna-or-adenoviral-dna-vaccines.html
[4] https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/2021-11-26/neurologie/un-biologiste-de-l-universite-laval-elucide-un-mystere-de-la-covid-19.php
Sachez aussi que vous n’êtes pas seul et que nous proposons des groupes de parole qui vous permettront d’échanger avec des personnes également victimes de ces injections.
Cette page se veut être un centre de ressources sur les effets secondaires de la vaccination et vous trouverez toutes les informations possibles en cliquant sur les liens ci-dessous..
RESSOURCES SUR LES EFFETS SECONDAIRES DE LA VACCINATION
Pourquoi faire une déclaration d'effets secondaires ?
Actuellement, la pharmacovigilance (le suivi des effets indésirables des vaccins) est défaillante au Québec et au Canada.
En effet, alors que de nombreux politiciens, scientifiques, journalistes et intellectuels continuent d’affirmer que les injections ne produisent aucun effet indésirable, il semble en aller autrement ailleurs.
Ainsi l’Institut Paul Ehrlich en Allemagne reconnait maintenant un effet indésirable grave (décès, invalidité…) sur 3 333 personnes alors que la pharmacovigilance finlandaise rapporte elle un effet grave toutes les 2 000 doses (1 sur 600 avec AstraZeneca). Un parlementaire britannique affirme pour sa part que le risque d’un événement indésirable grave suite à l’injection Pfizer est de 1 sur 990 ! 1 sur 662 avec Moderna!
Pfizer lui-même reconnait dans la notice de ses vaccins une myocardite ou péricardite sur 10 000 personnes tandis que le ministre de la Santé de l’Ontario rapporte qu’un jeune sur 5 000 est victime d’une myocardite post-vaccinale.
Les résultats de cette étude montrent que les vaccinés ont 12,5 chances supplémentaires par 10 000 vaccinés d’être victimes d’un effet grave de la vaccination. On pourrait continuer encore longtemps pour montrer l’étendue du désastre… Ainsi, d’après le VAERS (le système américain de pharmacovigilance), les déclarations des effets indésirables des “vaccins” anti-covid au cours des 3 dernières années surpassent largement le total des effets indésirables rapportés pour tous les autres vaccins combinés depuis 1990! La situation est telle que le ministre de la Santé allemand, Karl Lauterbach, pourtant un pro-vaccination, au point où il voulait la rendre obligatoire, s’est excusé “pour les destins brisés”.
Le résultat est que partout dans le monde mortalité et surmortalité explosent. Ici, au Québec, l’ISQ reconnait une hausse de la surmortalité de 10%… 23% chez les moins de 50 ans! Chiffres confirmés par le directeur de l’État civil, qui reconnait une hausse de la production des avis de décès de 8,2%.
Dans le même temps, les autorités canadiennes rapportent que seuls 11 231 effets secondaires graves ont été déclarés (soit 0,011 % de toutes les doses administrées, en date du 15 septembre 2023).
Comment expliquer un tel écart? La raison est due à ces principaux facteurs :
- Les autorités ne font aucune communication sur la déclaration des effets secondaires. Au contraire, elles répètent que les vaccins sont « surs et efficaces ». C’est d’ailleurs ce qui s’affiche dans Google quand on entre les mots clés suivants : « sante canada effet secondaire vaccin covid ». La population pensant que les vaccins sont sécuritaires, le résultat est que peu de gens font le lien avec un effet indésirable grave qui peut avoir eu lieu plusieurs jours après l’injection.
- Ces mêmes autorités découragent les soignants de faire des déclarations. Par exemple, dans cet article, nous montrions comment des infirmières sont intimidées pour limiter le nombre de déclarations (et nous avons reçu de nombreux autres témoignages du même genre. Un médecin nous a même confié que ses déclarations avaient toutes été classées sans suite par sa hiérarchie). En Saskatchewan, un coroner n’a trouvé aucun lien entre la vaccination d’une femme et son décès… 7 minutes après son injection!
- Seuls les soignants peuvent faire des déclarations. Cela prend environ 15 minutes pour remplir le formulaire et les médecins, qui sont payés à l’acte, ne sont pas payés pour ça. Ils n’ont donc aucun incitatif à le faire.
- Pire, les soignants censés remplir les déclarations sont souvent les mêmes qui ont convaincu les victimes à se faire vacciner, voire qui les ont vaccinées eux-mêmes. Il est très difficile de reconnaitre que l’on a fait du mal à quelqu’un et l’on comprend que, probablement inconsciemment, ils soient portés à ne pas faire de lien entre un évènement grave et la vaccination.
Et c’est sans parler des problèmes de sous-déclaration. Plusieurs études, parues avant la vaccination anti-COVID-19 (par exemple ici en 2006, ici en 2007 et ici en 2017) montrent généralement une énorme sous-déclaration des effets secondaires. Il apparait qu’en temps normal, seulement entre 1 % et 10 % du total des effets secondaires sont déclarés. Cela signifie par exemple qu’au Canada, où il y en a eu officiellement 11 231, il faudrait en fait plutôt en compter 110 000, voire peut-être même potentiellement 1,1 million!
Tout ceci donne une fausse illusion de sécurité car, comme on l’a vu, les données sont très différentes ailleurs.
Il est donc primordial de faire une déclaration d’effet secondaire car cela permet d’alimenter la pharmacovigilance. Si les autorités constatent un nombre élevé de déclarations, cela devrait tirer une sonnette d’alarme qui devrait en principe les mener à enquêter.
Cependant, si le nombre de déclarations est insuffisant (ce qui est le cas actuellement), alors les autorités :
- concluront que la vaccination est sécuritaire, ce qui justifie l’imposition de mesures attentatoires aux libertés comme le passeport vaccinal;
- continueront à aller de l’avant, pour arriver jusqu’à la vaccination des enfants de 6 mois.
Rappel : si la majeure partie des effets secondaires de la vaccination ont lieu dans les 28 jours suivant une injection, il n’en reste pas moins que certains peuvent se déclarer plusieurs mois plus tard. Nous vous invitons donc à faire une déclaration même si un certain temps s’est écoulé depuis votre dernière injection.
Comment faire une déclaration ?
Actuellement, les autorités ne font aucune campagne de promotion de la pharmacovigilance. Les victimes d’effets secondaires ne savent donc pas qu’elles peuvent faire une déclaration, ni comment.
Santé Canada permet de déclarer un effet secondaire. Mais seul médecin ou un soignant peut le faire. Vous pouvez télécharger le formulaire ici. Mais vous devrez donc le remettre à votre médecin (si vous réussissez à en voir un) pour qu’il le complète et le transmette à la santé publique (par fax apparemment).
On peut légitimement s’interroger sur le suivi de la démarche car les médecins ne sont pas payés pour le faire. En outre, de nombreux médecins sont persuadés des bienfaits de la vaccination anti-COVID-19 et vaccinent eux-mêmes leurs patients. Ils ont du mal à croire que les vaccins et leurs propres gestes puissent causer des effets secondaires. Ils ont donc tendance à ne pas faire de lien entre la vaccination et l’apparition d’effets indésirables. Nous avons eu le témoignage de nombreuses victimes à ce sujet.
Si finalement la déclaration est envoyée, encore faut-il que les autorités compétentes la valident. Mais des médecins nous ont rapporté que leurs déclarations avaient été classées sans suite, et ce, sans aucune justification.
On comprend donc que faire une déclaration est très compliqué.
Une alternative est de passer par le CAERS, le Canadian Adverse Event Reporting System, un organisme constitué de bénévoles qui a pour but de recenser toutes les déclarations. Il est très important de faire une déclaration au CAERS afin de pouvoir développer la pharmacovigilance, embryonnaire au Canada.
Comment faire une demande d'indemnisation ?
Les médias ont commencé à rapporter les cas de certaines personnes qui ont été indemnisées suite à leur vaccination anti-COVID-19.
Si faire une déclaration d’effet secondaire constitue une sorte de parcours du combattant, nous vous invitons au moins à compléter une demande d’indemnisation. Attention cependant : ce programme n’inclut pas les vaccins anti-COVID-19. Mais nous espérons que si de nombreuses personnes le font, alors les effets secondaires de la vaccination anti-COVID-19 y soient inclus.
Pour ce faire, vous avez tous les détails sur cette page. Il faut imprimer le formulaire du Programme d’indemnisation des victimes d’une vaccination puis l’envoyer par la poste à l’adresse suivante :
Ministère de la Santé et des Services sociaux
Direction de la protection de la santé publique
Programme d’indemnisation des victimes d’une vaccination
1075, chemin Sainte-Foy, 12e étage
Québec (Québec)
G1S 2M1
En principe, ce formulaire peut être complété par un citoyen, il n’a pas à être approuvé par un médecin.
Cependant, il sera étudié par 3 médecins. Il est donc important de le compléter très consciencieusement.
Comment témoigner ?
Les études montrent qu’il y a généralement une sous-déclaration des effets secondaires de 1 à 10 %. Malgré cela, le ministère de la Santé d’Allemagne reconnait un effet secondaire grave toutes les 5 000 injections (et non par personne). Les données de pharmacovigilance de la Norvège montrent un effet secondaire grave toutes les 2 000 injections (1 sur 600 avec AstraZeneca).
Pendant ce temps, au Québec et au Canada, tout semble bien aller. Pourtant on sait que ce n’est pas le cas comme le montre notre rapport sur les effets secondaires publié à l’été 2021. L’extrême rigidité des autorités et des professionnels de santé, liée au fait que très peu de monde sait qu’il est possible de faire une déclaration, expliquent cet état de fait.
Témoignages et groupe de parole
Nous lançons donc ici un appel aux victimes d’effets secondaires afin de recueillir un maximum de témoignages. Il est essentiel que votre voix soit entendue. Si nous réussissons à recueillir de nombreux témoignages, les choses pourront peut-être changer.
Si vous hésitez, ne vous sentez pas prêt à partager votre histoire publiquement (nous vous promettons l’anonymat si vous le souhaitez), nous proposons aussi des groupes de parole, qui vous permettront d’échanger et de partager avec des personnes elles-aussi victimes de la vaccination.
Nous vous invitons donc en cliquant sur le bouton ci-dessous à remplir le formulaire qui vous permettra de nous raconter votre histoire ou de vous inscrire à l’un de nos groupes de parole.
Politique de confidentialité
Vos informations personnelles ne seront EN AUCUN CAS diffusées sans votre consentement. Notre premier objectif est de recueillir des informations pour évaluer l’ampleur et la diversité des effets secondaires, afin de s’en faire une vision plus juste. Merci pour votre confiance !
Forum
Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi partager votre histoire sur ce forum, qui permet de montrer que de nombreuses personnes sont victimes d’effets secondaires.
Enfin, il existe d’autres ressources comme ce groupe Telegram ou ce site américain.
Vous n’êtes pas seul!
Témoignages
Nous ajouterons ici tous les témoignages que nous recevrons.
Vous pouvez déjà consulter le dossier que nous avions publié à l’été 2021 et qui contient de nombreux témoignages.
Pierre L’Archevêque, employé du gouvernement fédéral et contraint à se “vacciner” pour conserver son emploi (décembre 2022)
Je ne voulais pas me faire vacciner, mais étant un employé de la fonction publique du Canada, j’ai été officiellement menacé par le gouvernement fédéral d’être suspendu indéfiniment sans solde si je ne déclarais pas avoir reçu 2 doses de vaccin (Pfizer) avant le 18 novembre 2021. À ce moment-là, j’étais bouleversé à l’idée de perdre mon emploi. Maintenant, je regrette très amèrement de m’être laissé intimider pour protéger mon salaire. J’ai vécu un véritable consentement extorqué.
Résigné, j’ai reçu 2 doses du vaccin Pfizer, les 18 octobre et 15 novembre 2021. Ma vie n’est plus la même depuis. Avant de recevoir mes doses, j’étais « Monsieur Santé ». Je n’avais aucune maladie déclarée, je marchais vite, les gens me disaient que je ne faisais pas mon âge. Quelque temps après ma deuxième dose, dès le mois de décembre, la fatigue s’est progressivement installée. J’avais tendance à pencher vers l’avant lorsque j’étais debout, les gens m’en faisaient la remarque. Je n’ai jamais complètement récupéré; les choses ont plutôt empiré.
Le 4 janvier, je suis tombé malade. Je commençais à éprouver des difficultés respiratoires. J’avais le souffle court, surtout en parlant. Le lendemain, j’ai perdu la voix. Ma vitalité était considérablement affaiblie. Je suis resté alité pendant 3 semaines. En février et mars, mon état s’est légèrement redressé, mais au mois d’avril a commencé une perte de vitalité progressive, puis ont suivi une perte de dextérité et de motricité dans les mains et des tremblements aux pieds. Ces symptômes, avec mon dos incliné vers l’avant, s’apparentent à la maladie de Parkinson. Il m’est difficile de marcher sur les trottoirs, de monter des marches : je deviens facilement à bout de souffle. Intervieweur à Statistique Canada, je suis en arrêt de travail depuis le 21 août, n’arrivant plus à parler sans être essoufflé.
Je me sens toujours très fatigué. Idéalement, il faudrait que je me repose 17 ou 18 heures par jour. Je dois maintenant tout faire par petits segments. En l’espace de quelques mois, je suis passé de 200 lb à 178 lb en raison d’une perte de masse musculaire. Mon regard est plus fixe qu’avant, mes yeux bougent moins bien. Je n’ai pas de confusion mentale, mais j’ai besoin de plus de temps qu’avant pour comprendre des choses plus complexes. Les gens me regardent comme j’étais un handicapé, on m’ouvre souvent la porte. Une chance que j’ai ma conjointe avec moi : sans elle, je n’y arriverais pas.
Tous les tests que j’ai passés à l’hôpital se sont révélés négatifs (tests de COVID-19, scan pulmonaire et cérébral). Mon médecin de famille n’établit pas de lien causal avec le vaccin, mais le lien temporel a été établi. Pour des raisons médico-légales, iI a refusé de signer une requête pour une analyse de sang approfondie sur les résidus pathogènes. (Le sang aurait été envoyé dans un laboratoire spécialisé de Phoenix, en Arizona et, qui sait, les résultats auraient pu être fort révélateurs).
En septembre 2022, j’ai consulté, en clinique privée, un chiropraticien spécialisé en traitements neurofonctionnels. Selon lui, il y a une évidence chronologique entre mes injections et le déclin de ma santé, survenu peu de temps après. Quand il m’a vu, il m’a laissé entendre que j’étais loin d’être le seul patient dans ce genre de situation et qu’il avait vu dans sa pratique plusieurs cas d’hommes sportifs entre 37 et 41 ans n’étant plus capables de marcher depuis qu’ils avaient été vaccinés. Sans émettre de diagnostic officiel sur mon état, le chiropraticien a pu constater, sur la base des examens spécialisés qu’il m’a fait passer, que 80% des neurones de mon mésencéphale étaient détruites. Je ne fonctionnerais donc que sur les 20% restants. Selon lui, le vaccin ne crée pas nécessairement la maladie, mais vulnérabilise le métabolisme et ouvre la porte à plusieurs conditions de toutes sortes.
Pour l’instant, aucun supplément ou traitement n’a réussi à améliorer mon état. Je prie pour la suite des choses. (01/12/2022)
Éric Henri, 43 ans, témoignage public
2 doses Pfizer
J’ai eu le goût de partager avec vous ce qui a changé ma vie de manière drastique et inconfortable… Ma vie est bouleversée au quotidien. Cela nuit à ma vie et à mon travail.
Je suis marié et je suis père de 4 enfants. J’ai 43 ans et j’étais avant en parfaite santé. Je n’avais aucun antécédent médical avant mes deux c*** de doses. Mon employeur m’a obligé à me faire vacciner contre la COVID-19. Après ma 1re dose, j’ai ressenti peu d’effets secondaires. Mais à ma 2e dose… ???☣️☢️ Je suis sans mots. Ni mon médecin de famille ni le cardiologue que j’ai consultés (j’ai passé des tests médicaux et en cardiologie) n’ont pu confirmer que le vaccin était la cause de tout ce qui va suivre.
Je ne sais plus où aller chercher de l’aide et des réponses. Voici la liste des effets secondaires que j’ai eus après ma 2e dose du vaccin Pfizer :
- Mal de tête 2 à 3 fois par jour
- Migraine 1 fois par semaine
- Étourdissements tous les jours
- Perte d’équilibre soudaine tous les jours
- Perte de poids considérable
- Toujours grippé ou enrhumé
- Ai attrapé 3 fois la covid en 2022
- Étourdissements et mal de cœur tous les matins
- Me suis subitement effondré au sol à 3 reprises (devant ma femme) en 2022 (pour cette raison que j’ai dû passer des tests en cardiologie)
- Montées soudaines de température, sueur abondante
- Difficultés respiratoires majeures de jour comme de nuit (on m’a prescrit du Ventolin et du Flovent pompe avec tube)
- Essoufflement après avoir monté 3 marches d’escalier, quand je me lève debout, quand je me couche, quand j’attache mes lacets de bottes au travail, quand je m’habille, quand je marche de 2 à 5 minutes, au moindre effort physique (même après avoir fait l’amour, ce qui n’était pas le cas avant), quand je joue dehors avec mes enfants, quand je monte ou descends de la voiture, quand j’attache les enfants dans l’auto, quand je fais le ménage, quand je pellette, quand je passe le balai, quand je nage dans la piscine, quand je soulève des poids, quand je suis debout trop longtemps
- Pincements au cœur
- Engourdissement des membres inférieurs et supérieurs : jambes, pieds, bras, mains
- Difficulté à dormir la nuit
Le pire, pour moi, ce sont les pertes de connaissance subites, les difficultés respiratoires majeures.
Le fils de Jacqueline Raymond victime de sueurs nocturnes abondantes après chaque dose (novembre 2022)
Mon fils a eu le covid, ça s’est bien passé. Il a respecté le confinement. Par la suite, il a perdu un contrat parce que la personne ne voulait pu faire affaire avec lui, comme il avait eu le covid.
Ensuite, suite à l’obligation d’avoir le passeport vaccinal pour aller au gym et au restaurant, il s’est fait vacciner. La première nuit et les nuits suivantes, il a été très malade et avait des sueurs nocturnes abondantes l’obligeant à changer complètement son lit jusqu’à 3-4 fois par nuit. Il était très fatigué et était incapable de travailler. Après le 4e jour, il a reçu un traitement biodynamique en ostéo qui a diminué les symptômes.
Idem après le 2e vaccin (Moderna).
Le père de Nadine Sirard victime de caillots sanguins (novembre 2022)
Mon père a reçu 3 doses du vaccin de Pfizer. Quelques semaines après son vaccin, il a eu beaucoup de douleurs au côté gauche pendant deux jours, il dormait dans un lazy boy et prenait des anti-inflammatoires. Il croyait avoir la covid, car il avait des douleurs musculaires et de la difficulté à respirer. Le troisième jour, il faisait de la fièvre et il crachait du sang. Il est allé à l’urgence. En observant le scan, la médecin a découvert un gros caillot au poumon gauche et un petit caillot au poumon droit. Il a été hospitalisé avec salins et médicaments pour éclaircir le sang. Heureusement, le caillot n’a pas atteint le cœur ou le cerveau.
La médecin a déclaré qu’il n’y avait pas de lien entre les symptômes de mon père et la vaccination anticovid.
Le coeur de Léo Coté, 71 ans, en partie mort (novembre 2022)
L’histoire est longue, mais je vais essayer d’être le plus bref possible. Quelques jours après la deuxième dose de Pfizer, j’ai fait une crise de cœur. Le lendemain matin, ressentant encore une douleur à la poitrine, je me suis rendu à l’urgence, où j’ai passé environ 10 heures dans la salle d’attente. Après avoir passé quelques évaluations, on m’a enfin examiné. On a alors décidé de me garder aux soins intensifs. Après avoir passé un scan, une échographie, un autre scan pour les poumons, et après qu’une caméra a été insérée dans l’artère supérieure, on m’a dit que tout était normal. Au dernier test, lors de la résonnance médicale, on a pu établir qu’une partie de mon cœur était morte. J’ai rencontré mon cardiologue et il m’a dit que j’avais fait un infarctus. Je suis plutôt certain d’avoir fait une myocardite. J’en ai parlé à mon médecin de famille, et lui-même m’a conseillé de ne pas prendre une troisième dose et d’attendre la suite. En plus, le cardiologue m’a confirmé que mon aorte était enflée.
J’ai eu aussi une éruption cutanée des pieds jusqu’à la taille et des douleurs aux jambes, comme des aiguilles me traversant les tibias.
Aucun lien n’a été établi entre mes symptômes et la vaccination.
Sophie Moquin (pour Mylène Caron, 20 ans), Témoignage public
Pfizer, 3 doses
Ma fille Mylène ne va pas bien depuis qu’elle a eu sa vaccination contre la covid-19. Patrick Provost est ma référence. Depuis sa première dose en mai 2021, il y avait déjà des choses qui clochaient, mais nous n’y avons pas fait attention plus que ça. Après la deuxième dose, c’est revenu. Il y avait encore des genres de plaies orange autour de la bouche, mais cette fois-ci accompagnées d’une méga enflure du visage. Les plaies orange étaient de l’impétigo, une maladie qui touche plus les enfants étant donné que leur système immunitaire n’est pas encore rendu à maturité. Ma fille est étudiante en soins infirmiers, donc elle a eu le vaccin contre l’influenza lors de ses stages. Un jour, elle n’a pas pu finir sa journée, puisque son visage avait encore enflé et qu’elle s’est retrouvée aux urgences. Le médecin a dit que c’était surement une allergie alimentaire et non le vaccin. La nourriture qu’elle a ingéré cette journée-là n’est pas inhabituelle pour Mylène; elle mange souvent du spaghetti sans jamais avoir de réaction, même encore aujourd’hui : il ne se passe rien absolument rien. Elle a commencé aussi avoir des attaques de panique vraiment violentes également.
Jusqu’ ici, ce sont des situations pas amusantes du tout, mais le pire est à venir. Le programme de soins infirmiers suggérait fortement d’avoir la troisième dose, alors le 12 février, vers 16 h, Mylène a eu cette troisième dose. Le 12 février, vers 22 h, elle a eu des convulsions. Au début, les deux premiers mois, elle pouvait avoir une dizaine de crises par jour durant de 5 à 15 minutes. Par la suite, la fréquence a diminué un peu à une dizaine de crises par semaine. Elle a eu deux pauses en juin et au début du mois de septembre, et chaque fois, nous avons pensé que c’était la fin. C’était faux, puisque c’est revenu avec des crises plus intenses par la suite. Elle a dû abandonner sa session d’hiver 2022. Son médecin ne voulait plus qu’elle participe à ses cours, car ça devenait trop dangereux pour sa sécurité. Depuis presque un an, je ne peux plus compter toutes les fois où Mylène est allée à l’hôpital ou toutes les fois où elle a pris l’ambulance. De mon côté, j’ai dû m’absenter de mon travail pour ne pas qu’elle soit seule. Elle a vu des neurologues et elle serait prise avec des crises non-épileptique psychogènes. Son corps lui fait très mal à force d’être crispé. Elle prend 6 médicaments différents. Ça a amélioré un peu son sort, mais sans arrêter ses crises. Elle ne pouvait aller nulle part seule, puisqu’elle pouvait tomber et faire une crise à n’importe quel moment. Depuis deux semaines, elle prend des produits naturels et la dose d’un ses médicaments a été changée. En deux semaines, elle a eu une crise seulement et je ne sais pas si c’est dû aux produit naturels ou à la nouvelle dose de son médicament. Nous ne savons pas si c’est le début de la fin ou si c’est seulement un répit comme les deux dernières fois. C’est une situation qui hypothèque nos vies. C’est certain que ceci est un bref résumé.
Michel Auger, 56 ans, victime d’une péricardite (novembre 2022)
J’ai eu un diagnostic d’une péricardite aiguë d’un médecin à l’urgence de l’Institut de cardiologie de Montréal. Je dois éviter de faire de l’activité intense pour 3 mois.
A reçu 4 doses de Moderna.
Antoinette Brunetti, 58 ans, victime de vertiges intenses (décembre 2012)
J’ai reçu une première et unique dose du vaccin Pfizer en mars 2021. 5 jours plus tard, réveil nocturne : confusion, vertige intense. Je me lève pour me diriger vers la salle de bain et j’en perds connaissance.
Je consulte 2 médecins en urgence. Le premier me parle d’anémie (je venais de passer des prises de sang et tout était beau). Le deuxième me fait l’examen pour le vertige positionnel. Le résultat est négatif, mais il me suggère tout de même de voir un physio spécialisé, ce que je fais. Ce dernier me confirme que ce n’est pas du vertige positionnel. Je vois enfin mon médecin de famille. Je lui parle du vaccin. Elle nie tout lien et m’envoie voir un ORL. L’ORL nie lien avec le vaccin. Il me fait passer un test pour le vertige positionnel. Il est négatif, mais il me suggère de voir un autre physio spécialisé. Ce que je fais. Ce dernier confirme que ce n’est pas du vertige positionnel. Mes symptômes continuent : vertige qui se déclenche à tout moment sans aucune provocation de ma part, acouphène, nausée. Je remplis un questionnaire via le travail (employé du réseau) et je reçois un appel de la Santé publique fin juillet. L’infirmière fait le lien entre mon état et le vaccin! Je retourne voir mon médecin de famille pour avoir une exemption pour la 2e dose (passeport vaccinal). Elle accepte de remplir tous les papiers, mais la demande est REFUSÉE par la Santé publique sans aucune explication, sauf pour me dire d’en discuter avec mon médecin.
Le fait est que la Santé publique refuse la conclusion et l’avis de mon médecin. Je garde encore la lettre de la Santé publique dans ma sacoche comme preuve que j’ai été blessée par le vaccin.
Danielle, 60 ans, crise d’urticaire après sa 3e dose.
J’ai reçu ma 3e dose du vaccin Pfizer le 4 février 2022. Depuis, j’ai différents problèmes de santé. J’ai eu une réaction à ma 3e dose : une rougeur qui grossissait autour du point d’injection. On m’a donné un traitement de 2 semaines aux antibiotiques pour éviter que cela dégénère en cellulite. À la fin du mois de février, je me suis mise à avoir des grosses crises d’urticaire. Comme je suis cœliaque, ma dermatologue a cru à une dermatite herpétiforme liée à la maladie cœliaque lorsque je suis allée consulter. Mais les biopsies liées à la dermatite se sont révélées négatives.
Comme je suis cœliaque, je ne consomme pas de gluten, mais étrangement, mon taux de transgluten a augmenté à 200 sans même que j’en consomme. Après un traitement de prednisone de 10 semaines, mon taux a baissé à 40. Ce sont les seules semaines depuis le début de mon urticaire, il y a près d’un an, où j’ai eu un répit. Je souffrirais de maladie cœliaque réfractaire, c’est-à-dire qu’on voit une augmentation de gluten dans mon sang là où il n’y en a pas.
Urticaire, dermatite (eczéma), les médecins n’ont pas toujours pas mis le doigt sur ce que j’ai, mais depuis un an, je vis un enfer.
Avant, à part le fait que je suis cœliaque, j’étais une femme en santé. Je m’entrainais 5-6 fois par semaine depuis 2004. J’étais en pleine forme, je ne prenais aucun médicament (à l’exception de mes traitements d’hormonothérapie). Je ne suis pas une antivax. J’ai reçu tous mes vaccins. J’ai reçu 2 doses du vaccin pour le zona en 2017 et ensuite, en un an, j’ai reçu le vaccin Prevnar et 3 doses de vaccin covid. Je suis persuadée que le vaccin covid est ce qui a causé mon urticaire, comme mes symptômes ont commencé directement après ma troisième dose. Si ce n’est pas ça, c’est une drôle de coïncidence. Les médecins me disent que l’hypothèse n’est pas à écarter, mais ils n’ont pas formellement établi le lien. En voyant ce qui m’arrive depuis un an, mon mari et mes parents, qui ont chacun reçu 3 doses, ne désirent plus en recevoir.
Nancy Chatigny
1 dose Pfizer
Trois jours après avoir reçu mon vaccin, j’ai ressenti comme un coup poignard chaud dans la poitrine, le tout accompagné d’une accélération cardiaque et d’essoufflement.
Malaise cardiaque, fatigue extrême… Je suis suivie par un cardiologue et on m’a diagnostiqué une péricardite causée par le vaccin.
Pierre Beaulieu
2 doses AstraZeneca
J’ai reçu ma première dose d’AstraZeneca le 10 avril 2021. Quelques semaines après, mes premiers symptômes d’acouphène apparaissaient.
J’ai reçu ma deuxième dose d’Astra Zeneca le 10 août 2021. Mon symptôme d’acouphène (oreille gauche) est demeuré permanent depuis ce temps.
En décembre 2021, j’ai eu deux traitements avec mon ostéopathe, mais je n’ai observé aucun changement. Par la suite, j’ai eu deux traitements d’acupuncture : aucun changement non plus.
J’ai reçu ma troisième dose du vaccin Novavax Nuvaxovid le 20 juillet 2022.
Suite à la troisième dose, après une journée de travail, j’ai commencé à être malade, incapable de travailler. J’ai été malade pendant 6 jours.
Traitements : acupuncture et homéopathie.
Michael Cox
2 doses Moderna
Mes symptômes sont apparus moins de 24 h après l’injection : douleurs au bras et aux homoplates ainsi qu’une pression au niveau du cou. À la suite de plusieurs examens médicaux, le diagnostic a été établi : thoracique ascendante élargie. (aorte thoracique ascendante élargie?)
Roxanne Dupuis
Suite à mon 2e vaccin, j’ai commencé à avoir des grosses douleurs menstruelles et beaucoup de caillots lors de mes menstruations ainsi qu’un flux hémorragique. Suite à l’apparition de ces symptômes, j’ai consulté ma gynécologue, qui a d’abord suggéré que je prenne un stérilet ou Depo-Provera pour atténuer mes symptômes, et toutes les fois où j’ai essayé de faire un lien entre le vaccin et mes symptômes, elle m’a complètement ignorée. Je me suis retrouvée à passer une échographie pelvienne et elle a découvert que je fais maintenant de l’adénomyose. Je n’en faisais pas du tout avant.
J’ai aussi des palpitations au cœur, pour lesquelles j’ai consulté mon médecin de famille. Elle m’a prescrit de passer un Holter. Je suis toujours en attente de ce test. Elle aussi ignore le lien entre le vaccin et mes symptômes.
Nathalie St-Amant, 55 ans
Le lendemain de ma vaccination, j’avais de la difficulté à marcher parce que j’avais des douleurs au niveau de la jambe gauche. Je boitais et avant l’injection, je pouvais marcher 5 km sans problème. Mais suite à la vaccination, je pouvais marcher au maximum 500 m. Le tout a duré presque 4 mois.
Nombre de doses reçues : 3 (vaccins différents)
Caroline Larocque
2 doses Pfizer
J’ai reçu deux doses du vaccin Pfizer. Peu de temps après ma deuxième dose, j’ai commencé à me sentir extrêmement fatiguée.
Fatigue extrême, mal de tête tremblements, mal au cou, mal aux articulations…
Symptômes apparus moins de 28 jours après l’injection. Je n’ai pas consulté de médecin.
Témoignage anonyme
2 doses Pfizer
J’ai reçu ma deuxième dose de Pfizer à 15 h et vers 19 h me sont apparues d’énormes crampes dans les jambes. Ces crampes ont duré pendant des semaines elles étaient tellement douloureuses qu’elles me réveillaient la nuit. Je n’ai pas de médecin de famille et je ne voulais pas aller voir un médecin pour ça.
Je voyais la réaction autour de moi et les gens ne voulaient pas savoir : une sorte de « Non, on ne veut pas savoir si le vaccin peut causer des problèmes. »
Les gens sont incrédules et ont une certaine peur. C’est comme s’ils pensaient « Tu es avec nous ou contre nous. »
Je veux aussi mentionner qu’il y a eu au moins 5 cas de zona dans mes ami(e)s proches après l’injection.
Témoignage anonyme
2 doses Moderna
Moins de 24 heures après l’injection, j’ai eu très mal à mon sein droit, et cela a duré 4 jours. Même si je suis ménopausée depuis 15 ans, j’ai eu des règles durant 3 jours. Je dois rencontrer mon gynécologue.
Témoignage anonyme
2 doses (vaccin non précisé)
Ma sœur a eu la paralysie de Bell suite à sa première dose. Elle a reçu une 2e dose par la suite et elle a maintenant un cancer du sein.
Témoignage anonyme
1 doses AstraZeneca
1 dose Moderna
Ma mère a reçu deux vaccins différents (Astra Zeneca et Moderna). Environ 2 ou 3 semaines après, elle a commencé à avoir des étourdissements, des vertiges et des maux de tête et à vivre beaucoup de fatigue, voire de l’épuisement. Elle a passé tous les tests possibles… les médecins n’ont rien trouvé! On lui a finalement dit qu’elle faisait une dépression! (Qui va bien moralement à ressentir de tels symptômes chaque jour?)
Elle est en arrêt de travail depuis plus d’un an. J’étais avec elle aujourd’hui et elle me disait encore qu’elle était étourdie.
Je suis découragée pour elle!
Ma mère avant les vaccins était la personne avec le plus d’énergie que j’ai connue dans ma vie! Genre « pas tuable », une machine!
Maintenant, ça lui prend sa petite sieste chaque après-midi et elle doit vivre avec tous ces effets chaque jour!
C’est épouvantable!
Ma cousine, même chose pour elle!
(Mais elle croit qu’elle a peut-être la covid longue) sauf que les symptômes avaient déjà commencé avant qu’elle ait la covid et après son vaccin. Bizarre…
Tellement de gens près de moi me disent avoir ou avoir eu des effets secondaires.
Il est temps que ce soit pris au sérieux pour qu’ils puissent avoir les traitements adéquats. Ça n’a plus de sens de se fermer encore les yeux. Il y en a tellement!
Témoignage anonyme
2 doses Pfizer
Suite à la deuxième injection (moins de 28 jours), j’ai eu des symptômes d’acouphène, qui continuent 14 mois plus tard. J’ai 44 ans et avant ces injections, je n’avais jamais eu d’acouphène. Un audiologiste a établi que la tension musculaire, élevée depuis la première injection, cause de l’acouphène. Depuis ce temps, je poursuis des traitements de physiothérapie et de massothérapie, et je fais des étirements quotidiens pour réduire les symptômes.
Témoignage anonyme
2 doses Pfizer
Le 3 septembre, j’ai fait une deuxième paralysie de Bell, cette fois-ci du côté droit. Les symptômes et les séquelles sont plus grandes que la dernière fois. Difficulté à manger, à parler et à fermer mon œil droit. La bouche est toujours croche et le visage affaissé. J’ai vu un médecin 36h après le début des symptômes. J’ai pris de la cortisone et des antiviraux pendant 7 jours. Je fais de la physiothérapie, de l’acupuncture et de l’ostéopathie.
Le médecin déclare qu’il n’y a pas de lien entre mes symptômes et la vaccination anticovid.
Délai entre l’inoculation et l’apparition des symptômes: Plus de 28 jours
Témoignage anonyme
1 dose Pfizer
1 dose Moderna
J’ai reçu Pfizer et en seconde dose Moderna. Cela a pris moins de 2 heures avant de ressentir les effets de Moderna. Je me suis endormie et réveillée dans la nuit, car j’avais de la difficulté à respirer. Mon corps ne pouvait plus bouger, je suis restée comme ça pendant environ 2 h et ensuite j’ai pu rebouger. J’ai été très malade : froid, fièvre, mal d’ossature pendant 2 semaines suivant la 2e dose. J’ai 18 ans.
Témoignage anonyme
2 doses Moderna
Après mon vaccin, j’ai commencé à avoir mal à la tête la nuit, et cela a duré jusqu’en milieu de journée et quelquefois jusqu’à tard en après-midi. Tylenol ne fonctionnait pas. Après plusieurs mois, j’ai réussi à voir mon médecin. Après un scan normal de la tête, il m’a prescrit un médicament de la famille de antidépresseurs. Et le mal de tête est parti 3 jours plus tard. Maintenant je suis dépendante de ce médicament, moi qui avais réussi à me tenir loin des médicaments après avoir repris ma santé en main.
Délai d’apparition des symptômes : moins de 28 jours
Témoignage anonyme
2 doses Pfizer
Ma mère de 65 ans est décédée subitement des suites d’une embolie pulmonaire (c’est ce que le médecin pense). Cela faisait 3 jours qu’elle était un peu mêlée et que son équilibre était précaire. La 3e fois qu’elle est tombée en 3 jours, elle a dit à mon père de ne pas forcer pour la relever et d’appeler les ambulanciers. Elle est rentrée d’urgence à l’hôpital et n’en est pas ressortie vivante.
À son arrivée, ils ont voulu faire des examens/scan cerveau et poumons (ils suspectaient une infection pulmonaire), mais n’ont pas pu se rendre jusque-là : ils ont dit que ma mère « décompensait ». À un moment, elle s’est « endormie » et ils se sont rendu compte qu’elle avait arrêté de respirer aussi. Ils l’ont mise sous oxygène et ont averti la famille. Ils ont dit que tous les systèmes avaient lâché (cœur, poumons, foie, reins).
Le médecin qui nous a rencontrés à la fin suspecte qu’elle est décédée d’une embolie pulmonaire. Il dit que les soignants lui avaient donné un médicament contre les caillots à l’urgence et qu’elle allait mieux dans les 10-15 minutes suivantes. C’est ce qui lui fait penser qu’elle est décédée de cela.
Je n’ai ni abordé la vaccination ni demandé d’autopsie. Tout cela est arrivé tellement rapidement, nous étions tous sous le choc et peinés. Je n’ai pas voulu ajouter au drame que vivait mon père en particulier ni qu’on me traite de complotiste.
Ma mère était certes malade (récidive du cancer quelque temps après la 1re injection d’ailleurs), mais son état et sa médication étaient sous contrôle (cancer du sein et métastases aux poumons traité avec médicament hormonal à vie).
Cependant, elle semblait dépérir au niveau de ses capacités cognitives depuis quelques mois. Elle avait des oublis réguliers, cherchait ses mots et ses idées et a même eu des hallucinations. J’avais hâte qu’elle voit son médecin et lui en parle, car je craignais que le cancer se soit rendu dans son cerveau. J’imagine qu’il s’agissait plutôt de caillots qui nuisaient à son bon fonctionnement.
+ 28 jours
Témoignage anonyme
2 doses Pfizer
Trois jours après sa première injection de Pfizer, mon cousin, environ 40 ans (peut-être 41 ou 42), a eu de drôles de symptômes qui l’ont amené à consulter à l’urgence (je n’ai plus le détail des symptômes… étourdissements peut-être?). On l’a renvoyé chez lui en lui disant qu’il faisait une labyrinthite.
Quelques jours et semaines plus tard, les symptômes empirent. Il finit par ne plus être capable de marcher et par utiliser ses membres d’un côté du corps seulement (gauche ou droit, je ne me souviens plus). Il est hospitalisé et les investigations commencent. Il ne fait pas d’AVC. Les médecins ne savent pas ce qu’il a. Ils font même un test pour une maladie rare d’Afrique, même si mon cousin leur dit qu’il n’a pas voyagé récemment. Ils finissent par voir qu’il y a trop d’anticorps dans son sang et lui font des traitements de plasmaphérèse quotidiens pour le nettoyer, en plus de la réhabilitation en physio pour retrouver ses capacités motrices et sensitives.
Il a passé plus d’un mois à l’hôpital. Il a aussi eu une ponction lombaire. On a fini par lui dire qu’il avait un trouble auto-immun, sans pouvoir dire quelle maladie exactement (ils n’ont pas écarté la sclérose en plaques définitivement, mais ça ne répond pas aux critères). Mon cousin n’a pas récupéré totalement sa sensibilité aux membres touchés et est davantage fatigué. Même si plusieurs personnes de sa famille lui parlent des effets du vaccin, il ne veut rien entendre et dit que les médecins disent qu’il y a très peu de chance que son état soit dû à cela (donc aucune déclaration). Malgré qu’il a craint sa 2e injection, son médecin lui a donné le OK et il est allé chercher sa 2e dose. Une équipe était à ses côtés au cas où il subirait un malaise. Depuis, je ne sais pas s’il a reçu d’autres doses, mais il se fait injecter des traitements de temps en temps (3 jours d’affilée) pour traiter sa « maladie ». Il m’a expliqué qu’il reçoit des parties du sang de 1 500 donneurs différents lors de ses injections, et que si la chance lui sourit, un de ces composés aura un effet bénéfique sur son système.
Témoignage anonyme
1 dose Pfizer
J’ai 60 ans et j’ai eu des saignements vaginaux 2 semaines après avoir eu une première dose de vaccin. Je n’avais pas eu de saignements depuis 21 ans. Je suis en ménopause depuis plusieurs années. Après plusieurs rendez-vous (gynéco, échographie et scan), on m’a diagnostiqué un cancer de l’endomètre. Je me suis fait enlever l’utérus, les ovaires et les ganglions en mars dernier. J’ai aussi reçu 3 traitements de curi-thérapie. C’est certain que je ne suis pas la seule à avoir le cancer de l’endomètre, mais que mes saignement aient commencé 2 semaines après avoir eu le vaccin, je trouve que ce n’est pas juste une coïncidence. Je n’ai pas pris de chance, plus de vaccin contre la covid pour moi.
Témoignage anonyme
36 ans, 2 doses Pfizer
Menstruations déréglées. Mal de tête presque constant. Allergies alimentaires. Fatigue chronique.
Témoignage anonyme
3 doses Pfizer, 60 ans.
J’ai reçu ma 3e dose du vaccin Pfizer le 4 février 2022. Depuis, j’ai différents problèmes de santé. J’ai eu une réaction à ma 3e dose : une rougeur qui grossissait autour du point d’injection. On m’a donné un traitement de 2 semaines aux antibiotiques pour éviter que cela dégénère en cellulite. À la fin du mois de février, je me suis mise à avoir des grosses crises d’urticaire. Comme je suis cœliaque, ma dermatologue a cru à une dermatite herpétiforme liée à la maladie cœliaque lorsque je suis allée consulter. Mais les biopsies liées à la dermatite se sont révélées négatives.
Comme je suis cœliaque, je ne consomme pas de gluten, mais étrangement, mon taux de transgluten a augmenté à 200 sans même que j’en consomme. Après un traitement de prednisone de 10 semaines, mon taux a baissé à 40. Ce sont les seules semaines depuis le début de mon urticaire, il y a près d’un an, où j’ai eu un répit. Je souffrirais de maladie cœliaque réfractaire, c’est-à-dire qu’on voit une augmentation de gluten dans mon sang là où il n’y en a pas.
Urticaire, dermatite (eczéma), les médecins n’ont pas toujours pas mis le doigt sur ce que j’ai, mais depuis un an, je vis un enfer.
Avant, à part le fait que je suis cœliaque, j’étais une femme en santé. Je m’entrainais 5-6 fois par semaine depuis 2004. J’étais en pleine forme, je ne prenais aucun médicament (à l’exception de mes traitements d’hormonothérapie). Je ne suis pas une antivax. J’ai reçu tous mes vaccins. J’ai reçu 2 doses du vaccin pour le zona en 2017 et ensuite, en un an, j’ai reçu le vaccin Prevnar et 3 doses de vaccin covid. Je suis persuadée que le vaccin covid est ce qui a causé mon urticaire, comme mes symptômes ont commencé directement après ma troisième dose. Si ce n’est pas ça, c’est une drôle de coïncidence. Les médecins me disent que l’hypothèse n’est pas à écarter, mais ils n’ont pas formellement établi le lien. En voyant ce qui m’arrive depuis un an, mon mari et mes parents, qui ont chacun reçu 3 doses, ne désirent plus en recevoir
Témoignage anonyme
2 doses Pfizer
1 dose Moderna
J’ai eu 3 vaccins : les 2 premiers étaient Pfizer et le troisième était Moderna. Au premier vaccin, je n’ai pas eu d’effets secondaires. Au deuxième, j’ai eu des problèmes avec mon coeur. Environ 2 semaines après le vaccin, j’ai commencé à avoir des problèmes avec mon coeur. Plusieurs fois dans la journée et plus particulièrement le soir, il se mettait à se battre bizarrement. Il battait très lentement, mais extrêmement fort, si fort que ça causait des drôles de vibrations à travers mes organes. Ça surprenait quand ça arrivait. C’était un feeling que je n’avais jamais ressenti auparavant. Toutes les fois que ça arrivait, j’arrêtais de faire ce que je faisais et je pensais que ça y était. C’était assez grave pour que je consulte un médecin, et lui, tout ce qu’il m’a dit, c’était que j’avais une baisse de pression. Je n’étais pas du tout d’accord avec lui, car à part que mon cœur battait tout croche, je me sentais super bien. En tout cas… Cela a duré environ 2 mois et ensuite, plus rien.
Environ 3 semaines après ma 3e dose, je me suis réveillée avec plein de plaques rouge-mauve sur la peau, surtout sur les jambes. Les plaques sont rondes, il y en a de toutes les grosseurs. Elles ne piquent pas et ne brûle pas, elles sont juste là. Je suis retournée voir le même médecin pour ces plaques et il m’a dit qu’il ne savait pas ce que c’était, mais que ce n’était pas grave. Il m’a prescrit une crème qui n’a donné aucun résultat. J’ai réussi à voir un dermatologue et il pense que je souffre de granulomes annulaires. J’ai eu une biopsie en septembre et j’aurai mon diagnostic officiel le mois prochain. En même temps que ces plaques, j’ai un problème avec un œil. J’ai consulté un optométriste et un ophtalmologiste et il parait que je souffre d’une blépharite causée soit par une rosacée légère dans mon œil, soit par un dysfonctionnement de ma glande de Meibomius, blépharite que je traine toujours. Tout est arrivé en même temps, c’est louche. C’est pour cela que tant que la quatrième dose n’est pas obligatoire, je n’irai pas la chercher.
Témoignage anonyme
2 doses Pfizer, 33 ans.
Plusieurs plaques style « eczema » sont apparues à mon frère partout sur le corps (même le fond de la tête, dans la bouche, partout…) À la 2e dose, c’était extrême, le pharmacien parlait comme d’une réaction allergique au vaccin.
Témoignage anonyme
1 dose Pfizer
Il s’agit de mon père. Il est décédé 20 jours après la première dose Pfizer (25 mars 2021), à 84 ans. Il a eu un malaise dès le lendemain. De nature toujours joviale, ma mère ne le reconnaissait plus et il a tardé à se rendre à l’urgence. Le 1er avril, il est allé à l’urgence et a été hospitalisé pendant 2 semaines. Il a reçu une transfusion sanguine après quelques jours; il perdait du sang par l’estomac à mon souvenir. Il s’est porté mieux pendant 2 ou 3 jours, pour finalement descendre graduellement. Il a fait un AVC dans la première semaine de son hospitalisation et c’est peu après que le médecin l’a informé qu’il avait certainement fait un AVC le jour du 26 mars, ce qui expliquerait ses malaises avant d’entrer à l’hôpital. C’est le 8 ou 9 avril que l’on nous a annoncé qu’il n’y avait plus rien à faire (problème d’estomac perforé malgré une intervention pour « brocher » l’estomac et son pancréas, qui était aussi atteint.) Mon père avait un diabète depuis quelques années et prenait de de l’insuline. J’ai encore en main les médicaments qu’il prenait. Il est décédé le 15 avril 2021. Je ne peux pas compter sur ma mère, qui vit une certaine culpabilité et qui refuse de croire que c’est le vaccin qui a abrégé sa vie. Mon père n’avait jamais eu de problème de cœur et avait même été suivi par un programme de recherche quelques années avant sa mort. (01/12/2022)
Témoignage anonyme sur le Remdesivir
2 doses (vaccin non précisé), 74 ans.
J’ai reçu du Remdesivir : c’est aussi pire, sinon plus, que le vaccin. Ils me l’ont donné lorsque j’étais à l’hôpital. Le médecin m’a dit que l’hydroxychloroquine était interdite de prescription et qu’il suivait les recommandations du Dr Karl Weiss de Montréal. À la 2e dose, je me sentais très mal. Ils m’ont dit que je pouvais partir après la 2e dose, mais de revenir le lendemain. Je suis parti, mais je n’y suis pas retourné le lendemain. J’avais mal au cœur à vomir, de la difficulté à uriner, mal à la tête, etc. J’ai eu 7 effets des 9 énumérés pour ce produit qui justement avait été banni en raison du nombre effarant de morts.
Témoignage anonyme
1 dose Pfizer
Injection 21/05/2021. Une semaine après l’injection : Alternance insensibilité totale/douleurs des membres inférieurs. Sensations de mort imminente, oppression, angoisse. Sensation de “feu” à l’intérieur de tout l’organisme. Hallucinations auditives. Confusion mentale (incapacité à distinguer la sensation de faim et de satiété). Avis formel du médecin : effets secondaires pfizer. 2 examens par généraliste : réserve sur diagnostic. Examen neurologue 6 mois après : “Liens symptômes/injection non démontrable” . Plus d’un an après : neuropathie séquellaire des pieds. Oppressions, angoisses récurrentes. Mon médecin généraliste refuse désormais de me soigner.
Témoignage anonyme
1 dose Pfizer, 41 ans
J’ai reçu une dose de Pfizer au mois de mai 2021. Trois jours après apparaissait un effet secondaire grave : des vaisseaux sanguins ont éclaté dans mes deux yeux. Diagnostic des médecins : uvéite aux deux yeux. Après plusieurs tests sanguins, les professionnels de l’hôpital Saint-Sacrement à Québec m’ont confirmé que le vaccin avait causé cette réaction, un peu comme un AVC au cœur. Nous sommes quatre au Canada. Mon cas a été répertorié dans le système mondial de la médecine.
Témoignage anonyme
1 dose AstraZeneca, 49 ans
J’ai reçu une dose du vaccin de la Covid-19 (Astra Zeneca) 9 jours avant d’être enceinte.
Je n’ai pas eu d’autre dose.
Lorsque ma fille est née (11 janvier dernier), elle a eu des « menstruations » environ trois jours post partum (saignements dans sa couche provenant de sa vulve). Paniquée, j’ai contacté l’hôpital (au nouveau CHUM, car j’avais un accès direct aux infirmières en cas d’urgence pendant la semaine suivant l’accouchement).
La première personne avec qui j’ai parlé ne semblait pas savoir de quoi il s’agissait. Elle m’a alors transféré à une autre infirmière qui m’a dit que c’était « à cause des hormones ». Ayant subi un traitement FIV, j’y ai cru (mais je n’ai rien trouvé sur un lien entre une FIV et les menstruations de bébé).
Aujourd’hui je pense qu’il s’agissait d’un effet secondaire du vaccin, car j’ai moi-même eu des menstruations hémorragiques post partum, et ce, pendant les 4 premiers mois suivant l’accouchement (changement de tampons aux heures pendant 4 jours et mensurations sur 10 jours au lieu de 7). Je n’avais pas eu de tel effet suite à mon premier accouchement (mon premier enfant était aussi issu d’un traitement FIV).
J’ai toujours été régulière sur la période et les symptômes (j’ai 49 ans et mes règles sont redevenues normales).
Je persiste à croire que ces symptômes sont dus au vaccin, et que ma fille ne serait peut-être pas née si j’avais eu une autre dose enceinte.
Je ne voulais pas me faire vacciner, mais j’ai senti beaucoup de pression de la part des médecins, de la clinique de fertilité et des médias. Sans cette pression, je ne l’aurais pas fait.
Témoignage anonyme
2 doses Pfizer
Mon conjoint a souffert d’une myocardite sévère 7 mois après sa 2e dose Pfizer. La cardiologue a dit que tous les symptômes ou effets survenant 6 semaines ou plus après la dernière dose de vaccin ne pouvaient pas y être liés.
Mon conjoint est convaincu que ce sont les vaccins qui l’ont quasiment tué.
Témoignage anonyme
3 doses (vaccin non précisé)
Ma sœur de 75 ans a reçu sa troisième dose de vaccin. Après deux mois : détresse respiratoire. Une analyse de sang indiquait un taux très faible de globules rouges. Comme elle est fumeuse, son médecin lui a dit que c’était à cause de la cigarette, mais il a affirmé que beaucoup de ses patients lui avaient signalé leurs symptômes. Il refuse de la soulager avant de lui faire passer d’autres tests.
Témoignage anonyme
3 doses Pfizer
J’ai 59 ans. Tout a commencé en mai 2021. J’ai reçu ma 1re dose du vaccin Pfizer le 16 mars 2021 et ma 2e le 6 avril 2021, donc à 3 semaines d’intervalle. J’ai commencé à avoir des problèmes en mai 2021 : petits étourdissements, vertiges, manque d’équilibre lorsque le sol est accidenté. J’avais un peu de difficulté avec ma coordination (golf, écriture), mais pas ça n’allait pas encore trop mal. Je pouvais faire du vélo, mais il ne fallait pas que quelqu’un passe à une distance normale de moi sinon j’allais tout croche. Il m’était aussi impossible de faire des montées, même lègères; je devais rouler sur du plat. Je suis passée près d’avoir un accident, alors j’ai arrêté à ce moment. Je conduisais ma voiture, mais un peu saccadé… Les gens qui étaient avec moi s’en rendaient compte.
J’ai reçu mon 3e vaccin Pfizer le 28 novembre 2021. Un mois après, c’était l’apocalypse. J’ai vomi quelques fois en janvier, j’étais constamment étourdie aussitôt que j’étais debout, j’avais des nausées 5 ou 6 fois par jour, j’avais des difficultés à descendre les escaliers (monter était un peu moins difficile), j’avais moins de coordination, j’écrivais comme une enfant de 2e année, je ne pouvais plus faire de golf, de vélo, je marchais comme une fille en boisson. Je suis revenue de Floride plutôt parce que je n’allais pas bien!
J’ai vu mon médecin de famille le 12 mars 2022. Elle m’a fait passer des prise de sang et m’a dit d’aller tout de suite à l’urgence si je me sentais plus étourdie. Le lundi suivant, après le diner, j’ai commencé à avoir des étourdissements même en position assise. Je me suis tout de suite rendue à l’urgence. On m’a fait passer un scan de la tête avec et sans injection et des prises de sang de base. Ils m’ont gardée à l’hôpital, car le neurologue pensait que j’avais fait un petit AVC ou une tumeur! On y est allé par élimination : AVC, tumeur, Parkinson, maladie de meunière, SEP. J’ai été hospitalisée du 14 au 17 mars 2022. J’ai passé un IRM à la tête, d’autres prises de sang (2). On m’a dit que tout était normal. On m’a référée à une ORL. Je l’ai rencontrée le 28 avril 2022. Elle m’a fait passer des tests cliniques. Elle ne croyait pas que c’était vestibulaire. Elle a rappelé le neurologue pour qu’il me reprenne en charge! Elle m’a envoyée passer une vidéonystamographie… pour troubles vestibulaires (au cas). Le test était difficile pour moi, surtout quand on m’a mis de l’eau chaude dans les oreilles. Je suis devenue très étourdie : je pensais que j’allais tomber en bas de la civière! Résultats : tout était normal.
L’ORL m’a enlevé mon permis de conduire pour une durée de 2 mois, parce que je roulais pas mal croche et que j’avais failli avoir un accident en raison des étourdissements que j’éprouvais, même en voiture.
J’ai commencé à marcher avec des bâtons. J’ai vu le neurologue 5 fois, qui m’a toujours fait passer les mêmes tests cliniques et une multitude de prises de sang (5). La maladie de Lyme a été éliminée (il y en a beaucoup dans ma région). Le neurologue m’a redonné mon permis de conduire 2 mois après me l’être fait enlever. Il m’a dit qu’il n’y avait plus de contre-indication pour que je conduise. Je n’avais plus d’étourdissements en position assise, mais je ne pouvais pas trop conduire ou regarder de côté.
J’ai passé un IRM de la moelle épinière et un EMG : tout semblait normal. Avec de l’aide, j’ai fini par avoir un rendez-vous avec un 2e neurologue à Montréal plus expérimenté dans une clinique de 28 neurologues. Après avoir regardé tous mes tests, il m’a fait passer un examen clinique incluant de me faire marcher dans le corridor tout en me faisant faire des soustractions de 7 à partir de 100 (100, 93, 86, etc.). Je marchais plus droit! Il m’a dit qu’il savait ce que j’avais : un trouble neurologique fonctionnel (TNF). Il m’a donné une feuille de diagnostic avec comme traitement strictement de la physiothérapie (fréquence à déterminer avec le physio). Aucune médication n’était possible pour m’aider.
De mars à juillet, je suis allée en physio à l’hôpital toutes les 2 semaines. À partir de fin juillet, j’y suis allée toutes les semaines jusqu’à la fin du mois d’octobre 2022. Ayant trouvé des témoignages de gens parlant d’une clinique privée de chiropractie spécialisée en neurologie fonctionnelle (la clinique TCNF à St-Jean-Port-Joli), j’ai décidé d’y aller. J’y suis allée 1 semaine (journée complète) à la fin du mois de juillet 2022. J’y suis retourné 2 jours à la mi-août (coût : 6 000 $). Ça m’a fait du bien et je me suis améliorée d’environ 50 %. Je n’avais plus de vertiges ou de nausées, mes étourdissements étaient moins forts, je marchais moins croche. 2 ou 3 mois après, mon état s’est détérioré environ 20-25%. En ce moment, je suis revenue au point de départ! J’ai mal partout. J’ai des douleurs musculaires et articulaires depuis plusieurs années, mais c’est amplifié depuis 18 mois. Je n’ai pas de force, il m’est difficile de me mettre à 4 pattes, je ne suis pas capable de me relever, il m’est impossible de monter sur une chaise avec un pied et de me pousser avec l’autre, je n’ai aucune flexibilité, je fais des gaffes, je me cogne partout, je ne suis plus capable d’écrire ou de signer (mon geste est toujours saccadé). Dans le noir, je perds tous mes moyens. Aussitôt que j’envoie ma tête par en arrière, ça vague comme si j’avais la tête constamment dans le brouillard. Je ne suis plus capable de mettre petites culottes, culottes, bas et souliers sans m’asseoir, comme je n’ai pas d’équilibre. Quand je m’essuie en sortant de la douche, je dois m’accoter pour être sur un pied. Si je me mets de la crème, c’est impossible de garder mon équilibre juste en mettant mon pied sur le siège de la toilette ou du bain. J’ai beaucoup de chaleurs, je suis toujours en sueurs (dessous des yeux, tête, bras, derrière des genoux… des endroits où je n’aurais pas cru pouvoir avoir des sueurs, et je ne sens plus la sueur!). J’ai eu un rendez-vous avec un 3e neurologue au privé. Il m’a dit qu’un TNF ne veut pratiquement rien dire!!! J’ai revu mon médecin de famille fin septembre, on a essayé des anti-dépresseurs (Bio Sertraline 25 mg/2 sem. Après 50 mg, plein effet dans 3 mois). La médecine traditionnelle ne fait rien pour moi! Je suis à la retraite depuis mars 2021 et je suis tombée malade quelques mois après seulement… Je peux dire que je n’avais pas planifié ma retraite comme ça!
Témoignage
Je suis esthéticienne non vaccinée, durant la COVID j’ai entendu et vu plusieurs clientes me parler de leurs effets secondaires.
- Ma sœur (thrombose pulmonaire après seulement un vaccin)
- une cliente a perdu l’ouïe
- une autre a vu son asthme empirer
- Etc.
Les vaccins dont j’ai le plus entendu étaient AstraZeneca et Pfizer. J’aimerais suivre et partager avec vous, car mes deux filles sont vaccinées 2 fois… Peut-être trois, je ne peux affirmer plus que ça, car en famille, c’était très difficile de parler de la COVID et des vaccins avec elles et nos gendres.
Témoignage anonyme
Moderna, 2 doses
Ma mère a ressenti des étourdissements violents ainsi qu’une douleur au côté gauche du visage dès le lendemain de sa 1re dose du vaccin de Moderna. Ces effets ont duré un peu plus d’un mois. Ensuite, ils se sont résorbés et elle a cru avoir eu une sinusite. Elle est allée chercher sa 2e dose aussitôt qu’elle a été disponible. Elle a ressenti exactement les mêmes symptômes qu’à sa première dose. Quelques semaines plus tard, nous l’avons retrouvée chez elle, incapable de parler et de bouger. Elle a été transportée à l’hôpital, où on nous a appris qu’elle avait fait un AVC du côté gauche. Son AVC date de décembre 2021, et plus d’un an après, elle en garde encore de sérieuses séquelles. Elle est maintenant aphasique et elle a des troubles cognitifs et de l’apraxie sévère. Elle ne peut plus vivre seule, alors je l’ai prise chez moi avec l’aide du CLSC. Elle est convaincue que le vaccin lui a causé cet AVC et elle a refusé les rappels depuis ce temps-là. En plus, elle a été hospitalisée du 18 décembre 2021 au 23 mars 2022, et comme il y avait un passeport vaccinal en vigueur, elle n’a pas pu voir sa famille pendant 3 mois… Ma mère était 100% autonome avant ses 2 doses… Elle a beaucoup de deuils à faire 🙁
Témoignage anonyme
Pfizer, 3 doses, 21 ans
À l’âge de 19 ans, j’ai reçu mon premier vaccin pour la covid-19, soit le Pfizer. Tout allait bien jusque-là. J’ai ensuite reçu une deuxième dose de vaccin. Et là, mon monde s’est écroulé. Difficultés respiratoires, essoufflement, pincement à la poitrine, palpitations, et j’en passe. Je me suis rendue à l’urgence. On m’a hospitalisée. Finalement, après 26 h, on m’a dit que j’avais probablement une myocardite due au vaccin covid et que l’hôpital allait se charger d’envoyer les documents à la Santé publique. Je suis partie avec des papiers pour une consultation en cardiologie pour me faire installer un Holter. J’ai fait mettre mon Holter quelques semaines après ma sortie de l’hôpital. Je n’ai toujours pas de nouvelle de la santé publique ni du cardiologue. À ce moment, j’étais étudiante en soins infirmiers et la direction mettait de la pression pour que les étudiants reçoivent leur 3e dose de vaccin, sans quoi il y avait possibilité qu’ils se voient interdits de faire leurs stages, ce qui est essentiel à la réussite des cours. J’ai appelé à la Santé publique, j’ai envoyé mes résultats de Holter (que je n’ai pas eus moi-même) suite à ma demande aux archives de l’hôpital où je me suis fait hospitaliser. La Santé publique m’a dit qu’effectivement, j’avais un rythme cardiaque bien élevé, mais pas d’arythmie cardiaque, donc que je ne pouvais pas me faire exempter (Dieu merci, à 19-20 ans, de ne pas faire d’arythmie!!). On m’a alors mentionné d’aller me faire vacciner et que c’était SANS DANGER. J’ai pris mon rendez-vous fâchée de la réponse qu’on m’avait donnée. Je me suis sentie comme un numéro, comme si on se foutait complètement de mon état général et que c’était normal d’avoir autant de problèmes à 19 ans. J’ai reçu ma 3e dose. 3 jours plus tard, je retournais à l’hôpital en médecine d’un jour pour des palpitations et de l’essoufflement. On a recommencé les prises de sang et les échographies (résultat : limite normal). On a découvert que je faisais de l’hypothyroïdie. Le cardiologue était déboussolé. Si j’avais eu une HYPERthyroïdie, cela aurait pu expliquer mes palpitations cardiaques, mais non! C’était bien de l’hypothyroïdie. On m’a diagnostiqué de la tachycardie sinusale. À 20 ans! Wow! Probablement causés par la vaccination, mais aucune démarche n’a été faite auprès la Santé publique. Heureusement, j’ai été prise en charge par un endocrinologue pour ma thyroïde et j’ai des suivis en cardiologie. Quelques mois plus tard… Migraines chroniques!! On m’a donné des médicaments pour contrôler mes palpitations cardiaques et mes migraines. C’est pire. Donc, en bref, j’ai 21 ans aujourd’hui et je suis toujours prise avec les problèmes énumérés ci-dessus. Je me sens abandonnée par notre système de santé, comme si ce qui se passe présentement était normal.
Comment se soigner ?
Vous êtes victime d’effet secondaire de la vaccination mais vous ne savez pas quoi faire pour vous soigner? Nous vous invitons à visionner cette vidéo du Dr Simon Ruelland, qui donne des conseils santé suite aux injections, mais aussi de manière préventive afin de renforcer son système immunitaire. Il conseille de prendre chaque jour :
- 2 000 unités de vitamine D3 (au moins l’hiver);
- 1 comprimé de 50 mg de zinc durant 3 mois;
- 1 comprimé de 250 ou 500 mg de quercétine
- 500 mg de vitamine C (1 000 mg en période infectieuse)
Les explications détaillées du Dr Ruelland
La vitamine D3, à une concentration située entre 40 et 60 ng/ml, est le fer de lance de la prévention des infections pour quelque microbe que ce soit. Elle fait partie intégrante de notre défense immunitaire. Elle est aidée en cela par un apport suffisant en zinc et en magnésium et, aurais-je pu ajouter, en cuivre.
Une compagnie québécoise fabrique une formulation de vitamine D à 2 000 U.I. (Luxa-D) et c’est celle que je prescris à mes patients à raison de 1 gélule une fois par jour, dose que je double en cas de syndrome d’allure grippal pour 2 à 3 semaines ou plus si nécessaire, après quoi le patient revient à une dose uniquotidienne. Cette vitamine liposoluble doit être prise avec un peu de matière grasse pour assurer sa bonne absorption. Je suggère à mes patients, notamment les « vaccinés » et « rappelés », de la prendre au long cours, été comme hiver, afin d’aider à préserver un système immunitaire sain et, qui sait, peut-être à prévenir l’apparition d’une maladie auto-immune ou d’un éventuel cancer.
On trouve dans les pharmacies communautaires, sur les tablettes, bien sûr de la vitamine D3 mais aussi de la quercétine, ce pigment des fleurs, aux doses de 250 ou 500 mg/co, seule ou justement combinée à la vitamine C. Vendue en format de 100 co, elle peut être prise de façon préventive puisqu’elle exerce un très bon effet sur notre immunité, et certainement lors d’épisodes infectieux en vue d’assurer une bonne évolution et jusqu’à guérison. Elle est très abondante entre autres dans les baies de sureau, l’oignon rouge, le chou kale et le chocolat noir. Une autre compagnie québécoise (Fruitomed) fabrique un excellent sirop de sureau.
Ce que j’ai dit de la quercétine s’applique également à la vitamine C, l’acide ascorbique. La dose de 500 mg/jour peut suffire en prévention et 1 000 à 2 000 mg/jour peuvent être prises pour 7 à 10 jours lors d’une infection. Idem pour le gluconate de zinc à 50 mg, 1 co/jour pour 1 bouteille (3 mois) suivi d’une période d’arrêt et reprise si nécessaire au moment jugé opportun. En cas d’infection, zinc 50 mg deux fois par jour pour 7 à 10 jours.
Une formulation intéressante suggérée par les naturopathes combine 15 mg de citrate de zinc avec 2 mg de cuivre (marque AOR chez Avril). Il existe des suppléments de magnésium grand public dans nos pharmacies communautaires, seul ou associé, et la prise d’un de ceux-ci pour 3 mois suivi d’un arrêt de trois mois peut représenter une manière efficace et sécuritaire d’éviter la carence. Encore ici, les conseils d’un naturopathe accrédité pourraient certainement aider nos patients.
Ces recommandations préventives et curatives s’ajoutent bien entendu aux saines habitudes de vie et à ces alicaments que sont nos petits et gros fruits et légumes, bio et de proximité de préférence. La viande contient quant à elle son lot de zinc et de cuivre, le poisson, ses oméga-3.
Simon Ruelland MD
Formulaire sur les effets secondaires de la vaccination*
* Ce formulaire a pour but de nous déclarer des effets secondaires, à vous ou des personnes proches, et/ou de participer à des groupes de parole réunissant des victimes. Nous garantissons la confidentialité de vos données et l’anonymat.