STATISTIQUES

Dans cette section, des statisticiens et des chercheurs démontrent un tout autre résultat des chiffres officiels. On dirait que bien au contraire: il faut surtout parler des chiffres !

Deux ans de vaccination anti-COVID-19 : les « vaccins » ont une efficacité négative. Ce n’est pas nous qui le disons mais les données de la Santé publique

Deux ans de vaccination anti-COVID-19 : les « vaccins » ont une efficacité négative. Ce n’est pas nous qui le disons mais les données de la Santé publique

Afin de montrer l’efficacité de la vaccination, les autorités de santé (Santé Québec et l’INSPQ) ont publié des données censées le confirmer. Hélas, les résultats montrent l’inverse. À tel point qu’elles sont contraintes de les cacher. Cet article présente donc une...

Les vaccins ne sont pas la solution

Les vaccins ne sont pas la solution

Auteur : Christian Leray M.A.   Des documents obtenus grâce à la Loi d’accès à l’information montrent que sur les 7 150 morts de la COVID-19 depuis la 4e vague (du 14 décembre 2021 au 19 juin 2022), 3 303 étaient « adéquatement vaccinés » tandis que 147 étaient...

TABLEAU DE BORD

Tableau de bord de la COVID-19 au Québec

SANTÉ QUÉBEC ARRÈTE DE PUBLIER LES DONNÉES EN FONCTION DU STATUT VACCINAL
 
Constatant que les données ne sont plus en sa faveur, Santé Québec ne rend plus disponible depuis le 6 juillet 2022 les données des cas et des hospitalisations en fonction du statut vaccinal :
 
 
Alors que l’on aurait du s’attendre au contraire à une plus grande transparence avec la publication des données des décès, les autorités décident de tout cacher. Avec un argument bien « abscons » : les statuts vaccinaux ne seraient plus « représentatifs ».
 
On peut comprendre pour les « cas » (en raison de l’apparition des tests rapides) mais pour les hospitalisations, l’argument ne tient pas.
En fait, la dernière version de notre tableau de bord montrait que les 3 doses représentent 70 % des cas alors qu’ils ne sont que 50 % de la population (cf. plus bas).
 
Ces données sont donc primordiales car l’on assiste un peu partout à une hausse « inexpliquée » de la mortalité. Nous présentons ici par exemple des articles traitant de :
  • l’Alberta où l’on remarque que les décès de cause inconnus sont maintenant la première cause de mortalité.
  • du Nouveau Brunswick où l’on constate que « le taux de surmortalité est inquiétant ».
  • et de l’Angleterre où l’on voit aussi une hausse des décès.
Et l’on pourrait continuer longtemps tant l’on fait ces constats partout dans le monde, comme au Portugal, « qui bat le record européen de mortalité »… alors qu’il s’agit du pays d’Europe le plus vacciné. Ici au Québec, le 1er trimestre de 2022 a vu pour la première fois (sauf lors de la 1ere vague où cela fut très modeste), un solde naturel négatif : les décès ont surpassé les naissances, la différence est de 1050 :
 
 
Il est certain que les naissances ont tendance à diminuer et les décès, en raison du vieillissement de la population, à augmenter. Mais les taux de mortalité sont anormalement élevés alors que la population, vaccinée à 90 %, est supposée protégée de la COVID-19…
Dans le même temps, alors que les autorités anglaises déconseillent à présent la vaccination pour les femmes enceintes et qui allaitent, le nombre des naissances n’a jamais été aussi bas.
 
En ne rendant plus publiques les données, en ne donnant pas le nombre de décès en fonction du statut vaccinal, les autorités cachent sciemment la vérité. C’est extrêmement grave.
 
 

Dernière version du tableau de bord

Conséquence directe de l’arrêt de la publication des données : Réinfo Covid Québec ne pourra plus mettre à jour son tableau de bord et nous laissons la dernière mise à jour en date du 4 juillet 2022.

 

Les statistiques de l’INSPQ et du tableau de bord de Santé Québec affichent les données brutes du jour. Celles-ci sont affinées lors des semaines suivantes et ne donnent donc pas une image fidèle de la réalité.

Afin d’avoir une vision plus juste de la situation, Réinfo Covid Québec a décidé de présenter chaque lundi des statistiques comme en Angleterre et en Écosse avec les données des 28 derniers jours.

Il est essentiel de réaliser que ces statistiques sont issues des données du gouvernement, disponibles ici.

 

  • Au mois de juin 2022, l’INSPQ a retiré son tableau de bord. Nous continuerons à présenter les données de la COVID-19 tant que Santé Québec continuera, afin que la population ait une autre source d’information.
    • D’autant que Santé Québec présente dans son tableau de bord des données très discutables, comme par exemple un taux de vaccination des 12-17 ans de… 100 %. Pourtant une simple recherche montre que pour les 10-19 ans, au cours des 28 derniers jours, les non-vaccinés représentent 11,7 % des cas (56 sur un total de 477).
    • Il ne s’agit là que l’une des innombrables approximations et erreurs des autorités, ce qui met à mal leur crédibilité.
  • D’après les données du gouvernement, depuis mars 2020 :
      • 99,8 % de la population a survécu à la COVID-19.
      • Les personnes qui décèdent sont très âgées et en mauvaise santé : l’âge moyen des morts est de 84 ans et 98,1 % des personnes décédées de la COVID-19 ont au moins une comorbidité (l’INSPQ parle de « conditions préexistantes » : cancer, problème cardiaque, diabète, obésité, etc.). 92 % des personnes décédées ont au moins 2 comorbidités.
      • Seules 401 personnes en « santé » (c’est à dire sans comorbidités) sont décédées de la COVID-19 (1,9 % du total). Rapporté au total de la population en santé, les risques pour ces personnes (l’écrasante majorité de la population) de décéder de la COVID-19 sont infimes. C’est encore plus vrai pour les enfants qui ont un risque infime d’être hospitalisés (l’INSPQ le reconnait d’ailleurs).
      • Attention cependant, l’INSPQ ne met plus à jour ces statistiques depuis le mois de mai 2022. On se demande pourquoi…
      • Néanmoins, les données montrent donc que l’immense majorité de la population n’a quasiment rien à craindre et que la priorité doit être donnée à la protection des personnes à risque (essentiellement celles qui ont des comorbidités).

 

  • Sur les 28 derniers jours :
      • La part du nombre de non-vaccinés sur le total des nouvelles hospitalisations est de 0,1 %. Il est faux d’affirmer qu’ils font déborder les hôpitaux.
      • D’après les données des autorités, une personne vaccinée 3 doses a 3,65 fois le risque de contracter la COVID-19 par rapport à une personne non-vaccinée. Ces données sur les « nouveaux cas » sont cependant à prendre avec des pincettes (en raison notamment de l’apparition des tests rapides)… mais il ne fait aucun doute que si elles étaient à l’avantage des autorités, elles feraient la une des journaux. Santé Québec a d’ailleurs retiré cette donnée de son tableau de bord tellement les résultats sont à l’avantage des non-vaccinés.
      • À noter cependant que des tests aléatoires effectués dans les aéroports indiquent que les non-vaccinés ont un taux de positivité de 2,4 %… contre 3 % pour les vaccinés.
      • Au chapitre des nouvelles hospitalisations, les vaccinés 3 doses sont très surreprésentés avec 70 % alors qu’ils constituent 51,2 % de la population. Le différentiel est de -18,8 points négatifs.
      • Finalement, les vaccinés ont un risque d’hospitalisation légèrement plus élevé que les non-vaccinés. Un vacciné 3 doses a ainsi 1,46 fois le risque d’un non-vacciné d’être hospitalisé.

 

Total des hospitalisations COVID-19 par catégorie d’âge en fonction du statut vaccinal au Québec : 30 mai au 26 juin 2022 (Semaines 22, 23, 24 et 25)

Si 50 % des hospitalisations COVID-19 le sont pour d’autres pathologies (comme le dit le ministre Dubé), alors 89 nouvelles hospitalisations COVID-19 ont été le fait de non-vaccinés (d’après le quotidien britannique The Telegraph ce serait même seulement un patient COVID-19 sur cinq qui serait effectivement hospitalisé pour cette maladie). Cela représente 0,1 % du total des nouvelles hospitalisations toutes causes confondues de la période.

Les personnes qui ont reçu trois doses sont largement surreprésentées :

  • Elles totalisent 70 % des nouvelles hospitalisations pour la COVID-19 alors qu’elles ne représentent que 51,2 % de la population. Le différentiel est de -18,8 points négatifs.
  • La situation est similaire concernant les contaminations : elles représentent 73,2 % des nouveaux cas. Alors que les non-vaccinés sont eux sous-représentés à ce chapitre (4,3 % des nouveaux cas contre une part de la population de 11 %).

Logiquement, le risque des personnes qui ont reçu 3 doses d’être contaminées et hospitalisées est supérieur à celui des non-vaccinés. Les triple vaccinés ont ainsi plus de 3,6 fois de chance d’attraper la maladie (en fait être positif à un test) que les non-vaccinés. Concernant les hospitalisations, le ratio est de 1,46 fois, en faveur des non-vaccinés.

Vues ces données, qui sont celles des autorités et montrent une efficacité négative… sans tenir compte des effets secondaires, on peut légitimement s’interroger quant à l’efficacité de la vaccination.

En fait, les rappels ont clairement une efficacité négative. Les avertissements de chercheurs indépendants craignant depuis le début un phénomène ADE (« antibody-dependent enhancement », anticorps facilitants) commencent à se vérifier.

Notes méthodologiques

Nous nous basons sur les données du site Partenariat Données Québec, qui met à la disposition du public différentes statistiques. Concernant la COVID-19, il est possible d’obtenir les données sur les « cas » et sur les hospitalisations. C’est à partir de ces données qu’est obtenu le tableau ci-dessus.

Il est fondamental de noter que :

Ce manque manifeste de transparence, ajouté au constat de nombreuses autres anomalies, décrites dans les deux articles suivants, jettent un doute sur l’authenticité et la validité des statistiques présentées par les autorités :

Rappelons que nous avions déjà montré qu’en 2020 la part des hospitalisations pour la COVID-19 était de 2,1 %. Ce qui mettait déjà à mal le discours selon lequel les hôpitaux étaient débordés en raison de la COVID-19, même si certains hôpitaux ont du être sous tension à certains moments.

 

Comment est calculé le taux de nouvelles hospitalisations pour la COVID-19 des non-vaccinés?

Le pourcentage des nouvelles hospitalisations pour la COVID-19 est tellement en deçà de la représentation qu’en font les médias et autorités qui laissent croire que les non-vaccinés occupent la moitié des lits dans les hôpitaux que l’on nous demande souvent des explications sur les calculs qui permettent d’arriver à ces résultats.

Ils sont forts simples… la complexité réside dans leur recherche. Le site Partenariat Données Québec partage le nombre de nouvelles hospitalisations par jour. Il ressort qu’il y en a eu 986 607 en 2020. À partir de là, il est facile d’établir la moyenne des nouvelles hospitalisations par jour et par semaine. En comparant cela au nombre des nouvelles hospitalisations pour la COVID-19, on obtient une estimation somme toute très proche de la réalité.

Il n’est malheureusement pas possible d’avoir les données exactes car le gouvernement ne partage pas le nombre total de nouvelles hospitalisations chaque jour, on a les données que pour 2020.

 

Légende du tableau de données

Les données que nous présentons dans le 1er tableau sont inspirées de celles qu’affichent l’INSPQ sur son site. Il y a cependant 2 différences fondamentales :

  • Les statistiques affichées tiennent compte des 28 derniers jours et non des dernières statistiques du jour, tendancieuses car non encore affinées (nous constatons que dans les semaines suivantes, les autorités ‘redressent’ les données, très en faveur des non-vaccinés… mais le mal est fait).
  • Nous avons délibérément choisi des indicateurs moins anxiogènes que l’INSPQ.

Il est important de noter que les catégories de Santé Québec et de l’INSPQ changent fréquemment. Si bien que les données publiées sur le site Partenariat Données Québec ne comportent pas toujours les mêmes catégories que dans le tableau de bord quotidien. L’ajout d’une catégorie 5-11 ans (tout statut vaccinal) n’a tout simplement pas de sens, tout comme la catégorie « inconnus ».

De même, l’INSPQ retire progressivement de nombreuses données. La plus importante de toutes selon nous, les décès en fonction des conditions préexistantes (comorbidités, comme par exemple les cancers, maladies cardiaques, etc.), n’est plus mise à jour depuis le mois de mai 2022. Nous continuons cependant de l’indiquer dans notre tableau de bord car elle montre clairement que les personnes qui décèdent de la COVID-19 sont déjà très malades et très âgées.

Tous ces changements font qu’il est difficile de faire un suivi parfait et le retrait de divers de données comme les décès en fonction des comorbidités indique clairement que les autorités ont quelque-chose à cacher.

Enfin, nous précisons que les statistiques présentées dans la ligne du tableau « % toutes hospitalisations » sont divisées par 2 pour refléter la réalité décrite par M. Dubé, ministre de la Santé et qui déclare que « 50 % des quelque 2 800 hospitalisations liées à la COVID-19 sont en fait des personnes asymptomatiques ».

On pourrait même aller plus loin en se basant sur le quotidien britannique The Telegraph qui affirme que ce serait même seulement un patient COVID-19 sur cinq qui serait effectivement hospitalisé pour cette maladie.

 

Cas confirmés : Pourcentage de la population qui a été déclaré positif à la COVID-19 sur le total de la population (8,5 millions).

Taux de survie : Pourcentage de la population qui n’est pas décédé de la COVID-19.

Risque des non-vaccinés vs 3e dose : Comparaison des nouvelles hospitalisations pour les vaccinés triple doses comparativement aux non-vaccinés. Ce résultat est obtenu en calculant la proportion du nombre de nouvelles hospitalisations dans les deux catégories sur leur nombre total (leur part dans la population), puis en divisant les résultats des deux l’un avec l’autre.

Non-vaccinés hospitalisés : Pourcentage des non-vaccinés sur le total des nouvelles hospitalisations. Ce chiffre est divisé par 2 pour faire suite aux propos du ministre de la Santé qui reconnait que « 50% des hospitalisés COVID-19 le sont pour une autre pathologie ».

Âge moyen des décès : Moyenne d’âge de chaque tranche d’âge (par exemple 15 ans pour les 10-19 ans) au prorata des décès.

Décès en santé : Nombre de personnes décédées alors qu’elles n’avaient aucune condition médicale préexistante (hypertension, maladies respiratoires, maladies cardiovasculaires, diabète, cancer, etc.). A noter : l’INSPQ ne tient plus à jour ces données et nous indiquons les derniers résultats affichés (depuis le 2 mai 2022).

Décès avec deux comorbidités  ou plus : Pourcentage des personnes décédées de la COVID ayant au moins deux conditions médicales préexistantes. Comme pour les « décès en santé », l’INSPQ ne tient plus cette statistique à jour.