Auteur : Louis Préfontaine
On se souvient que Pfizer avait été forcée de rendre public ses essais cliniques à l’hiver 2022 mais le début de la guerre en Ukraine avait permis aux médias subventionnés d’en ignorer l’importance. Deux ans et demi plus tard, après un travail titanesque, Naomi Wolf et Amy Kelly, en collaboration avec une équipe de médecins (tous bénévoles), ont décrypté ces résultats et ont conclu, sans surprise pour ceux qui suivent cet enjeu, que Pfizer s’est rendue coupable de crimes contre l’humanité.
Le livre The Pfizer Papers : Pfizer’s Crimes Against Humanity a été publié le 15 octobre dernier et on peut déjà dire qu’il s’agit d’une bombe. Il serait excessivement difficile de résumer en quelques mots un travail d’une telle ampleur. Près de 450 000 pages de contenu scientifique ont été analysées par une équipe de plus de 3250 personnes. Il s’agit d’une déconstruction systématique et organisée, appuyée par des médecins et des sommités scientifiques, de l’ensemble du narratif covidiste. Pfizer savait ce qu’elle faisait, et c’est pourquoi elle est coupable.
On ne saurait suffisamment recommander la lecture du livre lui-même, mais en guise d’aperçu, voici quelques points importants qui y ont été abordés :
- On apprend dès l’introduction que Pfizer savait, dès novembre 2020, que son injection n’était pas sécuritaire et au moins trois mois plus tard, qu’elle n’était pas efficace. Une foule d’effets secondaires graves (dont les myocardites) ont été répertoriés par la compagnie et celle-ci a éliminé le groupe contrôle en injectant 95% de ceux ayant reçu le placebo, rendant toute comparaison impossible (chapitre 19).
- Au chapitre de l’efficacité, la compagnie notait que le « COVID » était le troisième principal effet secondaire de l’injection et parlait de « défaillance vaccinale » dans ses documents internes. Traduction : on savait que l’injection « anti-COVID » n’empêchait pas le « COVID ». Pfizer a changé la définition de « défaillance vaccinale » après deux mois et demi, quand il était trop évident que l’injection ne fonctionnait pas (chapitre 30). On notera qu’à l’époque les « experts de plateau » se sont mis à parler de « percées vaccinales ». Puis plus tard, certains, comme le professeur Delfraissy, ancien président du Comité scientifique français, ont reconnu qu’ils savaient dès le mois de mars 2021 que les injections n’empêchaient pas la transmission. Etc.
- Pfizer et la FDA [Food and Drug Administration] savaient depuis le début de l’année 2021 que le vaccin à ARNm de Pfizer présentait de graves risques pour le fœtus et le nourrisson, y compris la mort (chapitre 15). Ils ont lancé une campagne agressive pour vacciner les femmes enceintes malgré tout. Alors que de tout temps les scientifiques ont cherché à protéger ce groupe sensible avant toute chose, on a été de l’avant avec une injection dont il était déjà reconnu à l’interne qu’elle était dangereuse. Il y a eu 54% d’effets indésirables lors d’exposition maternelle au « vaccin » (248/458). Parmi ceux-ci, on rapporte 53 rapports de grossesses interrompues spontanément (21%!). Tandis que 19% (41 / 215) des bébés exposés au produit à ARNm de Pfizer par le lait maternel de leur mère ont souffert de 48 différentes catégories d’effets indésirables, incluant des vomissements, la décoloration du lait maternel, de la léthargie, etc. Ces données semblent confirmer la thèse du « shedding », ou d’une certaine forme de transmission d’une personne injectée vers une personne non injectée.
- Plusieurs scientifiques recommandent de nommer une nouvelle maladie « CoVax », soit un ensemble de symptômes de nature auto-immune et étant directement reliés à l’injection (chapitre 16). En effet, il est fait état d’une augmentation de 24 fois des maladies auto-immunes dans le registre américain des effets secondaires des vaccins (VAERS) en 2021 (année de l’injection) par rapport à 2020 (année « COVID ») et de 37 fois des décès reliés aux maladies auto-immunes. Le processus est archi-connu, mais mérite d’être répété : l’ARNm contenu dans les injections commande à nos cellules de produire une protéine étrangère (la fameuse spike). Celle-ci est produite en continu et le système immunitaire, qui la cible (correctement), attaque dans le même temps les cellules, ce qui entraine une réaction auto-immune.
L’ouvrage traite de nombreux autres enjeux comme par exemple la baisse de la natalité post-injection. En effet, les auteurs notent qu’une particularité de l’injection semble être de viser spécifiquement le système reproducteur, plus spécifiquement celui des femmes.
On parle également de l’injection des enfants, alors que le ratio risques-bénéfices, pour eux, était extrêmement défavorable, sans l’approbation pédiatrique et avec des conséquences funestes pour beaucoup d’entre eux selon les auteurs.
L’explosion des turbo-cancers est également abordée, alors que des patients plus jeunes reçoivent des diagnostics et que leurs cellules cancéreuses se comportement de manière plus agressives, voire atypiques.
On pourrait continuer ad nauseam. Ce livre, sorti deux semaines avant l’Halloween, est une véritable histoire d’horreur. Pfizer SAVAIT que son produit était dangereux, SAVAIT qu’il était inefficace, SAVAIT que des gens allaient souffrir en le prenant. Elle a pourtant reçu toutes les autorisations des autorités pour l’injecter à l’ensemble de la population, incluant les plus fragiles.
Voilà pourquoi on doit parler d’un crime contre l’humanité. Pfizer et les autorités étaient parfaitement conscientes des risques énormes qu’elles faisaient courir à la population. La science a été travestie pour camoufler ce qui crève maintenant les yeux : ces injections n’auraient jamais dû être approuvées.
Un livre à mettre entre les mains de nos êtres chers, et qui pourra peut-être, enfin, éveiller ceux qui croient encore aux injections et qui n’ont pas pris acte de la souffrance, des morts, de la surmortalité, des cancers, des maladies auto-immunes et de tout le mal qu’elles ont causé et qu’elles causent encore.
The Pfizer Papers: Pfizer’s Crimes Against Humanity
War Room Books
408 p.
ISBN-10 : 1648210376
ISBN-13 : 978-1648210372
Bonjour M. Préfontaine,
Merci beaucoup pour la présentation de ce livre important. Si il est incontestable que de résumer un tel ouvrage doit être impossible, vous mettez de l’avant des faits cruciaux et la conclusion qui s’impose: il s’agit d’un crime contre l’humanité.
merci baucoup jai adorer le livre