De plus en plus de jeunes ressentent le fait que leur genre n’est pas en adéquation avec leur corps. Cette tendance connait une augmentation fulgurante ces dernières années. Tant de jeunes sont-ils soudainement nés dans le mauvais corps… ou est-ce qu’un discours, surfant sur la faiblesse psychologique de certains d’entre eux, n’expliquerait pas l’explosion du phénomène? Au Québec, alors qu’on ne peut pas boire d’alcool ni voter avant 18 ans, on peut se faire vacciner sans le consentement des parents à partir de 14 ans… et il est possible de “transitionner” (faire des opérations chirurgicales qui permettent de changer de sexe) à n’importe quel âge. Ne va pas t-on trop loin? Voici le témoignage d’une mère qui interpelle.

 

J’aimerais vous raconter l’histoire que j’ai vécu avec ma fille, qui a transitionné à l’âge de 14 ans et qui TENTE de détransitionner.

Je dis TENTE car après avoir pris de l’hormonothérapie (dès la deuxième ou troisième rencontre) et subi une mastectomie (l’ablation des seins), les dommages sont dévastateurs. Bien que j’avais moi-même demandé à une psychologue de rencontrer ma fille, et que cette dernière était d’accord avec moi sur le fait que ce n’était pas une dysphorie de genre, le processus s’est quand même enclenché. Veuillez noter que j’avais remis le rapport de la psychologue à la clinique.

En tant que parent, c’est l’enfer! J’ai vécu une dépression et un désespoir total. Je savais profondément que ma fille faisait une grave erreur, mais un tout petit doute s’était installé et la peur qu’elle se suicide me rongeait l’intérieur.

À l’époque, ce n’était pas une dysphorie de genre! Mais aujourd’hui, maintenant âgée de 20 ans, son corps de femme n’est plus. Plus de seins, une pilosité sur tout le corps et une voix grave.

Le gouvernement a payé pour la transition mais ne paye pas pour la détransition! Et c’est bien maintenant qu’elle en aurait besoin! Et, ni elle ni moi avons les moyens de défrayer les coûts reliés à une détransition.

La popularité a joué un rôle extrêmement important. Elle avait un nombre de followers en constante évolution. Un jour, elle est allée à Ottawa et s’est fait reconnaitre, nous habitons la Rive-Sud de Montréal…

Ma fille a reçu un diagnostic de trouble de la personnalité limite. Ce diagnostic ne peut être donné avant l’âge de 18 ans. Souvent ces personnes ne sont pas bien dans leur corps, mais cela n’est absolument pas une dysphorie de genre.

La promotion de ce phénomène est un réel danger pour nos enfants!