Auteur : Louis Préfontaine

 

Les vaccins sont-ils surs et efficaces comme on nous le prétend ? Nous avons montré dans notre article consacré au vaccin contre la rougeole que c’était loin d’être évident et que les autorités devaient présenter des études aléatoires en double aveugle contre placebo, ce qu’elles exigent pour des traitements qui ont fait leurs preuves depuis des décennies… mais qu’elles n’ont pas fait pour les vaccins. Steve Kirsch, entrepreneur et fondateur de la Vaccine Safety Research Foundation, a voulu en savoir plus.

Pour se faire, il a récemment organisé et publié une étude aux résultats assez percutants Celle-ci, basée sur plus de 13 000 répondants, a établi un lien clair et direct entre la vaccination et les maladies chroniques. En comparant le statut vaccinal et la présence de 63 différentes maladies ou conditions, on peut observer un fort lien de causalité pour plusieurs d’entre elles.

En effet, sur les 63 conditions observées, 44 avait un ratio de probabilité supérieur à 2, ce qui indique, statistiquement, que le vaccin est la cause principale de l’affectation. Quatorze conditions avaient un ratio entre 1,3 et 2, indiquant que les vaccins sont une cause significative de la condition (23 % des cas ou plus sont attribuables à la vaccination). Les cinq conditions restantes n’avaient pas une prévalence suffisante pour en tirer une conclusion statistique.

Voici le tableau des vingt principales affectations, par ordre de ratio de probabilité :

En clair, on observe un lien direct pour toutes ces affectations, et ce lien est d’une magnitude très importante, voir extrême pour certaines d’entre elles. Cela signifie que ces problèmes ne sont pas potentiellement causés par les vaccins, mais en sont la résultante quasi-certaine.

Kirsch explique, avec justesse, que le résultat de son étude correspond à ce qui a déjà été observé ailleurs. Ainsi, The Control Group a publié des résultats similaires :

Source

Ces données, tout comme celles de Kirsch, établissent un lien très clair et direct entre le fait d’être vacciné et celui d’avoir une maladie chronique. Près de 60 % des adultes ayant une condition chronique étaient vaccinés, contre seulement 5,7 % pour les non-vaccinés. Dans le cas où il y a deux conditions chroniques, 42 % sont vaccinés, contre moins de 1 % pour les non-vaccinés. Ce lien est très fort.

Évidemment, ces données, et celles de Kirsch, ne qualifient pas l’efficacité des vaccins. La question est toujours de l’ordre du ratio risque / bénéfice. On pourrait juger, par exemple, que le risque d’avoir une maladie chronique est compensé par la gravité d’une maladie que le vaccin prétend soigner. Le problème demeure pourtant celui-ci : la plupart des affectations soi-disant guéries par des vaccins ont un taux de mortalité extrêmement bas (moins de 0,2 % pour la « COVID », et près de 0,05 % pour la rougeole…), ce qui crée un ratio extrêmement défavorable, considérant les risques reliés aux maladies chroniques.

Les conclusions de Kirsch, basées sur les données de son étude, sont impitoyables :

  1. Les gens les plus vaccinés ont 3,3X plus de chances d’avoir au moins une maladie chronique.
  2. Les vaccins n’ont pas réduit le risque d’une seule des 63 maladies chroniques. Pas une seule.
  3. Les gens les plus vaccinés ont 7X plus de chances de souffrir d’au moins cinq conditions chroniques.

 

INJECTION « COVID » = CANCER

Ces données ne devraient pas surprendre ceux qui suivent de près les nouvelles études scientifiques ayant un lien avec les injections « COVID ». Comme le notait récemment le médecin canadien William Makis, pas moins de six nouvelles études, en avril seulement, parlent du problème de l’explosion actuelle des cas de cancer. Makis soulignait également que la littérature sur ces turbo-cancers est en forte progression.

Voici un aperçu très rapide des six études qui viennent d’être publiées :

1) SARS-CoV-2 spike S2 subunit inhibits p53 activation of p21(WAF1), TRAIL Death Receptor DR5 and MDM2 proteins in cancer cells

Cette étude établit que la protéine « spike », produite tant par les injections à ARNm que par le virus lui-même, encourage la suppression de la protéine p53, chargée de l’intégrité du génome et permettant d’empêcher l’expression du cancer.

 

2) Review: N1-methyl-pseudouridine (m1Ψ): Friend or foe of cancer?

Cette étude explique que l’ajout de 100 % de N1-methyl-pseudouridine aux injections à ARNm peut stimuler la croissance du cancer et les métastases. Les auteurs suggèrent que les prochains essais cliniques n’utilisent pas ce produit à 100 %, mais avec une concentration plus faible, afin d’éviter la suppression immunitaire pouvant mener au cancer.

 

3) Increased Age-adjusted Cancer Mortality after the 3rd mRNA-Lipid Nanoparticle Vaccine Dose during the COVID-19 Pandemic in Japan

Cette étude fait état de l’augmentation significative des cas de plusieurs cancers depuis le début des injections à ARNm au Japon.

 

4) Primary Cutaneous Adenoid Cystic Carcinoma in a Rare Location With an Immune Response to a BNT162b2 Vaccine

Cette étude fait état d’un lien potentiel entre l’injection « COVID » et le développement d’un carcinome. Les auteurs notent que cette injection est associée à un syndrome d’inflammation multi-système et que cette réaction immune pourrait encourager la croissance des tumeurs cancéreuses.

 

5) Fetal hemophagocytic lymphohistiocytosis with intravascular large B-cell lymphoma following coronavirus disease 2019 vaccination in a patient with systemic lupus erythematosus: an intertwined case

Cette étude établit un lien entre l’injection à ARNm « COVID » et le lymphome médiastinal à grandes cellules B.

 

6) A Case Report of Acute Lymphoblastic Leukaemia (ALL)/Lymphoblastic Lymphoma (LBL) Following the Second Dose of Comirnaty®: An Analysis of the Potential Pathogenic Mechanism Based on of the Existing Literature

Une autre étude qui fait état d’un lien entre l’injection « COVID » et le développement d’un lymphome.

 

Bref, ce qu’explique Makis, c’est que le barrage est en train de céder. Les données scientifiques sont de plus en plus claires et définitives : les injections « COVID » encouragent le développement du cancer et de maintes autres maladies auto-immunes.

L’aspect intéressant apporté par l’étude de Kirsch, c’est qu’elle fait la démonstration empirique que les effets secondaires nuisibles ne constituent pas une nouveauté ayant seul rapport avec les injections « COVID », mais qu’elles sont la conséquence de TOUTES les injections. Qu’on vaccine un enfant contre la rougeole ou un adulte pour XYZ raison n’a que peu d’importance sur le résultat : ces injections ont le potentiel de causer des maladies, voire la mort.

Dans ce contexte, ne faudrait-il pas, à tout le moins, faire la comparaison entre le risque et le bénéfice escompté par de telles injections ? Quand le gouvernement décide d’injecter massivement les enfants contre la rougeole ou d’organiser une énième campagne « COVID », ne devrait-on pas à tout le moins considérer les risques reliés à une telle vaccination de masse ? L’immunité naturelle, au moins autant efficace, et sans tous ces risques, ne devrait-elle pas être revalorisée ?