Les professionnels Québécois qui osent remettre en question le discours officiel sont systématiquement attaqués et condamnés par leur Ordre professionnel pour avoir dit la vérité. Cela est du au fait que ceux-ci sont sous la gouverne des gouvernements, eux-mêmes vassaux d’intérêts privés anonymes. En effet, comme nous l’avons plusieurs fois expliqué, les élus ne doivent leur élection qu’aux quelques milliardaires qui financent leurs campagnes et les promeuvent dans les médias qu’ils détiennent. Ils sont donc à leur service, pas au nôtre. Comme on l’a aussi montré, les président des conseils de discipline des Ordres sont nommés par le gouvernement. Les Ordres sont donc aux ordres et les personnes qui tentent de dire la vérité sont persécutées et n’ont aucune chance car tout est arrangé d’avance. Pire, elles doivent dépenser des dizaines de milliers de dollars en frais d’avocat, le tout en pure perte. Voici les témoignages de professionnels québécois qui dénoncent cette parodie de justice.

 

Louis Olivier Fontaine  : « Il n’y a plus de séparation des pouvoirs permettant de garantir la justice »

Louis Olivier Fontaine est un avocat qui vient d’annoncer sa démission du Barreau (l’Ordre des avocats) en raison de sa perte de confiance dans le système judiciaire. Une décision politique effectuée en pleine conscience et qui interpelle. Il a publié une lettre pour expliquer les raisons de sa décision, lourde de conséquences.

Il évoque dans cette entrevue son histoire ainsi que la collusion des pouvoirs au Québec, dénonçant le fait que contrairement à ce que l’on nous a toujours dit, les fameux « 3 pouvoirs » (et on pourrait même dire cinq avec les médias et la finance) ne sont en fait absolument pas séparés. Au contraire : le parti qui remporte l’élection contrôle directement les pouvoirs législatifs et exécutifs (puisque ce sont les chefs du parti qui a le plus de députés qui composent le gouvernement), tandis que les juges sont nommés par le ministre de la Justice ou le conseil des ministres.

“Acteurs principaux dans la préservation du récit officiel, les ordres professionnels et leurs syndics ont réussi à imposer la terreur dans leurs rangs en s’en prenant systématiquement aux voix dissidentes. Ils ont ainsi eu l’occasion de révéler leur vraie nature, soit qu’ils ont pour mission de contrôler les professionnels et de protéger des intérêts particuliers, et non de protéger le public. Les universités qui baignent dans le financement de l’industrie ont joué un rôle semblable en s’assurant qu’aucun de leurs membres ne vienne gâcher l’opération profitable en cours.”

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/louis-olivier-fontaine-il-n-y-plus-de-separation-des-pouvoirs

 

Robert Béliveau, une autre cible du Collège des médecins du Québec

Alors qu’il ne pratiquait plus la médecine, Robert Béliveau a tout de même récemment reçu une plainte disciplinaire du Collège des Médecins du Québec (CMQ) suite à des propos tenus en 2021. Voici ses explications et sa position en regard de cette plainte.

Source: Réinfo Québec, 2 mai 2024

 

Patrick Provost se prononce sur son congédiement de l’Université Laval

Un professeur canadien licencié pour avoir remis en question la sécurité des injections d’ARNm.

Source: Réinfo Québec, 3 mai 2024

L’Université Laval est le plus ancien établissement d’enseignement supérieur au Canada et a formé certains des fils et filles les plus accomplis de ce pays, notamment les anciens premiers ministres Louis St. Laurent, Brian Mulroney et Jean Chrétien. Malheureusement, les directeurs actuels de l’université ont – en décidant de licencier Patrick Provost (professeur de microbiologie et d’immunologie) spécialiste des ARNm – manifesté une préférence pour l’orthodoxie plutôt que pour la recherche scientifique.

Depuis que Galilée a été condamné par le Saint-Office de l’Inquisition en 1633, il y a eu une tendance assez constante en Occident à privilégier la liberté d’expression et la libre enquête scientifique plutôt que l’application stricte de l’orthodoxie religieuse.

John Milton rendit visite à Galilée alors qu’il était assigné à résidence à l’été 1639, et l’état du vieil homme fit une forte impression sur le jeune Milton. Six ans plus tard, Milton a publié une célèbre et fougueuse défense de la liberté d’expression intitulée Areopagitica, dont la lecture devrait être obligatoire pour tous ceux qui prétendent s’intéresser à l’avancement des connaissances.

Même si Milton était un fervent chrétien protestant, il affirmait néanmoins que la liberté d’expression est le seul moyen de faire progresser la connaissance. Notre compréhension de la réalité est fragmentaire et incomplète, et la seule façon de nous rapprocher d’une compréhension complète est de communiquer librement nos observations et nos pensées les uns aux autres. En effet, si nous ne pouvons pas parler librement, il est peu probable que nous puissions même penser clairement.

Message aux dirigeants de l’Université Laval : Régresser vers une préférence pour l’orthodoxie du 16e siècle et persécuter un professeur titulaire pour hérésie est une politique terrible pour une université du 21e siècle. Vous finirez par montrer que vous êtes du mauvais côté de l’histoire intellectuelle et politique.

Sources: Courageous Discourse™ with Dr. Peter McCullough & John Leake, Substack du 10 mai 2024

 

Christian Linard PhD, plainte disciplinaire

Christian Linard, professeur à l’Université du Québec à Trois-Rivières, a été reconnu coupable de 11 chefs d’accusation par l’Ordre des chimistes. Il expose ici la saga entourant ces accusations et dont nous avions déjà traité ici. Il a été condamné à 11 000$ d’amende et à une radiation d’un an de l’Ordre des chimistes. C’est sans compter ses frais d’avocat qui s’élèvent à des dizaines de milliers de dollars.

Christian Linard, PhD, DEPD en biochimie clinique Après l’obtention d’un Licence en technologie biomédicale de l’Université Catholique de Louvain (Belgique) et d’un PhD en biochimie de l’Université de Montréal (UdM)(Canada), Christian Linard poursuit un premier post doctorat en biologie moléculaire des plantes au Massachussetts Institute of Technology (MIT) (Boston, USA), et un deuxième post doctorat en biochimie clinique à l’UdM. Professeur titulaire à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), il enseigne les différents domaines de la biochimie depuis 1994. Durant deux mandats, de 2015 à 2022, il a, entre autres, été membre du Conseil d’administration de son université et a été directeur scientifique du Laboratoire Scientifique des Intolérances Alimentaires (LSIA) créé par madame Danièle Henkel de 2006 à 2016. En 2012, il est le récipiendaire de la Médaille du mérite du Conseil Interprofessionnel du Québec.

Source: Théovox, le 2 mai 2024

 

Sébastien Cormier reconnu coupable de 4 chefs d’inculpation par l’Ordre des infirmières et des infirmiers

La presse subventionnée a rapporté la condamnation de Sébastien Cormier, un infirmier, par le Conseil de discipline de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec, pour ses « diverses opinions qui s’approchent du discours des personnes qui défendent la théorie complotiste, [ce qui] est dérogatoire à la dignité de la profession ». Cet article est totalement à charge et hors-sol. Voici quelques éléments sur lesquels il a été jugé « coupable ».

 

Des propos antimasques… alors que toutes les études montrent l’inutilité et la dangerosité des masques

Le journaliste cite tout d’abord le syndic qui « déplore » que « L’intimé laisse entendre que le port du masque obligatoire à l’école est une mesure ridicule, digne d’un régime nazi et qui fait perdre l’envie aux enfants d’aller à l’école». Mais en fait, Sébastien Cormier a tout à fait raison : on ne compte plus les études qui montrent l’inutilité des masques alors que de nombreuses recherches prouvent que le port du masque (combiné aux autres « mesures ») fait augmenter les problèmes de santé mentale chez les jeunes. Ainsi, un jeune sur quatre déclarait vouloir mourir ou se faire du mal au début de 2022. On pourrait rajouter cette étude qui montre que les masques contiennent des produits toxiques cancérigènes comme du titane, du graphène, des nanoparticules, etc.

On a du mal à croire que l’on a laissé nos enfants porter cela pendant plus de deux ans et la condamnation de l’Ordre des infirmières et des infirmiers n’en est que plus lunaire. Mais les faits n’ont plus aucune importance, il faut faire taire les gêneurs et terroriser ceux qui pourraient avoir envie de prendre également la parole. 

 

Des « puces » qui permettent de décrédibiliser des propos pourtant parfaitement exacts

La presse subventionnée rapporte aussi que

le quarantenaire a été reconnu coupable par son ordre d’un quatrième chef d’accusation puisqu’il a dénoncé en ligne, sans motif valide, l’efficacité du vaccin contre la COVID-19.

«Le vaccin contre la COVID-19 permet d’injecter une puce ou, minimalement, sert à traquer et à contrôler les individus au moyen du code QR», a écrit le Conseil, qui relate ici les mensonges de Sébastien Cormier écrits sur Facebook.

Ici, il est essentiel de noter que les « mensonges » sont le fait de la presse subventionnée, bien aiguillonnée par le conseil de discipline il est vrai. En effet, des personnes au fait du dossier de Sébastien Cormier et avec qui nous nous sommes entretenus, assurent que Sébastien Cormier n’a jamais parlé de « puces » dans les injections. Mais surtout, il faut revenir à sa déclaration telle que rapportée dans le jugement aux paragraphes 88 et 89 :

Comme je dis toujours, Legault, c’est pas pour rien qui veut pas un débat public, c’est parce qu’il sait qu’il va se faire planter, mais encore là, il joue la carte de « ah, je veux pas de débat avec des histoires de puce dans le vaccin ». Y’a personne qui va venir te parler de puce. On est une méchante gang qui peuvent t’en amener des arguments scientifiques, Legault.

On voit que justement Sébastien Cormier dit l’inverse. Puis plus loin, au point 404, le conseil de discipline déclare :

ce dernier [ Sébastien Cormier] affirme ouvertement ou laisse entendre les faits se résumant à ce qui suit : […]

    •  Le vaccin contre la COVID-19 permet d’injecter une puce ou minimalement, sert à traquer et à contrôler les individus au moyen du code QR;

Là, le conseil laisse planer le doute qu’il l’a soit « affirmé ouvertement » ou « laissé entendre ». Mais vue sa première citation, on comprend que ce n’est ni l’un ni l’autre : Sébastien Cormier dit en fait l’inverse, qu’il a de véritables arguments. Mais avoir dit le mot puce suffit au conseil pour prétendre qu’il « affirme ouvertement ou laisse entendre » que le vaccin « permet d’injecter une puce.

C’est une manipulation grossière qui permet finalement au conseil d’affirmer au point 426 que selon Sébastien Cormier, la vaccination contre la COVID-19 « [permet] de contrôler la population en raison de l’injection d’une puce ou de la preuve de vaccination électronique ». Car en fait il n’y a rien dans les déclarations de Sébastien Cormier colligées par le conseil de discipline qui permettent de dire qu’il affirme qu’il y a des puces dans les injections.

Le journaliste n’a donc pas fait son travail en ne vérifiant pas les grossières manipulations du conseil. Pire, il affirme que Sébastien Cormier « relate des mensonges »… alors que c’est lui qui ment. Mais on a là un grand classique des médias subventionnés qui peuvent dire absolument ce qu’ils veulent car il n’y a aucun garde-fou pour sanctionner les journalistes qui mentent ou désinforment.

Le résultat est que l’excellente analyse de Sébastien Cormier sur le traçage et le contrôle des « individus au moyen du code QR » est complètement renversée par ce mensonge sur les « puces ». On voit pourtant bien aujourd’hui la dérive autoritaire avec le passeport vaccinal mondial (alors que cela devait être temporaire) et les différentes tentatives de passeport, comme aux Îles de la Madeleine ou aux Jeux olympiques.

Concernant « l’efficacité du vaccin », Sébastien Cormier a bien des « motifs valides » puisque les propres données de la santé publique montrent que les vaccins ont une efficacité négative. Ce « tribunal » s’assoit donc sur les propres données des autorités, c’est dire où en est rendue la « Justice ». On peut aussi parler des Lockdown Files et des RKI Files, qui montrent que les autorités britanniques et allemandes savaient parfaitement que le covid n’était pas une menace et que « mesures » et « vaccins » étaient inefficaces et nuisibles. Ceux-ci parlent carrément de « mise en scène ».

Dans ces conditions, on peut se demander comment la presse subventionnée et la « justice » peuvent en arriver à la conclusion que « l’intimé contrevient clairement à l’obligation de promotion de la santé imposée par son Code de déontologie ». En fait, la réponse est simple : car il n’y a pas de « justice ». Comme on l’a vu, celle-ci est totalement assujettie aux ordres de l’exécutif. Lui-même assujetti à d’énormes intérêts financiers.

Tout ceci est en fait un simulacre, une parodie.

 

Des ordres professionnels à la solde de cartels?

On notera que suite à la prise de parole de ces professionnels dont l’exposition est très limitée puisqu’ils sont cantonnés aux médias alternatifs, Facebook a fermé les pages d’influenceurs qui relayaient leurs propos. Qui et quoi le système craint-il à ce point?
La crise politique covidienne a exalté le côté obscur, totalitaire des ordres professionnels, dont la raison d’être officielle est la protection du public.

Combien de professionnels québécois ont été réprimandés, sanctionnés ou ont perdu leur titre pour avoir osé questionner les mesures gouvernementales et critiqué la couverture médiatique, laquelle viole quotidiennement et sans vergogne les valeurs les plus fondamentales du journalisme depuis 2020, notamment la Charte de Munich?

Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter cet excellent article qui décortique les crimes et délits des médias dominants.