Après les Twitter Files, qui montraient que Twitter avait été totalement infiltré par les services secrets et censurait sur commande de la Maison-Blanche, des partis politiques et autres, voici les Facebook Files, des documents qui montrent que Facebook a censuré tous les propos qui critiquaient la vaccination suite aux fortes pressions de la Maison-Blanche.

Ceux-ci ont été dévoilé par Jim Jordan, représentant de l’Ohio et président de la Commission judiciaire de la Chambre des représentants des États-Unis.

Les documents semblent montrer qu’au départ la haute direction était réticente car elle était consciente d’être à la « croisée des chemins » : si elle cédait, la censure serait alors banalisée. L’enjeu était tout simplement le 1er amendement de la constitution des États-Unis qui garantit la liberté d’expression (que Trump avait renforcé avant que Biden ne l’annule).

Mais l’administration Biden a mis énormément de pression. Ainsi Biden déclarait en juillet 2021 qu‘en permettant la désinformation, Facebook tuait des gens (« U.S. President Joe Biden on Friday said social media platforms like Facebook (FB.O) « are killing people » for allowing misinformation about coronavirus vaccines to be posted on its platform »).

La pression était telle que finalement, quelques jours plus tard, Facebook décidait de prioriser de bonnes relations avec la Maison-Blanche et donc de se livrer à une censure « plus agressive ».

« Ces documents ET D’AUTRES […] prouvent que l’administration Biden a abusé de ses pouvoirs pour contraindre Facebook à censurer, empêchant ainsi un discours libre et ouvert sur des questions d’une importance publique cruciale. […]

Ils prouvent que la pression gouvernementale était directement responsable de la censure sur Facebook. »

Nous le savions déjà, nous avions nous-même constaté cette montée de la censure. Mais cette fois-ci, on a les preuves qui le démontrent.

Il s’agit donc d’un énorme scandale (et que d’une partie car Facebook censure sur bien d’autres sujets que la vaccination). Mais rassurez-vous, vous ne trouverez aucune information à ce sujet dans la presse subventionnée.

Il ne s’agit pourtant ni plus ni moins que de nos droits fondamentaux, bafoués sans vergogne par nos politiciens et les multinationales… dans le silence assourdissant des « médias ».