Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

Avec un peu de retard depuis les fêtes, voici le programme :

  • Effets secondaires, vous n’êtes pas seul : témoignez!
  • Témoignez à la Commission d’enquête nationale citoyenne
  • Une autre lettre au Collège des Médecins
  • La vérité sur les vaccins en train de se révéler?
  • Pétition d’experts adressée à la FDA
  • Lettre ouverte de médecins allemands exigeant l’arrêt de la vaccination
  • Rappel de la Société australienne des professionnels de la santé quant à l’importance du consentement libre et éclairé : panique en haut lieu?
  • Livres à se procurer
  • Une soignante qui refusait de se faire injecter perd sa cause
  • USA : Les vaccins COVID-19 au calendrier de vaccination des enfants
  • Les dernières études scientifiques à connaître

 

Effets indésirables des injections COVID-19 : Témoignez!

Vous, ou une personne de votre entourage, pensez avoir été victime d’effets secondaires suite aux injections contre la COVID-19? Vous avez été témoin de conséquences telles que caillot sanguin, thrombose, myocardite ou péricardite,  cécité, syndrome de Guillain Barré, hypertension, troubles du cycle hormonal, ou tout autre problème de santé?

Si vous pensez que cela pourrait être le cas, alors vous devriez faire une déclaration et témoigner de ce qui vous arrive. Consultez notre dossier.

 

Entrez dans l’histoire et VENEZ TÉMOIGNER à la Commission d’enquête nationale citoyenne

Les mesures qu’ont prises les gouvernements fédéral et provinciaux face à la COVID-19 au Canada sont sans précédent. Les interventions des instances publiques dans la vie des Canadiens, dans nos familles, nos entreprises et nos collectivités ont été considérables, et le demeurent encore pour une large part. En effet, les mesures en question ont affecté la santé physique et mentale, les libertés civiles et fondamentales, l’emploi et les moyens de subsistance, et le bien-être social et économique général de presque tous les Canadiens.

Tout citoyen canadien, quel.le qu’il ou elle soit, et les experts étrangers sont admissibles comme témoins aux audiences de la CeNC.

 

Une autre lettre au Collège des médecins (Réinfo Covid Québec, 10 févr 2023)

En octobre dernier, 17 médecins et scientifiques ont écrit une lettre ouverte au Collège des médecins du Québec (CMQ). Celle-ci, basée sur des études scientifiques publiées dans des publications revues par les pairs, demandait l’arrêt de la vaccination contre la COVID-19 pour les femmes enceintes et les enfants.

Le CMQ a finalement reçu 4 d’entre eux. La rencontre fut cordiale et le CMQ devait y donner suite en janvier. Cependant, n’ayant reçu aucune nouvelle à l’heure actuelle, les signataires ont décidé de publier une nouvelle lettre ouverte adressée au CMQ. À noter que celle-ci est signée par plus de 120 professionnels de la santé et de citoyens, qui ne constituent qu’une toute petite partie des professionnels que nous représentons.

Nous espérons que le Collège des médecins, qui affirme ne pas être une « société savante », reverra sa position et appellera à l’arrêt de la vaccination des enfants et des femmes enceintes.

 

La vérité sur les vaccins en train de se révéler?

Le Dr. Colignon et le Dr. Resimont nous font un compte rendu du symposium des médecins bruxellois et wallons intitulé : “Déontologie et vaccination obligatoire” tenu le 4 février 2023 au château du Lac de Genval.

Ils rapportent un retournement de situation en Belgique. En effet, les professeurs du Conseil de l’Ordre des médecins de Bruxelles se sont prononcés contre la vaccination obligatoire des soignants. (France Soir,  8 février 2023). Une décision unanime “fatale” en raison de l’absence de “résultats probants” quant à l’efficacité des vaccins contre la transmission du virus. Pendant ce temps, la France continue de maintenir, contre tout bon sens, l’obligation vaccinale pour les soignants. Il s’agit du dernier pays d’Europe à le faire. Et peut-être du monde?

Maintenant, le problème va être de faire éclater la vérité, notamment sur les effets secondaires, que les autorités se complaisent à attribuer à des « coïncidences » ou à la COVID longue. À ce sujet, le Dr. Résimont a déclaré le 4 février 2023 à Genval : « Chaque semaine j’ai 10 à 15 personnes qui sont impactées par ce vaccin. » « Les problèmes ne viennent pas du COVID long mais de l’atteinte des vaccins. »

Problème : c’est l’inverse qui est véhiculé dans les médias subventionnés, pour preuve ce reportage sur les effets sedoncaires des vaccins produit par Arte (une chaine franco-allemande à l’audience réduite). Si l’on peut se féliciter qu’enfin un reportage dans la presse subventionnée francophone traite du sujet, le narrateur se sent obligé de rappeler à de nombreuses reprises que les « effets secondaires sont extrêmement rares ».

Plus grave, à la fin du documentaire, un médecin responsable de la santé publique explique pourquoi tout est fait pour ne pas reconnaitre les effets secondaires. Il déclare ainsi : « Si on disait sur la fois de récits faits par des patients [que le vaccin] produit tel ou tel effet secondaire, cela ferait surement du tort à la campagne de vaccination. Ensuite se poserait la question des indemnités […]. Si l’on reconnaissait une relation de cause à effet, cela serait très couteux pour la société. »

Ces déclarations montrent l’inhumanité de ces gens, prêts à abandonner une partie de la population pour des motifs économiques. Cela fait froid dans le dos.

Il est important de rappeler que cet ahurissant déni a lieu alors que les données sont « mauvaises », pour ne pas dire catastrophiques. Ainsi, la presse subventionnée reconnait une hausse inexpliquée de la mortalité de 18 % chez les jeunes. La Covid longue a hélas le dos (très) large.

 

Pétition d’experts adressée à la FDA (un dossier à télécharger)

Une coalition d’experts appelle les responsables américains à mettre à jour les étiquettes des vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 afin de reconnaître les limites des essais cliniques, y compris en déclarant clairement que les essais de phase III n’ont pas fourni de preuve d’efficacité contre la mort.

Le groupe, connu sous le nom de Coalition Advocating for Adequately Labeled Medicines, a envoyé la pétition à la FDA, qui a autorisé les vaccins fin 2020 et les a approuvés en 2021.

Les experts notent que les essais cliniques qui ont conduit à l’autorisation « n’étaient pas conçus pour déterminer (l’efficacité du vaccin) et n’ont pas réussi à fournir des preuves substantielles de l’efficacité du vaccin contre la transmission du SRAS-CoV-2 ou la mort. » Pour preuve, ils citent les mémorandums d’examen de la FDA, qui indiquent notamment que « les données sont limitées pour évaluer l’effet du vaccin contre la transmission du SRAS-CoV-2 par des personnes infectées malgré la vaccination. »

Voici quelques des uns des (nombreux) mensonges des hauts responsables gouvernementaux :

  • Président Biden 21/07/21 :  » vous n’allez pas attraper le COVID si vous avez reçu ces vaccins « .
  • Dr Anthony Fauci 16/5/21 : «  lorsque vous vous faites vacciner, vous ne protégez pas seulement votre propre santé… vous devenez une impasse (un  » cul-de-sac « ) pour le virus « 
  • Dr Rochelle Walensky 29/3/21 :  » Les personnes vaccinées ne sont pas porteuses du virus, ne tombent pas malades, et ce n’est pas seulement dans les essais cliniques que cela se vérifie mais aussi dans les données du monde réel « 
  • Dr Birx (juillet 2022) :  » Je savais que ces vaccins n’allaient pas protéger contre l’infection »

 

Une association professionnelle médicale allemande écrit une lettre ouverte au gouvernement

À l’image de notre lettre ouverte au CMQ, l’Association médicale serment d’Hippocrate a écrit une lettre ouverte au gouvernement, aux ministres de la santé, aux députés, aux églises, etc.

Elle affirme qu’il est urgent d’agir : les « vaccins » Covid-19 doivent être immédiatement stoppés car il est prouvé qu’ils mettent la population en danger de multiples façons et qu’ils sont la principale cause de surmortalité. La sonnette d’alarme devrait être tirée depuis longtemps, mais elle reste muette ou du moins inexplicablement silencieuse :

La baisse scientifiquement prouvée de la natalité de 10 à 15 pour cent exactement 9 mois après le début des vaccinations de masse pour les groupes d’âge en âge de procréer dans de nombreux pays est choquante et aurait dû conduire à l’arrêt immédiat des vaccinations. De même, la surmortalité en constante augmentation depuis le début de la vaccination, de 3,9 % en 2021 (par rapport à 2016-2020, Destatis) et encore 59 000 personnes = 5,8 % de plus en 2022 par rapport à 2021, est majoritairement due aux nombreux effets secondaires des « vaccins ». Il est prouvé que ceux-ci génèrent des modifications génétiques, des thromboses, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des inflammations chroniques et, entre autres, des cancers. L’association médicale du Serment d’Hippocrate demande l’arrêt immédiat des vaccinations et la levée de l’obligation de vaccination dans l’armée allemande, ainsi qu’une enquête juridique sur l’échec des institutions de santé et des ministres de la santé qui n’ont pas enquêté sur des signaux de risque clairement identifiables.

 

Le rappel de l’Australian Medical Professionals’Society sur le consentement libre et éclairé : panique en haut lieu?

La Société australienne des professionnels de la santé vient d’émettre un avis aux médecins et professionnels de la santé sur leurs obligations, leurs droits et les risques potentiels lors de l’administration du vaccin COVID-19.

La correspondance du gouvernement et de l’AHPRA souligne l’obligation des praticiens d’obtenir un consentement éclairé. L’AHPRA définit le consentement éclairé dans la section 4.5 du code de conduite des bonnes pratiques médicales. Il s’agit de « la décision volontaire d’une personne concernant des soins de santé, prise en connaissance et en compréhension des avantages et des risques encourus ».

Le Manuel australien d’immunisation précise également ce qui suit :

Pour que le consentement soit légalement valable… Il doit être donné volontairement en l’absence de pression indue, de coercition ou de manipulation… Il ne peut être donné qu’après avoir expliqué à la personne les risques et les avantages potentiels du vaccin concerné, les risques de ne pas l’avoir et toutes les options alternatives. »

Voilà un bien étonnant rappel, qui intervient maintenant que la campagne de vaccination anticovid est terminée. Campagne durant laquelle les soignants avaient énormément de pression pour injecter, coute que coute. À ce moment, aucun rappel n’a été fait pour que les soignants appliquent le principe de précaution, qui a de fait été totalement bafoué… sur injonction des autorités.

Maintenant que les choses commencent à tourner mal, que l’on se rend compte que les injections sont inefficaces et qu’elles génèrent d’importants effets secondaires, les autorités de santé se protègent en mettant la responsabilité sur le dos des soignants. Ce vidéo résume l’idée.

Une fois de plus, on a affaire à des êtres audieux et sans scrupules.

 

Ouvrages à se procurer

Plusieurs livres sur la COVID-19 sont sortis ou vont sortir prochainement. Voici les « indispensables ».

 

COVID-19 : le livre choc de J.M. Jacquemin-Raffestin sur « la pandémie la plus manipulée de l’Histoire » (Sud Radio, 24 nov 2022)

Son livre : « Ne leur pardonnez pas! Ils savent très bien ce qu’ils font ». Préface de Martine Wonner.

En fouillant sur les sites gouvernementaux de la Santé américains, anglais, israéliens, français et ailleurs en Europe, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin y a découvert pléthore de documents qui l’ont incité à approfondir le sujet auprès de scientifiques, épidémiologistes, biologistes, généticiens, cancérologues mondialement connus : tous sont unanimes sur les répercussions d’injections expérimentales proposées – imposées ? – de toute part.

Dès le premier trimestre 2021, alors que ces injections avaient commencé, on a assisté à une envolée spectaculaire des décès. Aux États-Unis, les sociétés d’assurances ont fait état d’une augmentation de 40 à 45 % des décès chez les 18-64 ansLe 2e semestre 2021 y a fait plus de morts chez les 20-40 ans que la guerre du Vietnam en 20 ansLes 2 820 fausses couches mortelles survenues en 11 mois dans ce pays après une injection contre le Covid 19 laissent loin derrière elles les 2 225 épisodes équivalents ayant eu lieu sur plus de 30 années, tous vaccins confondus.

L’augmentation des péricardites et autres myocardites chez de jeunes hommes atteint des niveaux encore jamais vus, tout comme on n’avait pas encore assisté à une telle hécatombe d’arrêts cardiaques sur le terrain chez des sportifs, footballeurs et rugbymen et bien d’autres, jusqu’à voir des jeunes de 15 ou 17 ans s’écrouler en plein effort. Le Sud-Est de la France affiche à lui seul un accroissement de 30 à 35 % de décès pour 2021 et ce sont plus de 4 millions d’effets secondaires post- injection qu’on a constatés en Europe, de même que des dizaines de milliers de morts « officielles »… À côté de cela, un industriel de l’alimentation retire une marque de pizzas du marché suite à la mort de deux enfants : mais quelle est donc la raison d’une aussi glaçante différence ?

 

Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels: Mortalité, tests, vaccins, hôpitaux, la vérité émerge, de Pierre Chaillot

Pierre Chaillot, statisticien et créateur de la chaîne YouTube Décoder l’éco, publie un ouvrage magistral dans lequel il présente, en se basant sur les données des autorités, un visage bien différent de ce que la Santé publique et le gouvernement français ont présenté.

Vous pouvez l’écouter entrevue mais son livre est à se procurer absolument :
https://www.youtube.com/watch?v=7cdXeV6Ab7c

Son livre sera disponible à partir du 13 mars.

Rappelons que nous nous livrons au même exercice que Pierre Chaillot. Nous avons ainsi publié de nombreux articles qui montrent, eux-aussi à partir des données de la Santé publique, que la réalité est différente de ce que nous présentent les autorités.

Le dernier, publié récemment, prouve que les propres données de la Santé publique du Québec montrent une efficacité négative des vaccins : https://reinfocovid.ca/deux-ans-de-vaccination-anti-covid-19-les-vaccins-ont-une-efficacite-negative-ce-nest-pas-nous-qui-le-disons-mais-les-donnees-de-la-sante-publique/

 

Les apprentis sorciers – Tout ce que l’on vous cache sur l’ARN messager, d’Alexandra Henrion  Caude

Dans cet ouvrage, Alexandra Henrion Caude, généticienne française réputée, démêle le vrai du faux concernant l’ARN messager en expliquant ce que c’est et en détaillant celui qui compose les vaccins anti-covid.

« J’accuse les laboratoires d’avoir joué aux apprentis sorciers. La technique de l’ARN messager n’était pas prête, et nous n’aurions pas dû l’injecter à des milliards d’êtres humains. »

À se procurer absolument!

Lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux Etats-Unis en 2013, Alexandra Henrion-Caude a dirigé plusieurs équipes de recherche en génétique à l’hôpital Trousseau, puis à Necker en tant que directrice de recherche de l’INSERM. Elle a découvert l’implication de l’ARN dans différentes maladies génétiques de l’enfant et a révélé l’existence des ARN MitomiR, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule.

 

Une travailleuse de la santé suspendue perd sa cause en raison de son refus de se faire injecter (Radio Canada, 6 fév 2023)

Le tribunal administratif du Travail affirme qu’un employeur était justifié d’exiger que ses employés soient injectés… alors que le gouvernement ne le demandait pas. La raison? La « protection » des patients.

En effet, l’employeur « hébergeait des religieuses ayant en moyenne 90 ans, malades, parfois en fin de vie, peu autonomes. Il avait dit craindre de vivre la situation qu’ont vécue certains CHSLD. Par prudence, il avait décidé de ne pas autoriser les tests de dépistage en remplacement d’une vaccination adéquate. »

Sauf que l’on sait (et on le savait au moment du passeport vaccinal et donc du projet d’obligation vaccinale des soignants, qui a finalement été annulé en raison de la pénurie de main d’oeuvre) que les vaccins n’empêchent ni la transmission ni la contamination. Par contre, des tests aux 3 jours assurent de manière quasi certaine que les soignants sont négatifs et donc que les risques de transmission sont quasiment nuls.

En fait, les vaccins conféraient un faux sentiment de sécurité, qui s’est avéré à de nombreuses reprises avec des foyers d’infection dans des lieux avec uniquement des vaccinés (plusieurs cas dans des hôpitaux en France et en Israël ont ainsi été relayés dans les médias). Donc tout prouve que l’employeur avait tort. Pourtant, le tribunal lui donne raison.

Sa justification le fait très mal paraitre :

L’Employeur a respecté la liberté de choix des employés d’accepter ou de refuser la vaccination contre la COVID-19. En agissant de la sorte, il n’a pas brimé leur droit au respect de leur intégrité, énoncé à la Charte des droits et libertés de la personne et au Code civil du Québec.

Il est difficilement concevable de voir que des « arguments » aussi contradictoires et faibles (car la liberté de choix de la soignante est bien « brimée » tandis que les résidents ne sont pas « protégés ») puissent avoir cour en 2023, qui plus est venant de spécialistes du droit!

 

Les CDC ajoutent les vaccins COVID-19 au calendrier de vaccination des enfants (The Epoch Times, 10 fév 2023 et the Defender, le 10 fév 2023)

En 2022, les conseillers des CDC avaient recommandé d’ajouter les vaccins au calendrier. C’est maintenant chose faite.

Ainsi, selon le calendrier de vaccination de 2023 des CDC pour les enfants et les adolescents, deux ou trois doses de vaccins COVID-19 ont été recommandées à partir des nourrissons de l’âge de six mois seulement. Les enfants âgés de 6 mois à quatre ans et de cinq ans à 11 ans sont recommandés pour les vaccins COVID-19 de Moderna ou Pfizer.

Chez les enfants âgés de 12 à 18 ans, les vaccins Novavax sont également recommandés en plus de Pfizer et Moderna. Dans la liste pour les adultes, deux ou trois doses de vaccins COVID-19 ont été recommandées à partir de l’âge de 19 ans. La recommandation de vaccin COVID-19 2023 pour les enfants et les adultes est incluse parmi d’autres vaccins généralement recommandés contre la rougeole, la grippe, la rubéole, etc.

Cette décision est d’une très grande gravité car maintenant les vaccins ARNm seront donnés automatiquement à tous les enfants de 6 mois. Pour le moment ils ne sont pas obligatoires mais qu’en sera-t-il dans quelques mois ou années? Les parents, mal informés, penseront-ils à se renseigner et à refuser cette injection, totalement inutile (les enfants n’ont quasiment rien à craindre de la COVID-19) et dangereuse?

 

Effets indésirables des injections antiocovid

Voici les résultats d’études publiées récemment.

 

Risque de myocardite après des doses séquentielles de vaccin COVID-19 et d’infection par le SRAS-CoV-2 selon l’âge et le sexe (étude)

Patone M, et al. Risk of Myocarditis After Sequential Doses of COVID-19 Vaccine and SARS-CoV-2 Infection by Age and Sex. Circulation. 2022 Sep 6;146(10):743-754. doi: 10.1161/CIRCULATIONAHA.122.059970. Epub 2022 Aug 22. PMID: 35993236; PMCID: PMC9439633.

Les universités d’Oxford, d’Edinburgh et King’s college Londres sont-elles devenues complotistes?

Les auteurs concluent : « Le risque de myocardite après la vaccination est plus élevé chez les hommes plus jeunes, en particulier après une deuxième dose du vaccin à ARNm-1273. »

 

Taux de mortalité par dose de vaccin COVID-19 stratifié par âge pour Israël et l’Australie. (étude, Denis Rancourt et al. Correlation.ca, 9 février 2023)

RÉSUMÉ : Il est maintenant bien établi, d’après les études d’autopsie et la surveillance des effets indésirables, que les vaccins COVID-19 peuvent causer la mort.

Nous avons récemment mesuré que le taux de mortalité lié à la dose de vaccin (vDFR), qui est le rapport entre le nombre de décès causés par le vaccin et le nombre de doses de vaccin administrées dans une population, pouvait atteindre 1 % en Inde. Même constat lorsque des campagnes d’ « équité vaccinale » ont été menées dans des États très pauvres des États-Unis. Il était de 0,05 % en Australie, avec des données qui ne sont pas ventilées par groupe d’âge.

Nous fournissons ici les premières évaluations empiriques des vDFR stratifiés par âge, en utilisant les données nationales de mortalité toutes causes confondues et de déploiement des vaccins, pour Israël et l’Australie. Nous constatons que le vDFR augmente considérablement avec l’âge pour les adultes plus âgés, étant exponentiel avec un temps de doublement d’environ 5,2 ± 0,4 ans. Par conséquent, le vDFR est un ordre de grandeur plus élevé dans la population la plus âgée que la valeur pour l’ensemble de la population, atteignant 0,6 % pour le groupe d’âge des 80 ans et plus en Israël et 1 % pour le groupe d’âge des 85 ans et plus en Australie, contre < 0,01 % pour les jeunes adultes (< 45 ans). Nos résultats indiquent qu’il était imprudent de donner la priorité à la vaccination des personnes considérées comme ayant le plus besoin de protection.

Dans le rapport, le taux de mortalité lié à la dose de vaccin (le rapport entre les décès dus au vaccin et les doses de vaccin administrées dans une population) pour les vaccins COVID-19 augmente de manière exponentielle avec l’âge et est proche de 1% pour le groupe d’âge le plus élevé.

Non seulement les vaccins COVID-19 n’ont pas sauvé des vies, mais ils sont hautement toxiques et le taux de mortalité lié à la dose de vaccin augmente avec l’âge.

Sur la base du nombre mondial de doses de vaccin COVID-19 administrées à ce jour (13,25 milliards doses, jusqu’au 24 janvier 2023, cela correspondrait à 13 millions de décès dus aux vaccins COVID-19 dans le monde. En comparaison, le nombre officiel de décès dû à la COVID-19 selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à ce jour, est de 6,8 millions (au 3 février 2023), chiffre probablement gonflé en raison d’une classification hâtive.

 

Le médicament Merck anti-Covid lié à de nouvelles mutations virales, selon une étude.

Une étude révèle que le médicament contre la COVID-19 de Merck, l’antiviral Lagevrio (molnupiravir qui agit en imitant l’activité d’une molécule naturelle utilisée par l’ARN polymérase), provoque de nouvelles mutations virales. Des experts craignent que son utilisation en Chine ne crée un tout nouveau variant. (résumé dans TVA nouvelles, 2 février 2023)

Theo Sanderson, et al. Identification of a molnupiravir-associated mutational signature in SARS-CoV-2 sequencing databases. medRxiv 2023.01.26.23284998; doi: https://doi.org/10.1101/2023.01.26.23284998

 

Des séquences d’ARN messager retrouvées dans le sang 28 jours après la vaccination contre la COVID-19 (étude) (The Epoch Times, 8 février 2023)

Jose Alfredo Samaniego Castruita et al. SARS-CoV-2 spike mRNA vaccine sequence circulate in blood up to 28 days after COVID-19 vaccination. Journal of Pathology, Microbiology, and Immunology, 12 jan 2023

Les chercheurs du Danemark ont analysé des échantillons des vaccinés et ont détecté des séquences partielles ou même complètes de l’ARN messager (ARNm) après la vaccination. Les séquences ont été trouvées jusqu’à 28 jours après la vaccination, ou la plus longue période analysée par l’étude.

Les résultats signifient que l’ARNm, qui est situé dans des nanoparticules lipidiques pour se délivrer dans le corps, persiste beaucoup plus longtemps que les autorités des États-Unis et ailleurs ne le reconnaissent. Dix des échantillons, soit 9,3 pour cent, avaient des séquences partielles ou complètes de la séquence d’ARNm. Rappelons que les vaccins délivrent de l’ARNm à l’intérieur des nanoparticules lipidiques.

Les États-Unis Les Centers for Disease Control and Prevention, par exemple, ont affirmé que l’ARNm est décomposé « en quelques jours ». L’Infectious Diseases Society of America affirme que l’ARNm « est rapidement métabolisé et éliminé par des mécanismes de traitement cellulaire ».

Les chercheurs ont déclaré que l’ARNm détecté était probablement encore à l’intérieur des nanoparticules, qui « ont été lentement libérées du site d’injection soit directement dans le sang, soit par le système lymphatique ». Sans les nanoparticules, l’ARNm « se dégraderait rapidement ».

L’article a été publié par le Journal of Pathology, Microbiology, and Immunology. Aucune source de financement n’a été répertoriée.

 

Étude sur la hausse inexpliquée de la mortalité

Intéressante étude menée par le Groupe HART (Health Advisory and Recovery Team), un organisme britannique composé de scientifiques, médecins, économistes, etc. qui s’interroge sur la politique d’injections anticovid et tente de faire la lumière malgré le manque de transparence des autorités.

Le groupe HART a utilisé Singapour comme groupe témoin comparant l’impact de la COVID-19, le Covid long, les confinements et les vaccins sur les décès. Il conclut que les décès cardiovasculaires excédentaires ne peuvent pas être dus à la COVID-19.