Revue de presse de la semaine du 23 mai

Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons….

 

Réinfo Covid Québec encore censuré par Facebook!

• Après avoir censuré diverses publications dans lesquelles nous ne faisions que présenter des articles de revues prestigieuses à comité de lecture comme Nature ou Circulation, Facebook nous a de nouveau accusé de fake news et censuré 3 jours.
• Notre « crime » a été de publier une synthèse des résultats de notre tableau de bord dont les résultats sont obtenus à partir des propres données de Santé Québec!
• Dans celui-ci, nous notions que les personnes qui ont reçu 3 doses sont 50 % de la population mais représentaient près de 70 % des nouvelles hospitalisations. Nous concluions logiquement qu’avec un différentiel de -20 points, les vaccins montraient une efficacité négative.
• Mais apparemment la vérité est fausse pour Facebook.

Des canadiens sous la férule du premier ministre Justin Trudeau

Les voyageurs non vaccinés ukrainiens sont autorisés à entrer au Canada alors que les citoyens canadiens non vaccinés n’ont ni le droit de prendre le train, ni l’avion ni le bateau dans leur propre pays!!

Les canadiens doivent impérativement se réveiller !

 

Artères bouchées chez des décédés vaccinés?

L’embaumeur Richard Hirschman, en Alabama (USA) nous montre les artères des vaccinés.

• Certains diront : Il n’y a aucune preuve scientifique que les vaccins soient responsables d’étranges caillots sanguins observés par les embaumeurs.
• Ces anomalies peuvent être le résultat du coronavirus lui-même car l’infection peut causer une inflammation des vaisseaux sanguins, des dommages à de très petits vaisseaux et à des caillots.
• Toutefois, d’autres directeurs de salons funéraires, notamment en Angleterre, ont fait les mêmes observations depuis le déploiement des vaccins anti-covid.
• Cela n’empêche cependant pas les experts des masses médias d’affirmer que ces caillots observés dans les vaisseaux sanguins des personnes décédées ne sont pas dus à la vaccination.
• Soit, examinons alors les effets indésirables de ces vaccins.

 

Effets indésirables des vaccins anti-covid

Il existe deux manières de surveiller les effets indésirables :

• La surveillance active effectuée durant les essais cliniques par les chercheurs de ces essais. Cette surveillance est la plus précise et la plus exacte. Cette surveillance s’effectue en général avant la mise sur le marché des produits pharmaceutiques.
• La surveillance passive rapportée par les médecins ou par les patients qui ont été victimes d’effets indésirables après la mise sur le marché des produits pharmaceutiques. Cette surveillance sous-estime d’un facteur 10 à 100 les effets indésirables comme on peut le constater sur la figure 1 ci-dessous.

 

• Nos instances sanitaires, nos gouvernements et les médecins des masses médias ne cessent d’affirmer que ces vaccins anti-covid sont « sûr et efficace » et qu’il n’y a pas de danger de vacciner tout le monde même les femmes enceintes et les enfants en bas âge. Fort bien. Examinons les données des surveillances passives.
  • Voici les données du VAERS (USA) :

 

• • De 2011 à 2020, le VAERS rapporte 1 557 décès en 10 ans suite aux vaccins. Les États-Unis ont enregistré une moyenne de 166 décès par vaccin par an.
  • Pour la seul année 2021, année de la vaccination anti-covid, le VAERS rapporte 7 662 décès, soit pratiquement 5 fois plus!
  • En 2021, c’était 61 fois plus. Et en 2022, c’est 19 fois plus, 41 fois plus si nous extrapolons ce taux à une année complète :

• • Ces chiffres sont tellement supérieurs à tout ce qui a été vu auparavant dans tous les autres programmes de vaccination combinés qu’ils sont totalement sans précédent. Et gardons à l’esprit que le VAERS n’est qu’un système de déclaration passif. Il sous-estime les résultats réels d’environ quelque 90 % (dépendamment de la gravité)!

• Voici les données de la FIMEA, l’équivalent finlandais du VAERS :

Effets indésirables signalés pour les vaccins anti-covid-19.

 

• • Attention, un effet indésirable est considéré comme grave s’il est mortel ou met la vie en danger, s’il nécessite une hospitalisation ou la prolonge, s’il provoque une invalidité ou une incapacité persistante ou importante ou une anomalie congénitale!
  • Les chiffres parlent moins qu’un graphique, alors représentons les par l’histogramme des ratios :

• • Ce graphique représente le nombre de doses par effet secondaire grave. C’est le nombre total de doses divisé par le nombre d’effets secondaires graves.
  • Par exemple, pour Pfizer, un effet secondaire grave a lieu toutes les 2 171 injections  (9 317 252 doses divisées par 4 292 effets secondaires graves).
  • Cela signifie qu’une personne sur 2171 ayant reçu ces vaccin a eu une réaction qui a été « fatale ou qui a mis sa vie en danger, qui a nécessité une hospitalisation ou l’a prolongée, qui a causé une invalidité ou une incapacité persistante ou significative ou une anomalie congénitale. »
  • C’est pire pour Moderna avec 1 effet secondaire grave toutes les 1 980 doses.
  • Mais que dire d’AstraZeneca… avec un effet secondaire grave toutes les 627 doses!
  • Ces chiffres sont tout simplement extravagants.
  • Et cela c’est par dose, pas par personne. C’est donc, le double pour une vaccination complète et le triple pour un rappel. Ainsi, la double dose, c’est environ 1 effet grave pour 1 000 pour l’ARNm, environ 900 pour Johnson (JnJ) qui est à une dose unique, et environ 1 pour 300 pour Astra Zeneca, ce qui est terrifiant!
  • 1 effet grave pour 1000! Cela signifierait qu’il faudrait s’attendre à infliger 330 000 effets indésirables graves, tels que décès, hospitalisation ou invalidité, pour vacciner complètement un pays de la taille des États-Unis, et il ne s’agit là que de ceux qui sont déclarés!
  • Et personne n’en parle!!!
• Et en Allemagne?
  • Selon le Mitteldeutscher Rundfunk (MDR), un radiodiffuseur public de Leipzig, « le nombre de complications graves après la vaccination contre le virus du SARS-CoV-2 est 40 fois plus élevé que celui précédemment enregistré par l’Institut Paul Ehrlich (PEI) » (l’équivalent allemand du VAERS). Le problème est tel que des dispensaires sont créés pour recevoir les victimes des vaccinations et que certaines d’entre-elles doivent subir un « lavage du sang » afin d’enlever les anticorps vaccinaux.
  • BKK, un assureur allemand a estimé que la sous-déclaration des complications graves était la suivante soit 14 fois plus que l’estimation de l’Institut Paul Ehrlich :

 

• Situation aux USA et retour sur la grippe porcine de 1976 :
  • Vous souvenez-vous de la grippe porcine de 1976 aux USA? Après qu’ « un jeune soldat est mort de la grippe porcine, les autorités médicales ont découvert que 500 autres soldats avaient été contaminés sans tomber malades ». « Le gouvernement américain a mis en branle un programme de vaccination auquel le Canada a aussi participé. […] Mais des effets secondaires plus fréquents que prévu – notamment un type de paralysie – ont rapidement fait les manchettes. » Le programme a alors été arrêté avec pour bilan : 1 mort de la grippe… et 25 morts des suites de la vaccination (on vous rassure, aucun au Canada)! Au final, plus de 50 millions de personnes ont été « vaccinées ».
  • « Plusieurs spécialistes ont estimé que cette fausse alerte avait miné la confiance du public envers les autorités médicales », certains qualifiant le tout de « débâcle« , avec en plus des 25 morts, le déclenchement d’un syndrome de Guillain-Barré chez environ 500 personnes.

• • Le Dr David J. Sencer, alors directeur du CDC qui a dirigé la réponse du gouvernement à la menace et qui a ensuite été licencié avait déclaré : « Les responsables doivent s’attendre à de nombreuses remises en question, en particulier pour toute décision concernant la vaccination, qui était au cœur de la controverse de 1976 ».
  • La question de savoir si la politique a pris le pas sur la science en 1976 a alimenté des livres, des articles et des discussions pendant 33 ans (jusqu’en 2009… date du déclenchement d’une autre épidémie de grippe porcine pour laquelle des millions de personnes ont aussi été vaccinées).
  • Ce vaccin a été retiré après 10 semaines, une fois qu’environ 25 % de la population américaine l’ait reçu (soit environ 54 millions de personnes). Il s’agissait d’un autre vaccin mis sur le marché à la hâte, avec peu d’essais cliniques et une forte pression politique, dans un contexte de peur générée par le gouvernement. Ce vaccin a été retiré du marché en raison d’une probabilité d’effets graves d’environ 1 sur 100 000.
  • En comparaison, le risque du vaccin contre la COVID-19 en Finlande est 100 fois plus élevé.
  • Et aux États-Unis, ces vaccins anti-covid ont tué jusqu’à présent plus de 27 000 personnes (en date du 6 mai 2022) :

• • Le nombre total d’événements graves (extraits de ces catégories et n’incluant pas les soins urgents) semble être d’environ 191 000 sur 221 millions de personnes entièrement vaccinées. Cela représente 1 pour 1 157 personnes entièrement vaccinées et correspond assez bien aux chiffres de 1 pour 1 000 déclarés par la Finlande.
  • Malgré cela, la réduction de la vaccination n’est même pas discutée en Amérique du Nord et dans plusieurs pays européens!
  • Les résultats sont pourtant « modestes » comme le dit poliment cette étude sur les jeunes : « Among children and adolescents, estimated VE for 2 doses of BNT162b2 against symptomatic infection was modest »
  • En fait cette étude rapporte une « efficacité » des vaccins chez les 5-11 ans de 28,9 % au bout d’un mois… et de 16,6 % chez les adolescents! (rappelons qu’un médicament ne peut être commercialisé en-dessous d’une efficacité de 50 %). Elle conclut logiquement… qu’il faut faire une 3e dose!
  • Loiquement, certains pays comme la Suède décident de ne pas recommander des vaccins COVID pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, depuis le 1^er février 2022.
  • Il est temps que de discuter sérieusement des dommages de manière ouverte et honnête. « Comment avons-nous, une fois de plus, permis à la politique de prendre complètement le pas sur la science et de fouler aux pieds des vies et des moyens de subsistance, en mettant sur le marché en 5-10 mois ce genre de produit qui aurait dû faire l’objet de 5-10 ans d’essais cliniques, et en nous enveloppant d’une morale oppressive aussi offensante pour la liberté qu’inexacte dans ses revendications ? » écrit el gato malo (le chat malin ou vilain en espagnol) sur son blog.

 

Syndrome d’immunodéficience acquise chez les triples vaccinés (contre la COVID-19)?

Plusieurs obervations jettent un doute sur un syndrome d’immunodéficience acquise chez les vaccinés 3 doses. Cette suspicion est basée sur deux observations :

1. Les données sanitaires de la Grande Bretagne concernant une dose de rappel Pfizer
2. Sur une étude scientifique du 19 avril 2022 (qui montre une chute des anticorps neutralisant chez les vaccinés)

La troisième dose (booster) anti-covid :

1. 1. peut renforcer le système immunitaire à très court terme
   2. mais le faire décliner ensuite très rapidement

 

IL FAUT UNE ENQUÊTE PARLEMENTAIRE IMMÉDIATE SUR CES INTERROGATIONS ALARMANTES

 

Les professionnels de l’aviation s’inquiètent

Une déclaration d’une coalition internationale de professionnels de l’aviation et de la médecine qui représente plus de 30 compagnies aériennes, des milliers de pilotes et plus de 17 000 médecins et scientifiques médicaux, vient d’avoir lieu.

Le personnel navigant et leurs médecins ont de graves inquiétudes quant à la compromission de la sécurité aérienne due aux effets indésirables dus aux injections anti-covid.

Cette déclaration est signée par 14 groupes de pression, dont des scientifiques et des médecins, qui entendent quotidiennement des témoignages de pilotes de ligne blessés par un vaccin.
« Les pilotes sont formés pour être des analystes attentifs de leur environnement, pour reconnaître les risques et les atténuer activement. Pour beaucoup d’entre eux, leur formation et leur analyse différentielle des risques ont conduit à des inquiétudes et à des conclusions négatives concernant la compatibilité de la vaccination COVID-19 avec la santé et la sécurité des vols. »

 

Le détournement de la Santé

Toutes la psychose entretenue par les statistiques hospitalières est la conséquence du détournement de la santé. La tarification à l’acte a transformé l’hôpital en machine à cash au plus grand profit de big pharma. (Une vidéo très bien faite et à écouter de Décoder l’Éco).

 

La vaccination obligatoire

La Cour suprême allemande déclare que la vaccination obligatoire des soignants est justifiée par la Constitution (19 mai 2022).

Celle-ci estime que « le législateur a trouvé un juste équilibre entre la protection des personnes vulnérables contre l’infection par le coronavirus SARS-CoV-2, qui est réalisée grâce à l’obligation vaccinale, et les violations des droits fondamentaux. Bien qu’il s’agisse d’une mesure extrêmement contraignane, les intérêts constitutionnellement protégés des plaignants travaillant dans le secteur de la santé et des soins doivent finalement être relégués au second plan. »

En résumé : pour les juges la protection des personnes vulnérables est plus importante que le droit fondamental d’un individu.

Les juges de la Cour suprême d’Allemagne n’ont manifestement pas examiné les données produites dans de nombreux pays, qui montrent

1. que les personnes vaccinées sont plus susceptibles d’attraper le coronavirus.
2. Que l’efficacité des vaccins est très limitée (quelques semaines à quelques mois tout au plus)
3. Que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et le transmettre
4. Que les vaccins ont des effets indésirables non négligeables
5. Qu’il existe plusieurs médicaments qui peuvent soigner efficacement la covid.
6. Que les variants du SARS-CoV-2 sont de moins en moins virulents et mortels.

 

La variole du singe ou « L’armée des 12 singes »

Un 1^er cas de variole du singe a été rapporté au Massachusetts (États-Unis ) ce 18 mai 2022. Cela survient après que neuf cas de variole du singe aient été détectés au Royaume-Uni ce mois-ci.

La variole du singe est une maladie rare causée par le virus de la variole du singe. Le premier cas chez l’homme a été enregistré en République démocratique du Congo en 1970, et la maladie s’est depuis propagée à plusieurs autres pays, principalement en Afrique centrale et occidentale.

Il peut se transmettre d’animaux à humains lorsqu’un animal infecté – tel qu’un rongeur ou un primate – mord ou gratte une personne. Les CDC ont déclaré que les humains peuvent également être infectés lors de la chasse aux animaux sauvages ou de la préparation de viande de brousse pour la consommation. La maladie se transmettrait par contact étroit et par gouttelettes, il n’y a aucun risque à prendre les transports en commun ou à faire l’épicerie. Ce n’est pas une maladie très contagieuse.

La maladie peut également se propager d’une personne à l’autre via de grosses gouttelettes respiratoires dans l’air, mais elles ne peuvent pas voyager plus de quelques pieds, de sorte que deux personnes devraient avoir un contact étroit prolongé.

Les symptômes les plus courants sont la fièvre, les maux de tête, la fatigue et des douleurs musculaires. Attention cependant, les médias commencent à vouloir faire peur en annonçant un taux de létalité pouvant monter à… 10%!

Les infections sont généralement identifiées chez les personnes qui ont récemment voyagé dans des pays où la variole du singe est plus fréquente.

Assiste-t-on à un remake de « L’armée des 12 singes »?

Nov 2021, Bill Gates alerte des risques d’une arme biologique utilisant la variole

Nov 2021, découverte de fioles de variole dans un labo américain

Janv 2022, des singes de labo s’échappent lors d’un accident de la route aux États-Unis

Mai 2022, des cas de variole du singe sont détectés dans le monde (ce qui parait contraire à la logique: le virus aurait du se propager d’abord en Afrique, dans un endroit bien localisé, avant de se disséminer. Son irruption soudaine dans divers pays est étrange, comme le note le Dr. Christian Perronne.

20 mai 2022, la Santé publique fédérale envisage de vacciner au Québec!

Et par le plus grand des hasards les adénovirus de chimpanzé utilisés pour les vaccins covid (autres références ici) sont des virus de la vaccine modifié d’Ankara (MVA) ou Poxvirus (Virus à ADN) qui est le virus de la variole du chimpanzé.

Cela concerne les vaccins anti-covid d’Astra Zeneca, Janssen et Sputnik! (voir source du gouvernement québécois).

Lire aussi HAS – Aspects immunologiques et virologiques de l’infection par le SARS-CoV-2 – novembre 2020 page 70.

1. Les vaccins à vecteurs viraux anti-covid utilisent des adénovirus humain ou de chimpanzé incapables de se répliquer (virus défectif); cependant, ils peuvent se recombiner avec des adenovirus sauvages et redevenir réplicatif.

Quand on parle de variole du singe, les gens entendent aussi variole et celle-ci fait peur. Cette peur sera probablement utilisée pour fabriquer le consentement dont l’OMS a besoin pour imposer une vaccination mondiale obligatoire.

À ce sujet, on constate que les autorités avancent avec des changements de définition (toute ressemblance avec une pandémie ayant déjà eu lieu serait purement fortuite). Par exemple le NHS, l’agence nationale anglaise de la santé, a retiré de sa decription de la variole du singe le fait que « la transmission entre humains est très peu commune car ce n’est pas très contagieux chez l’homme ».  D’autres parties sur le fait que l’on se remettait facilement sans traitement au bout de 2 à 4 semaines on aussi été retirées très récemment. Ils ont même ajouté une mention indiquant qu’il fallait s’isoler. Etc.