Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

Au programme :

  • Un monde moins démocratique
  • Quelques exemples de propagande
  • L’arrivée du passe climat
  • Traitements : les complotistes avaient (encore) raison
  • Masques, titane, graphène et nanoparticules
  • Arrêt de la vaccination en Angleterre pour les enfants et les femmes enceinte et allaitantes
  • Une dose tous les 90 jours?
  • Les effets indésirables de la vaccination
  • Petit tour du monde de l’annonce de la hausse des décès inexpliqués et de la mortalité toutes causes

 

Un monde de moins en moins démocratique

D’après cet article de Our World in Data du 6 septembre 2022, les indicateurs montrent un recul général de la démocratie dans le monde. C’est inquiétant, surtout que l’on mesure des données « mainstream » (sécurité des journalistes, concentration de la presse, etc.). Les différents passeports (vaccinaux, carbone, etc.), les projets d’identité numériques et autres Internet des objets ne font pas partie de la liste.

Comment s’en étonner quand on apprend que Facebook organise la censure… avec la Maison Blanche! Et que Google veut interdire toute application qui remet en question le discours médical traditionnel.

 

Propagande

La fausse nouvelle de LCI

Une chaine russe (RT) affirme qu’il y a eu une manifestation à Paris samedi 3 septembre 2022, et une chaine française (LCI) affirme que c’était faux. Pas de chance pour LCI, la chaîne française (TVL) était à cette manifestation.

Voici le résumé des faits avec cet exemple flagrant de mensonge d’une chaine d’information

            

« Aplatir la courbe »

Ursula Van Der Leyen, la présidente de la Commission européenne, utilise la même formule pour la COVID-19 et la consommation d’électricité!

L’UE proposera un « objectif obligatoire de réduction de la consommation d’électricité aux heures de pointe » afin « d’aplatir la courbe ».

Toute ressemblance avec une expression déjà utilisée serait purement fortuite.
On fait rejouer aux européens la même « cassette ».

 

Chasse aux sorcières

La justice française enquête sur l’IHU Méditerranée dirigé par Didier Raoult (promoteur de l’hydroxychloroquine, médicament controversé pour traiter la COVID-19).

CONTROVERSE : Un nouveau rapport accablant sur les dérives médicales et scientifiques, mais aussi de management, dont plusieurs pouvant « relever d’une qualification pénale », vient d’être publié.

Réponses de Didier Raoult : « Il y a deux ans, McKinsey encensait l’IHU et maintenant on nous met à la poubelle » (Sud Radio, 6 sept 2022).

Notre analyse : il ne fait pas bon critiquer le gouvernement et le discours sur la vaccination. Raoult n’est pas le premier à en subir les conséquence. Par exemple, Eric Verhaeghe, directeur du Courrier des stratèges, média dans lequel il critique les mesures sanitaires, a du subir une incroyable garde à vue… alors que rien ne lui est reproché.

Il n’est pas le premier, d’autres comme Me Virginie de Araujo-Recchia ont également subi de sidérantes gardes à vue alors que rien ne leur est reproché. 

Il s’agit donc d’intimidation mais aussi de propagande en visant à donner une image négative au public d’une personne ou organisation qui dérange.

 

Justin le vaccinolâtre

Trudeau a affirmé le 1 sept 2022 : « Tout le monde devrait aller se faire vacciner. Si nous parvenons à atteindre 80, 85, 90% des Canadiens à jour de leur vaccination (c’est-à-dire tous les 6 mois), nous auront un bien meilleur hiver avec beaucoup moins de restrictions et de règles si problématiques pour tout le monde au cours des dernières années. Mais à chaque palier gouvernemental, la responsabilité est d’assurer la sécurité des personnes pour éviter que nos systèmes de santé ne soient submergés. C’est là que les individus choisissant de s’assurer qu’ils sont à jour dans leurs vaccinations avec ces nouveaux variants vont nous aider à traverser cela et à garder la vie ouverte et libre comme nous le voulons. »

Là encore, il s’agit d’une propagande vaccinale, avec intimidation : si vous ne vous vaccinez pas, ce sera le retour des mesures (masques, confinement, etc.). Trudeau ne brandit aucun argument scientifique, il veut juste faire peur.

Est-ce ainsi qu’un premier-ministre bienveillant agirait?

 

En marche vers le passe climatique

Suisse : De lourdes sanctions guettent ceux qui ignorent les recommandations : « En cas d’action intentionnelle, la loi fédérale sur l’approvisionnement économique du pays prévoit en effet une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à trois ans. En cas d’infraction par négligence, une peine pécuniaire pouvant aller jusqu’à 180 jours-amende est envisageable. » (20 min.CH 6 sept. 2022)

Attention à ceux qui pensent que cela ne se saura pas : grâce aux compteurs « intelligents », les autorités peuvent maintenant suivre en direct votre consommation. C’est à tel point qu’ils peuvent savoir quand vous prenez votre douche, quand vous mangez. Ils peuvent même déterminer si vous avez de la visite chez vous. Ils ont donc pu bâtir vos habitudes de consommation et verront très vite si vous vous appliquez à réduire vos besoins énergétiques ou non.

Alors que ces compteurs semblaient « innofensifs » (on ne parle pas des dangers que représentent les ondes qu’ils émettent), on se rend compte qu’il s’agit d’un incroyable outil de contrôle, encore un qui s’ajoute aux caméras à reconnaissance faciale, nos téléphones… et bientôt au « passe carbone », que l’on annonce un peu partout.

Plus globalement, vue du Québec la situation en Europe semble extrême : en raison des sanctions contre la Russie, l’Europe n’a plus accès au pétrole et au gaz russes, abondants et bon marchés… et sur lesquels reposent son économie. Conséquence : les prix s’envolent et l’on annonce des pénuries de courant pour l’hiver! La catastrophe est déjà en marche car de nombreuses industries ne peuvent faire face à l’explosion du cout de l’énergie et n’ont d’autre choix que de fermer. Cela peut sembler incroyable mais l’Europe est sous la menace d’un risque d’effondrement à très court terme.

 

Traitements de la COVID-19

IVERMECTINE : LES COMPLOTISTES AVAIENT ENCORE RAISON !

Selon une étude évaluée par des pairs, l’ivermectine réduit le risque de décès du COVID de 92 %

Kerr L, et al. Regular Use of Ivermectin as Prophylaxis for COVID-19 Led Up to a 92% Reduction in COVID-19 Mortality Rate in a Dose-Response Manner: Results of a Prospective Observational Study of a Strictly Controlled Population of 88,012 Subjects. Cureus 14(8): e28624. doi:10.7759/cureus.28624 (August 31, 2022)

En 2020, ce médicament en vente libre depuis des décennies (bien plus inoffensif que le Doliprane) fut soudain interdit pour soigner le COVID19.

Il était devenu un « dangereux vermifuge pour chevaux » !

L’ivermectine apparaît désormais dans la liste, établie par les Instituts américains de la santé (NIH), des médicaments susceptibles de traiter l’infection SARS-CoV-2. Mais aucun média ne vous communiquera cette info (EnVolve 1er sept 2022)

 

L’IBUPROFÈNE : LES COMPLOTISTES AVAIENT ENCORE RAISON !

Alors que les autorités affirmaient que les anti-inflammatoires « [pourraient] être un facteur d’aggravation de l’infection » (Tweet d’Olivier Véran, ministre français de la Santé le 14 mars 2020), une étude montre que les anti-inflammatoires réduisent les hospitalisations de 90%.

« Un travail approfondi publié aujourd’hui dans Lancet Infectious Diseases , mené par l’ Institut Mario Negri de Recherche Pharmacologique et par l’ Asst Papa Giovanni XXIIIde Bergame, met un point ferme sur la question : la thérapie anti-inflammatoire (en particulier les AINS non stéroïdiens), commencée au début des symptômes, réduit le risque d’hospitalisation de 85 à 90 %. »

« L’accès aux urgences et les hospitalisations baissent de 80% (chiffre fusionné), les hospitalisations seules de 85- 90 %, le délai de résolution des symptômes est raccourci de 80 % et le besoin de supplémentation en oxygène de 100 %. »

« Le célécoxib et le nimésulide étaient particulièrement efficaces contre la maladie causée par Sars-CoV-2 ; les alternatives valables sont l’ibuprofène et l’aspirine. »

 

Ivermectine et Ibuprofène, deux médicaments qui ont été démoli par les autorités et les médias… finalement efficaces à 90% contre la COVID-19, tandis que l’efficacité des vaccins devient négative au bout de 5 mois d’après cette étude.

Cela commence à faire beaucoup tout de même.

 

Deux anticorps contre toutes les souches du SARS-CoV-2 qui pourraient rendre inutile les vaccins contre C19 (EurekAlert, 7 sept 2022)

Autre avenue à explorer : des chercheurs de l’Université de Tel Aviv ont isolé deux anticorps qui neutralisent toutes les souches connues de COVID-19 – y compris Omicron – avec une efficacité pouvant atteindre 95 %.

D’après ces chercheurs, un traitement ciblé avec des anticorps et leur administration dans l’organisme à des concentrations élevées peuvent servir de substitut efficace aux vaccins, en particulier pour les populations à risque et celles dont le système immunitaire est affaibli. En utilisant un traitement par anticorps, il est possible que la nécessité de fournir des injections de rappel répétées à l’ensemble de la population chaque fois qu’une nouvelle variante émerge sera éliminée.

Deux anticorps, TAU-1109 et TAU-2310, se lient à la protéine de pointe du virus COVID-19.

Le premier anticorps a neutralisé Omicron avec une efficacité de 92 % et Delta avec une efficacité de 90 %. Le deuxième anticorps, quant à lui, a neutralisé Omicron avec une efficacité de 84 % et Delta à un taux de 97%.

Li, R., Mor, M., Ma, B. et al. Conformational flexibility in neutralization of SARS-CoV-2 by naturally elicited anti-SARS-CoV-2 antibodies. Commun Biol 5, 789 (2022). https://doi.org/10.1038/s42003-022-03739-5

 

Masque, titane, graphène et nanoparticules

« Sur les masques, nous nous sommes trompés » : Olivier Véran reconnaît une erreur mais se défend d’avoir menti (Le Quotidien du Médecin, 8 sept 2022)

En mars 2020, alors que l’épidémie de Covid-19 déferlait en France, les autorités sanitaires avaient jugé « inutile » l’élargissement du port du masque à l’ensemble de la population. Au même moment, la France manquait de masques : les réserves étaient passées de presque 2 milliards d’unités (masques chirurgicaux et FFP2) en 2009 à 100 millions à la veille de la crise sanitaire. Une pénurie qui fit alors l’objet d’une polémique. « Une partie de l’opinion nous a reproché d’avoir sciemment menti sur les masques, pour cacher la pénurie. Ce n’est pas le cas. La vérité, c’est que, sur les masques, nous nous sommes trompés, ni plus ni moins. Nous, l’Organisation mondiale de la Santé, les autorités sanitaires internationales. De bonne foi, certes, mais nous nous sommes trompés », a confié l’ex ministre de la Santé dans un entretien accordé au Parisien publié ce mercredi 7 septembre.

Malheureusement, Olivier Véran se trompe encore, un comble après quasiment 3 ans de « pandémie » et des centaines d’études qui le montrent : les masques sont inefficaces. Sinon comment expliquer que tout le monde ait eu Omicron durant l’hiver 2022 alors que le port du masque était obligatoire et généralisé?

Pire, les masques sont dangereux : cette étude montre par exemple que l’on trouve dans 70% des masques de l’oxyde de titane. Et ce n’est pas tout : les auteurs ajoutent que pour améliorer leurs produits, les fabricants ont incorporé des nanofibres, des nanocomposites et des nanoparticules. Ces dernières contiennent le fameux oxyde de titane… en combinaison avec de l’argent et du graphène. Tout cela est sensé améliorer les proriétés antibactériennes.

Seul hic: l’inhalation de ces substances est cancérigène.

Quand on pense que le gouvernement vient de commander 30 millions de masques pour les écoles, alors que les enfants n’ont rien  craindre de la COVID-19, et que les autorités sanitaires sont forcément au courant de cette étude, on est en droit de se demander ce qui se passe…

 

Ca bouge en Angleterre

Sans l’annoncer officiellement, l’Angleterre stoppe la vaccination des enfants de 5-11 ans, pour une raison inconnue et sans doute inavouable!

Sur sa lancée, le gouvernement britannique déclare que « Les femmes qui allaitent ne devraient pas non plus être vaccinées. »

Ainsi, le site Web du gouvernement britannique affirme que le vaccin n’est pas sûr pour les femmes enceintes ou allaitantes. À le section 3.4 du document du MHRA (Decision. Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech. Updated 16 August 2022) on peut lire :

« Dans le contexte de l’approvisionnement en vertu du règlement 174, il est considéré qu’une assurance suffisante de l’utilisation sûre du vaccin chez les femmes enceintes ne peut pas être fournie à l’heure actuelle. »

Les anglais avancent (ou plutôt rétropédalent) sur la vaccination des jeunes et des femmes enceintes. C’est très lent certes. Qu’en pensent nos dirigeants ici?

Rien apparemment.

 

Une dose tous les 3 mois?

Justin est battu : lui qui parlait d’une dose tous les 6 mois est devancé par le CCNI (Comité consultatif national de l’immunisation) qui déclare que les Canadiens pourraient envisager de se faire vacciner contre la COVID-19 tous les 90 jours.

« Le CCNI continue de recommander que les doses de rappel du COVID-19 soient offertes à un intervalle de 6 mois après une dose précédente du vaccin COVID-19 ou une infection par le SRAS-CoV-2, quel que soit le produit offert.

Cependant, un intervalle plus court, d’au moins 3 mois, peut être justifié dans le contexte d’un risque épidémiologique accru, ainsi que par des considérations opérationnelles pour le déploiement efficace du programme de vaccination COVID-19. Un intervalle plus long entre les doses peut entraîner une meilleure réponse après toute dose ultérieure, car cela laisse le temps à la réponse immunitaire de mûrir en largeur et en force. »

Source : SUMMARY OF NATIONAL ADVISORY COMMITTEE ON IMMUNIZATION (NACI) STATEMENT OF SEPTEMBER 1, 2022

 

Sur le terrain, les recommandations du CCNI sont appliquées.

Ainsi, une infirmière québécoise a reçu ce message de sa gestionnaire : « Relance en lien avec la vaccination, si votre dernière dose de vaccin ou la dernière fois que vous avez eu la COVID date de 3 mois, je vous invite à prendre rendez-vous pur recevoir votre prochaine dose. »

Il ne s’agit que d’une « invitation », mais on en est là.

Qu’en sera-t-il pour la population en général? Le Dr Fauci, directeur démissionnaire de L’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAD) et Conseiller médical en chef du président des États-Unis, a ainsi déclaré le 6 septembre : « Nous nous dirigeons probablement vers une voie avec une cadence de vaccination similaire à celle du vaccin antigrippal annuel, avec des injections COVID-19 annuelles et mises à jour, adaptées aux souches actuellement en circulation pour la plupart de la population. »

Alors, une dose aux 3 mois, aux 6 mois ou une fois par an? Faîtes vos jeux!

 

Covid-19. Les vaccins intranasaux, nouvelle arme contre la pandémie ? (Le Quotidien du Pharmacien, le 8 sept 2022)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a accueilli favorablement le développement par la Chine et l’Inde de deux vaccins intranasaux contre le Covid-19, affirmant qu’ils permettraient de mieux contrôler l’épidémie sur le long terme.

  • Convidecia : Vaccin de CanSino Biologics (Chine) est un adénovirus de type 5 recombinant Ad5-nCoV-S contre la COVID-19 (toujours en phase III)
  • Covaxin BBV154 – Un nouveau vaccin intranasal vectoriel à l’adénovirus recombinant contre la COVID-19 de Bharat Biotech

Pour mémoire, Vladimir Poutine affirmait en 2021 avoir expérimenté les sprays nasaux après sa vaccination par seringue.

 

Effets indésirables des vaccins COVID-19

« 18 à 98 événements indésirables graves réels » ont été causés par les vaccins.

Une étude dirigée par neuf scientifiques de premier plan de l’Université de Washington, de l’Université d’Oxford, de l’Université de Toronto, de l’Université Harvard – Harvard Medical School, de l’Université de Californie, de San Francisco (UCSF), de l’Université Johns Hopkins – Département de chirurgie, et d’autres, montre que pour chaque hospitalisation COVID évitée chez les jeunes adultes non infectés auparavant, « 18 à 98 événements indésirables graves réels » ont été causés.

Les auteurs avancent 5 raisons « éthiques » pour s’objecter à l’obligation vaccinale :

  • il n’existe aucune évaluation formelle des risques et des avantages pour ce groupe d’âge ;
  • les obligations en matière de vaccination peuvent entraîner un préjudice net attendu pour les jeunes gens ;
  • l’obligation vaccinale n’est pas proportionnée : les préjudices attendus ne sont pas compensés par les avantages pour la santé publique, étant donné l’efficacité modeste et transitoire des vaccins contre la transmission ;
  • l’obligation vaccinale aux USA viole le principe de réciprocité car les rares préjudices graves liés aux vaccins ne seront pas indemnisés de manière fiable en raison des lacunes des systèmes actuels de réparation des préjudices liés aux vaccins ; et
  • les mandats créent des préjudices sociaux plus larges. Nous examinons les contre-arguments tels que le désir de socialisation et de sécurité et montrons que ces arguments manquent de soutien scientifique et/ou éthique.

Ils concluent :

  • Sur la base des données publiques fournies par les CDC, nous estimons qu’environ 22 000 à 30 000 jeunes adultes âgés de 18 à 29 ans non infectés par le passé doivent être stimulés par un vaccin à ARNm pour éviter une hospitalisation de type Covid-19.
  • Notre estimation montre que les obligations de vaccination dans les universités contre la COVID-19 sont susceptibles de causer des préjudices aux jeunes adultes en bonne santé – entre 18 et 98 événements indésirables graves nécessitant une hospitalisation et entre 1373 et 3234 perturbations des activités quotidiennes.
  • le fait qu’une telle obligation ait été décrétée, malgré la controverse entre les experts et sans mettre à jour la seule analyse risques-bénéfices accessible au public pour les variantes actuelles d’Omicron,  suggère un profond manque de transparence dans l’élaboration des politiques scientifiques et réglementaires.
  • En conséquence, les responsables politiques devraient abroger immédiatement les obligations de rappel pour les jeunes adultes.
  • Et il va falloir commencer ce qui sera un long processus de reconstruction de la confiance dans la santé publique.

 

Cela n’empêche pas les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, USA), de déclarer les vaccins sécuritaires malgré les données de leur dernière étude

Ainsi, suite à une enquête chez plus de 13 000 enfants, les CDC ont rapporté le 2 septembre 2022, que plus de 55 % des enfants âgés de 6 mois à deux ans avaient eu une « réaction systémique » en réponse à leur première dose des vaccins Pfizer-BioNTech ou Moderna COVID-19. (Une réaction systémique est une réaction au-delà du site d’injection)

Les parents d’environ 1 323 (5,7 %) et 803 (6,5 %) enfants âgés de 6 mois à 5 ans ont déclaré que leur enfant n’était pas en mesure d’effectuer des activités quotidiennes normales dans la semaine suivant la dose 1 et la dose 2, respectivement de l’un ou l’autre vaccin. Environ 741 (2 %) ont déclaré avoir cherché des soins médicaux dans la semaine suivant l’une ou l’autre des doses ; la plupart des soins médicaux ont été reçus par rendez-vous à la clinique (450 ; 1,3 %). Quatre enfants ont reçu des soins à l’hôpital après la vaccination ; deux répondants ont indiqué que l’hospitalisation n’était pas liée à la vaccination, l’un n’était pas disposé à fournir de plus amples informations et l’autre a rempli un rapport VAERS.

Les CDC considèrent ces observations comme sans importance, car ils pensent que ces effets secondaires disparaisssent après quelques jours. En fait, il n’y a aucune étude de suivi qui a été faite. Cette étude ne se concentrait que sur les 7 jours suivant l’inoculation. II se peut que ces effets secondaires soient le prélude à des réactions tardives plus graves. Pour le moment, on n’en sait rien.

Rappelon que d’après l’INSPQ, les enfants n’ont quasiment rien à craindre de la COVID-19 : « Les enfants de 6 mois à 4 ans sont aussi susceptibles de développer la COVID-19 que les
adultes lorsqu’ils sont exposés au SRAS-CoV-2, mais ils sont rarement hospitalisés. » (c’est nous qui soulignons)

 

« Superstructures de Graphene-like » retrouvé chez les vaccinés avec l’ARNm COVID-19.

Trois chirurgiens italiens ont mené une étude en analysant le sang de 1 006 personnes ayant développé des symptômes après avoir reçu une injection d’ARNm Pfizer/BioNTech ou Moderna. Ils ont constaté que 94 % d’entre elles présentaient « une agrégation des érythrocytes et la présence de particules de formes et de tailles diverses dont l’origine n’est pas claire« , un mois après l’inoculation.

Ce qui semble assez évident, c’est que des particules métalliques ressemblant à de l’oxyde de graphène et peut-être d’autres composés métalliques… ont été incluses dans le cocktail de ce que les fabricants ont jugé bon de mettre dans les « vaccins » à ARNm », ont écrit les auteurs dans la discussion et les conclusions de l’étude.

 

Hausse inexpliquée de décès et morts subites

Les médias constatent actuellement une hausse inexpliquée de la mortalité. Rejetant d’emblée l’hyopthèse de la vaccination, ils se concentrent sur d’autres possibilités, comme le réchauffement climatique… et d’autres de plus en plus loufoques comme s’endormir en regardant la télé ou prendre une douche froide. Petit florilège de ces articles hors-sol.

  • Un journaliste de CBNews, le 24 aout 2022, se demande pourquoi des jeunes en bonne santé meurent à travers le Royaume-Uni (et au Canada). Le point commun entre eux : ils sont tous vaccinés contre la COVID-19.
  • Excès de mortalité en Allemagne 2020-2022 (étude ici)

« En 2020, le nombre de décès observé était proche du nombre attendu en ce qui concerne l’écart-type empirique. En revanche, en 2021, le nombre observé de décès était supérieur de deux écarts types empiriques au nombre attendu. La surmortalité en 2021 était presque entièrement due à une augmentation des décès dans les groupes d’âge entre 15 et 79 ans et n’a commencé à s’accumuler qu’à partir d’avril 2021. Quelque chose (la vaccination) a dû se produire en avril 2021 qui a conduit à une augmentation soudaine et soutenue de la mortalité dans les groupes d’âge inférieurs à 80 ans, bien que de tels effets sur la mortalité n’aient pas été observés jusqu’à présent pendant la pandémie de COVID-19. »

  • Excès de mortalité en Suisse : « 3000 décès de plus que prévu – la surmortalité est un mystère »

 

  • Excès de mortalité en Espagne : 

 

  • Le Portugal bat le record européen de mortalité :« Selon les chiffres du portail « Surveillance de la mortalité », de la Direction générale de la santé portugaise, le nombre de décès en juillet a été supérieur de 30 % à la moyenne enregistrée entre les années 2016 et 2019. »
  • Une chute de la natalité en Allemagne et en Suisse soulève de nombreuses questions : »Le début de l’année 2022 est marqué par une brutale chute de la natalité en Allemagne et en Suisse. Lorsque l’on examine les chiffres, et qu’on les met en perspective avec ceux des années précédentes, on note une baisse significative des naissances pour les deux pays. »
  • L’excès de mortalité a doublé pour les Américains de 35 à 44 ans : Données de la New Society of Actuaries (The Epoch Time, sept 2022)

    Ancien analyste de Wall Street et gestionnaire de portefeuille de BlackRock, Edward Dowd a analysé les données sur la surmortalité des CDC et des compagnies d’assurance avec son partenaire, Josh Stirling, analyste des assurances. L’excès de mortalité ou le surmortalité fait référence au nombre de décès dus à toutes les causes au-delà de ce qui serait attendu dans des circonstances normales.

    Plus tôt cette année, le PDG d’une grande compagnie d’assurance-vie a déclaré que les taux de mortalité chez les Américains en âge de travailler avaient augmenté de 40 % par rapport aux niveaux d’avant la pandémie. Un rapport récent de la Society of Actuaries renforce maintenant ces données alarmantes, dit Dowd.

 

 

  • Etc.

 

Qu’en dit la pharmacovigilance?

Petite analyse des données de mortalité d’EuroMomo, l’organisme européen de pharmacovigilance.

Les classes d’âge 0-14 ans et 15-44 ans présentent une plus forte augmentation de la mortalité que les autres tranches d’âge pour l’année 2022 par rapport aux années précédentes.

Pour ces deux tranches d’âge, l’année 2022 semble la plus critique, alors que presque toute la population est vaccinée et que les variants sont dits beaucoup moins délétères que la souche originale. Ces tranches d’âge sont d’intérêt capital pour la reproduction de notre espèce, notamment dans un pays ayant fait le choix d’un modèle de retraite par répartition (les jeunes contribuent pour payer les retraites).

Eu égard à cette augmentation de la mortalité, la politique vaccinale comme unique méthode de traitement, ne devrait-elle pas sérieusement être reconsidérée ? A minima, un audit devrait se tenir.

Pour ce qui est des tranches d’âge supérieures, s’il semble acquis que le virus crée une surmortalité, il serait donc raisonnable de questionner l’efficacité des vaccins. Cependant, il faudra pondérer cette analyse par l’absence de soin, qui peut fortement contribuer à la surmortalité.