Précision : le solde affiché pour les 2 premiers trimestres de 2023 est pour les 5 premiers mois de l’année car l’ISQ n’a pas encore sorti les données des naissances pour juin.

 

Florian Filippot, un politicien français, vient de sortir un vidéo dans lequel il cite un article des Échos (journal économique français) qui rapporte que les naissances s’effondrent en France… tandis que les décès augmentent fortement. Au point où « désormais proche de zéro, le solde naturel est au plus bas depuis la Seconde Guerre mondiale. »

 

Solde naturel au Québec

Mais la situation est pire au Québec. En effet, depuis le début de l’année, hormis au mois de mai, les naissances sont systématiquement inférieures aux décès. Sur les 5 premiers mois de l’année, le déficit du solde naturel est de -1750. Autrement dit, au Québec, depuis le début de l’année, il y a 1750 décès de plus que de naissances. C’est du jamais vu dans l’histoire moderne.

Pour la dernière semaine rapportée, celle du 10 juin, la surmortalité chez les 0-49 ans est de +42,6%. Rappelons qu’on avait atteint un triste record la semaine du 6 mai avec une hausse de 64%.

 

2,8% de myocardites post-vaccinales

Dans le même temps, une étude réalisée par des chercheurs suisses montre que le nombre de myocardites dans les jours suivant l’injection est beaucoup plus élevé que ce l’on pouvait penser. Les auteurs le situe à 2,8%, ce qui est gigantesque car cela fait une chance sur 36! On est loin des 1 sur 10 000 ou 100 000, voire encore moins, reconnus par les autorités dans les mois suivant les débuts de la « vaccination ».

Les auteurs ont beau jeu de dire que ces myocardites n’étaient pas très graves quand on sait qu’une autre étude a montré que 26% des personnes ayant eu une myocardite vaccinale se voyaient encore « prescrire des médicaments quotidiens liés à la myocardite » lors de leur dernier rendez-vous avec leur médecin. Pire, sur les 249 personnes qui ont répondu à la partie de l’enquête sur la qualité de vie des patients :

    • 4 (2 %) ont signalé des problèmes d’autonomie,
    • 13 (5 %) des problèmes de mobilité,
    • 49 (20 %) des problèmes d’exécution des activités habituelles,
    • 74 (30 %) des problèmes de douleur
    • et 114 (46 %) des problèmes de dépression.

Avoir une myocardite est donc loin d’être « bénin » sachant que cela a un impact sur l’espérance de vie. D’après le NIH (National Institute of Health, USA), le taux de mortalité suivant une myocardite est de 20% un an après l’évènement et de 50% au bout de cinq ans. Mais l’étude suisse n’a fait un suivi que durant les 30 jours suivant l’injection…

On soulignera aussi que les participants à cette étude suisse avaient une moyenne d’âge de 37 ans alors que ce sont les jeunes qui sont les plus touchés par les myocardites post-vaccinales.

Au final, il ressort que le nombre de myocardites vaccinales est beaucoup plus élevé que ce que l’on nous a dit. À la vue de la tendance démographique des 5 derniers mois, les autorités doivent d’urgence réévaluer la balance bénéfice/risque des injections et cesser immédiatement le programme des injections, injections qu’ils continuent pourtant de promouvoir et pour lesquelles ils comptent à nouveau lancer une campagne cet automne.