Alors que l’ISQ (Institut de la statistique du Québec) reconnait une hausse inexpliquée de la mortalité de 10 %, les médias publient une vague d’articles citant des études faisant un lien entre les morts subites et des activités anodines comme manger des rillettes, boire du rosé, s’endormir en regardant la télé et faire du sport, ou encore la canicule, le froid, etc. C’est dans cette lignée que Réinfo Covid Québec a publié sur son compte Twitter une capture d’une image parodique affirmant que « Boire plus de deux verres d’eau par jour suffit pour augmenter le risque de décès » :

 

Alors qu’il s’agit bien sur d’une publication humoristique, quelle ne fut pas notre surprise de voir qu’elle a été prise au premier degré par bon nombre d’« observateurs ». Ainsi, le « doc Tik Tok » (alias M. Nadeau-Vallée, médecin résident), qui apparemment nous surveille comme le lait sur le feu et qui n’a jamais rien à dire lorsque nous publions des articles de fond sur la vaccination ARNm ou sur les mesures sanitaires en général, s’est offusqué de la manière suivante :

 

Il est difficile de croire que M. Nadeau-Vallée ait pris cette publication au premier degré. Apparemment, il croit vraiment que nous pensons que boire plus de deux verres d’eau par jour augmente le risque de décès.

On pourrait en rire. Mais ayant des contacts dans les médias, il leur a sans doute rapporté la « nouvelle », si bien que Quebecor a consacré un article à cette affaire d’État : Boire plus de 2 verres d’eau par jour ne vous tuera (évidemment) pas.

Ayant de nombreux « followers », il s’emploie grâce à ce genre de « nouvelle » à ternir notre réputation. Ainsi, comme le rapporte Quebecor, une médecin y est également allée de son indignation :

« Difficile de croire que l’on peut sérieusement partager une info de la sorte », regrette pour sa part la Dre Claudel Pétrin-Desrosiers.

 

Il est étonnant de voir que toutes ces personnes aient pris cette publication au premier degré, alors que les nombreuses autres l’ayant partagée ont probablement toutes compris, elles, le deuxième degré. Nous nous demandons qui fait plus piètre figure ici entre nous et ces professionnels qui ont véritablement créé une tempête dans un verre d’eau pour n’avoir pas été capables de saisir ce qui relevait de manière évidente de la moquerie.

M. Nadeau-Vallée essaye donc d’utiliser n’importe quel argument, aussi absurde soit-il, pour tenter de nous décrédibiliser. Apparemment, c’est tout ce qu’il trouve et finalement, en s’indignant pour si peu, il se décrédibilise lui-même. Quand on voit ça, on se dit que c’est lui qui atteint « le fond du baril ». Il s’agit là d’un « pur cas de désinformation », comme il aime à s’en offusquer.

Il est dommage (mais doit-on s’en étonner?) de voir qu’il n’a pas répondu à la demande de débat de Patrick Provost, qui aurait pu se dérouler avec ses conditions, et qu’il reste silencieux concernant toutes nos autres publications, notamment nos articles de fond. Par exemple, nous aimerions l’entendre concernant notre dernier article qui montre que les propres données de la santé publique prouvent que les vaccins ont une efficacité négative.

Mais là, il n’a plus rien à dire.