Introduction :
Nous avons constaté que l’information fournie aux québécois concernant la vaccination à ARNm de rappel était soit mal adaptée aux connaissances actuelles, soit trompeuse dans certains aspects et en général très peu disponible. Or, la déontologie médicale impose d’offrir à la population une information juste, complète et adéquate concernant tout produit ou toute intervention à caractère médical.
C’est pourquoi nous proposons ce texte d’information destiné au grand public. Nous avons examiné la littérature médicale scientifique la plus pertinente à cet égard. Nous joignons à la présente une bibliographie. Si des aspects du formulaire de consentement proposé vous apparaissaient erronés, nous vous saurions gré de nous en informer en fournissant, il va de soi, les études scientifiques indépendantes correspondantes.
Il a été dit au sujet de ce produit de rappel qui vous est
offert et au sujet des produits à ARNm :
Il est sûr.
Il s’agit en réalité du produit vaccinal qui à lui seul a causé plus d’effets secondaires graves que tous les vaccins administrés depuis 30 ans dont des atteintes du cœur, des maladies chroniques, des décès.
Il a été parfaitement testé avant d’être approuvé.
Les produits à ARNm ont été développés rapidement parce qu’ils ont évité toutes les études de toxicité normalement exigibles pour un produit génique destiné à être utilisé comme « vaccin ». Il n’y a plus d’urgence mais les études de toxicité ne se font toujours pas. La dose de rappel offerte n’a été testée que chez quelques souris et chez aucun humain. Elle est pourtant approuvée par Santé Canada.
Il est efficace.
Il n’empêche ni la transmission, ni l’infection. Les personnes vaccinées sont beaucoup plus à risque d’être infectées par le Covid-19 que les personnes non vaccinées. On assiste actuellement à une épidémie des vaccinés de sorte que si on est vacciné, on est plus à risque de se retrouver aux soins intensifs.
Il n’est pas un produit expérimental.
Tant que les études complètes de toxicité exigées normalement pour ce type de produit n’auront pas été faites, ces produits devront être considérés comme expérimentaux. Par ailleurs, bien que le fabricant ne dévoile pas la composition de son produit, il a été démontré qu’il contient des substances qui nécessitent un examen approfondi (ARN fractionné, ADN plasmide, enveloppe lipidique des nanoparticules etc.). Pour terminer, les fioles et les lots de vaccin sont différents l’une de l’autre. Tous ne reçoivent pas le même produit et à une dose qui peut être très différente. Le fabricant ne maîtrise pas ses procédés de production manufacturière.
Il empêche la transmission.
On a appris avec étonnement que le fabricant n’avait jamais fait d’études afin de démontrer que son produit pouvait empêcher la transmission de l’infection. Or le message véhiculé était à l’effet qu’il fallait recevoir ce vaccin pour se protéger soi-même et pour protéger les autres. La question se pose : Quelle peut être l’utilité d’un produit « vaccinal » qui n’empêche ni l’infection, ni la transmission de l’infection de laquelle il doit nous protéger ?
Il faut se faire vacciner pour protéger les autres et sa famille.
Comme le vaccin n’empêche ni l’infection (et même la favorise) ni la transmission, cette affirmation est incorrecte. La notion d’immunité collective conférée par le vaccin ne tient pas. On est en droit de se questionner sur l’utilité d’un passeport vaccinal.
Il empêche d’être infecté par le coronavirus.
Les personnes vaccinées ont jusqu’à 3,6 fois plus de risque de contracter l’infection. Plus on est vacciné, plus on a reçu de doses de vaccin, plus on est à risque de contracter l’infection COVID-19. (Étude de Cleveland).
Il est efficace contre le nouveau variant en cours.
Le vaccin bivalent actuel a été conçu pour une protection contre le variant XBB.1.16. Or ce variant est en perte de vitesse et ce sont deux nouveaux variants qui prédominent actuellement. La mutation constante du virus favorisée par la vaccination et par l’utilisation des médicaments (anticorps monoclonaux) fait en sorte qu’un nouveau vaccin à ARNm devient vite désuet, ce qui est le cas avec ce vaccin de rappel. Celui-ci a été testé en tout et pour tout chez une vingtaine de souris et pour quelques jours seulement. Pour toutes ces raisons, on ne peut pas dire que ce vaccin de rappel soit efficace pour le variant en cours.
Il offre une protection contre tous les variants.
Contrairement à l’immunité naturelle qui confère à la personne une défense contre tous les composants du virus, l’immunité que donne le vaccin à ARNm ne concerne que la protéine de surface (Spike) du virus. Or cette protéine mute constamment pour échapper au vaccin; ce qui est le cas actuellement. Il en sera de même avec tous les variants futurs.
La vaccination des femmes enceintes a été prouvée sécuritaire.
Le fabricant, par prudence, n’a pas étudié son produit chez les femmes enceintes. Il ne recommande pas la vaccination des femmes enceintes.
Plusieurs statistiques notamment celles très robustes du département de la défense des É.U. font état de fausses couches, d’avortements, de mort-nés, d’anomalies placentaires à un taux alarmant. Comme le fabricant n’a pas pris le risque d’étudier son produit chez les femmes enceintes, la vaccination des femmes enceintes est plutôt téméraire et surtout non éthique.
La vaccination des enfants a été prouvée sécuritaire.
On a démontré que le vaccin chez les enfants peut causer une inflammation du cœur. C’est le vaccin (et non la maladie COVID-19) qui cause la myocardite des adolescents. Une étude suisse indique qu’un enfant sur 35 montrerait des signes de myocardite. Plus de 55 % des enfants de 6 mois à 2 ans ont une réaction systémique importante après avoir eu le vaccin selon la CDC. La Suède, le Danemark, la Finlande, le Royaume Uni, l’Australie, la Norvège, la Floride et quelques autres ont limité ou interdit la vaccination des enfants.
Les personnes asymptomatiques sont les plus grands propagateurs.
Cette notion ne se retrouve pas dans aucun livre médical et n’est supportée par aucune science. Les personnes qui transmettent les maladies respiratoires le font par la toux et les sécrétions respiratoires.
Les enfants transmettent l’infection aux adultes et à leurs grands-parents.
Il a été bien démontré que ce ne sont pas les enfants qui transmettent le COVID-19. Ce ne sont pas les enfants qui sont responsables du décès de leurs grands-parents. Les enseignants dans les écoles d’ailleurs, ne sont pas plus à risque d’être infectés par le SARS-Cov-2.
Il se loge dans le bras injecté et ne se répand pas dans l’organisme.
Le produit vaccinal ne peut pas rester séquestré dans le bras de la personne. Tôt ou tard il se répand dans tout l’organisme comme le prouvent les études d’autopsie. Le produit vaccinal diffuse dans tous les organes du corps humain.
Il disparaît de l’organisme en peu de temps.
On retrouve la protéine de surface (spike) dans le corps humain jusqu’à 2 ans après la vaccination. On retrouve l’ARNm des mois après la vaccination jusque dans le cerveau et le lait maternel. La vaccination génique proposée consiste à injecter des milliards d’unités d’ARNm et il transforme les cellules du corps humain en usines de production de protéine de surface (Spike). Il n’y a pas de mécanisme prévu pour interrompre cette production. En conclusion on ignore combien de temps il demeure dans l’organisme puisque dans la hâte, le fabricant n’a pas effectué les études requises à cet effet.
Il empêche les formes graves d’infection.
Les données épidémiologiques montrent que les personnes vaccinées sont plus à risque d’être hospitalisées aux soins intensifs que les personnes non vaccinées.
Il diminue le risque de mortalité par le coronavirus.
La vaccination contre le COVID-19 ainsi que celle de rappel ne diminue pas le risque de mourir du COVID.
La myocardite des jeunes est rare et bénigne.
La myocardite est pratiquement inexistante après l’infection naturelle COVID-19. Mais le risque est multiplié par 100 chez le jeune vacciné. Des études en Thaïlande et en Suisse indiquent une fréquence beaucoup plus grande allant jusqu’à 2,5%. On démontre une cicatrice permanente au cœur chez environ 50% des jeunes atteints de myocardite. La myocardite n’est donc ni rare, ni bénigne.
La balance risques/bénéfices est favorable.
Aucune des études évaluant les risques/bénéfices de la vaccination ne tient compte des effets secondaires à long terme. Or les fabricants ont toujours souligné ces risques dans leur monographie et dans les contrats de vente aux différents pays. Ces effets secondaires à long terme sont documentés dans tous les systèmes mondiaux de rapport des effets indésirables et la surmortalité dans le monde suggère aussi une grande prévalence des effets secondaires à long terme sous forme de maladies chroniques. Il est par conséquent impossible d’affirmer que la balance des risques/bénéfices soit favorable.
Il s’agit d’un vaccin comme les autres.
Ce vaccin n’agit absolument pas comme un vaccin traditionnel. Les précautions que Pfizer a prises dans ses rares études humaines sont celles des thérapies géniques. Ce produit a été présenté comme un vaccin comme les autres afin que le fabricant soit soumis à moins de normes de sécurité et afin qu’il obtienne la faveur du public (qui a généralement confiance aux vrais vaccins). La découverte d’ADN plasmide dans les fioles confirme définitivement qu’il s’agit d’un produit génique et en aucun cas d’un vaccin « comme les autres ».
Les vaccins à ARNm sont plus efficaces que les vaccins traditionnels.
Comme ils n’empêchent ni la transmission, ni l’infection et comme les personnes vaccinées sont plus à risque d’être hospitalisées aux soins intensifs pour cause de COVID-19 que les personnes non vaccinées, il est impossible d’affirmer que ces produits soient plus efficaces que les vaccins traditionnels.
Les vaccins à ARNm ne modifient pas le code génétique.
Puisqu’il n’y a eu aucune étude de génotoxicité sur ces produits, cette affirmation ne peut pas être faite. Au contraire, on connaît plusieurs mécanismes par lesquels ces produits peuvent changer le code génétique d’une personne (transcriptase inverse, ADN plasmide). La présence d’ADN dans les fioles rend tout à fait possible le risque de modification du code génétique de l’individu injecté. Des études en laboratoire ont prouvé que ces produits peuvent pénétrer le noyau de la cellule et donc altérer le code génétique. Le fardeau de la preuve pour une question aussi grave que l’altération du code génétique de l’être humain revient au fabricant.
Les vaccins à ARNm ne causent pas de maladies graves.
La compagnie Pfizer en février 2021 avait identifié 1,291 effets secondaires possibles dont plusieurs très graves. L’agence de médicaments des États-Unis (FDA) avait prévu 21 classes d’effets secondaires graves déjà en 2020. Tous ces effets indésirables prévus ont été retrouvés dans les systèmes de surveillance du monde entier. Il y a eu 96 signaux de sécurité chez les 12-17 ans et 770 chez les 18 ans et plus dans le plus important système de rapport américain des effets indésirables (VAERS). Chacun de ces signaux aurait justifié un arrêt immédiat de cette vaccination. Il est donc indiscutable que ce produit cause des maladies graves et chroniques.
Ces produits n’affaiblissent pas le système immunitaire.
Il y a un plus grand risque de zona si on est vacciné. Si on est vacciné, on est plus à risque d’être infecté par le SARS-Cov-2. L’affaiblissement du système immunitaire notamment chez les enfants a été signalé par le plus grand conseiller en matière de vaccin aux États-Unis, le Dr Paul Offit qui refuse par ailleurs de recevoir lui-même une dose de rappel.
L’immunité naturelle ne suffît pas et il faut aussi être vacciné.
Un concept totalement inexistant en science médicale a été avancé; celui « d’immunité hybride ». On laisse entendre que le fait d’être vacciné en plus d’avoir acquis une immunité naturelle confère un avantage. En réalité, la vaccination affaiblit le système immunitaire et des phénomènes immunologiques précis et connus (tels que l’OAS, l’ADE et l’imprinting) peuvent rendre la combinaison vaccin + immunité naturelle dangereuse.
Le COVID-19 est encore une grave menace pour la population.
Les malaises causés par les variants qui ont cours actuellement s’apparentent à un rhume banal. C’est là l’évolution normale et prévisible d’un virus pandémique qui devient de plus en plus contagieux mais de moins en moins dangereux.
Le SARS-Cov-2 a été beaucoup plus mortel que la grippe (influenza).
On sait maintenant que le COVID-19 en termes de mortalité, a été tout à fait comparable à une saison de grippe (influenza).
Références :
La FDA reconnait qu’il n’y a aucune preuve à l’effet que le vaccin puisse empêcher la transmission :
55% des enfants âgés de 6 mois à 2 ans ont une réaction systémique importante après leur vaccin.
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2022-09-01/05-COVID-Shimabukuro-508.pdf
19/40 adolescents (12-18 ans) atteints de myocardites ont des signes d’atteinte cardiaque cicatricielle permanente.
https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCULATIONAHA.123.064772
1,291 effets secondaires rapportés par Pfizer au 28 février 2021 :
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf
Effets secondaires graves Pfizer et Moderna indiquent la nécessité d’une réévaluation du calcul Risques/bénéfices. Peter Doshi 06-2022 :
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4125239
1,000 articles évalués par les pairs concernant les effets indésirables graves de la vaccination génique COVID-19 :
https://drtrozzi.org/2023/09/28/1000-peer-reviewed-articles-on-vaccine-injuries/
3,500 autres articles décrivant les différents effets secondaires de la vaccination génique COVID-19 :
Dr Philip Buckhaults Témoignage Sénat Caroline du Sud sur la contamination ADN plasmidique du vaccin génique :
https://www.youtube.com/watch?v=IEWHhrHiiTY
Variant actuel Pirola avec 30 mutations de la protéine S :
McCullough; étude de 325 autopsies. Lien entre vaccination COVID et décès :
https://zenodo.org/records/8120771
Dr James Thorp. Vaccination des femmes enceintes. Données de Pfizer p.12 :
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf
CDC : Effets indésirables prévisibles 2020 Rapport d’un comité de la FDA (CBER) :
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-10/COVID-Anderson-508.pdf
Rochelle Walensky directrice du CDC reconnaît que le vaccin n’empêche pas la transmission (ce qui rend nul et non avenu les passeports vaccinaux) :
COVID long et VAX long: 70% des “COVID long” sont vaccinés. Il pourrait donc s’agir plutôt de Vax-longs; ce qui s’expliquerait par une quantité de protéine « S » de surface générée par le mécanisme du vaccin à ARNm beaucoup plus importante que générée par l’infection.
92% des décès COVID en Angleterre en 2022 sont survenus chez des triple vaccinés :
Augmentation de 44% de la mortalité cardiovasculaire chez les 15-44 ans au Royaume Uni :
Mécanismes physiopathologiques de la toxicité des vaccins géniques à ARNm :
https://doctors4covidethics.org/mrna-vaccine-toxicity/
Chez 77% des femmes allaitantes vaccinées (10/13), on trouve de l’ARNm dans le lait maternel :
https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(23)00366-3/fulltext
Intégration de l’ADN des thérapies géniques dans le génome humain et par conséquent pouvant être transmis à de futures générations:
https://www.nature.com/articles/s41598-023-33862-0
Les personnes vaccinées plus à risque d’hospitalisation selon la CDC :
https://www.documentcloud.org/documents/23852341-cdc-presentation-on-vaccine-effectiveness
Mécanismes par lesquels on retrouve dans le sang des personnes vaccinées la protéine de surface « Spike » jusqu’à 6 mois après la vaccination :
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/prca.202300048
Poursuite en Australie à l’encontre de Pfizer et Moderna pour avoir distribué des produits de thérapie génique sans avoir obtenu une license pour le faire :
Plus on est vacciné, plus on est à risque d’infection. Étude revue par les pairs :
Toxicité de la protéine de surface « S » :
https://www.mdpi.com/2227-9059/11/8/2287?utm_source=substack&utm_medium=email
Vaccination génique COVID-19 et cancers : Dr Angus Dalgleish et John Campbell :
https://www.youtube.com/watch?v=PnJ5T1Enwq4
“The child is not to blame”: Ce ne sont pas les enfants qui transmettent l’infection aux adultes :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32457212/
Taux de létalité du SARS-Cov-2 inférieure à la grippe chez les moins de 60 ans et légèrement supérieure à la grippe chez les 0-69 ans :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9613797/
Contrats secrets Pfizer avec différents pays. Dévoilement de celui d’Afrique du Sud : Pfizer : « Nous ne connaissons pas les effets secondaires à long terme de notre produit ».
Surmortalité. Mortalité toute cause. Denis Rancourt. Lien causal entre vaccination COVID-19 et surmortalité :
https://correlation-canada.org/covid-19-vaccine-associated-mortality-in-the-southern-hemisphere/
Un autre crime de l’humanité. Tant et aussi longtemps que ce seront des criminels qui décideront de notre santé, les tueries vont continuer car c’est très payant.
Je suis entrain de lire le bouquin de Christine Cotton, je pense que les témoignages des victime des injections covid n’ est qu’ une pointe de l iceberg de cette affaires.