Contrairement à ce qu’affirment les autorités, de nombreuses personnes sont victimes d’effets indésirables des injections ARNm (caillots sanguins, thromboses, myocardites, péricardites, AVC, arrêts cardiaques, cancers, etc.). Cependant, ces personnes sont souvent désemparées et ne savent pas quoi faire. Cet article leur est destiné et propose différentes démarches, allant de la déclaration d’effets indésirables à la proposition d’un protocole (à base de produits en vente libre en pharmacie comme de la vitamine D, du zinc, etc.) qui pourrait leur permettre d’améliorer leur système immunitaire.
Préambule
En guise de complément à l’article qui suit, nous invitons les lecteurs à prendre connaissance de notre dossier sur les « Effets secondaires de la vaccination au Québec » auquel vous aurez accès en suivant ce lien internet. Vous y trouverez notamment un rapport en trois parties sur les effets indésirables. Celui-ci présente de nombreux témoignages qui montrent que, contrairement à ce que déclarent les autorités, les effets indésirables sont bien une réalité et que si vous en êtes victime, vous n’êtes pas seul.
En outre, nous tenons à informer le lecteur que nous employons dans ce texte l’expression « injection expérimentale » en lieu et place du mot vaccin. En effet, il s’agit d’une technologie qui n’avait jamais été déployée auparavant à large échelle chez l’homme et qui était encore en période de test (phase 3) durant la majeure partie du temps où elle a été commercialisée.
Que faire si vous croyez être victime d’effets indésirables causés par les injections expérimentales présentées comme des vaccins contre le Covid-19
1/ Demander à rencontrer votre médecin
Que vous ayez reçu une seule ou plusieurs de ces injections contenant de l’ARN messager (ARNm) modifié génétiquement (Comirnaty de Pfizer, Spikevax de Moderna) ou à base d’adénovirus modifié (Vaxzevria COVID-19 d’Astrazeneca) et que vous êtes malade ou craignez le devenir, vous devez demander à rencontrer votre médecin (généraliste ou spécialiste) afin de lui rapporter vos symptômes, vos craintes, et d’être examiné comme il se doit. Vous pouvez lui demander en plus d’avoir un dosage des D-dimères et du fibrinogène sanguins qui sont des marqueurs de thrombose (caillots de sang dans les vaisseaux) ainsi qu’une vitesse de sédimentation et un dosage de la protéine C-réactive (PCR) qui sont des marqueurs d’inflammation dans l’organisme.
2/ Faire une déclaration d’effets indésirables
Après avoir subi cette évaluation clinique par votre médecin ou tout autre praticien compétent, vous devez lui demander de compléter le formulaire « Déclaration de manifestations cliniques inhabituelles après une vaccination » du gouvernement du Québec (AH-728_DT9434 (2019-06) S.pdf). À défaut de pouvoir le faire compléter par un médecin, d’autres personnes sont habilitées par la loi à le faire soit le vaccinateur (il peut y en avoir eu plusieurs), une infirmière, un pharmacien, une inhalothérapeute ou une sage-femme. En autant que ces intervenants soient capables de faire un lien possible entre vos symptômes et les injections Covid-19 reçues.
Nous vous suggérons ensuite :
- d’imprimer ce formulaire et de le remettre en main propre à la personne habilitée à le compléter;
- de vérifier vous-même l’exactitude des informations écrites sur ce formulaire avant qu’il ne soit expédié à la direction de santé publique de votre région;
- de faire de même, le cas échéant, pour votre enfant ou un proche dont vous êtes le représentant.
Il est ainsi de première importance de faire remonter aux autorités sanitaires les changements notés dans votre état de santé suite à l’administration de ces produits géniques jamais utilisés auparavant en vaccination de masse. Ces autorités sanitaires sont au Québec les Directions régionales de santé publique (Coordonnées des Directeurs de santé publique – liste-directeurs-santepub.pdf) qui sont sous la gouverne de la Direction nationale de santé publique (dirigée par le Dr Luc Boileau) et, au Canada, l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC).
La personne qui, à votre demande, a complété le rapport de manifestations cliniques inhabituelles (MCI) recevra les conclusions et recommandations de la Direction régionale de santé publique après enquête de sa part. Les effets indésirables jugés comme reliés à la « vaccination » doivent être inscrits au Registre de la vaccination du Québec. Les effets indésirables graves ou inattendus doivent en plus être signalés dans les 15 jours à l’ASPC.
3/ Faire une demande d’indemnisation
Il importe de savoir qu’en plus du système de pharmacovigilance décrit ci-haut qui enregistre les déclarations et permet d’établir un état des lieux de la sécurité des vaccins, il existe un programme d’indemnisation des victimes de vaccination (form-indemnisation_fr.pdf) ainsi qu’une défense légale pouvant mener à un recours collectif et pilotée par la firme d’avocats CLG dont les détails se trouvent sur le site internet suivant : Programme québécois d’indemnisation des victimes de vaccins | Recours Collectif Canadiens de Groupe de Droit des Consommateurs (sic).
Que faire en cas de refus
S’il s’avérait que vous soyez incapable d’être évalué-e par votre médecin parce que par exemple celui-ci refuse de considérer que vous ayez pu être rendu malade par les injections Covid reçues, ou qu’il ne daignât point compléter malgré votre demande le formulaire « Déclaration de MCI après une vaccination », vous pouvez porter plainte contre ce médecin auprès du Collège des médecins du Québec (CMQ), instance représentant l’ordre professionnel régissant la pratique des médecins au Québec (Formulaire de demande d’enquête – form-demande-enquete-fr.pdf). En effet, les articles 23, 38, 67 et 98 du code de déontologie des médecins proscrivent que ce médecin vous adresse de tels refus.
Le même raisonnement s’applique pour ces autres professionnels infirmier/ère, pharmacien, etc. qui refuseraient de vous aider dans vos démarches. La multiplicité des plaintes auprès des ordres professionnels concernés aidera à faire avancer les choses, à instituer des enquêtes, à mettre en place les ressources médicales appropriées pour enfin prendre soin de toutes ces personnes qui souffrent en silence et sont ignorées par le réseau de la santé. Si vous ne pouvez pas voir votre médecin ou que vous n’en avez pas, n’hésitez pas à vous rendre à une clinique sans rendez-vous, à une clinique externe de CLSC ou d’hôpital, ou dans un service d’urgence afin que l’on s’occupe de vous, que l’on vous soigne et prenne en charge dûment.
N’oublions pas que les autorités médicales, dont le CMQ, ont promu ces injections qu’elles qualifiaient de « vaccins comme les autres » « sûrs et efficaces » et condamné vigoureusement sur la place publique les citoyens et soignants qui ne se conformaient pas à ses injonctions. Il est par conséquent du devoir de ces autorités de faire en sorte que nulle victime d’effets indésirables ne soit abandonnée à son sort.
Poser des actions
Nous sommes d’avis qu’en attendant cette reconnaissance publique des dommages à la santé causés par ces soi-disant vaccins anti-Covid-19, il faille, cela vaut pour tous, mais en particulier pour les personnes injectées, poser des actions de nature à optimiser son système immunitaire i.e. cette capacité à bien se défendre et bien résister aux infections ou autres menaces à notre santé.
Parmi celles-ci :
- se nourrir sainement, en évitant par exemple les aliments ultra-transformés (plus de 5 ingrédients ou, liste de produits chimiques incompréhensibles);
- adopter une alimentation réduite en glucides ce qui prévient l’hyperinsulinémie chronique et ses effets délétères sur la santé (obésité, hypertension artérielle, troubles cardio-vasculaires, diabète…);
- respecter dans la mesure du possible un jeûne minimum de 12 heures par jour s’étirant par exemple du dernier repas de la journée au premier repas de la journée suivante;
- veiller à avoir un microbiote intestinal sain par la consommation de prébiotiques (ail, oignon, poireau asperge, topinambour… ) et probiotiques (produits de lacto-fermentation tels le kimchi, la choucroute, le kombucha, le kéfir, autres légumes lacto-fermentés… ) alimentaires ou sous forme de produits naturels;
- consommer régulièrement ce qu’on appelle des alicaments, ces aliments ou breuvages qui sont des médicaments naturels de par leurs puissants effets anti-oxydants ou anti-inflammatoires aidant à prévenir diverses maladies, aliments que tout nutritionniste ou herboriste qualifié ne manquera pas de conseiller à quiconque les consulte;
- avoir une bonne gestion du stress en intégrant de bonnes techniques de respiration ou par la pratique de la marche 30 à 40 minutes 3 à 4 fois par semaine ou en s’autorisant des moments d’arrêt, de recueillement et de méditation telle la présence attentive (méditation pleine conscience);
- avoir une bonne hygiène de vie et de sommeil ce qui n’interdit nullement d’avoir du plaisir, de rire et de festoyer quand l’occasion se présente.
La prise périodique ou régulière de produits naturels, selon le bénéfice recherché, est également à encourager tels :
- la vitamine D3 (cholecalciférol) à raison d’un minimum de 2000 U.I. par jour avec repas pouvant être doublée en début de traitement ou en cas de maladie intercurrente. Sous nos latitudes nordiques, la majorité d’entre nous est carencée en cette précieuse vitamine aux multiples bienfaits et il est possible d’en effectuer le dosage sanguin afin de s’assurer que la dose prise est adéquate;
- la mélatonine, substance naturellement produite par notre cerveau, qui aide à avoir un bon sommeil pendant lequel elle répare, protège et détoxifie les cellules de l’organisme;
- le magnésium qui sert à maintenir le bon fonctionnement des muscles dont le muscle cardiaque et possède aussi une action bénéfique sur le sommeil;
- la prise cyclique de zinc, de quercétine, de vitamine C, qui aide à maintenir une bonne santé immunitaire et tissulaire.
Ces molécules sont sans danger lorsque convenablement prises, peu coûteuses et facilement disponibles dans les pharmacies et auprès des naturopathes. La médecine intégrative, celle qui englobe le savoir de plusieurs disciplines sans oublier les savoirs traditionnels des différentes cultures, est à favoriser et saura être d’une grande aide pour le maintien d’une bonne santé globale de par la diversité de ses approches.
En résumé
Il existe des choses à faire si vous ou l’un de vos proches avez hérité d’un état de santé altéré suite à l’administration de ces pseudo-vaccins. Ces substances contaminées et défectueuses, introduites dans l’épaule mais capables de se répandre dans tout l’organisme, ont transformé les cellules humaines en usines de production de la protéine toxique[1] appelée « Spike »[2] dans une proportion et pour une durée inconnues[3]! Elles ont théoriquement le potentiel d’altérer le fonctionnement de tous les organes du corps humain y compris le cerveau[4].
Il importe que chacun puisse obtenir un examen médical complet afin d’obtenir un diagnostic, un traitement spécifique et un suivi approprié. Il faut voir ensuite à faire compléter le formulaire dédié témoignant des atteintes à votre santé qui sera acheminé aux autorités de santé publique tel qu’expliqué ci-haut. Une demande d’indemnisation ou un recours collectif sont possibles selon le type et le degré d’atteinte à la santé.
Mais vous pouvez et devez par-dessus tout prendre soin de votre santé par des moyens simples et à la portée de tous. Cela passe d’abord et avant tout par le maintien d’un bon système immunitaire.
Si vous en avez la force, militez pour que cessent ces campagnes de vaccination forcée, en particulier celle à base d’ARNm, qui ont rendu malades tant de nos concitoyens et fauché la vie de tant d’autres dont celle de jeunes qui n’avaient absolument rien à craindre d’une infection par un coronavirus. Une des façons de le faire est de nous rejoindre.
[1] Cet article publié dans la prestigieuse revue Nature, explique comment réduire la toxicité des injections ARNm… reconnaissant du même coup qu’ils sont toxiques et produisent des effets indésirables : https://www.nature.com/articles/s41573-023-00859-3
[2] Cet autre article de Nature, intitulé ‘Circulating spike protein may contribute to myocarditis after COVID-19 vaccination’ explique la protéine Spike contribue aux myocardites et est donc toxique : https://www.nature.com/articles/s44161-023-00222-0
[3] Cet article détaille la toxicité de la protéine Spike : https://www.fortunejournals.com/articles/toxicity-of-sarscov2-spike-protein-from-the-virus-and-produced-from-covid19-mrna-or-adenoviral-dna-vaccines.html
[4] https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/2021-11-26/neurologie/un-biologiste-de-l-universite-laval-elucide-un-mystere-de-la-covid-19.php
Une plainte au Collège des médecins consiste à aller vers le bourreau pour vous aider à vous sauver .
Autrement dit c’est s’exposer au danger d’être étiqueter malade mental .