Auteur : Christian Leray, M.A.

 

Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis le communiqué de presse triomphal de Pfizer du 18 novembre 2020 annonçant le 95% “d’efficacité” de son “candidat vaccin” contre la COVID-19. Depuis, on a appris que l’essai avait été manipulé, que les “vaccins” distribués au grand public n’étaient pas les mêmes que ceux du test initial, qu’ils n’étaient pas conçus pour lutter contre la transmission, que leur efficacité est négative, qu’ils sont contaminés à l’ADN plasmidique (ce qui peut engendrer des cancers), qu’ils font produire par le corps environ 25% du temps des protéines “absurdes” (en lieu et place de la fameuse protéine spike)… et que des chercheurs ont identifié la séquence de la production de la protéine Spike “vaccinale” dans le génome des “vaccinés”, ce qui prouve que l’ARN vaccinal peut se transcrire dans nos gènes. Ouf! Voici un petit retour sur tout ce que l’on a appris sur les vaccins ARNm depuis 2020 (liste non exhaustive).

Retrouvez ici les différentes parties de cet article qui se veut un survol de ce que l’on sait actuellement sur les injections ARNm :

 

Des “vaccins” élaborés en un temps record

Tout d’abord, rappelons que la COVID-19 “débute” avec une publication de Reuters le 30 décembre 2019 qui annonce au monde “27 cas” de pneumonies en Chine.

Le 12 janvier 2020, la Chine affirme qu’elle a séquencé le virus. On apprendra que Moderna aura été capable de réaliser la conception de son vaccin seulement 48h après que la séquence génomique ait été publiée par les chinois. Et qu’il a pu présenter son candidat-vaccin aux National Institutes of Health (NIH) 42 jours plus tard. Le 25 janvier, c’est au tour de BioNtech d’annoncer qu’il a mis au point un vaccin en collaboration avec Pfizer en seulement quelques heures. On peut se demander pourquoi une telle panique et précipitation alors que quasiment dès le début on sait que la “maladie” ne constitue une véritable “menace” que pour les personnes “à risque”, à savoir les personnes de plus de 70 ans souffrant de comorbidités (cancer, problème cardiaque, etc.).

À partir de là est lancée une “course contre la montre” pour pouvoir sortir un vaccin le plus rapidement possible. Cette urgence va mener à faire sauter diverses étapes permettant de s’assurer de la sécurité du produit, ce qui aura d’importantes répercussions.

 

“Une maturité technique plutôt récente”

Petit problème, comme le reconnaitra Albert Bourla, PDG de Pfizer, cette technologie “n’avait jamais livré un seul produit”. Le Monde et Le Devoir le reconnaitront parfaitement :

  • Dès décembre 2020, Le Monde déclarait que “bien qu’étudiés depuis longtemps, les vaccins à ARN ont atteint une maturité technique plutôt récente”. Le quotidien français admettra même que “les essais cliniques n’ont pas dépassé la phase 1, ce qui limite le recul dont on peut disposer sur les observations cliniques”.
  • Pour sa part, Le Devoir affirmera que “quand surgit le virus de la COVID-19, des candidats-vaccins à ARNm font l’objet d’essais cliniques de phase 2. Ce faisant, il admet que l’on n’a aucun recul sur cette technologie.

La précipitation, couplée au fait que cette technologie n’était pas encore maîtrisée, a fait courir d’importants risques quant à la sécurité des produits.

 

Des essais manipulés

C’est dans ce contexte de très grande incertitude (Albert Bourla reconnaitra concernant cette technologie que l’utiliser était “contre-intuitif” car Pfizer avait moins de deux ans d’expérience avec et… qu’il s’est fié à son instinct pour décider de l’utiliser) que les fabricants lancent au printemps 2020 des essais de phase 1, puis de phase 2. Ceux-ci ont lieu sur de petites cohortes de volontaires afin de faire des tests préliminaires. Puis débutent à l’été les essais de phase 3, dont nous avons montré qu’ils avaient été manipulés, grâce notamment aux travaux de Christine Cotton, biostatisticienne et auteure de l’ouvrage référence Tous vaccinés, tous protégés.

On se rappellera aussi l’article du British Medical Journal ayant lancé la première alerte sur l’intégrité des données de Pfizer. Cet article faisait état du témoignage de Brook Jackson, qui avait travaillé pour Ventavia, une compagnie chargée d’une partie de l’essai clinique de Pfizer.

Nous résumons ici les principaux problèmes soulevés pour l’essai de Pfizer :

  • Dès décembre 2020, la compagnie savait qu’il n’y avait pas d’effet sur les cas sévères, ce qui explique que l’étude n’ait porté que sur les symptômes légers et modérés.
  • Des victimes d’effets indésirables graves ont été retirées, comme l’avocat argentin Augusto Roux (il en a été de même avec Maddie de Garay, pour l’essai sur les jeunes), ce qui a permis de donner un faux sentiment de sécurité.
  • Pfizer a caché près de 80% des décès de l’étude aux régulateurs. “Grâce” à un système de suivi des patients défaillant, les décès ont été remontés avec une très grande lenteur, à tel point que lors de la demande d’approbation aux régulateurs, seulement 38 avaient été déclarés. Cette sous-déclaration a permis de renforcer le faux sentiment de sécurité du produit.
  • Pas de double aveugle si bien que les soignants savaient qui a été vacciné. Ce simple biais aurait du faire annuler l’étude. D’autant que l’on apprend que par diverses méthodes, Pfizer a davantage fait se tester les non vaccinés, ce qui explique qu’ils aient été plus nombreux à être infectés.
  • Seulement 170 personnes ont été infectées (sur plus de 40 000) durant l’étude. Il s’agit d’un échantillon trop réduit pour être significatif… et qui montre surtout qu’il n’y avait pas de pandémie avec un taux d’infection de 0,43%.
  • Il n’y a pas eu de suivi après la 2e dose. La suivante était prévue à 6 mois mais à ce moment l’essai initial était “fini” car pour des raisons “éthiques”, Pfizer a permis aux membres du groupe placebo de se vacciner, ce que quasiment tous ont fait. En fait, l’étude a duré moins de trois mois. Le résultat est qu’il n’a pas été possible de mesurer l’évolution des anticorps (ni des effets indésirables) dans le temps… alors qu’une étude sur des macaques montrait qu’ils diminuaient deux mois après la 2e dose. Dès ce moment, Pfizer savait, contrairement à ce qu’elle a affirmé, que la “protection” n’est pas “durable”. C’est pourquoi la Haute autorité de santé (HAS, France) écrivait… dès décembre 2020 (donc au moment même de la mise sur le marché des “vaccins”) dans un avis que la compagnie étudiait déjà la faisabilité d’une 3e dose. Pfizer a donc très probablement agi intentionnellement en ne programmant aucune visite entre celle suivant la 2e dose et celle à 6 mois afin de masquer la chute des anticorps. Si l’étude l’avait montré, les régulateurs auraient-ils donné une autorisation d’urgence à ce produit dont “l’efficacité” était au mieux de quelques semaines, ce qui condamnait la population à se faire injecter aux 6 mois, voire aux 3 mois comme le suggérait le Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI)?
  • L’essai n’a pas comporté d’étude sur la cancérogénicité (capacité à provoquer le cancer) ni la génotoxicité (capacité à modifier le génome). Comme l’essai a été arrêté au bout de 3 mois, les effets à long terme sont inconnus. Gênant pour un produit expérimental qui n’avait jusque-là “jamais délivré un seul produit”, comme l’a reconnu Albert Bourla.
  • Etc.

Voici un vidéo de la biostatisticienne Christine Cotton qui explique dans le détail les manipulations de l’essai Pfizer :

 

Rappelons aussi qu’au moment du lancement de la campagne de “vaccination” auprès du grand public en décembre 2020, l’injection de Pfizer était toujours en phase 3 comme l’indique le site clinicaltrials.gov. Voici ce que l’on peut y lire :

La phase 3 aurait donc pris officiellement fin le 27 février 2023. Cela signifie que durant la majeure partie de la campagne, le “vaccin” était donc bien encore en phase expérimentale. Malgré cela, on manque toujours de recul sur cette technologie alors que la durée moyenne d’un vaccin avant sa mise en marché est de 10 ans, ce qui permet de repérer différents problèmes à long terme.

Le New England Journal of Medecine, dans son fameux article “montrant” l’efficacité de 95% indiquait clairement que l’étude était en cours en écrivant : “In an ongoing, placebo-controlled, observer-blinded, multinational, pivotal efficacy trial”. Autre “preuve” que le “vaccin” était bel et bien “expérimental”.

 

Concernant cet article, on remarquera qu’il a été publié le 4 novembre 2021, soit près d’un an après l’autorisation de mise sur le marché… et que dans “l’appendix” on peut lire à la page 11 qu’il y avait eu 14 morts dans le groupe placebo… contre 15 dans le groupe “vaccinés”. Malgré toutes les manipulations que nous avons décrites, il y a eu finalement plus de décès dans le groupe des vaccinés que dans le groupe placebo.

 

Peut-on mieux résumer la situation que Danny Hendrikse, un employé de Pfizer, qui a reconnu qu’ils “construisaient l’avion en plein vol” (“We were designing, building and flying the plane at the same time”)?

La situation n’est guère plus réjouissante pour Astrazeneca. En mai 2024, au moment où la compagnie annonçait le retrait de son injection Covid du marché pour des “raisons commerciales”, la compagnie publiait discrètement les résultats de son essai clinique. Celui-ci montre les effets à long terme (jusqu’à deux ans) après l’injection.

AstraZeneca n’a pas eu la malice de Pfizer qui a “vacciné” le groupe placebo de son “étude” deux mois après le début de l’essai pour des « raisons éthiques » comme on l’a vu. Du coup, si les conséquences à long terme de l’injection Pfizer sont inconnues, ce n’est pas le cas d’AstraZeneca, qui doit donc gérer les données sorties de sa propre étude. Heureusement pour la compagnie que celles-ci ne soient sorties seulement qu’en mai 2024.

On apprend ainsi des choses tout à fait étonnantes concernant cette injection “sure et efficace” mais qui ne l’était peut-être pas tant que ça finalement :

  • une personne sur 34 a subi au moins un effet indésirable grave. 1 sur 34 ne semble pas si « rare », comme on a cessé de nous le répéter.
  • une personne sur 9 ayant reçu une injection (11,7 %) a souffert d’un événement indésirable médicalement constaté (EIMC), soit plus du double du groupe placebo (5,6 %).
  • les personnes ayant reçu une injection (28,75 %) étaient plus susceptibles de contracter le Covid que celles du groupe placebo (25,16 %). L’efficacité d’AstraZeneca est donc négative.

Finalement, l’étude montre que le fait d’être injecté augmente la probabilité d’attraper le Covid et de se retrouver à l’hôpital.

Bref, l’essai de Pfizer (et probablement ceux des autres compagnies avec leurs candidats-vaccins “anti-covid”) a été complètement manipulé. Sachant que le PDG de la compagnie lui-même et les médias reconnaissaient que l’on n’avait pas de recul sur cette technologie, connaissant le “pedigree” de la compagnie condamnée à des milliards d’amendes par le passé pour charlatanisme, corruption, publicité mensongère, etc., et que l’on savait dès le départ que 99,9% de la population survivait au virus, et ce sans aucun traitement (ils avaient tous été interdits), le “vaccin” Pfizer n’aurait jamais du recevoir d’autorisation de mise sur le marché. Ou cela aurait du faire se lever des drapeaux rouges si bien que cette injection n’aurait du recevoir à tout le moins qu’une autorisation très limitée pour les populations les plus vulnérables, l’INSPQ ayant très clairement montré que seule les personnes âgées et déjà malades étaient à risque de faire une “forme grave” (cf. le tableau 2.2).

Mais au moins a-t-on eu le droit à un “essai”… car par la suite, les compagnies s’en sont quasiment dispensées en ne testant plus leurs nouvelles versions (les “vaccins bivalents” prévus contre les variants comme XBB mais déjà dépassés par les nouveaux comme Pirola ou Eris une fois sur le marché) que sur des souris ou un nombre extrêmement limité de patients (101 par exemple pour Moderna)…

Plus incroyable : Un juge de district américain a ordonné à la Food and Drug Administration (FDA) de publier plus de 320 000 documents liés au vaccin COVID-19 de Pfizer à un rythme de 55 000 pages par mois. Initialement, la FDA avait demandé un rythme de 500 pages par mois, soit 75 ans, pour publier les documents, invoquant des obstacles logistiques et de personnel « trop lourds ». On a ainsi pu obtenir un rapport préliminaire de Pfizer sur les effets indésirables de son injection en date du 28 février 2021. On peut lire à la page 7 de celui-ci, donc moins de 3 mois après le début de la campagne, qu’il y avait déjà eu 1 223 décès liés au “vaccin”.

Pfizer et les autorités savent donc depuis le début que l’injection est dangereuse. Quand on sait que l’on retire des pizzas pour des “suspicions” de décès, on se demande comment une substance qui en cause des milliers continue d’être promue pour les personnes de plus de 5 ans et les femmes enceintes. Pourtant, comme on l’a vu, au Canada le Comité sur l’immunisation est allé jusqu’à recommander une dose tous les 90 jours. Au Brésil, la vaccination COVID-19 est même rendue obligatoire pour les enfants de 6 mois.

 

Essai Pfizer sur la sécurité des injections pour les femmes enceintes : des effets indésirables inquiétants

Pfizer avait exclu les femmes enceintes et les enfants de son essai initial. On a compris pourquoi lorsque l’on a vu les résultats sur les naissances à la page 12 du rapport préliminaire du 28 février 2021 dont nous venons de traiter. On y note en effet que malgré les réserves du fabricant, 270 femmes enceintes avaient tout de même été injectées et que l’on avait observé durant les 68 premiers jours de la campagne, soit du 20 décembre 2020 au 28 février 2021, des fausse-couches, avortements, malformations congénitales, morts fœtales etc. Finalement, sur les 270 femmes enceintes qui avaient reçu le “vaccin”, on ne connait le résultat de la grossesse (si elle est allée à terme ou non avec la naissance d’un bébé en santé ou non) que pour 29 d’entre elles… et que sur ces 29, une seule grossesse était arrivée à son terme normalement. Il y aurait eu 23 avortements spontanés…

Est-il alors étonnant de constater que Pfizer n’a publié son rapport sur les effets indésirables des injections pour les femmes enceintes… qu’en juillet 2023. Il était temps vu qu’on les “vaccinait” depuis 2 ans. On y constate les éléments suivants :

  • On apprend au point 16 que 6% des bébés dont les mères ont été injectées ont des malformations congénitales… contre 3,6% dans le groupe placebo. Il y a donc une hausse de 66% des malformations congénitales…
  • Au point 19, on note que 5,1% des bébés dans le groupe vaccinés ont eu des effets secondaires graves (comme des anormalités congénitales et des retards de développement)… contre 1,3% dans le groupe placebo. Cela représente une hausse de 292%!

On pourrait continuer encore assez longtemps comme ça. Bref, ces “vaccins” sont-ils surs et efficaces? Devait-on vacciner les femmes enceintes? Le tout alors qu’il s’agit des propres données du fabricant, dont on a vu qu’il a manipulé le test initial?

Le test n’a porté que sur un peu plus de 348 femmes enceintes qui sont arrivées à terme. Qu’en est-il des fausses couches et des mortinaissances? Les résultats seraient sans doute encore plus catastrophiques. Qu’aurait-on découvert sur un échantillon de 40 000 patientes, ce qui aurait été un minimum pour détecter des effets indésirables graves? Et encore ne tient-on pas ici compte du “biais du survivant” qui permet de donner une illusion d’efficacité. Retsef Levi, Professeur au MIT, montre dans ce vidéo éclairant comment ce biais permet de donner une illusion de sécurité aux injections.

On comprend pourquoi Pfizer précise dans la notice de son “vaccin” qu’il “ne dispose encore d’aucune donnée sur l’utilisation de COMIRNATY Omicron XBB.1.5 chez les femmes enceintes” (cf. plus bas la section sur les notices).

On notera aussi que contrairement à ce qu’ont affirmé les autorités, on retrouve de l’ARNm dans le lait maternel durant au moins les 48 heures suivant leur inoculation :

 

Comment les autorités, dont la mission est la protection du public, ont-elles pu donner leur aval et même promu la vaccination des femmes enceintes avec un produit expérimental à l’encontre du principe de précaution, sans aucune base scientifique et contre les mises en garde du fabricant Pfizer lui-même ?

 

Procédé 1, procédé 2, quelles différences?

Voilà ce que l’on savait avant la mise en marché et dans les semaines suivantes. Mais ce n’est pas tout, loin s’en faut.

Tout d’abord, il est important de savoir que les doses fournies au grand public sont différentes de celles utilisées lors de “l’essai” initial, dont on a pourtant vu qu’il a été entaché de telles irrégularités et manipulations que ses “résultats” n’ont aucune valeur.

Dès le 16 janvier 2021, Le Monde signalait que des données “volées” à l’Agence européenne du médicament ont révélé “des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques.”

“Pour passer d’un stade clinique à un stade commercial, les fabricants ont dû changer leurs processus de fabrication”. Ces “modifications expliqueraient des différences dans la composition exacte des vaccins, en particulier une diminution du degré d’intégrité de l’ARN. Celui-ci est l’élément crucial de ce vaccin”.

“Les vaccins utilisés lors des essais cliniques possédaient entre 69 % et 81 % d’ARN « intègre », c’est-à-dire la séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike. En revanche, des données sur les lots fabriqués dans ces nouvelles lignes de production révélaient des pourcentages plus faibles, 59 % en moyenne. Certains lots descendaient même jusqu’à 51 % et 52 %. Un « point bloquant », dit l’EMA le 23 novembre [2020].”

“La question se pose en effet de savoir si ce taux d’ARN plus faible pourrait non seulement impacter l’efficacité de la vaccination mais aussi sa sécurité, car qui dit moins d’ARN intègre, dit plus d’impuretés, notamment d’ARN tronqués.”

Ce qui est étonnant est que les agences n’aient pas exigé de nouveaux essais et qu’elles n’aient pas analysé à fond les doses. Selon Patrick Provost, professeur à l’Université Laval et spécialiste de l’ARN, la différence entre les deux versions du produit (celle utilisée dans l’essai et celle distribuée au grand public), revient à dire que cette deuxième version (procédé 2) n’a en fait jamais été testée.

Donc soit Pfizer doit lancer d’urgence un nouvel essai… Soit la compagnie doit fournir le même produit que celui “testé” dans l’essai original. Évidemment, cela couterait plus cher. Il pose alors la question : “Mais est-ce qu’on favorise les profits ou la vie des gens?”

 

Différence entre le discours et les faits

Rendu-là (et il y a encore énormément à dire), un petit point s’impose afin de mesurer l’écart abyssal entre ce qu’ont promis fabricants, autorités ainsi que les médias… et la réalité des faits. En effet, aujourd’hui encore, même si la presse subventionnée (les médias qui reçoivent des subventions des gouvernements, soit toute la presse “grand public”) elle-même l’a progressivement admis, subsite l’idée que si les injections ne sont pas vraiment efficaces, elles confèrent tout de même une “certaine protection” contre la contamination, la transmission et notamment les “formes graves”.

Sauf que l’étude initiale ne portant que sur un nombre limité de patients, il était impossible de mesurer l’effet sur la transmission. C’est d’ailleurs ce que reconnaitra Madame Small, une cadre dirigeante de Pfizer lorsqu’interrogée par des députés européens. En fait c’est le cas de toutes les études car l’efficacité sur la transmission ne peut être confirmée que dans la vie réelle. Les injections ARNm ne pouvaient y faire exception. D’ailleurs, dans une lettre de l’EMA (l’Agence européenne du médicament) du 18 octobre 2023 au député européen Marcel de Graaff, l’agence a confirmé que

les vaccins contre la COVID-19 ne sont pas approuvés pour prévenir la transmission d’une personne à une autre. Les indications servent uniquement à protéger les personnes vaccinées.

La question est donc de savoir comment les “experts de plateau” ont pu déclarer que les injections empêchaient la transmission… alors qu’ils n’avaient aucune donnée. Et l’on peut aussi s’interroger sur le silence des autorités et des fabricants qui auraient du intervenir pour rétablir les faits. Par exemple, comment est-il possible que le Dr Delfraissy, président du Conseil scientifique français durant la “crise sanitaire”, puisse déclarer aujourd’hui “tranquillement” qu’il savait dès mars 2021 que les “vaccins” n’empêchaient pas la transmission, que la “protection” n’était pas durable, qu’il savait que c’était tout nouveau et que l’on ne connaissait pas les risques à long terme, qu’ils “tâtonnaient”. Pourquoi, alors qu’il traite maintenant les experts de plateau de “tartuffes”, n’a-t-il rien dit? Comment a-t-il pu laisser aller le passeport vaccinal alors qu’il savait que les “vaccins” n’empêchaient pas la transmission?

Le plus étonnant est que lorsque des données commenceront enfin à être disponibles à partir de l’été 2021 (au moment où se met en place le passeport vaccinal) et que donc tout le monde y aura accès et pourra se faire son opinion, elles montreront que les vaccinés propagent eux-aussi la maladie et que l’efficacité diminue comme s’en inquiétait Le Monde dès juillet 2021. Puis lors de l’automne 2021 les études se multiplieront démontrant que la charge virale des vaccinés est comparable à celle des non vaccinés et que finalement les vaccinés propagent autant la maladie que les non vaccinés. Cela sera démontré par l’absurde avec des articles faisant état de foyers d’infection dans des endroit où l’on ne comptait que des vaccinés. Par exemple ce restaurant en Norvège dans lequel 80 personnes sur 111, toutes vaccinées, participant à un party de noël ont été contaminées… par une personne pourtant testée négative. Et c’était le 26 novembre 2021, soit avant Omicron. Autre exemple ici (mais ils sont légion) avec un foyer d’infection au CHSLD Marguerite-Rocheleau : 72 des 112 résidents avaient été positifs à la COVID-19. Tous ou presque étaient pourtant vaccinés. Etc.

Cependant, alors que le mythe de la protection contre la contamination et la transmission tombait, autorités, experts et médias subventionnés ne déviaient pas et continuaient à soutenir le passeport vaccinal. Au contraire, ils souhaitaient même “renforcer” les mesures contre les non vaccinés, avec l’instauration d’une taxe santé, l’interdiction d’aller dans les commerces, etc. À cet égard, l’activisme du Collège des médecins du Québec (CMQ) ne peut être passé sous silence, tant celui-ci a mis la pression, comme on peut le voir sur cette capture de son site Internet datée du 7 janvier 2022 :

Puis, pour faire bonne mesure et détourner les regards de cette inefficacité pourtant criante contre la contamination et la transmission, après avoir répété ad nauseam que “on ne se vaccine pas pour soi mais pour les autres”, les “experts” ont alors parlé de la protection contre les “formes graves”. Comme nous le verrons, il s’agissait d’un nouveau mensonge. Le fameux “95% d’efficacité” brandit par la compagnie a fait long feu.

 

Une pharmacovigilance effectuée “dans les règles de l’art”?

Malgré un processus accéléré, ce qui “est susceptible de causer plus de mal que de bien“, que l’essai initial ait été manipulé, que l’on n’ait pas de recul sur la technologie de l’ARN messager, que le “vaccin” distribué au grand public diffère de celui employé lors du test initial et que fabricants et agences de régulation aient su dès le début qu’il y avait des effets indésirables extrêmement graves et nombreux, autorités et médias affirmeront que les “vaccins” sont “surs et efficaces”. Pourtant, alors que les autorités de santé n’hésitent pas à retirer des produits dès qu’il y a une crainte pour la santé de la population, par exemple des pizzas ou un médicament en vente depuis plus de 50 ans, les agences régulatrices restent de marbre lorsqu’il s’agit des effets indésirables de la “vaccination”.

Ce sont des articles au complet qui pourraient être consacrés à la question et nous nous contenterons donc ici de référer à notre dossier sur les effets indésirables et à notre bilan de la “crise sanitaire”. Mais nous nous devons tout de même de citer la directrice de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament, France), qui déclarait le 1er décembre 2021, devant la Commission des affaires sociales du sénat qu’ “à la mi-novembre […] nous atteignons 110 000 déclarations d’effets indésirables rien que sur les vaccins contre la covid, contre 45 000 tous médicaments confondus pour une année normale.” Bien qu’elle reconnaissait que “la sous-déclaration d’effets indésirables est récurrente en pharmacovigilance”, elle concluait : “nous sommes donc très largement informés sur tous les effets des vaccins.”

Cette ahurissante affirmation (qui prouve que les autorités sont parfaitement au courant de la catastrophe) est corroborée par ce graphique réalisé à partir des données du VAERS (le système américain de pharmacovigilance) qui montre que le nombre de déclarations d’effets indésirables des “vaccins” anti-covid surpasse l’ensemble des déclarations, tous vaccins confondus, depuis la création de ce registre :

Les autorités sont donc au courant des risques élevés d’effets indésirables. Par exemple, concernant les problèmes cardiaques, le ministre de la Santé de l’Ontario rapporte qu’un jeune sur 5 000 est victime d’une myocardite post-vaccinale. Et il ne parle pas des caillots, des thromboses, des AVC, des maladies auto-immunes, etc. Qu’en serait-il sachant que la pharmacovigilance finlandaise rapporte elle un effet grave toutes les 2 000 doses (1 sur 600 avec AstraZeneca)?

Tout cela sans parler de la sous-déclaration. Différentes études montrent que l’on estime que seulement entre 1 et 10% des effets indésirables sont rapportés à la pharmacovigilance (qui est la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effet indésirable résultant de leur utilisation).

On voit donc que les autorités savent qu’il y a de très graves problèmes. Mais elles ne font rien, en toute connaissance de cause!

On ajoutera aussi que contrairement à ce qu’ont proféré experts, médias subventionnés et autorités, “la pharmacovigilance [n’est pas] effectuée dans les règles de l’art”. Par exemple, aux États-Unis, Rochelle Walensky, la directrice des CDC, a tout d’abord reconnu publiquement dans une lettre le 2 septembre 2022 que son agence a faussement affirmé surveiller la sécurité des vaccins dès 2021, alors qu’elle n’a commencé à la faire qu’en mars 2022. Puis on a finalement appris que les CDC arrêtaient la collecte de données sur les vaccins le 30 juin 2023.

Ici, Réinfo Québec a publié un article recensant les déclarations d’infirmières d’Info Santé selon lesquelles tout était fait pour limiter les déclarations de manifestations cliniques inhabituelles (MCI), c’est-à-dire les effets indésirables des injections. Le résultat est comme on l’a vu un taux de déclaration d’effets indésirables extrêmement bas, tellement bas (0,011 % de toutes les doses administrées, en date du 15 septembre 2023) qu’il ne peut être sérieusement considéré. Comment en être surpris quand on apprend que les données sur les effets indésirables sont “nettoyées”?

En comparant les chiffres de l’EMA de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1 janvier 2024, on constate que des dizaines de milliers de cas, autrefois répertoriés, ont disparu dans les dernières publications.

Ont disparu : 2 827 cas de surdité, 2 282 cas de cécité, 14 969 myocardites, 11 424 péricardites, 7 079 thromboses, 7 295 embolies, 10 566 aménorrhées, 11 541 dysménorrhées, 4 241 morts, etc.

Nous avons aussi produit un rapport (publié dès septembre 2021) qui montre l’impact des effets indésirables sur les victimes ici, au Québec. Alors que les médias n’ont rien à dire à ce sujet.

Il est également essentiel de noter que la pharmacovigilance est passive, c’est-à-dire qu’elle repose sur les déclarations de personnes qui ont eu des effets indésirables. Problème : la plupart des victimes ne savent pas qu’elles peuvent faire de déclaration… puisqu’on ne le leur dit pas. Puis, pour celles qui veulent aller de l’avant débute quasiment un parcours du combattant tant les médecins sont réticents à en produire. Au final, la sous-déclaration est gigantesque et on comprend que les données sont complètement manipulées ce qui permet toujours de donner cette illusion de sécurité. Que verrait-on si la surveillance était active, c’est à dire si les autorités contactaient les vaccinés dans les jours, les mois et les années suivant leur inoculation?

Que penser alors quand des “experts” viennent déclarer dans la presse subventionnée qu’ “Il existe des programmes rigoureux de surveillance des effets secondaires liés à la vaccination au Québec, au Canada”. Et que “l’apparition d’un problème de santé à la suite d’une vaccination est souvent une malheureuse coïncidence dans le temps et non la preuve qu’il a été causé par le vaccin”?

Parallèlement à cette “étonnante insouciance”, on apprend que partout dans le monde mortalité et surmortalité explosent de manière “inexpliquée” depuis 2021. Cependant autorités et médias ne se posent aucune question. Ici, au Québec, l’ISQ reconnait une hausse de la surmortalité de 10%… 23% chez les moins de 50 ans. Chiffres confirmés par le directeur de l’État civil, qui reconnait une hausse de la production des avis de décès de 8,2%. Cela donne lieu à la publication d’articles “loufoques”, comme celui-ci (un exemple parmi tant d’autres). On pourrait en rire si dans le même temps des jeunes en santé ne décédaient pas… alors qu’ils ne devraient pas :

 

Une autre question (mais il y en a bien d’autres) a trait aux cancers. Des médecins alertent qu’ils voient de plus en plus de cancers et que ceux-ci sont de plus en plus agressifs, au point ou certains parlent de “turbo-cancers”. Les données anglaises corroborent ces observations de terrain. D’après cette étude, les cas de cancers explosent littéralement, avec une hausse de 135% constatée dans ce pays depuis 2021, comme on peut le voir sur le graphique suivant :

 

Si le déni prévaut, les choses commencent à changer et certains journaux dans le reste du monde recommencent à faire un peu de journalisme, comme le Berliner Zeitung qui s’interroge sur l’innocuité des injections… et s’il n’y aurait pas un lien avec la hausse de la mortalité (de telles déclarations sont impensables au Québec à l’heure actuelle) :

 

 

Effets indésirables : des notices “gênantes”

La situation est telle que les fabricants eux-mêmes indiquent dans la notice des “vaccins” des avertissements concernant les effets indésirables. S’ils affirment qu’ils sont “rares”, les documents montrent qu’il y a de graves problèmes.

Par exemple, dans la notice fournie en Angleterre, Pfizer reconnait une myocardite ou péricardite pour 10 000 personnes.

Au Canada, la situation n’est pas plus réjouissante. On peut retrouver ces “détails” ici pour Pfizer et là pour Moderna. Précisons qu’il s’agit bien des notices des vaccins bivalents distribués depuis octobre 2023. Voici ce que l’on peut y retrouver :

  • “On ne dispose encore d’aucune donnée sur l’utilisation de COMIRNATY Omicron XBB.1.5 chez les femmes enceintes”
  • “On ne dispose encore d’aucune donnée sur l’utilisation de COMIRNATY Omicron XBB.1.5 pendant l’allaitement”
  • “Il y a “un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination par Spikevax”
  • Aucune étude sur les interactions médicamenteuses n’a été menée
  • Comme on l’a vu, aucune étude n’a été menée sur la cancérogénicité tandis que les fabricants affirment que le risque génotoxique (capacité à compromettre l’intégrité physique ou fonctionnelle du génome) “est considéré comme faible”. Donc les fabricants reconnaissent que les risques de modification du génome existent bel et bien

 

On comprend cette réticence des compagnies à vacciner les femmes enceintes quand on voit les résultats des essais (voir plus haut). Mais comment expliquer alors que les autorités incitent les femmes enceintes à se faire “vacciner”? Sur quelles données se reposent-elles pour faire les déclarations suivantes :

 

Voici la notice concernant les risques de myocardite et de péricardite :

À ce sujet, autorités et “experts” affirment que la plupart des gens se rétablissent bien. Ils oublient de préciser que des études montrent que 50% des victimes de myocardite aigües décèdent dans les 5 années suivantes

Note : Nous mettons une capture d’écran pour prouver nos dires car l’article a été modifié durant l’automne 2023 et cette mention a été retirée. Tenterait-on de cacher les choses?

Cela renforce les études qui montrent qu’il y a un lien entre les injections et les décès suite à des myocardites. Celle-ci montre par exemple que sur les 28 autopsies analysées suite à des décès de personnes vaccinées mortes de myocardites, toutes semblent liées à la vaccination (ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres). Voilà qui pourrait expliquer en partie l’explosion du nombre de décès pour “causes inconnues”. Les auteurs citent par exemple une étude de McCullough qui montre que le nombre de jeunes hommes décédés de cause inconnue a été multiplié par 10 depuis 2020.

 

Notice sur la cancérogénicité et la génotoxicité :

Bref, ces notices des fabricants montrent qu’ils sont au courant des risques qu’ils font courrir à la population. De ce fait, il se montrent extrêmement prudents. Mais ce n’est pas le cas des autorités, qui non seulement ne réagissent pas mais incitent même femmes enceintes et enfants à s’inoculer (nous traitons du scandale de l’injection des enfants ici). Pourquoi une telle attitude? Voilà qui ne lasse pas d’intriguer. Ne pourrait-on pas parler de non-assistance à personnes en danger? Voire pire?

 

Des contrats “gênants”

Longtemps, un très grand secret a entouré les contrats conclus entre les autorités et les fabricants. On ne reviendra pas sur les achats rocambolesques de doses qui ont vu l’Union Européenne en acheter 4,6 milliards (pour une population de 400 millions d’habitants) et le Canada 429 millions (soit environ 10 doses par habitant), ce qui condamne les autorités à en détruire des millions pour des montants de plusieurs milliards. On ne reviendra pas non plus sur le manque de transparence de l’octroi de ces contrats, avec par exemple la présidente de la Commission européenne, madame Van der Layen, qui avait fait sa commande directement par… texto auprès d’Albert Bourla, le PDG de Pfizer, pour un montant de plus de 40 milliards d’euros. Ou encore sur le fait que les contrats ont été signés en aout 2020,soit AVANT l’autorisation de mise sur le marché obtenue en décembre 2020, ce qui a mis Santé Canada dans l’obligation d’autoriser les produits et l’a donc mis face à un conflit d’intérêt majeur. Etc. Il y aurait pourtant encore beaucoup à dire.

On se “contentera” de noter que le contenu des contrats confirme ce que laissent supposer les notices des injections. À savoir que bien loin des déclarations triomphales, les fabricants sont totalement dans le flou et ne promettent rien.

Alors que les autorités ont tout fait pour cacher le contenu des contrats, deux d’entre eux ont finalement été révélés, soit celui conclu entre Pfizer et l’Afrique du sud et celui entre Pfizer et le Canada. Dans les deux cas, l’entente indique clairement que “le fabricant reconnait que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et que le vaccin pourrait avoir des effets indésirables qui ne sont pas actuellement connus”. Voici un extrait des deux contrats, avec les liens de vérification :

Extrait du contrat passé avec l’Afrique du sud

 

Extrait du contrat passé avec le Canada

Le fait que les contrats n’assurent pas de l’efficacité et de la sécurité des injections est gravissime. Cela signifie que les autorités n’avaient aucune garantie quant à l’efficacité et la dangerosité. Elles ont pourtant fait croire l’inverse à la population, trahissant de ce fait sa confiance.

Dans un monde normal, les autorités auraient du informer les personnes qui souhaitaient se faire injecter cette substance expérimentale dont le fabricant lui-même affirmait ne connaitre ni son efficacité ni son inocuité. C’est ce que l’on appelait le consentement libre et éclairé, aujourd’hui disparu.

Nous avons fait état de ce scandale dans cet article.

 

Une histoire de lots (bleus)

Il y a longtemps eu des rumeurs selon lesquelles la qualité des injections variait. Un site Internet nommé howismybatch montrait que les taux d’effets indésirables variaient en fonction des lots. Certains avaient des taux si faibles (quasiment aucun effet indésirable rapporté) que l’on pouvait supposer qu’un placebo avait été employé.

Une étude danoise publiée en janvier 2023 allait cependant tout changer. Les données démontraient bien que certains lots avaient une qualité “douteuse”. Leurs taux d’effets indésirables étaient tel qu’ils étaient rapidement retirés. Tandis qu’inversement, certains lots n’avaient aucun problème, ce qui donne davantage de crédit à l’hypothèse de l’emploi d’un placebo.

Cela restait cependant assez confidentiel jusqu’à ce que les chercheurs viennent présenter leurs résultats au parlement européen (devant une salle vide). Nous vous conseillons de visionner ces deux capsules :

 

 

On réalise ainsi que les fabricants distribuent bel et bien des lots de “vaccin” de qualité inégale. Le graphique suivant extrait de l’étude permet de distinguer 3 types de “batchs”. Parmi celles-ci, les “lots bleus”, ceux qui ont les taux d’effets indésirables les plus élevés, sont les plus problématiques.

 

Cela est confirmé par Barry Young, un statisticien néo-zélandais en charge des données de la “vaccination” covid dans ce pays. Celui-ci a révélé les statistiques de mortalité des pires lots de vaccins dans le pays. Si l’on en croit ses déclarations, certains lots auraient eu un taux de mortalité de plus de 20%.

Vous avez les détails dans les deux vidéos suivants :

 

 

À quoi cela est-il du? À des défauts de fabrication, à un bris de la chaine du froid, aux conditions de transport, au dosage de l’ARNm, aux procédés de fabrication alors que l’on a appris qu’un équipement qui sert à produire l’ingrédient actif utilisé pour fabriquer les injections à ARNm de Moderna “n’avait pas satisfait aux tests de vérification de nettoyage de l’entreprise”, ou encore que des produits périmés ont sans doute été utilisés? Seule une enquête approfondie permettra de répondre à ces questions. Mais en tout état de cause, il apparait clairement qu’autorités et fabricants sont au courant puisqu’ils retirent les lots “défectueux”.

Une fois encore, l’immobilisme des autorités doit nous amener à nous poser de sérieuses questions.

On notera que la toxicité des produits ARNm a été reconnue publiquement dans un article publié par Nature le 23 janvier 2024. Dans celui-ci, les auteurs présentent comment il est possible de réduire cette toxicité : tout y passe, des nanoparticules au procédé de fabrication (le fameux procédé 2 testé sur seulement 250 patients) aux protéines absurdes (voir plus loin).

 

Des études et des données manipulées

On a vu que l’essai initial de Pfizer avait été manipulé et que contrairement à ce qui a été inlassablement répété, les injections ne sont ni sures ni efficaces. Cependant, le mensonge de leur efficacité n’aurait pu tenir aussi longtemps sans la complicité des autorités qui n’ont cessé de produire des études fallacieuses et de maquiller les données.

Dans l’essai initial de Pfizer, les “vaccinés” une dose n’étaient pas comptés avec les vaccinés s’ils avaient des symptômes dans les 14 jours suivant leur inoculation. Ce concept a été poussé dans ses “retranchements” par les autorités, aussi bien dans les études qu’elles ont réalisé que dans les chiffres qu’elles publiaient (“cas” et hospitalisations COVID en fonction du statut vaccinal). Au Québec, la compromission d’organismes comme l’INSPQ (Institut national de santé publique du Québec) et Santé Québec est totale.

Comme on l’a indiqué ici, l’INSPQ s’est lancé dans une série d’études pour montrer que la “vaccination” est efficace. L’Institut a ainsi publié les trois “articles” suivants :

 

Pour commencer, on notera les points suivants :

  • Les auteurs ont d’importants conflits d’intérêt. L’auteur principal, Gaston de Serres, a reçu une subvention de Pfizer versée à son institution pour une étude de séroprévalence du méningocoque en 2016. Le deuxième auteur, Mel Krajden, a participé à des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines. Certes, il s’agit de projets différents et passés… mais les liens avec Pfizer sont évidents. En fait, on a rarement vu autant de conflits d’intérets dans une étude.
  • L’INSPQ est une agence gouvernementale qui ne cesse de promouvoir les injections et qui ne peut pas se dédire. Donc déjà en partant, ces études doivent être prises avec des pincettes.
  • La durée des études et les échantillons sont trop limités. Par exemple, la 3e étude n’a duré… qu’un mois (du 26 décembre 2021 au 5 février 2022. Tandis que l’échantillon de la 1e n’est constitué… que de 96 personnes.
  • Tout cela n’est sans doute pas étranger au fait que la 1e étude ait été… en préimpression durant toute la période du passeport vaccinal, passeport qu’elle était censé légitimer. Elle ne sera finalement publiée que le 19 avril 2022… alors que le passeport aura été retiré entretemps. Pourquoi un tel délai quand on voit que de nombreuses études sur “l’efficacité” des injections étaient publiées depuis septembre 2021?
  • Il faut aussi noter que ces études sont réalisées sur des personnes “vivant dans la communauté”. Pour l’INSPQ, cela signifie que “les personnes vivant en milieux de vie collectifs comme les centres d’hébergement et de soins de longue durée ou les résidences privées pour aînés n’ont pas [été étudiés]”. C’est un peu gênant lorsque l’on sait que la majorité des décès concerne justement cette catégorie de la population… ultravaccinée.

 

Il y a d’autres problématiques concernant ces études que nous allons rapidement exposer :

  • Dès la première étude, il est indiqué en bas de la page de présentation que “pour être considérée comme valide, la deuxième dose de vaccin doit avoir été administrée au moins 14 jours avant la date de début des symptômes (infections) ou la date de prélèvement (témoins)”. Cela est confirmé en bas de la 3e. Il n’y a pas de raison qu’il en ait été différemment pour la 2e. Cela est très important car on est dans la lignée de l’essai initial de Pfizer, qui rappelons-le retirait des statistiques les vaccinés 1 dose depuis moins de 14 jours.

Cependant, l’INSPQ va plus loin que la compagnie en ne prenant pas en compte les injectés qui avaient un test PCR positif entre leur première dose et les 14 jours suivant leur 2e dose. Comme on l’a vu, les injectés ont tendance à avoir les symptômes de la COVID dans les 14 jours suivant leur inoculation. Ainsi tous les “vaccinés” qui ont un test PCR positif, sont hospitalisés, voire qui sont décédés mais qui n’avaient pas eu leur 2e dose depuis plus de 14 jours ne sont pas inclus dans les données.

Sachant que l’INSPQ recommandait un délai de 8 semaines entre les deux doses, cela veut dire que les “vaccinés” n’étaient sans doute pas inclus dans les statistiques durant les 10 semaines suivant leur première dose. Nous ajoutons “sans doute” car un doute subsiste : une personne était-elle considérée “vaccinée” 14 jours après sa première dose, puis à nouveau 14 jours après sa 2e dose? Ou parle-t-on d’une période de 10 semaines puisque durant ce laps de temps, la personne n’avait pas encore effectué son “schéma vaccinal complet” et était donc “inadéquatement protégée”? En tout cas, que l’on parle de 4 semaines (2 semaines après chaque dose) ou de 10 semaines, on conviendra qu’il s’agit d’une méthode qui permet d’embellir facilement les statistiques et donner une illusion “d’efficacité”.

Et l’on peut aussi se poser une autre question : comment sont catégorisés les “non adéquatement vaccinés”? Sont-ils simplement mis à l’écart… ou classés avec les non vaccinés? On aurait bien aimé entendre l’INSPQ à ce sujet car cela change tout. Mais les journalistes n’ont posé aucune question.

 

  • Concentrons-nous maintenant sur les résultats de la première étude. Voici ce qu’en dit l’INSPQ :

Parmi les 96 personnes décédées de la COVID-19 durant la période à l’étude, seulement 29 avaient reçu deux doses de vaccin depuis au moins 14 jours avant le début de leur maladie, ce qui se traduit par une efficacité vaccinale globale contre les décès de 95 %.

On constate donc que l’échantillon est extrêmement limité avec seulement 96 personnes. C’est tellement peu que l’on peut légitimement se poser la question de savoir s’il est représentatif. On se demande aussi comment il est possible de conclure à une efficacité de 95% avec 29 décès de personnes “vaccinées” sur 96. D’autant que le calcul de l’« efficacité vaccinale globale contre les décès de 95 % » doit prendre en compte les données de personnes qui ne sont pas mortes, et non être juste entre personnes décédées. Tout cela rappelons-le avec une étude percluse de conflits d’intérêt et le retrait (voire peut-être la reclassification en non vaccinés) des injectés qui avaient reçu leur 2e dose depuis moins de 14 jours… ce qui a permis de faire augmenter le poids des non vaccinés parmi les décès. On comprend mieux que l’étude soit restée si longtemps en préimpression.

  • Ce problème de publication a été réglé pour les 2e et 3e études…. puisqu’elles n’ont jamais été publiées. Il est indiqué que la 2e est un “avis scientifique intermédiaire”, qui n’a donc donné lieu à aucune publication. Tandis qu’il est affiché sous le titre de la 3e la mention suivante : “Résultats préliminaires”. Gênant quand on constate que cette publication est datée du 16 février 2022… Cela signifie que près de deux ans plus tard, l’INSPQ n’a toujours pas pu publier son étude prouvant l’efficacité de la 3e dose contre Omicron.

 

  • Ce n’est pas tout car plus on continue et plus on constate de contradictions. Par exemple, la 1e étude conclut à une efficacité durable des deux doses, comme le montre cette capture :

Cependant, la deuxième étude, publiée moins de deux mois plus tard (la prépublication est datée du 26 octobre 2021 tandis que la date de la deuxième semble être le 7 décembre 2021 selon wayback machine) contredit cette conclusion. Voici ce que l’on peut lire à la page 4 du rapport : sur une sélection de 14 études, “il apparait que la protection contre les infections et les cas de COVID-19 symptomatiques diminue avec le temps”. L’INSPQ ajoute même “pudiquement” que “la seule étude ne montrant pas de diminution significative de la protection est celle réalisée au Canada, en Colombie-Britannique et au Québec respectivement”. Il s’agit en fait de la première étude de l’INSPQ… que l’INSPQ invalide donc, et à peine deux mois plus tard. Pourquoi un tel pas de danse? Car il faut justifier la 3e dose. Et pour ce faire, l’INSPQ est donc obligé de se déjuger en seulement quelques semaines d’intervalle… On comprend encore mieux pourquoi la première étude a mis si longtemps à être publiée. En fait, on peut même se demander comment il a été possible qu’elle le soit.

  • Mais le plus étonnant reste à venir avec la 3e étude. Celle-ci doit en effet prouver qu’une 3e dose offre une bonne protection contre le variant Omicron. Comme on l’a vu, pour ce faire l’INSPQ ne va pas y aller avec le dos de la cuillère : la période étudiée est d’à peine plus d’un mois et subsiste toujours cette directive qui fait que pour être considérée comme valide, la troisième dose doit avoir été administrée au moins 14 jours avant la date de début des symptômes (cas) ou un test PCR. Sachant qu’à ce moment la population se faisait massivement injecter sa 3e dose, on comprend que la durée de l’étude n’était finalement que d’environ 3 semaines (5 semaines moins les 14 jours suivant la 3e dose).

Et comme pour les deux premières études, les injectés depuis moins de 14 jours se voyaient retirés en cas de symptômes ou de test positif, alors que c’est le moment où ils ont le plus tendance à avoir les symptômes de la covid. Comment être surpris alors des résultats triomphaux de l’INSPQ qui affirme que l’efficacité contre les infections graves est de 90%? Cependant, l’INSPQ, sans doute emporté dans son élan, est allé un peu trop vite en besogne. En effet, alors qu’il affirme que l’efficacité contre les infections graves est de 90%, il rajoute qu’avec deux doses, l’efficacité est de 80%. Se pose alors les questions suivantes : comment cela se fait-il que l’efficacité après deux doses soit si élevée alors que dans sa 2e étude, l’INSPQ avait expliqué que c’était la chute de celle-ci qui faisait qu’il était nécessaire d’avoir une “dose de rappel”? Et quel intérêt d’avoir une nouvelle dose si la protection est encore finalement de 80%?

Tous ces problèmes et contradictions laissent pantois et doivent une nouvelle fois nous amener à nous poser de sérieuses questions sur le sérieux et la crédibilité des personnes et des organismes censés nous donner l’heure juste.

 

La même réflexion doit être portée à l’endroit de Santé Québec. En effet, l’organisme a publié durant la “pandémie” un “tableau de bord” qui faisait état des “cas” et des “hospitalisations” en fonction du statut vaccinal. Ce tableau était extrêmement influent car il donnait du crédit aux personnes (politiques, “experts”, journalistes ainsi que de nombreux citoyens) qui soutenaient les injections, voire qui voulaient les rendre obligatoires.

Dans les premiers mois, le tableau de bord de Santé Québec montrait une très grande “efficacité vaccinale”. Sauf qu’un détail crucial avait échappé aux observateurs : l’organisme indiquait dans la cellule des non vaccinés qu’ils étaient regroupés avec les vaccinés une dose depuis moins de 14 jours, comme on peut le voir dans l’illustration ci-dessous (il est difficile d’obtenir une meilleure qualité tant la résolution du “tableau de bord” de Santé Québec, que l’on pouvait consulter sur leur compte Twitter mais qui a apparemment été supprimé, était de basse qualité) :

 

Alors qu’une lecture rapide donnait l’impression qu’il y avait les 3 catégories suivantes : non vaccinés, vaccinés 1 dose et vaccinés 2 doses… les faits étaient tout autre. En catégorisant les vaccinés 1 dose moins de 14 jours avec les non vaccinés, non seulement Santé Québec retirait des vaccinés des gens qui avaient tendance à avoir souvent des symptômes de la COVID… mais en plus les ajoutait avec les non vaccinés. On comprend mieux alors pourquoi les non vaccinés avaient d’aussi mauvais résultats et pourquoi l’on faisait affaire à une “épidémie de non vaccinés”.

On ne sait pas pour le moment ce qu’il advenait des vaccinés 2 doses durant la semaine (voire les 14 jours) suivant l’inoculation de leur 2e dose. Étaient-ils aussi classés avec les non vaccinés? On ne serait pas surpris de l’apprendre tant cela était efficace et semblait aller de soi puisqu’ils n’étaient “pas adéquatement protégés”.

Cette méthode fallacieuse de classification de vaccinés en non vaccinés a fonctionné au moins durant le temps où la population recevait sa première dose. Ainsi, de juillet 2021, date de sa première publication, à juillet 2022, époque à laquelle Santé Québec a décidé d’arrêter de publier les données en fonction du statut vaccinal, le “tableau de bord” de l’organisme n’a cessé de montrer une efficacité en baisse. La situation était telle que le 10 janvier 2022, Santé Québec retirait l’indicateur faisant état du risque pour un vacciné d’être contaminé versus un non vacciné. On comprend pourquoi : il s’établissait à 0,7, en baisse constante. Cela signifiait qu’un non vacciné avait 0,7 fois la chance d’un vacciné d’être contaminé!

Mais ce n’est pas tout car Santé Québec a utilisé d’autres méthodes pour manipuler les données. La plus efficace, comme nous en avons traité ici, était d‘afficher les données “brutes” du jour. Celles-ci étaient affinées (corrigées) dans les jours et semaines suivants… la plupart du temps très largement à l’avantage des non vaccinés. Mais c’était trop tard puisque l’on était déjà rendu au jour suivant. Cela signifie qu’en général, il y avait beaucoup moins de non vaccinés contaminés et hospitalisés que ce qu’indiquait Santé Québec. Inversement, la proportion des vaccinés était largement supérieure.

Ce retrait des données sur les contaminations n’était qu’un avant-gout de la suite puisque durant tout le premier semestre de 2022, “l’efficacité” des injections contre les hospitalisations chutait également. Le résultat est que Santé Québec a du se résoudre, en juillet 2022, à retirer les données de la COVID en fonction du statut vaccinal : un incroyable aveu.

Il était temps, car comme le montre le graphique suivant produit à partir des propres données de Santé Québec, il apparaissait que les vaccinés 3 doses, qui étaient 51,2% de la population à ce moment… représentaient 70% des hospitalisations, ce qui dénotait une efficacité négative de la 3e dose de -18,8 points :

 

Il est important ici de rappeler que ces résultats, très défavorables aux vaccinés 3 doses, sont obtenus suite à de très grosses manipulations. Qu’aurait-on constaté si les vaccinés 1 dose moins de 14 jours n’avaient pas été classés avec les non vaccinés? Et si, comme en Angleterre par exemple, on n’avait pas utilisé les données du jour mais celles revues et affinées? Étonnamment, dans ce pays, les données montraient une efficacité négative des vaccins, que ce soit pour les hospitalisations ou pour les décès.

Parlant de décès, on remarque que le grand absent des données présentées par Santé Québec est la mortalité en fonction du statut vaccinal. Ce qui est étonnant quand on sait qu’il s’agit de l’indicateur clé durant une “pandémie”. En fait, on comprendra là-aussi très vite pourquoi les autorités se sont montrées si discrètes à ce sujet : tout simplement car l’efficacité des injections est… négative.

 

Une efficacité négative

À notre connaissance, les premières données sur “l’efficacité” des injections contre les décès seront présentées par Le Devoir le 8 janvier 2022. Le titre et le sous-titre de la photo d’illustration montrent dès le départ comment la presse subventionnée manipule le discours. En effet, l’article est intitulé “Le tiers des personnes décédées n’étaient pas adéquatement vaccinées”, ce qui était “exact”. Cependant, dès le sous-titre, on pouvait lire que “Alors qu’ils ne forment que 10% de la population, les non-vaccinés représentaient 32% des décès”… ce qui est totalement inexact.

“L’astuce” consistait à faire l’amalgame entre “non vaccinés” et “non adéquatement vaccinés”, ce qui comme on l’a vu est différent puisque les “non adéquatement vaccinés” comprennent les non vaccinés… ainsi que les personnes ayant reçu une dose (dans ce cas avoir reçu une dose faisait que vous étiez “non adéquatement vacciné”), ainsi que les personnes qui ont reçu leur deuxième (ou troisième) dose depuis moins de 7 jours. En regroupant les non vaccinés avec les non adéquatement vaccinés, Le Devoir manipule l’opinion. Car le 32% de décès concerne les “non adéquatement vaccinés” et non les seuls non vaccinés. Qu’en était-il exactement des non vaccinés? Étaient-ils surreprésentés? On ne le saura jamais.

Malgré tout, on retient de cet article qu’en date du 7 janvier 2022, d’après les données du ministère de la Santé et des services sociaux, 67,9% des personnes décédées de la COVID étaient vaccinées, ce qui déjà montrait l’échec de la “vaccination”, censée être efficace à 95%.

Le même procédé allait être réemployé quatre jours plus tard lorsque Radio-Canada allait également publier un graphique des décès en fonction du statut vaccinal. La société d’état ne pouvait s’empêcher de faire comme Le Devoir et de regrouper dans la même catégorie non vaccinés et non adéquatement vaccinés. On apprenait ainsi qu’en date du 10 janvier 2022, 70,4 % des personnes qui étaient décédées de la COVID-19 étaient adéquatement vaccinées… ce qui représentait en seulement 3 jours une hausse de 2,5 points par rapport aux données publiées par Le Devoir (les deux médias ayant tous deux pour source le ministère de la Santé et des services sociaux). À comparer au taux « officiel » de vaccination de 76,3 % indiqué dans le tableau de bord de Santé Québec au même moment, soit un écart de seulement 5,9 points.

On remarque qu’une note sur les tableaux des deux médias relève que le nombre de décès de vaccinés est supérieur à celui de non vaccinés mais que cela est normal puisqu’ils sont plus nombreux. Mais à aucun moment ils ne proposent une comparaison avec le taux de vaccination. Et pour cause car comme l’écrit Radio-Canada, cela est “inquiétant”.

De fait, la situation était très inquiétante car ces deux rapports n’étaient rien comparativement à ce que l’on allait découvrir par la suite : en effet, suite à une demande d’accès à l’information, nous avons appris que du 18 juillet 2021 au 19 juin 2022, sur les 3 450 décès COVID-19 correctement catégorisés depuis le début de la “4e vague”, 95,7 % (3 303) étaient « adéquatement vaccinés » alors que 4,3 % (147) étaient non-vaccinés. À comparer au taux de vaccination (mais qui était inférieur au début et durant quasiment toute la période étudiée) de 84,8 %.

Les vaccinés sont donc en fait largement surreprésentés en ce qui a trait aux décès covid, comme le montre le graphique suivant :

 

Est-il normal de constater de tels résultats avec un vaccin efficace à 95%? D’autant que l’on constate des résultats similaires partout dans le monde. En Angleterre aussi, les propres données des autorités montrent que 95% des personnes qui décèdent du covid sont vaccinées :

 

Il s’agit là des données des morts COVID. Mais sachant qu’il y a en plus des effets secondaires, comme nous l’avons vu, il est essentiel d’obtenir les données des décès toutes causes en fonction du statut vaccinal afin d’avoir l’heure juste et mesurer si finalement les vaccinés décèdent moins que les non vaccinés, comme l’ont promis fabricants, autorités, “experts de plateau” et médias.

Interrogés à ce sujet, la France et le Québec ont répondu qu’ils ne disposaient pas de ces données, ce qui témoigne d’une étonnante insouciance à l’heure où partout dans le monde les autorités reconnaissent une hausse inexpliquée de la mortalité. L’Institut de la statistique du Québec (ISQ) reconnait ainsi une hausse de 10% (23% chez les moins de 50 ans).

Seule notable exception, l’Angleterre, qui a partagé les données toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal. Quand on voit les résultats, on comprend la réserve des autres pays à faire la même chose. En effet, comme le présente le graphique ci-dessous, les propres données des autorités anglaises montrent que les vaccinés décèdent davantage toutes causes confondues que les non vaccinés :

 

Les non vaccinés, qui sont 18,5% de la population… ne représentent que 3,3% des décès. On pourrait croire que cela est du au fait que les vaccinés sont plus âgés. Mais cette situation se présente pour toutes les catégories de la population, jeunes et aînés.

Par exemple, chez les plus de 70 ans, le taux de vaccination est de 93%. Mais seulement 3,28% des morts sont des non vaccinés. Idem chez les 18-44 ans. Les non vaccinés représentent 55% de cette classe d’age. Mais ils ne sont que 22% à mourir. Ainsi, les injectés décèdent deux fois plus que les non vaccinés.

Depuis l’introduction de la 3e dose, les données de la Nouvelle Zélande montrent une hausse de la mortalité de 18% dans ce paysCelles-ci, obtenues grâce à une demande d’accès à l’information, confirment les statistiques anglaises. Ce graphique montre ainsi que les vaccinés font face à une surmortalité exceptionnelle :

 

On comprend qu’on enferme les gens qui libèrent les données, comme Barry Young.

On pourrait continuer encore longtemps tant le nombre d’études qui montrent que les vaccins ont une efficacité négative deviennent légion. Par exemple, cette vaste étude autrichienne publiée le 30 novembre 2023 montre que la vaccination n’offre aucune protection ; au contraire, les résultats montrent que le risque d’infection augmente chez les personnes vaccinées. Les chercheurs indiquent que :

Par rapport aux groupes ayant reçu trois doses de vaccination, les groupes avec moins ou pas de vaccinations ne différaient pas en termes de mortalité par COVID-19, mais présentaient un risque plus faible d’infections par le SRAS-CoV-2. […] Notamment, les groupes les moins vaccinés présentaient également un risque significativement plus faible d’infection par le SRAS-CoV-2 que le groupe à quatre doses de vaccin en 2023.

 

Pour leur part, des chercheurs financés par Moderna viennent de publier une étude (encore en prépublication) qui montre que cette injection a une efficacité négative au bout de 2 mois contre l’infection.

 

Tout cela a amené le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach, a reconnaitre à plusieurs reprises que les injections sont inefficaces, s’excusant pour les “destins brisés” (les victimes d’effets indésirables que son propre ministère estime à 1 sur 3 330). Par exemple, il vient de tweeter le message suivant : “Espérons que nous parviendrons bientôt à un vaccin qui protège de la contagion.” Ce faisant, il reconnait que les injections actuelles ne sont pas “efficaces”.

On pourrait en ajouter d’autres, comme le “retour à la vie” de 11 793 canadiens”, Santé Canada ayant reclassé très discrètement entre le 23 décembre 2022 et le 9 janvier 2023 des gens qui ont été classés “hâtivement” morts COVID mais qui en fait sont morts d’une autre pathologie. 11 793 morts sur l’ancien total de 46 029, cela représente tout de même 26% de tous les canadiens officiellement morts de la covid… On a fait paniquer la population en classant hâtivement les personnes décédées “mort covid”, puis loin des regards, on “nettoie” les données. Et les exemples de ce genre sont légion.

Parlant de Santé Canada, on notera aussi que l’organisme a lui aussi désinformé et manipulé. Ainsi, il affichait les décès de la covid en fonction du statut vaccinal… mais depuis le début de la “vaccination”. Comme lors des premiers mois le taux de vaccination était encore faible, le nombre de non vaccinés est largement surévalué. Une façon de contourner cette manipulation était d’utiliser le site Waybackmachine qui permettait de comparer l’évolution chaque semaine ou chaque mois. Les résultats étaient alors très différents, montrant une surreprésentation des vaccinés. Mais médias subventionnés et autorités reprennant ces “données”, l’information véhiculée était que les “vaccins” sont efficaces.

Quand on est conscient de toutes ces manipulations, on se demande qui désinforme. On comprend que le Forum économique mondial place la désinformation comme la plus grande menace mondiale actuelle, devant le “changement climatique”, les guerres et les pandémies!

Bref, tout montre que les injections sont inefficaces et dangereuses. Et que les autorités ont tout fait pour cacher cette vérité en manipulant les données et en mentant. Les responsabilités sont écrasantes.

Commence alors ce que l’on pourrait appeler un “négationnisme vaccinal” : sentant que la vérité commence à sortir, autorités et experts nient l’évidence. Certains dirigeants, comme Justin Trudeau, aussi incroyable que cela puisse paraitre, osent affirmer qu’ils n’ont jamais forcé personne à se vacciner. C’est pourtant lui qui a forcé les fonctionnaires fédéraux à se faire vacciner sous peine de perdre leur emploi. Mais il n’a forcé personne! C’est sur que reconnaitre que les injections, qu’ils ont forcé la population à s’inoculer, ont des effets délétères, paraitrait mal. Ils sont donc condamnés à continuer de mentir et à tenter d’empêcher la vérité d’éclater. Cela amène de nombreux observateurs, comme Karol Sikora, un médecin anglais, à craindre que toute la crise covid ne soit censurée.

Voilà où en est rendu la santé publique dans les années 2020… et comment on réussit à faire croire qu’une substance expérimentale est sure et efficace alors que c’est tout l’inverse.

Qui peut encore avoir confiance dans les autorités?

 

Contamination à l’ADN plasmidique

Nous avons démontré que les injections ARNm ne sont ni sures ni efficaces. En principe, on devrait s’arrêter là. Ce n’est pourtant pas fini. En effet, trois scandales récents viennent s’ajouter à ce très volumineux dossier.

Le premier a trait à la découverte “par hasard” par le spécialiste du génome, Kevin McKernan, que les injections sont contaminées par de l’ADN plasmidique. Et que le taux de contamination dépasserait de 18 à 70 fois les normes. Puis sa découverte a été confirmée par le Dr Phillip Buckhaults, spécialiste du cancer et “vacciné convaincu”.

Les conséquences seraient des maladies auto-immunes et des cancers… et une possible insertion de l’ADN plasmidique dans le génome humain. Cette modification du génome pourrait se perpétuer chez les descendants des personnes “vaccinées”. Une étude sur les souris l’a montré. Il est opportun de noter que l’histoire a été révélée par The Spectator, un journal australien grand public. C’est quasiment un cas unique tant la presse subventionnée semble essentiellement s’employer à camoufler le scandale et invisibiliser ou décrédibiliser (quand elle n’a plus le choix) les rares lanceurs d’alerte qui ont le courage de prendre la parole (sachant qu’ils mettent leur carrière, et donc leur vie, en péril en allant à l’inverse du discours officiel).

Tant et si bien que Santé Canada a du se justifier… et confirmer cette contamination, ce que peu à peu toutes les agences d’autorisation de médicaments du monde, comme la FDA et l’EMA, ont fait. Cependant, les autorités relativisent les risques et continuent d’assurer que les “vaccins” sont surs.

Nous vous invitons à écouter cette excellente entrevue de Patrick Provost, PhD, professeur à l’Université Laval et spécialiste de l’ARN, pour en savoir plus. Cet extrait de conférence de David Speicher, un virologue moléculaire canadien, doit aussi être visionné. Il montre qu’à partir d’une collecte de ‘vaccins’ réalisée en Ontario, il a pu mettre en évidence une corrélation entre le taux d’ADN dans les injections et le nombre d’effets indésirables. D’après lui, « si nous considérons l’ensemble de l’ADN… il y a jusqu’à 4 000 nanogrammes par dose. La limite de la FDA est de 10 nanogrammes par dose ».

 

Les protéines “absurdes”

Alors que les autorités avaient eu à peine le temps de se sortir de l’affaire de la contamination des injections avec de l’ADN plasmidique qu’éclatait seulement quelques jours plus tard le scandale des protéines “absurdes” : des chercheurs publiaient le 6 décembre 2023 une étude dans Nature qui montre qu’environ 25% du temps (donc pour environ une personne sur 4… même s’il est probable que tous les “vaccinés” en produisent mais pas assez pour être détectés par les chercheurs), le corps, au lieu de produire la fameuse protéine spike, fait une “erreur de codage” et produit une autre protéine. On ne sait pas laquelle… et on n’en connait pas les conséquences.

Pour comprendre, il faut savoir que l’ARN est composée de 4 bases/lettres (A, U, G et C) appelées nucléotides. Mais l’uridine (la lettre U) est naturellement instable; il est dégradé par les RNases, qui régulent normalement leur niveau dans la cellule, en quelques minutes ou en quelques heures, rarement au-delà. Pour éviter une dégradation trop rapide, les scientifiques ont alors modifié l’ARN (ARNmod) en utilisant la N1-méthyl-pseudouridine à la place de l’uridine (une version synthétique similaire), ce qui stabilise l’ARN et empêche sa dégradation par les RNases, ce qui fait que la demi-vie de l’ARNmod est grandement prolongée.

Voici une image qui aide à comprendre (crédit : Jean-Marc Sabatier, Docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie) :

Problème : quand le corps lit le matériel pour fabriquer la protéine, il a du mal avec cette version synthétique. Parfois une des lettres de l’ARN saute et cela crée un décalage. Le résultat est la création d’une protéine “absurde” (de protéines tronquées à des protéines complètement différentes)… dont on ne connait pas les conséquences sur le corps.

Tout cela aurait dû être analysé avant l’injection de masse et il est incroyable de constater que cette recherche n’ait été lancée que début 2023. Cela signifie qu’actuellement une personne vaccinée sur quatre produit une protéine dont on ne sait rien et dont on ne connait pas les conséquences à long terme.

 

Voici des explications plus détaillées de Patrick Provost :

Le 25% fait référence à la proportion des sujets qui avaient des anticorps non-spécifiques à des niveaux suffisants pour être détectés à un moment donné après la vaccination. La présence de ces anticorps indique la production de protéines absurdes par les cellules de la personne vaccinée devant exprimer la protéine virale Spike. Il est fort probable que toutes les personnes vaccinées expriment des protéines absurdes à divers niveaux, mais que seuls 25% en expriment suffisamment pour mener à la production d’anticorps non-spécifiques dont les chercheurs ont cherché et réussi à détecter la présence.

L’ARN messager (ARNm) naturel contient de l’uridine (outre les 3 autres nucléotides) et est naturellement instable; il est dégradé par les RNases, qui régulent normalement leur niveau dans la cellule, en quelques minutes ou en quelques heures, rarement au-delà. L’ARN modifié (ARNmod) utilise la N1-méthyl-pseudouridine à la place de l’uridine, ce qui stabilise l’ARN et empêche sa dégradation par les RNases, ce qui fait que la demi-vie de l’ARNmod est grandement prolongée.  

Ce que révèle l’étude publiée dans la revue Nature le 6 déc. 2023, c’est que les segments de nucléotides N1-méthyl-pseudouridine consécutifs ont la fâcheuse tendance à faire glisser le ribosome qui lit l’ARNmod. Cela a pour conséquence d’entrainer le décalage du cadre de lecture des codons en acides aminés et, par le fait même, la formation de protéines absurdes (de protéines tronquées à des protéines complètement différentes).

 P.S.1. Les chercheurs auraient dû effectuer une analyse protéomique comparative jumelé avec des analyses bioinformatiques afin de détecter potentiellement toutes les protéines absurdes exprimées par les personnes vaccinées, et non seulement certains des anticorps non-spécifique.

 P.S.2. Il me faudrait lire plus en détail la méthodologie utilisé pour la détection des anticorps. 

 

Nous conclurons cette section en rappelant un autre problème : contrairement à ce que les autorités de santé et les fabricants ont déclaré, l’ARNm ne reste pas que quelques heures dans le corps. Des recherches ont montré que certaines personnes continuent de produire des protéines spikes plus de 18 mois après les injections. Là encore, on ne connait pas les conséquences à long terme. Tout comme on ne connait pas les conséquences de l’emploi des nanoparticules lipidiques employées pour protéger l’ARNm, dont des études montrent qu’elles sont “hautement inflammatoires“, c’est-à-dire qu’elles sont cancérigènes… Sans parler de la distribution de l’ARNm, qui était censée rester au point d’injection, mais que l’on retrouve finalement disséminée dans tout le corps, jusqu’au cerveau, au foie et aux glandes surrénales, tout en s’accumulant dans les ovaires…

On s’arrête là tant la liste des problèmes est longue.

 

Transcription de l’ARN vaccinale dans le génome

Alors que les scandales de la contamination à l’ADN plasmidique et des protéines absurdes faisaient encore trembler les autorités (le tout dans le silence total des médias subventionnés), un nouveau “scandale” se présentait. En effet, début décembre 2023, une étude italienne a montré que 2% des “vaccinés” (sur un échantillon de 95 personnes souffrant de COVID long) ont la séquence de la production de la protéine Spike “vaccinale” dans leur génome.

Voici ce que l’on peut lire dans un document de l’étude apportant des données supplémentaires :

 

C’est une nouvelle absolument incroyable car cela montre que les craintes de différents chercheurs étaient fondées et que la transcriptase inverse est donc non seulement possible, mais bien une réalité. Les injectés concernés sont maintenant condamnés à produire de la protéine Spike ad vitam eternam. Avec quelles conséquences?

Doit-on en être surpris quand on sait qu’une étude publiée en janvier 2022 a montré que cela était possible in vitro? Mais surtout, que cela était su depuis de nombreuses années. Dans ce vidéo du Forum économique mondial de 2015, Jennifer Anne Doudna, professeure américaine de biochimie et de biologie moléculaire à l’université de Californie à Berkeley et spécialiste de l’ARN, montrait comment on pouvait modifier l’ADN… grâce à l’ARNm (à 29 minutes).

Donc cela était connu et fabricants et autorités ne pouvaient ignorer que cela est tout à fait possible. On comprend mieux pourquoi les notices des “vaccins” concèdent que “le risque génotoxique est considéré comme faible”. En écrivant cela, les fabricants reconnaissent que les “vaccinés” courent un risque bien réel de voir leur génome modifié. Que dire?

 

Conclusion

La “vaccination” anti-covid pose de nombreux problèmes. Les fabricants ont voulu utiliser une technologie qui n’était pas encore prête pour sortir des produits en un temps record. Il en a résulté des injections non seulement inefficaces, mais surtout dangereuses. Cela est d’autant plus préoccupant que les scandales se suivent tandis que la mortalité augmente dangereusement depuis 2021.

Dans un article publié le 24 janvier, des scientifiques se livrent à un exercice similaire au notre en faisant le point sur la “vaccination” et des “leçons” qu’il faut tirer depuis l’essai initial jusqu’à ce que l’on sait au début de 2024. Leur conclusion est sans appel :

Compte tenu des effets secondaires bien documentés et du rapport inacceptable entre les dommages et les bénéfices, nous demandons aux gouvernements de soutenir et d’imposer un moratoire mondial sur ces produits d’ARNm modifiés jusqu’à ce que toutes les questions pertinentes concernant la causalité, l’ADN résiduel et la production anormale de protéines soient répondues.

Il était inimaginable de voir de tels propos rapportés dans une revue scientfique il y a encore quelques mois, comme quoi les choses évoluent. Les autorités sont donc au courant… mais elles continuent de tenter par tous les moyens de manipuler et de cacher la vérité. Ce sont des faits extrêmement graves, les complicités sont gigantesques. Face à “l’apathie” et au déni de la “Justice”, une commission d’enquête nationale citoyenne a été mise sur pied. Celle-ci vient de publier un rapport remarquable. Cependant, si une telle initiative est porteuse d’espoir, l’impact reste malheureusement limité car la presse subventionnée n’en parle pas.

L’enjeu est énorme car à la moindre prochaine “alerte” de l’OMS, le même processus se répètera avec le retour des confinements, du masque et la “vaccination” obligatoire (l’OMS prépare d’ailleurs un passeport vaccinal mondial). Toutes des mesures au mieux inefficaces, comme nous l’avons maintes fois démontré… mais qui en plus de nuire gravement à la santé des populations, nous propulsent dans une société de contrôle.

Il est donc de notre devoir de continuer à réinformer jusqu’à ce que justice soit faite.