Partout dans le monde (du moins en occident) les médias rapportent une baisse marquée des naissances depuis 2022. La presse subventionnée française parle même de « baby crash ». Cela l’amène à se poser de sérieuses questions sur la fertilité. Elle rapporte en effet que de plus en plus de jeunes font état de leur difficulté, voire impossibilité, à faire des enfants. Emmanuel Macron a du parler de « réarmement démographique » et a annoncé comme principale mesure « la généralisation d’un examen gynécologique pour les femmes et un spermogramme pour les hommes, à 25 ans ».

 

Le léger réveil de la presse subventionnée

Jusque-là, autorités et médias subventionnés québécois, alors que la tendance est similaire ici, ne pipaient mot. Mais voilà qu’en ce début d’année 2024 ils commencent à timidement se réveiller.

Par exemple :

  • La Presse rapporte que « Les Québécois font de moins en moins d’enfants ».
  • Le Devoir constate que « La baisse du nombre de naissances se poursuit au Québec ».
  • Le Journal de Montréal annonce que « l’indice synthétique de fécondité (ISF), soit la mesure la plus utilisée par les démographes pour évaluer la fécondité, est passé de 1,41 enfant par femme en 2020, à 1,44 en 2021, avant d’atteindre « un nouveau creux » en 2022, soit 1,33. »
  • Enfin, TVA s’emballe en affirmant que « c’est énorme : un arrêt cardiaque survient toutes les neuf minutes hors de l’hôpital et juste une personne sur 10 y survit ».

 

Ils sont cependant (en apparence) loin de paniquer. Ils rappellent qu’ « en 1988, on avait un taux de natalité encore plus bas qu’aujourd’hui au Québec ». Selon eux, les causes sont le « vieillissement de la population, la crise des opioïdes qui secoue le pays, mais aussi la prévalence de maladies comme l’hypertension ou le diabète, entre autres ». Donc ils ne voient pas d’urgence et appellent à un renforcement des politiques natalistes, comme par exemple augmenter le congé de paternité.

Plus incroyable : ils ne font aucun parallèle avec la hausse de la mortalité, dont ils parlent à l’occasion. Ils ont pourtant annoncé eux-mêmes que la surmortalité chez les moins de 50 ans a augmenté de 23%. Les données de l’ISQ pour le mois de novembre font frémir avec une hausse de 90% pour cette catégorie d’âge :

 

Cela signifie que de nombreux jeunes qui n’auraient pas du mourir sont décédés. C’est extrêmement grave. Cela se produit pourtant dans l'(apparente) indifférence générale.

 

Un solde naturel bientôt négatif

En fait, un regard minimalement critique sur les naissances et la mortalité doit amener à se poser quelques questions.

Le graphique suivant présente l’évolution des naissances depuis 2010 (l’année 2023 est une prévision car les données de décembre 2023 ne sont pas encore disponibles) :

 

On constate que la tendance est à la baisse sur la période. Mais il est important de noter que la situation est particulière depuis 2020, soit durant la « pandémie ». Cela doit nous amener à faire les remarques suivantes :

  • Si le premier trimestre est normal, l’année 2020 est marquée par la par une chute marquée des naissances. La baisse est graduelle tout au long de l’année. On pourrait croire que la covid pourrait en être la cause mais ce n’est pas le cas car c’est surtout lors du quatrième trimestre, soit environ 9 mois après les premières annonces sur le coronavirus, que la baisse des naissances est marquée. Des couples, sans doute inquiets, ont décidé d’attendre avant de faire un enfant, ce qui se répercute sur le nombre total de naissances de l’année.
  • Il y a un phénomène de rattrapage en 2021 : beaucoup de bébés qui ne sont pas nés en 2020 sont finalement arrivés en 2021.
  • Alors que la « pandémie » est quasiment terminée (Omicron a perdu en virulence par rapport à la souche initiale de Wuhan) et que la population est en principe « protégée » puisque « vaccinée », 2022 est marquée par une forte baisse des naissances. Celle-ci est telle que l’on se retrouve sous la droite de tendance.
  • Loin de se résorber comme en 2021, cette baisse s’accentue encore davantage en 2023, pour se situer très nettement en-dessous de la tendance.

Comme on l’a vu, les autorités ailleurs dans le monde constatent une baisse de la fécondité. Baisse qui serait donc apparue… en 2022. Sachant que les naissances arrivent avec un décalage de 9 mois, le problème est survenu en 2021. La question est donc : qu’a-t-il bien pu se passer en 2021? 

En outre, ces constats doivent être mis en perspective avec l’évolution des décès :

En raison du vieillissement de la population, le nombre de décès augmente chaque année. Cependant, comme pour les naissances, il est important de mettre un focus particulier sur la période « pandémique » :

  • 2020 est logiquement marquée par une hausse des décès. Il est cependant loin d’être évident que la covid en soit la cause principale étant donné les témoignages concernant les décès dans les maisons de retraite (CHSLD) selon lesquels :

    • On ne parle pas de pratiques comme l’intubation qui ont pu faire plus de mal que de bien.
  • Tout cela a contribué à l’explosion des décès en 2020… le tout alors que les directives de la santé publique étaient de classer « morts covid » les personnes « suspectées » d’être décédées de cette maladie… et ce même sans test. Rappelons aussi que d’après le statisticien français Pierre Chaillot qui a « standardisé » les années, 2020 est la 5e année avec le moins de morts de l’histoire.
  • Finalement, 2020 a été ce que l’on peut appeler assez froidement une « année moisson », c’est-à-dire une année durant laquelle des événements inhabituels (de fortes chaleurs ou une épidémie de grippe plus virulente par exemple) affectent prioritairement les individus les plus fragiles, qui seraient sinon décédés dans les mois ou l’année suivants. Cette hypothèse doit être prise au sérieux puisque le nombre de décès a fortement diminué en 2021.
  • Alors que comme on l’a vu, les variants de la covid devenaient de moins en moins virulents et que la population était en principe « protégée » puisque vaccinée, on constate pourtant une nouvelle forte hausse de la mortalité en 2022. À tel point que le nombre de morts dépasse celui de 2020. Comment l’expliquer?
  • Malgré une légère baisse par rapport à 2022, 2023 reste avec un niveau élevé de mortalité, toujours supérieur à 2020. 2022 et 2023 sont en outre largement au-dessus de la courbe de tendance. Le tout alors que comme on l’a vu, de plus en plus de jeunes meurent alors qu’ils ne l’auraient pas du. Là encore, comment expliquer cela?

 

Le résultat est que le solde naturel (la différence entre les naissances et les décès) est rendu quasiment à zéro (+550 en 2023). Vue la tendance, il sera probablement négatif cette année, ce qui surprend de nombreux experts qui ne s’attendaient pas à ce que cela se produise avant 2026 ou 2027.

 

La hausse simultanée (et inexpliquée d’après les autorités) des décès conjuguée à la baisse (toute aussi inexplicable) des naissances font que le solde naturel se situe largement sous la tendance.

Comme on l’a vu, il se passe quelque-chose d’anormal depuis 2021. Rappelons que depuis on constate une hausse « inexpliquée » des « morts subites ». Les médias anglais s’interrogent :

 

Au Canada, les décès dont la cause est inconnue pointent maintenant en 5e position parmi les causes de décès :

 

On pourrait encore en dire beaucoup, parler par exemple de ce « tueur silencieux », la mort subite d’origine cardiaque qui touche 12 jeunes chaque semaine en Angleterre :

 

Qu’a-t-il bien pu se passer en 2021?

Mais on s’arrêtera là et la question est donc de comprendre ce qui a pu arriver en 2021. Pour cela, les autorités doivent sortir du convenu et cesser de nous présenter des explications qui ne tiennent pas la route cinq secondes, comme par exemple le « réchauffement climatique », qui a bon dos. Les températures n’ont pas soudainement explosé en 2021. Les autorités doivent donc se livrer à un examen attentif des données et ne fermer aucune porte.

 

Impact des injections sur les décès

Si elles analysaient avec minutie toutes les statistiques dont elles disposent, les agences de santé publique jetteraient un œil aux décès en fonction du statut vaccinal. Nous avons déjà montré à maintes reprises que leurs propres données démontrent que les « vaccins » ont une efficacité négative, comme le montre ce graphique.

 

Non seulement les « vaccinés » ne sont pas protégés… mais ils meurent en plus davantage que les non vaccinés en fonction de leur proportion dans la population. Comment s’en étonner quand on sait que la « protection » n’est pas durable et qu’il y a de nombreux effets indésirables graves? Le Comité sur l’immunisation est ainsi allé jusqu’à recommander une dose tous les 90 jours tant la protection s’effondre rapidement.

Quant aux effets secondaires, les autorités cachent au maximum les données… mais elles ne peuvent tout empêcher de sortir. Et celles rendues publiques sont sans appel : il s’est bien passé quelque-chose en 2021. Voici par exemple ce que l’on constate dans 40 hôpitaux des États-Unis :

 

On voit que dès 2021 se passent des choses étranges, avec une explosion des myocardites et péricardites. L’article a été publié dans le prestigieux JAMA (Journal of American Association)… dès le 4 aout 2021. Cela prouve que les autorités sont au courant depuis le début.

Dans le même temps, les cancers explosent en Angleterre :

 

Les données des morts toutes causes en Angleterre en fonction du statut vaccinal mettent fin au débat. Voici ce que rapporte le docteur Gérard Maudrux qui a fait une comparaison dans différentes classes d’âges des décès dans ce pays entre les vaccinés et non vaccinés :

J’ai additionné sur les 12 derniers mois (de juin 2022 à mai 2023, date de la dernière courbe) les décès chez les vaccinés et non-vaccinés, de plus de 70 ans. Je décompte 414 888 décès au total, dont 14 058 chez les non-vaccinés, soit 3,28 % des décès. Ensuite je suis allé chercher le taux de vaccinés dans cette tranche, toujours données officielles du gouvernement : 93 % de vaccinés. Les non-vaccinés représentent donc 7 % de la population de cette tranche d’âge, et 3,28 % des décès. Ils meurent donc, toutes causes de décès confondues, deux fois moins que les vaccinés, sur cette période d’un an.


Taux de vaccinations/âge : source Office National des Statistiques. ons.gov.uk

Qu’en est-il dans les autres tranches d’âge ? J’ai donc relevé mois par mois tous les décès, pour les 18 – 40 ans. 17 744 décès au total, dont 3 933 chez les non-vaccinés, soit 22 % de cette population, alors qu’ils représentent 55 % de cette population vaccinée à 45 %. Résultat, comme pour les plus âgés, 2,5 fois moins de morts. Décès vaccinaux plus importants chez les jeunes, normal, ils ont moins de raisons de mourir d’autres choses.

Conclusion : à partir de chiffres officiels fiables, comptabilisant les décès, mois par mois, pour chaque tranche d’âge, on constate que dans tous les cas, actuellement et hors épidémie, les vaccinés meurent deux fois plus que les non-vaccinés. Ces chiffres sont indiscutables, et c’est pour cette raison qu’en Nouvelle-Zélande, on met en prison ceux qui les publient. Ils permettent également d’affirmer que la surmortalité est due aux vaccinés, qui meurent plus qu’une population qui n’a pas plus de facteurs de risques qu’avant l’épidémie. Cela permet enfin d’affirmer que la protection des formes graves n’apparaît pas dans les chiffres, ce dont on se doutait après la seconde année, la première sans vaccin, étant moins mortelle que la seconde, avec vaccins.

De quoi meurent ces personnes, si ce n’est de la covid ? De troubles extrêmement divers, comme le montre cette étude portant sur 99 millions de vaccinés, parue dans la prestigieuse revue Vaccine : myocardites, péricardites, Guillain-Barré, thromboses, sans compter les cancers apparus plus tard. L’hécatombe n’est pas terminée car on ne connaît pas l’espérance de vie de celui qui aura perdu 10-15 % de son myocarde (muscle cardiaque), après avoir guéri d’une myocardite, ou ce cancer en cours de traitement.

 

Impact des injections sur les naissances

En outre, au chapitre des naissances, les effets sur les femmes sont maintenant bien documentés. Une étude récente a ainsi mis « en évidence une augmentation de 20 % du risque de saignements menstruels abondants ayant nécessité une prise en charge à l’hôpital dans un délai de 1 à 3 mois »après avoir pour la première fois reçu un vaccin Pfizer ou Moderna. Comment espérer qu’un « vaccin » qui produit des saignements menstruels (surement sous-évalué puisque seulement à 1 à 10% des effets indésirables sont rapportés) chez les femmes puisse ne pas avoir de conséquences sur la fécondité? Ou lorsque l’on consulte le rapport de l’essai Pfizer sur les femmes enceintes qui affiche des données affolantes. D’autant plus quand d’autres études montrent que l’on trouve des protéines spike dans les ovaires?

Il est important de noter également que la situation n’est pas propre au Québec. C’est un phénomène mondial. Ainsi, le taux de fécondité mondial serait passé sous la barre de 2,2 enfants par femme. Cela veut dire que sur l’ensemble de la planète le taux de remplacement de la population n’est plus assuré. Ce qui fait dire aux médias que « l’humanité se dirige vers un « hiver démographique »« .

 

Les autorités doivent rendre des comptes

Les « vaccins » ont commencé à être distribués en 2021. À la fin de cette année, plus de 80% de la population avait reçu 2 doses. En juillet 2022, 50% avait reçu 3 doses. Aujourd’hui encore, en 2024, environ un million de québécois continuent de recevoir une 5e, 6e ou 7e dose, voire plus.

Comme on l’a vu, la « vaccination » provoque donc une hausse de la mortalité et a fatalement un impact sur les naissances (vu les problèmes que rencontrent les femmes). Il s’agit du seul évènement particulier à avoir émaillé l’année 2021 et les suivantes. Il apparait donc urgent d’analyser en détail l’impact de la campagne d’injections ARNm sur la santé.

C’est pourtant l’inverse qui se produit puisque les autorités déclarent que non seulement elles ne font aucun suivi des décès toutes causes en fonction du statut vaccinal… mais qu’elles ont cessé en 2023 le suivi des personnes décédées de la covid en fonction du statut vaccinal.

En agissant de la sorte, la santé publique s’aveugle volontairement. Vu les résultats on comprend pourquoi car ces données sont catastrophiques et tous ceux qui ont promu les injections (gouvernements, autorités de santé, médias subventionnés, les ordres professionnels et même les « juges » qui ont condamné avec entrain tous les lanceurs d’alerte) tentent logiquement de cacher tout cela sous le tapis.

Les responsabilités sont immenses. La question est de savoir pendant combien de temps encore tous ces gens réussiront à cacher cet immense scandale au public.