L’OMS (Organisation mondiale de la santé) vient de passer à nouveau à son niveau d’alerte le plus élevé concernant la variole du singe en décrétant une “urgence de santé publique de portée internationale”. Il en avait fait de même il y a deux ans. Mais cette fois-ci, à en croire l’agence intergouvernementale, “le virus est plus contagieux et dangereux.” En effet, “la pandémie est provoquée par le clade 1 et par une variante encore plus dangereuse, le clade 1b. Son taux de mortalité est estimé à 3,6 %.” Faut-il pour autant paniquer?

 

Faits saillants

  • La variole du singe (ou mpox pour monkey pox) est caractérisée par une éruption cutanée qui peut être douloureuse;
  • selon Santé Canada, il n’y a quasiment aucun risque de décès;
  • l’immense majorité de la population n’a rien à craindre;
  • la transmission est limitée (essentiellement cutanée, soit un contact de peau à peau);
  • les vaccins n’ont pas fait l’objet d’études aléatoires en double aveugle contre placebo sur les humains : leur efficacité est donc inconnue tandis qu’ils peuvent produire des effets indésirables graves comme des myocardites;

En conséquence, il n’est pas possible d’évaluer la balance bénéfice/risque.

 

Une maladie dangereuse?

Tout d’abord, rappelons que d’après Santé Canada :

La mpox (autre nom de la variole du singe, ndlr) est une infection virale accompagnée d’une éruption cutanée qui peut être douloureuse. La plupart des personnes se rétablissent sans traitement après quelques semaines.

Dans de rares cas, les personnes peuvent devenir très malades et pourraient mourir. (c’est nous qui soulignons)

Ainsi, il n’y a eu aucun décès au Canada de la variole du singe depuis 2022… alors que l’OMS avait déjà déclenché à cette époque une alerte de pandémie mondiale. Pourtant celle-ci revient à la charge en avançant un taux de létalité de 3,6%. En fait, comme le reconnait Santé Canada, il est sans doute bien moindre :

  • Tout d’abord dans les pays développés comme le Canada dans lesquels les populations sont bien nourries, en santé et qui ont accès à un système de santé efficace, il n’y a quasiment aucun décès;
  • ensuite, qui ne se souvient pas des taux de mortalité affolants qui étaient annoncés pour le covid? On parlait durant l’hiver 2020 de 10%. Finalement, il a été de moins de 0,1% (alors que les victimes étaient une population très vulnérable, essentiellement des personnes très âgées avec plusieurs comorbidités);
  • enfin, le taux de létalité est le nombre de décès sur le total des personnes infectées. Cependant, comme peu de gens sont testés, le taux de létalité officiel est fatalement élevé.

Concernant l’ “urgence”, l’OMS reconnait qu’actuellement l’épidémie est “circonscrite en Afrique”. Mieux, voici le nombre de “cas” mondiaux recensés :

La source est ourworldindata, difficilement contestable. On constate que le nombre de cas est à son plus bas depuis l’épidémie de 2022. Même si l’OMS affirme qu’il y a une importante sous-déclaration, il y a de quoi être surpris par cette “urgence de santé publique de portée internationale”.

 

Des risques de transmission limités

On peut donc s’interroger quant aux motivations de l’OMS, surtout lorsque Han Kluge, directeur régional de l’organisation pour l’Europe, déclare qu’il n’y aura pas de confinements car “les mesures prises il y a deux ans lors de la précédente alerte pandémique avaient été suffisantes”. Il rappelle ainsi que cette maladie concerne essentiellement les hommes homosexuels, ce qui est confirmé par Santé Canada qui affirme :

Vous présentez un risque élevé de contracter la mpox si vous :

    • êtes un homme qui a des rapports sexuels avec des hommes et que vous :
      • avez plus de 1 partenaire ou êtes dans une relation où au moins 1 des partenaires a d’autres partenaires sexuels
      • avez eu une infection transmise sexuellement confirmée au cours de la dernière année
      • ou que vous avez des contacts sexuels dans des lieux où se déroulent des activités sexuelles
    • avez un partenaire sexuel qui répond aux critères ci-dessus
    • êtes un travailleur ou une travailleuse du sexe
    • travaillez ou réalisez des activités bénévoles dans des lieux où se déroulent des activités sexuelles et êtes en contact avec des objets ou des matériaux contaminés sans utiliser de l’équipement de protection individuelle
    • vous livrez au tourisme sexuel
    • vous attendez à vivre l’un des scénarios ci-dessus

 

La maladie n’est en fait transmissible quasiment que par contact de peau à peau ou si une personne touche un objet touché quelques instants plus tôt par une personne contaminée.

Dans ce contexte, on a du mal à comprendre cette alerte de l’OMS… ainsi que l’emballement de certains pays, au premier rang desquels on retrouve la France (qui elle non plus n’a eu aucun mort de cette maladie), qui vient de placer son système de santé en “état de vigilance maximale”… et d’ouvrir pas moins de 232 centres de vaccination. Comme aux plus belles heures de la folie covid, l’Institut Pasteur se déclare “prêt à tester et vacciner” et la presse subventionnée rapporte que “les laboratoires se lancent dans la bataille des tests PCR”. Sauf que si l’on multiplie le nombre de tests avec un réglage probablement trop strict, on risque de faire comme pour le covid et de créer une “pandémie de tests”. Et l’on a vu combien cette façon de faire (cumulée à la présentation de victimes couvertes de pustules dans le cas de la variole du singe pour faire davantage peur) avait été efficace pour faire paniquer la population.

La question se pose donc de savoir si l’on va assister à une redite du covid.

 

Vaccination

Les autorités françaises, qui ont mené le bal durant le covid (c’est la France par exemple qui lance le passeport sanitaire en juillet 2021, passeport qui a ensuite été repris par pratiquement tous les pays du monde), prennent donc à nouveau les devants et lancent une nouvelle campagne de vaccination de masse. Vu ce que l’on a dit, on peut s’en demander l’intérêt, surtout lorsque l’on sait qu’un centre de vaccination coute au bas mot un million d’euros… tandis que le pays traverse de grandes difficultés financières, au point où il vient d’être placé sous tutelle de l’Union européenne. Alors que le système de santé, du fait de nombreuses coupes, est sur le point d’exploser, on peut donc se demander ce qui pousse le gouvernement français à agir de la sorte.

Mais surtout, qu’en est-il de ce vaccin? Il est bien sur présenté comme “sur et efficace”. Par exemple, une sénatrice française déclare qu’il est efficace à 99%, rien de moins :

 

Malheureusement pour elle, les autorités elles-mêmes reconnaissent que cette injection n’a pas été testée sur l’homme.

Si on consulte le site des CDC (centres américains de contrôle et de prévention des maladies), ceux-ci présentent deux vaccins :

  • IMVANEX (celui distribué en France et au Canada et dont on vient de parler), aussi connu sous le nom de Jynneos aux États-Unis et Imvamune au Québec et au Canada. Ce vaccin est produit par la compagnie Bavarian Nordic “à partir de la souche de vaccine MVA-BN, un Orthopoxvirus modifié génétiquement et ayant perdu son pouvoir de réplication, cultivé sur des fibroblastes d’embryon de poulet”;
  • ACAM2000 (produit par Emergent Bio Solutions). Au sujet de ce dernier, nous invitons les lecteurs à consulter sa notice. Il y apprendra qu’une vaccination primaire de cette injection génère un taux de myocardites et péricardites de 5,7 sur 1000! Et on ne parle pas des autres effets indésirables comme des encéphalites, encéphalomyélites, encéphalopathies, etc.

Ce sont deux vaccins traditionnels avec virus atténué pour IMVANEX et virus vivant pour ACAM2000. Ils ne sont donc pas à ARN messager.

Cependant, Moderna développe actuellement une injection ARNm contre la variole du singe (actuellement en phase 1). Et on a appris à ce sujet quelque-chose de fondamental : pour prouver l’efficacité de son “vaccin”, la compagnie teste en fait la production d’anticorps… mais reconnait qu’ “il n’y a pas de corrélat de protection démontré”. Cela signifie que la hausse du nombre d’anticorps n’est pas corrélée avec l’efficacité. Il était temps de le reconnaitre (on le savait en fait déjà car les anticorps ne font pas tout, le rôle de la “mémoire immunitaire” est central) puisque c’est la baisse des anticorps qui faisait dire aux autorités que les injections anti-covid perdaient en efficacité et qu’il fallait donc se faire injecter tous les six mois. En fait, seule une étude aléatoire en double aveugle avec placebo effectuée sur des milliers de patients permettrait d’évaluer l’efficacité du produit. Mais le nombre de malades étant trop faible, cela n’est pas possible, comme le reconnait l’INSPQ dans son rapport sur ces deux vaccins.

Tout cela signifie que l’on manque cruellement de données permettant de garantir l’innocuité et l’efficacité des vaccins proposés. C’est pourquoi, et comme le reconnait l’INSPQ, il faudrait être une personne très à risque pour penser à se faire vacciner. Ce qui n’est pas le cas de l’immense majorité de la population. On comprend alors encore moins l’attitude de la France qui se lance dans une vaccination de masse.

 

Le passeport vaccinal en ligne de mire

On a donc vu que :

  • Contrairement à ce que dit l’OMS, les données ne montrent aucune urgence sanitaire : le nombre de cas est à son plus bas, il y a très peu de risque de décès dans les pays développés, les personnes à risque sont identifiées et la transmission est très limitée (contact cutané essentiellement);
  • le manque de données sur les vaccins fait que l’on ne sait finalement pas s’ils sont efficaces, tandis qu’ils semblent produire des effets indésirables graves. Tant et si bien que la balance bénéfice/risque est inconnue.

On pourrait ajouter que la variole du singe n’est pas le seul virus au sujet duquel autorités et médias subventionnés tentent de nous faire peur. Il n’y a qu’à penser par exemple à la grippe aviaire dont nous avons parlé sur notre substack. Ainsi, le Daily Mail a affirmé que la grippe aviaire pourrait tuer un américain sur quatre :

Alors que jusqu’à présent il y avait environ une “pandémie” par siècle (la dernière en date étant la grippe espagnole en 1918), on assiste à une accélération de la menace pandémique. Ainsi, autorités et médias subventionnés ne cessent de parler de maladies à potentiel pandémique. Par exemple le norovirus, le circovirus, le MERS (virus du chameau), etc. On pourrait ajouter la grippe A de 1976, le SARS de 2002 et H1 N1 de 2009. Même des maladies connues comme la rougeole n’échappent pas au vent de panique. Qui se souvient qu’il y a à peine quelques mois le Québec a interdit d’accès à leur école les élèves non vaccinés contre la rougeole s’il y avait un seul cas dans l’établissement? Le tout alors qu’il y avait à peine 20 cas dans tout le Québec? Et qu’il n’y a plus eu un seul décès depuis des décennies et qu’il n’y en avait quasiment plus avant même l’arrivée du vaccin (c’est l’amélioration des conditions de vie, une meilleure alimentation et un meilleur hygiène qui ont fait drastiquement diminuer les décès)?

Comment expliquer la multiplication des alertes? Que cachent des réactions aussi disproportionnées? Pourquoi autorités et médias subventionnés sont-ils si sensibles soudainement aux “menaces épidémiques”? Ce sont des questions centrales qu’il faut se poser. Et la raison pourrait être l’arrivée du passeport vaccinal.

Ainsi, alors que nous sommes martelés de menaces de virus et autres pathogènes, les passeports vaccinaux sont prêts et cinq pays européens viennent de lancer des tests. Toujours derrière de beaux arguments avançant que cet outil permettra de faire “un pas sur la voie de la sécurité sanitaire mondiale”, les passeports permettront surtout aux autorités de connaitre votre statut vaccinal en tout temps. Si par exemple la santé publique rapporte comme on l’a vu 20 cas de rougeole ou que l’OMS déclare une pandémie de variole du singe ou de grippe aviaire… et que vous n’êtes pas vacciné contre ces maladies, le système le saura et alors les portes des restaurants, cinémas, écoles, etc. resteront fermées.

Cela pourrait même aller plus loin puisque d’autres modules pourraient facilement s’ajouter, comme par exemple l’identité numérique et la monnaie numérique. À ce moment, on pourrait vous empêcher de faire des achats si vous n’êtes pas vacciné. Etc.

 

APRÈS LE GAIN DE FONCTION SUR LES CORONAVIRUS, LA MANIPULATION DU VIRUS DE LA VARIOLE DU SINGE

Mais où s’arrêtera Anthony Fauci, l’ancien chef de la santé publique aux USA? On savait déjà depuis longtemps qu’il avait financé le “gain de fonction” du coronavirus. Et on ne parle pas des dernières “révélations” comme quoi il n’avait aucune étude démontrant l’efficacité de la distanciation de 2 mètres ou du port du masque par les enfants.

Voici que l’on apprend qu’il a financé des recherches pour faire muter le virus de la variole du singe. Dans le même temps, les laboratoires continuent leurs expérimentations sur la grippe aviaire, la maladie X et autres pathogènes.

Comment tout cela va-t-il finir?

 

Rappelons que le nombre de “vaccins” explose et les enfants doivent se faire injecter quasiment chaque année de nouvelles doses contre tout et n’importe quoi. La presse subventionnée note parallèlement une explosion des cancers chez les jeunes (ainsi que de l’autisme), mais les autorités ne font aucun lien. Ce n’est cependant pas suffisant pour les compagnies pharmaceutiques qui veulent s’attaquer au marché des adultes. Le covid a ouvert à ce sujet tout un champ de possibilités.

Dans le même temps, sur la base de ce passeport vaccinal européen, l’OMS avance son propre projet de certification sanitaire numérique. En cas de “pandémie mondiale”, vous ne pourrez plus traverser de frontière. Tout cela sera relié à terme à votre visage et il ne sera plus nécessaire de présenter un QR code, le simple fait de passer devant une caméra biométrique décidera si vous pouvez ou non entrer dans le restaurant/cinéma/pays dans lequel vous souhaitez aller.

Bien sur, ce “passe” n’est pas obligatoire. Mais on a vu que la “vaccination” covid au début ne l’était pas non plus. Puis lorsque le nombre d’injectés a atteint un certain niveau, elle l’est devenue. On réalise alors qu’il est crucial pour l’OMS et les autorités des différents pays d’arriver à une nouvelle “pandémie mondiale” qui permettra de faire accepter ce nouveau passeport vaccinal comme la population a accepté le premier pour le covid. Tout est donc bon pour s’essayer, que ce soit la variole du singe, la grippe aviaire, un nouveau variant du covid, même la rougeole avec 18 cas… n’importe quoi fera l’affaire pourvu que cela permette d’effrayer la population et qu’elle se conforme à nouveau.

Est-ce cela qui permet de dire à Jens Holstein, directeur financier de Biontech, que la compagnie prévoit de faire 90% de son chiffre d’affaires lors du dernier trimestre de 2024? Pourquoi s’attend-il à ce que les ventes d’injections ARNm explosent au cours des prochains mois? Certes, il veut rassurer actionnaires et investisseurs. Mais que sait-il que nous ne savons pas? Que pourrait-il se produire à la fin de 2024 qui permette à l’organisation, qui perd actuellement des centaines de millions d’euros, de se redresser?

 

Contrôler le message

Notre avenir dépend donc pour une bonne partie de la population des cinq pays dans lesquels est testé ce nouveau passeport (Grèce, Allemagne, Belgique, Lettonie et Portugal). Et on comprend mieux toutes les tentatives des autorités pour mettre au pas les médias sociaux. Car pour réussir à contrôler la population afin d’afin d’arriver à ce qu’elle se conforme, il est indispensable de contrôler le message donc ce que lisent, voient et entendent les citoyens.

Il est bon de se rappeler à ce sujet les constats de Marc Van Ranst, le chef de la santé publique belge, qui explique dans une étonnante conférence tenue en 2019 (donc juste avant le covid) pourquoi il a obtenu des taux de vaccination très différents en Flandre et en Wallonie (les deux grandes régions de la Belgique) lors de H1 N1 (qui rappelons-le a eu lieu en 2009-2010) : tout simplement car les flamands n’avaient accès qu’à leurs médias locaux en flamand, qui leur disaient que les vaccins étaient surs et efficaces… tandis que les wallons, francophones, écoutaient également les médias français dont le ton concernant la vaccination était beaucoup plus mesuré (la presse française avait laissé beaucoup de place à l’époque aux experts contre les vaccins). Il explique alors que lorsque les médias sont unanimes ou presque, comme ce fut le cas en Flandre, la population se conforme. Tandis que le débat fait douter les citoyens, qui finalement se montrent indisciplinés et n’adhèrent pas aux recommandations de la santé publique.

Avec le recul, on comprend mieux les étonnants propos de Roselyne Bachelot, ministre française de la santé toujours à l’époque de H1 N1, et qui a déclaré qu’elle n’avait que deux regrets :

  • que les gens n’aient pas eu assez peur.
  • ne pas avoir assez verrouillé Internet

Ces propos montrent que les autorités ont retenu les leçons de H1 N1. Les médias sont désormais tenus, la plupart étant détenus par quelques milliardaires, tandis qu’ils ne survivent que grâce aux subventions que leur versent les gouvernements, ce qui assure les dirigeants de leur conformisme. Ce graphique résume parfaitement la situation en montrant que le vote du public est corrélé à sa croyance dans les médias, d’où la nécessité de les contrôler :

 

Reste les réseaux sociaux. Si Meta s’est couché, comme vient de le reconnaitre son PDG Mark Zuckerberg dans une lettre stupéfiante, en cédant aux pressions de l’administration Biden pour censurer, d’autres résistent. C’est le cas de X (Twitter) et Telegram.

On comprend alors mieux pourquoi en cette période clé, qui doit permettre de nous faire basculer dans l’ère de l’identité numérique, le patron de Telegram soit arrêté par la police française, que le Brésil ferme purement et simplement Twitter X, allant jusqu’à pénaliser l’utilisation de VPN et donnant des idées à d’autres pays comme le Danemark, que l’Union européenne soit aussi vindicative à l’égard de Twitter,  menaçant Elon Musk d’amendes records, que les pays occidentaux aient fermé les stations russes RT et Sputnik, etc. : si les autorités n’arrivent pas à mettre au pas les deux dernières plateformes qui résistent à la censure, c’est tout leur projet de contrôle de la population qui est mis à mal. Donc la vaccination, le passeport vaccinal et tout ce qui viendra à la suite de ce dernier. D’où cet acharnement sous des prétextes fallacieux comme le trafic de drogue, le blanchiment, la pédocriminalité, etc.

À ce sujet, on pourra se demander comment il est possible que Telegram et X soient aussi autant inquiétés alors que même les médias subventionnés reconnaissent que Facebook et Instagram facilitent le travail des pédophiles. Mais Mark Zuckerberg peut lui se rendre en France sans aucun problème. En fait, auparavant les autorités s’employaient à supprimer le contenu des internautes. Dorénavant, elles suppriment directement les plateformes qui résistent et tiennent à préserver la liberté d’expression. Voilà une bien étrange conception de la “démocratie”.

La population, qui s’intéresse de très loin à ces sujets et qui fait confiance aux autorités, pourra-t-elle résister? La France réussira-t-elle son pari de vacciner des millions de gens alors que le souvenir des injections anti-covid est encore vivace? Entrainera-t-elle derrière elle tous les autres pays occidentaux dans une nouvelle “folie vaccinale”? Le passeport vaccinal sera-t-il adopté par les citoyens des cinq pays où il est actuellement testé?

À la vue de tout cela, il n’est pas exagéré de penser que les prochains mois vont s’avérer cruciaux pour l’avenir de l’humanité.