Auteur : Christian Leray M.A.

 

Lorsque « l’épidémie de COVID-19 » touche le Québec en mars 2020, la population se tourne vers les autorités de santé publique (Santé Québec, Santé Canada, l’INSPQ pour ne citer que les plus connus). Celles-ci allaient imposer trois confinements et deux couvre-feux, déclarer que le masque était inutile… avant de le rendre obligatoire. Elles ont ensuite promu les vaccins anti-COVID-19 et ont justifié le passeport vaccinal. Pendant tout ce temps, la population leur a fait confiance. Mais celle-ci était-elle justifiée? Un peu plus de 3 ans après le début du premier confinement, cet article propose un retour rapide sur chacun de ces points avec un focus particulier sur les vaccins, notamment les données que partageaient les autorités.

Ce dossier étant assez volumineux, nous le publions en plusieurs parties.

 

Stupeur et confinements

Une inaction qui questionne

On ne s’en souvient plus vraiment, mais au début, alors que la ville de Wuhan en Chine était en état de siège, les autorités n’étaient pas particulièrement inquiètes par ce que l’on appelait alors le coronavirus, voire parfois le « virus chinois » (nous ne reviendrons pas ici sur l’origine du virus qui pourrait faire l’objet d’un livre à lui seul). Ainsi, aucune mesure particulière n’a été prise aux aéroports pour demander aux gens qui arrivaient de Chine, voire de Wuhan même, de s’isoler. Cette position est résumée par la ministre française de la Santé de l’époque, Agnès Buzyn, qui affirmait le 24 janvier 2020 que « les risques de cas secondaires autour d’un cas importé sont très faibles, et les risques de propagation du coronavirus sont très faibles. ».

Pourtant, elle reconnaitra quelques semaines plus tard qu’elle n’en avait jamais rien cru. Elle déclarait ainsi le 28 juin 2020 :

Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine : le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumopathies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. […] Quand j’ai quitté le ministère, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous.

À l’époque, en France, on se moquait des affiches qu’elle faisait installer dans les aéroports :

Avec le coronavirus, l’épée de Damoclès d’une pandémie plane sur la France. Et que fait le gouvernement? Agnès Buzyn annonce un branle-bas de combat : placarder des affiches dans les aéroports (oui oui) et mettre en place un numéro vert ! Ça serait hilarant si ça n’était dramatique.

Au Québec et au Canada, la situation était similaire. Les autorités restaient atones et ne prenaient aucune mesure (on apprendra que le gouvernement fédéral refusait d’agir pour ne pas « blâmer les étrangers et les autres pays »). Seule la Ville de Montréal, « frustrée par le gouvernement Trudeau », prenait des mesures à l’aéroport :

Écœurées par « l’inaction » du gouvernement fédéral, la Direction régionale de santé publique et la Ville de Montréal veulent envoyer plusieurs dizaines d’agents à l’aéroport Trudeau pour sensibiliser les voyageurs arrivant dans la métropole.

Et l’on était là le 15 mars 2020. Il était en fait déjà beaucoup trop tard.

Les autorités de santé savaient donc qu’un virus potentiellement « dangereux » allait arriver mais elles ont minimisé les risques et n’ont rien fait, permettant à la maladie de se propager. On peut légitimement se demander pourquoi? Peut-être car elles savaient, comme le concluait cet article (Broad-spectrum coronavirus antiviral drug discovery, Tortura & Bavari, mars 2019)… et dont elles avaient forcément pris connaissance, que les coronavirus ne sont pas dangereux pour la population en général et que « les populations les plus vulnérables sont les patients de plus de 65 ans et les patients présentant des comorbidités ».

 

Des données rassurantes

Une fois le virus disséminé, les médias ont commencé à rapporter les statistiques de la santé publique, surtout les données de l’INSPQ (Institut national de la santé publique du Québec), avec un égrenage quotidien du nombre de « cas », d’hospitalisations et de morts. Ce décompte anxiogène a terrorisé la population qui a accepté les confinements.

Mais ce virus était-il si dangereux?

Tout d’abord, on remarque que 99,9% de la population a survécu. En effet, d’après l’INSPQ, 7 882 personnes seraient décédées de la COVID-19 en 2020, année où il y aurait eu le plus grand nombre de décès. Sachant que nous sommes 8,5 millions de québécois, cela signifie que le taux de mortalité de la COVID cette année-là était de 0,09% et que donc le taux de survie était de plus de 99,9%.

Puis quand on regarde plus en détails les données de l’INSPQ, on relativise encore davantage. En effet, le tableau 2.2 de l’INSPQ sur les conditions médicales préexistantes (c’est-à-dire les comorbidités comme le cancer, les problèmes cardiaques, le diabète, l’hypertension, etc.), montrait dès la 1e vague que l’immense majorité des personnes qui décédaient étaient déjà très malades et très âgées. Exactement ce qu’avaient prévu Tortura et Bavari (cf. l’article que nous avons mentionné plus haut). Ainsi, 92% des personnes décédées avaient au moins deux comorbidités tandis que la moyenne d’âge des décès était de plus de 83 ans (ces chiffres ont légèrement varié au cours de la période, nous donnons les derniers chiffres disponibles sur le site de l’INSPQ).

 

2.2 – Nombre de décès cumulatifs selon la présence d’une condition médicale préexistante par groupe d’âge

GROUPE D’ÂGE 0 CONDITION
PRÉEXISTANTE
1 CONDITION
PRÉEXISTANTE
2 CONDITIONS
PRÉEXISTANTES OU PLUS
NOMBRE % NOMBRE % NOMBRE %
Moins de 10 ans n.d. n.d. n.d. n.d. n.d. n.d.
10-19 ans n.d. n.d. n.d. n.d. n.d. n.d.
20-29 ans n.d. n.d. n.d. n.d. 8 66,7
30-39 ans n.d. n.d. n.d. n.d. 27 71,1
40-49 ans 20 23,3 16 18,6 50 58,1
50-59 ans 37 10,8 35 10,2 270 78,9
60-69 ans 69 6,6 92 8,8 882 84,6
70-79 ans 84 2,8 192 6,4 2 722 90,8
80-89 ans 93 1,6 260 4,5 5 362 93,8
90 ans et plus 86 1,9 188 4,1 4 299 94,0
Total de décès jumelés 401 2,7 787 5,3 13 622 92,0

n.d. Le nombre de décès et le pourcentage ne sont pas diffusés lorsque le nombre de décès est inférieur à 5 ou lorsqu’il est possible de les déduire.
Le nombre total de décès ne correspond pas toujours à la somme des décès dans les groupes d’âge à cause de valeurs inconnues ou de décès hors Québec.

 

Peut-on qualifier de « pandémie mondiale » un virus qui tue moins de 0,1% de la population, sachant en outre que ce 0,1% est composé à 97% de personnes très âgées et très malades, tandis que la moyenne d’âge de leur décès est supérieure à l’espérance de vie? Le tout alors que tous les traitements étaient interdits?

Tout cela les autorités le savaient grâce aux données chinoises. C’est d’ailleurs ce qui explique les déclarations de madame Buzyn, mais aussi celles de M. Arruda, le chef de la Santé publique du Québec, qui déplorait le 30 janvier 2020 « une épidémie de peur », expliquant que « les personnes infectées ailleurs présenteraient en grande majorité des symptômes légers et ne nécessitent pas d’hospitalisation ». Le Journal de Montréal, toujours ce 30 janvier, rapportait ainsi que le « directeur de la Santé publique appelle donc la population à maintenir ses activités et ne pas se laisser emporter par l’épidémie de peur qui sévit actuellement ». Pour sa part, madame McCann, l’alors ministre de la Santé, cherchant à « apaiser ce sentiment de crainte », affirmait qu’ « on n’a pas de mesures additionnelles actuellement parce que la situation est sous contrôle et que le risque est faible ».

M. Arruda aura même ces paroles qui résonnent particulièrement aujourd’hui quand on voit la tournure qu’ont pris les évènements : « La perception du risque contrecarre quelque peu les efforts que l’on fait. […] Mais c’est la fiction, pas la réalité. Et si un jour la fiction rattrape la réalité, nous serons prêts à réagir. » On allait voir quelques semaines plus tard comment ils « [seraient] prêts à réagir. » Un recours collectif sur la « gestion » dans les maisons de retraite (ou CHSLD pour Centres hospitaliers de soins de longue durée) vient d’ailleurs d’être intenté contre les autorités. Cette volonté de rassurer la population est résumée le 2 février par ce titre du Devoir : « Au Québec, la grippe saisonnière est plus à craindre que le coronavirus ». Cela continue le 19 février lorsque Le Monde titre : « L’épidémie de Covid-19 fait moins de morts que la grippe mais suscite beaucoup d’inquiétudes ».

Le 21 février, nouveau titre rassurant du Devoir qui affirme que « le COVID-19 [est] plus contagieux mais moins mortel que le SRAS ». On sait donc à ce moment que la covid n’est pas dangereuse car « la pneumonie qu’il engendre affecte très peu les personnes en bonne santé, souligne une étude menée par le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies ». Mieux, on sait que les enfants sont de très faibles propagateurs : « Parmi les cas confirmés par un test de laboratoire, seulement 0,9 % d’entre eux étaient âgés de moins de 9 ans, et aucun enfant de cette catégorie d’âge n’est décédé d’une infection au COVID-19. […] Par contre, le taux de létalité augmente rapidement à partir de 60 ans, passant de 3,6% chez les personnes de 60 à 69 ans, à 8% chez les patients âgés de 70 à 79 ans, et à 14,8 % chez ceux de 80 ans et plus. » On comprend mieux alors que M. Arruda soit parti au Maroc… du 26 février au 8 mars « pour effectuer un voyage d’affaires, mais surtout d’agrément », comme le rapportait pudiquement Radio-Canada… voyage que l’on apprendra le 12 juin 2020, soit après la 1e vague.

Cela valait mieux car comme on l’a déjà vu, cela signifie que la Santé publique savait dès le début que l’immense majorité de la population ne courrait quasiment aucun risque et que les personnes qui décédaient étaient très âgées et très malades… la preuve étant que son chef s’était permis de prendre des vacances. Mais comment aurait réagi la population si elle avait appris qu’en pleine pandémie meurtrière M. Arruda prenait des vacances… le tout alors qu’il a refusé de s’isoler les 14 jours réglementaires à son retour! Car, en fait, comme le montrent les données de l’INSPQ, confirmées par les données chinoises, il s’agissait de personnes dont l’espérance de vie était déjà très réduite, qui mourraient essentiellement AVEC la COVID-19 (c’est-à-dire qu’elles décédaient alors qu’elles souffraient déjà d’autres graves pathologies, voire que ces personnes sont en fait mortes d’autre chose mais qu’elles étaient « hâtivement » classées « mort COVID-19 » ou, plus tard, qu’elles avaient simplement un test PCR positif) et non DE la COVID-19 (personne « en santé » avant de contracter la COVID-19 et finalement décédée de cette maladie uniquement).

 

Un virus dangereux qui justifie 3 confinements?

Pourtant, seulement 3 jours après le retour du chef de la santé publique, soit le 11 mars, le jour où la Chine commence à déconfiner Wuhan, l’OMS déclare la « pandémie mondiale ». Puis le 22 mars, les pays du monde entier, dont le Québec, décident de confiner. Alors que comme on l’a vu, les autorités de santé publique savent que la COVID-19 ne représente pas une menace…

Cette apparente contradiction est résumée par ces paroles de Boris Johnson, ancien premier ministre britannique, qui déclarait à ses ministres et conseillers, croyant que ses paroles ne seraient jamais divulguées (mais qui furent finalement rendues publiques 3 ans plus tard dans ce que l’on appelle les Lockdown Files), que « si j’avais 80 ans et que je devais choisir entre détruire l’économie, ou risquer une maladie avec 94% de chances de survie je sais ce que je préférerais ». C’est donc en toute connaissance de cause, sachant que la COVID-19 ne constituait pas une réelle menace pour la population générale et que les mesures auraient en fait une efficacité négative (par exemple le gouvernement anglais savait que les confinements mèneraient à plus de décès par suicide chez les jeunes que la COVID-19 elle-même, au Québec on comptera plus de 200 suicides de jeunes de moins de 25 ans de mars 2020 à fin 2022, « soit 43 % de plus que sur la route pour la même catégorie d’âge »), que les autorités ont décidé de « détruire l’économie » comme le dit Johnson.

L’argument principal était que les confinements permettraient « d’applanir la courbe des hospitalisations ». Cependant, les données montrent que les personnes hospitalisées pour la COVID-19, qu’elles soient vaccinées ou non, n’ont pas surchargé le système de santé. Ainsi, la moyenne des hospitalisations COVID-19 sur le total des hospitalisations était de 2,1 % en 2020 et 2,3 % en 2021. Au pire de la 1e vague, le 20 avril 2020, le taux des hospitalisations COVID-19 a atteint 5,9 % du total. Le tout alors que l’activité hospitalière chutait de 17 %. Ce qui montre que plusieurs hôpitaux ne fonctionnaient pas au maximum de leur capacité, des services entiers ayant été transformés en unités COVID-19. Des services qui fonctionnaient donc au ralenti pendant que des opérations et des rendez-vous pour détecter des cancers ou autre étaient reportés aux calendes grecques. Ce qui a eu pour conséquence principale de générer un énorme retard et de mettre en jeu le pronostic vital de milliers de personnes.

Ce graphique permet de réaliser à quel point, hormis peut-être pour quelques hôpitaux à certains moments, la COVID-19 n’a eu qu’un impact très limité sur le système de santé :

 

Celui-ci montre l’évolution de l’ensemble des hospitalisations. On voit clairement la baisse drastique de l’activité hospitalière en 2020, ce qui démontre que les hôpitaux, hormis à certains moments, n’ont pas été débordés :

 

Ces données sont confirmées par au moins deux sources :

  • le Journal Métro qui affirmera en janvier 2022 « qu’il pourrait manquer de places dans les hôpitaux, une première depuis le début de la pandémie »… ce qui montrait que les  hôpitaux n’avaient pas été débordés;
  • le Dr Karl Weiss, qui déclarera en novembre 2022 qu’ « on n’a pas du tout eu l’impression qu’on a vécu un système qui était tiré à l’extrême» (à 12’20).

Rappelons que les urgences débordées sont le quotidien des hôpitaux au Québec depuis des décennies… et que plutôt que de rajouter des lits, alors que l’on était en pleine « pandémie », les autorités en ont au contraire fermé 3000. Le journal Métro constatait ainsi que « 15 000 lits étaient disponibles au Québec pour les soins de courte durée, en mars 2020, [tandis qu’on] en compte aujourd’hui 12 000 ».

Pourtant, les autorités de santé ont appelé à confiner la population au grand complet. Et pas une, pas deux, mais bien trois fois (de mars à juin 2020 pour le premier confinement, d’octobre 2020 à mai 2021 pour le deuxième et de décembre 2021 à février 2022 pour le troisième)!

 

Des confinements avec une « efficacité négative »

À l’heure du bilan, un des responsables de la stratégie anti-COVID-19 en Israël, le professeur Cohen, directeur du laboratoire d’immunothérapie de l’université de Bar Ilan, estime que la décision « a eu un certain bénéfice (c’est nous qui soulignons), du moins la première fois. […] Les confinements qu’on a eus après, je suis beaucoup moins sûr qu’ils étaient essentiels. » C’est ce qu’il déclare à 1’32 dans ce vidéo en répondant à la question de l’animateur : « Est-ce qu’il y a un bénéfice probant à nous avoir enfermé? Oui ou non. »

Il confirme là les constats réalisés par des chercheurs de l’université John Hopkins qui ont conclu que globalement « les confinements ne sont pas un moyen efficace de réduction de la mortalité durant une pandémie. » Le plus étonnant étant qu’ils notent que leurs résultats sont en adéquation avec l’OMS qui avait remarqué en 2006 que « les rapports sur la pandémie d’influenza de 1918 indiquent que les mesures de distanciation sociale n’ont pas empêché ou semblé réduire considérablement la transmission. » Le tout alors que les données de terrain prises dans le paquebot Diamond Princess, dans lequel une foyer de COVID-19 avait eu lieu en février 2020 et qui avait été soumis à une quarantaine très stricte avec interdiction pour les 3 000 passagers de sortir de leur cabine, avaient montré au monde entier que les confinements étaient inefficaces. Les médias notaient ainsi que le « taux d’infection à bord du navire [était] environ 4 fois plus élevé que le taux observé dans les zones les plus infectées de Chine »… et qu’une « évacuation précoce des passagers aurait probablement évité plus de 500 cas d’infection ».

Comment a-t-on pu alors décréter 3 confinements, sachant que la population n’avait quasiment rien à craindre, ce que confirmaient les données dont disposaient les autorités… tandis que les risques sur la santé mentale, notamment celle de nos jeunes, ainsi que les coups portés à notre économie, étaient démesurés? À ce sujet, Le Figaro ose la comparaison tant décriée avec la Suède. En effet, ce pays n’ayant jamais appliqué aucune mesure était l’exemple des « complotistes ». À la fureur des médias subventionnés, il leur permettait de montrer que les confinements étaient non-seulement inefficaces, puisque le bilan de la situation sanitaire de la Suède était comparable à celui des autres pays qui avaient appliqué des mesures très strictes, mais que ceux-ci avaient eu des répercussions très négatives sur l’économie puisque la Suède a réussi à ne pas faire exploser sa dette durant la « pandémie ».

C’est ce que résume cette illustration du Figaro :

Alors que l’on sait grâce aux Lockdown Files et au tableau 2.2 que la Santé publique était consciente que la COVID-19 ne menaçait pas l’essentiel de la population, cette confirmation que les confinements étaient inutiles, puisqu’ils n’ont pas permis d’avoir de résultats sanitaires supérieurs aux pays qui n’ont appliqué aucune mesure (le cas de l’Angleterre qui a levé toutes les mesures à partir de juillet 2021 est aussi très parlant), en dit long. En effet, les confinements n’ont non seulement servi à rien mais ils ont eu des effets négatifs graves :

  • ils ont entraîné de nombreux problèmes, notamment des retards d’apprentissage et de socialisation chez les jeunes, ainsi que de nombreux problèmes de santé mentale. Le Figaro rapporte ainsi une étude du Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA) selon laquelle « 24 % des jeunes sondés déclarent avoir des pensées suicidaires au quotidien ».
  • Ils ont fait exploser la dette des États qui sont maintenant dans une situation périlleuse à l’heure où les taux d’intérêt, sous couvert de lutte contre l’inflation, repartent à la hausse.

Et encore ne parle-t-on pas des couvre-feux, il y aurait beaucoup à dire sur ce sujet. Rappelons simplement ce tweet de Thomas Gerbet, journaliste à Radio-Canada :

 

Pour d’autres références sur l’inutilité et l’efficacité négative des couvre-feux, nous vous invitons à visiter le site couvrefeu.net.

Finalement, l’égrenage quotidien des décès, sans préciser qu’il s’agissait de gens très âgés et malades, a conduit à faire paniquer la population qui, sous le choc, a accepté la mesure. On pourrait se demander pourquoi cette volonté des autorités d’effrayer à ce point la population. Cependant, les propos du ministre britannique de la Santé, Matt Hancock, qui s’interrogeait pour savoir « quand parler du nouveau variant [alpha] » afin de faire peur et que « les gens se fassent dessus », ne laisse guère place au doute : Il s’agit clairement d’ingénierie sociale, c’est-à-dire une technique de manipulation utilisée par les autorités pour inciter les gens à se conformer.

Et pour y arriver, tous les moyens ont été bons, à savoir « détruire l’économie » et fragiliser la santé mentale des plus fragiles, notamment celle de nos jeunes. C’est tout simplement criminel. On pourrait s’arrêter là… mais ce n’est pas tout.

Fin de la première partie.
Retrouvez la suite dans la deuxième.