Nous lisons actuellement le livre de Christine Cotton, Tous vaccinés, tous protégés (que nous vous conseillons vivement de lire), qui revient en détails sur l’essai de Pfizer qui avait prétendument conclu à une efficacité de son « candidat vaccin » de 95%. Madame Cotton a aussi intégré les témoignages poignants de nombreuses victimes d’effets indésirables graves. En reprenant simplement les informations et données publiées par Pfizer, elle note une suite d’irrégularités et de manipulations qui défient l’entendement. 

On a plusieurs fois souligné les manipulations opérées par Pfizer lors de l’essai initial de son « vaccin ». On notera parmi les plus graves que :

  • seulement 170 personnes ont été infectées (sur plus de 40 000) durant l’étude. Il s’agit donc d’un échantillon trop réduit pour être significatif… et qui montre surtout qu’il n’y avait pas de pandémie avec un taux d’infection de 0,43%.
  • pas de double aveugle si bien que les soignants savaient qui a été vacciné. Ce simple biais aurait du faire annuler l’étude. D’autant que l’on apprend que par diverses méthodes, Pfizer a davantage fait se tester les non vaccinés, ce qui évidemment explique qu’ils aient été plus nombreux à être infectés.
  • il n’y a pas eu de suivi après la visite suivant la 2e dose. La suivante était prévue à 6 mois mais à ce moment l’essai initial était « fini » car pour des raisons « éthiques », Pfizer a permis aux membres du groupe placebo de se vacciner, ce que quasiment tous ont fait. Le résultat est qu’il n’a pas été possible de mesurer l’évolution des anticorps dans le temps… alors qu’une étude sur des macaques montrait qu’ils diminuaient deux mois après la 2e dose. Dès ce moment, Pfizer savait, contrairement à ce qu’elle a affirmé, que la « protection » n’est pas « durable ». La compagnie a donc très probablement agi intentionnellement en ne programmant aucune visite entre celle suivant la 2e dose et celle à 6 mois afin de masquer la chute des anticorps. Si l’étude l’avait montré, les régulateurs auraient-ils donné une autorisation d’urgence à ce produit dont « l’efficacité » était au mieux de quelques semaines, ce qui condamnait la population à se faire injecter aux 6 mois, voire aux 3 mois comme le suggérait le Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI)?
  • des victimes d’effets indésirables graves ont été retirées, comme par exemple l’avocat argentin Augusto Roux (il en a été de même avec Maddy de Garay, pour l’essai sur les jeunes), ce qui là encore, a permis de donner un faux sentiment de sécurité.
  • Etc.

 

Mais ce n’est pas tout : voilà maintenant que l’on apprend que Pfizer a caché près de 80% des décès de l’étude aux régulateurs!

How Pfizer Hid Nearly 80% of COVID Vaccine Trial Deaths From Regulators

 

La « technique » a consisté à faire un mauvais suivi des personnes décédées. Ainsi, alors que pour un total de plus de 40 000 personnes, on aurait du s’attendre à 222 décès, seulement 38 ont été rapportés dans le rapport Pfizer soumis à la FDA pour une demande d’autorisation urgente.

Pour ce faire, une technique utilisée a été de rapporter les décès avec lenteur. Par exemple, « Dans un cas, il s’agissait d’une femme de 63 ans décédée 41 jours après avoir été vaccinée, mais dont le décès n’a été pris en compte que 37 jours plus tard. Dans un autre cas, il s’agissait d’une femme de 58 ans dont le décès 72 jours après la vaccination n’a pas été signalé pendant 26 jours. »

Cela a permis de faire en sorte que ces décès ayant été signalés « tardivement », ils n’ont pas été inclus dans le rapport soumis à la FDA.

Mais les auteurs constatent surtout que le suivi des patients était défaillant. Ainsi les responsables des essais ont perdu la trace de nombreuses personnes qu’elles ont été incapables de retrouver! Il y aurait un total de 395 sujets dans ce cas. Serait-ce parce qu’elles étaient décédées?

Le résultat est que cela a permis de donner un faux sentiment de sécurité. Le tout alors que l’on se rappelle que la compagnie a brandi fièrement son 95% d’efficacité alors que dans le même temps il y avait plus de décès dans le groupe des vaccinés que dans le placebo, comme le montre les données cachées dans l’Appendix de l’article du New England Journal of Medecine traitant des résultats de l’essai… publié le 31 décembre 2021, soit plus d’un an après la mise en marché et à une date qui permet de passer sous les radars.

Tout cela aurait du faire lever quelques drapeaux.
Tout cela devrait faire la Une des médias subventionnés.

Mais toujours rien.