Nous avions déjà traité de l’efficacité des injections à ARNm en début d’année. En nous basant sur les propres données de la Santé publique, nous avions montré qu’après deux ans de « vaccination », le produit expérimental avait une efficacité négative. Ni les autorités, ni la presse subventionnée et encore moins les « fact checkers » ne nous ont « débunké ». Et pour cause : il est difficile de désavouer ses propres données, pourtant largement manipulées

Voici qu’à présent le ministère allemand de la Santé reconnait « qu’il n’y avait pas de « différence significative dans la mortalité globale » entre ceux qui ont été vaccinés contre le Corona et ceux qui ne l’ont pas été ». Au printemps, le ministre s’était piteusement excusé des effets indésirables qu’il avait niés pendant des mois et alors qu’il avait mis une intense pression pour forcer la « vaccination ». Bref, il est maintenant clair en Allemagne que les injections sont au mieux inefficaces… mais qu’elles produisent de graves effets indésirables. La balance bénéfice/risque est donc négative.

On comprend mieux le pourquoi d’un tel aveu quand on étudie les données que vient de publier l’Office for National Statistics (ONS, Angleterre). Celui-ci vient en effet de publier les données des décès toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal. Il s’agit des données que Santé Québec dit ne pas avoir car la collecte « risquerait de nuire sérieusement aux activités de l’organisme ».

Et bien ces données sont catastrophiques pour les « vaccins ». En effet, elles montrent que :

  • Les non vaccinés, qui représentent 18,5% de la population comptent pour… 3,3% de l’ensemble des décès.
  • Inversement, le pourcentage de personnes ayant reçu au moins une dose est de 81,5% tandis qu’ils représentent 96,7% des décès.

En fait, chaque dose empire le mal. Par exemple, les personnes qui ont reçu 3 doses sont 65% de la population mais représentent 91,5% des décès.

Bien sur, ce sont des données brutes à affiner car la population vaccinée est plus âgée que celle non vaccinée et est donc plus à risque de décéder. Mais il apparait clairement qu’au mieux les « vaccins » n’ont sauvé aucune vie. D’autant qu’elles viennent confirmer les constats que nous avons faits suite à l’analyse des données sur les décès covid en fonction du statut vaccinal que nous avions pu effectuer suite à une demande d’accès à l’information. Nous avions alors appris que les vaccinés, qui sont environ 85% de la population, représentent 95% des décès :

Sauf que dans le même temps, comme le disait Robert Kennedy, d’après l’essai initial de Pfizer il faut vacciner 22 000 personnes pour sauver une vie. Mais dans les pays où la pharmacovigilance est effectuée avec un minium de sérieux, on voit qu’il y a de nombreux effets graves. L’agence finlandaise de paharmacovigilance rapporte ainsi 1 effet indésirable grave toutes les 2 000 doses. On est loin des 22 000 vaccinés.

Les injections ne sont donc ni sures ni efficaces. C’est même une catastrophe sanitaire, d’autant que l’on n’en connait toujours pas les effets à long terme.

Les autorités connaissent forcément ces données. Pourtant elles relancent une nouvelle campagne de vaccination.

 

Peut-on se fier aux études?

Mais ce n’est pas tout : on remarquera que pour arriver à cette conclusion, le ministère se réfère à l’étude initiale de Pfizer. Pourquoi ne pas se référer à des études plus récentes? Tout simplement car d’après le ministère, « toutes les études ultérieures citées par le gouvernement fédéral ne répondaient pas aux mêmes normes scientifiques et n’avaient donc pas la même validité ».

Cela signifierait donc qu’elles n’ont aucune valeur. Il y a de quoi s’interroger quand on voit les manipulations et trucages de l’étude initiale de Pfizer…qui est pourtant citée en référence par le ministère allemand de la Santé. Mais comment être surpris quand on se remémore les propos des éditeurs des deux journaux scientifiques parmi les plus réputés au monde, à savoir The Lancet et The New England Journal of Medecine?

En 2016, l’éditeur du Lancet dénonçait le fait que de nombreuses études scientifiques sont fausses.

« Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, a récemment fait une annonce disant qu’un nombre scandaleux de publications d’études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses. »

Pour sa part, Marcia Angel, éditrice du New England Journal of Medicine, a reconnu, « à contrecœur », qu’ « il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée ou de s’appuyer sur le jugement de médecins de confiance ou sur des directives médicales faisant autorité ».

La suite devait leur donner raison puisque quatre ans plus tard The Lancet publiait son étude frauduleuse sur l’hydroxychloroquine (appelée depuis le « Lancetgate »). On remarque ainsi que les journaux scientifiques, hormis quelques très rares exceptions, n’ont aucun problème à publier des études émanant directement d’organismes de santé publique ou de chercheurs perclus des conflits d’intérêts, étant financés par d’innombrables compagnies pharmaceutiques.

On pourrait continuer encore longtemps sur le sujet tant il y a à dire. Mais voilà qui explique comment autorités et médias ont pu nous faire paniquer pour un virus auquel 99,9% de la population a survécu et nous faire croire à un « vaccin sur et efficace »… alors que toutes les données montrent l’inverse.