Souvenez-vous : à l’automne 2021 les autorités nous prévenaient qu’un nouveau variant « beaucoup plus contagieux » venait de faire son apparition. Il s’agissait d’Omicron, décrit comme un rhume par le médecin français Gérald Kierzek. Réinfo Québec avait publié un communiqué pour tenter de ramener un peu de rationalité. En vain. Pourtant, les autorités levaient toutes les mesures en février 2022, soit quelques semaines plus tard. De nouveau, à l’automne 2022, d’après médias et autorités, nous faisions face à une triple épidémie de covid, de grippe et de virus syncitial (VRS), au point où l’on est passé à un cheveu d’un retour des masques obligatoires, même pour les enfants. 

Cela nous avait amené à produire cet article sur la balance bénéfice/risque des masques qui concluait qu’elle était négative car :

  • Les études, comme celle de Cochrane, un institut très respecté, ne montrent aucune efficacité des masques. Une autre publiée récemment n’a montré absolument aucun «changement statistiquement significatif» dans le taux d’infection au COVID entre les moments où les masques étaient obligatoires et ceux où ils ne l’étaient plus.
  • Les masques sont toxiques. De nombreuses publications scientifiques montrent qu’ils contiennent de nombreux produits chimiques cancérogènes comme de l’oxyde de titane, du graphène ou encore des nanoparticules.
  • Des études montrent que les dommages collatéraux des « mesures sanitaires » dépassent largement les bénéfices. Ainsi, l’impact psychologique, notamment sur les jeunes, est catastrophique. Une recherche menée par la Dr Mélissa Généreux auprès de 33 000 jeunes montrait que le quart d’entre eux avait déclaré qu’il pensait qu’il serait mieux mort ou qu’il avait pensé à se blesser.

Cela nous avait amené à publier cette image sur la balance bénéfice/risque des masques :

En dépit de tout cela, les autorités de santé et le Collège des médecins (CMQ) avaient appelé au port du masque.

Certains voulaient même aller plus loin. Ainsi, alors que les médias mettaient une énorme pression pour le retour du port obligatoire du masque et s’indignaient quasiment que le gouvernement se contente seulement de le recommander, Gaston de Serres, de l’INSPQ, appelait même à demi-mot à reconfiner… mais déplorait que « de telles mesures obligatoires ne passent plus dans la société ».

Cependant, à la surprise des médias subventionnés, le nombre de cas de covid et de VRS s’est stabilisé et a même diminué à partir de décembre et la question fut oubliée. Notons au passage qu’à l’époque les morts de la covid n’avaient quasiment plus rien à voir avec les « vagues » précédentes tandis que le VRS ne fait quasiment aucune victime (aucun article de la presse subventionnée ne semble en faire état si ce n’est celui-ci qui ne pouvait conclure)… ce qui n’empêchait pourtant pas les autorités de vouloir nous remasquer et nous réenfermer.

À la vue de tout ce que nous venons de voir, on peut se demander si l’on ne devrait pas se ranger derrière les propos du chef de la Santé publique de la Floride, Joseph Ladapo, qui exhorte la population… à ne pas se conformer aux obligations de port du masque.

De notre coté, nous avons mis à jour notre image sur la balance bénéfice/risque des masques, que nous vous invitons à partager et diffuser. On voit encore trop de personnes le porter, inconscientes des méfaits pour leur santé d’une utilisation prolongée.

 

Épidémie de peur

Malgré tout cela, voici qu’autorités et médias nous rejouent exactement la même partition qu’à l’automne 2022. Cette fois-ci avec Eris, un nouveau variant. Suivre le compte X du Collège des médecins est édifiant. Voici quelques-unes de ses dernières publications :

 

 

 

 

La table est donc mise : un nouveau variant arrive et les autorités tentent à nouveau de faire peur avec au programme port du masque, isolation des malades et nouvelle dose de « vaccin ». À quand le prochain confinement?

Mais doit-on pour autant paniquer? Ainsi, le Dr Karl Weiss affirme qu’Eris « provoque des symptômes qui ressemblent au rhume habituel ». De son côté, Diane Lamarre, la pharmacienne chroniqueuse santé de Quebecor, reconnait qu’ « il n’y a pas encore d’impact sur les décès ». Tout est dans le « encore ».

Mais il n’en fallait pas plus pour tenter de provoquer un début de nouvelle hystérie, ce qui fait titrer à Profession Santé (un site destiné aux professionnels de la santé, médecins, infirmières, pharmaciens et gestionnaires de santé du Québec) : « Soyez vigilants: une «tridémie» de virus s’en vient » (cet article est réservé aux abonnés de ce site et n’est pas accessible au grand public mais Réinfo Québec a pu mettre la main dessus). La fameuse « tridémie » est comme à l’automne 2022 la présence simultanée de:

  • La covid (pour laquelle le taux de survie est de 99,9% et dont l’âge moyen des décès est de 83 ans).
  • De la grippe.
  • Du VRS (d’après Santé Canada, « le virus respiratoire syncytial (VRS) est un virus respiratoire courant dans le monde qui cause habituellement une maladie bénigne accompagnée de symptômes semblables à ceux du rhume ». On comprend mieux pourquoi les « experts » interrogés et les autorités ne parlent que de « cas »).

 

La Presse, par l’intermédiaire d’Alice Girard-Bossé, fait aussi très fort. En deux articles, elle réussit à faire croire que :

  • Le Québec fait face à une nouvelle vague (à cause des festivals).
  • Les injections sont efficaces et qu’il faut donc se refaire inoculer. Pourtant elle cite la Dre Judith Fafard, directrice médicale du Laboratoire de santé publique du Québec, qui affirme qu’ « il n’y a actuellement aucune étude sur l’efficacité des anticorps à la suite de la vaccination ».

 

Des vaccins efficaces?

On apprend donc au détour de cet article qu’il n’y a pas d’étude sur l’efficacité des anticorps suite à la vaccination. Ce qui amène légitimement à se pencher sur efficacité des injections ARNm. D’autant que les autorités appellent à une nouvelle dose de « vaccin » pour tout le monde.

Premier constat : au moyen de procédés illégaux (les données ont été manipulées, le passeport vaccinal a bafoué le consentement libre et éclairé, etc.), le taux de vaccination a atteint environ 85%. Si on se fie à la promesse de Pfizer d’une efficacité de 95% contre la contamination, le taux de contamination aurait du être marginal. Pourtant, une étude, que l’on ne peut soupçonner d’être anti-vaccins puisque les auteurs se réjouissent que « Les Canadiens ont répondu merveilleusement à l’appel [de la vaccination] », a montré que le taux de séropositivité (le taux de contamination) est passé :

  • de 9 % en novembre 2021 (soit juste avant Omicron, alors que 85% de la population avait reçu au moins 2 deux doses)…
  • à 79,5% à la fin avril 2023 (alors que de nombreuses personnes avaient reçu 4 voire 5 doses, on ne peut même plus savoir car la santé publique ne semble plus indiquer les taux de vaccination).

On constate donc une explosion des contaminations. Ce qui montre que la vaccination est un énorme échec, d’autant que c’était la seule promesse de Pfizer. En effet, le fameux essai qui a conclu au célèbre 95% d’efficacité n’avait pas permis d’évaluer l’efficacité contre la transmission et les formes graves. Comment être surpris lorsque l’on sait comment l’essai a été manipulé. Puis on a vu que les injections n’ont jamais permis de réduire la transmission, tandis que le mythe de l’efficacité contre les formes graves n’a pu tenir face aux propres données que la santé publique rendait publiques (avant de les retirer tellement la situation était rendue intenable).

Nous avions ainsi publié un article en octobre 2022 qui montrait que les vaccins avaient une efficacité négative contre les décès covid. Cela était résumé par ce graphique qui montrait que plus de 95% des personnes qui décédaient de la covid étaient vaccinées  :

Depuis, la situation n’a pas évolué et on voit fleurir un peu partout, là où les discours alternatifs ne sont pas censurés, les dernières données de l’ONS (Office for National Statistics, Angleterre), qui montrent que la situation est inchangée avec 95% des morts covid depuis le début de l’année qui sont vaccinés :

Masques, confinements et couvre-feux ont échoué. Pire, ils ont eu une efficacité négative. C’est à se demander si les autorités n’ont pas fait exprès d’empirer le mal pour faire apparaitre les vaccins comme une sorte de dieu sauveur. Sauf qu’eux aussi ont échoué.

 

« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent »

Albert Einstein

 

Une étonnante insistance

Pourtant, malgré ces échecs répétés depuis plus de trois ans, les autorités appellent à nouveau à l’inoculation d’une nouvelle dose pour la population en général. Profession Santé affirme donc qu’ « un rappel de vaccin devrait être disponible dans le courant de l’année, probablement à partir d’octobre, avec des versions pour les adultes et peut-être aussi pour les enfants. L’immunité contre la COVID-19 commençant à s’estomper au sein de la population canadienne vaccinée, les médecins devraient également inciter leurs patients à faire le rappel pour eux-mêmes et leurs enfants ».

Tout cela ne serait pas si grave (encore que) si comme l’affirme la Dre Dubey, citée par Profession Santé, « le vaccin est sans danger ». Mais comme nous l’avons montré dans notre dossier consacré aux effets indésirables, c’est très loin d’être le cas. Les études sont légion qui montrent les incroyables effets indésirables des injections. Les CDC ont par exemple dû reconnaitre que leurs données montraient que « 7,7 % des injectés ont dû recevoir des soins médicaux après avoir reçu un vaccin Covid-19 ». Une autre étude publiée aux États-Unis, par des professeurs de Oxford, Harvard, Johns Hopkins, sur les données des fabricants et sur les chiffres des CDC, prouve que chez les jeunes de 18 à 29 ans, le « vaccin anticovid » est de 18 à 98 fois plus dangereux que le virus. C’était en 2022. Et les études comme les deux que nous venons de mentionner sont légion.

Efficacité négative, effets indésirables graves très fréquents… La balance bénéfice/risque des injections (et des masques) est donc très défavorable. Pourtant les autorités continuent d’en faire la promotion et tentent même de profiter de n’importe quel évènement, ausi anodin soit-il, comme un variant qui a « les symtômes du rhume » pour dérouler à nouveau leur agenda sanitariste. Agenda que malheureusement des millions de gens à travers le monde risquent de suivre à nouveau.

 

Des raisons économiques?

L’automne 2023 résonne donc comme celui de 2022, qui ressemblait déjà à ceux de 2021 et 2020. Les autorités se réessaieront-elles à chaque automne désormais? Alors qu’à chaque nouvelle dose les risques d’effets indésirables augmentent? Et que les personnes qui portent des masques se rendent davantage malade à chaque inspiration derrière le bout de tissus censé les protégér d’une menace pourtant quasi nulle (99,9% de la population a survécu à la covid et chaque nouveau variant est moins virulent)?

Comment expliquer qu’autorités et médias fassent preuve d’un tel aveuglement? En fait, la raison est très probablement économique : se pourrait-il que la baisse des revenus des compagnies de « vaccins » anti-covid puisse être une explication? En effet, avec la baisse des ventes, leurs bénéfices s’effondrent… ce qui va les forcer à réduire leurs dépenses en recherche et développement. Et donc freiner peut-être l‘arrivée des 500 ou 600 futurs vaccins à ARNm que l’on nous annonce… et peut-être remettre en question la construction de l’usine Moderna à Laval après les échecs de Medicago et Novavax, ce qui fait beaucoup d’argent public dilapidé en pure perte. Mais surtout, réduire les dividendes pour les actionnaires.

On comprend alors que le véritable enjeu autour d’Eris n’est pas un problème de santé publique… mais une question d’argent. Le tout au mépris de la santé de la population.