Alors que la dangerosité des injections covid ne fait plus aucun doute, que les scandales s’accumulent (contamination à l’ADN plasmidique, production de protéines absurdes, etc.), et en dépit de plusieurs tentatives de les alerter de notre part, les autorités continuent d’affirmer que les « vaccins » anti-covid sont surs. Face à cet incroyable déni, Réinfo Québec a donc décidé de contacter directement les 25 000 médecins de la province en leur écrivant directement. Désormais, ceux-ci ne pourront plus dire qu’ils ne savaient pas.
Premiers contacts lors de l’automne 2022
Inquiets des conséquences de la campagne d’injections ARNm, les médecins et scientifiques de Réinfo Québec décidaient à l’automne 2022 de contacter le Collège des médecins (CMQ). Après lui avoir envoyé trois lettres les 19 octobre, 3 et 21 novembre 2022, le CMQ acceptait finalement de rencontrer cinq d’entre eux le 7 décembre 2022 pour une rencontre cordiale d’une quarantaine de minutes.
Au cours de celle-ci, nos médecins ont exposé au président du CMQ, ainsi qu’à ses proches conseillers qui étaient avec lui, différents faits qui laissent peu de place au doute quant à l’inefficacité et surtout l’innocuité de ces produits géniques (par exemple, les propres données de Santé Québec montrent une efficacité négative des injections). La réponse du CMQ devait arriver quelques semaines plus tard.
À notre grand étonnement, alors que le CMQ avait pris une grande part à l’intense campagne de communication visant à ce que la population au complet se fasse injecter (cf. les captures de leur site Internet ci-dessous), ce qui laissait supposer une grande connaissance du sujet, le Collège nous a rétorqué qu’il n’était pas une « société savante » et nous invitait à nous référer à l’Institut national de santé Publique (INSPQ) et à l’Institut national d’excellence en santé et services sociaux (INESS).
Ces deux organismes n’ont jamais répondu à nos demandes tandis que le CMQ ne nous a plus donné signe de vie. Ce faisant, ces trois organismes n’ont jamais remis en cause aucune de nos affirmations. Alors que les propres données de la Santé publique montrent que les « vaccinés » décèdent davantage que les non vaccinés (en fonction de leur proportion dans la population) et que l’Institut de la statistique du Québec reconnait une hausse « inexpliquée » de 23% de la surmortalité chez les moins de 50 ans (avec de nombreuses pointes au-dessus de 50%, dont une à 90% en novembre 2023), cette attitude dénote une étonnante insouciance.
Envoi à 25 000 médecins
Face à ce refus de communiquer et surtout d’agir, et alors que dans le même temps éclataient de gigantesques scandales (passés sous silence) comme la contamination à l’ADN plasmidique et les « protéines absurdes » (dont les conséquences peuvent être des maladies auto-immunes, des cancers, une altération du génome, etc.), Réinfo Québec a alors décidé d’entrer en contact avec les 25 000 médecins du Québec afin de tenter de les informer. Grâce au travail exceptionnel de centaines de bénévoles et la mobilisation d’importantes ressources financières, nous avons finalement pu leur envoyer une lettre qui brossait un portrait simple de la situation.
Alors que notre campagne d’information des médecins avançait, le CMQ a été mis au courant, probablement par des médecins qui ont reçu la lettre. Sa réaction a été d’une étonnante désinvolture. Dans un communiqué intitulé « Le point sur la lettre circulaire de Réinfo Québec » que nous avons pu obtenir et qu’il a adressé aux 25 000 médecins du Québec le 2 février 2024, le CMQ répond en affirmant :
La position du Collège des médecins sur cette question demeure inchangée : ces vaccins ont sauvé des vies, ont grandement contribué à la fin de la pandémie et sont sécuritaires. Nous surveillons la situation de près, par le biais des études, des bilans et constats dressés à intervalles réguliers par l’INESS et l’INSPQ.
On constate donc qu’en dépit des nombreux éléments que nous lui avons apportés, éléments pourtant basés sur des faits, des études scientifiques et les propres données des autorités, le CMQ ne se pose aucune question et sa position « demeure inchangée ». C’est à peine croyable à l’heure où l’on continue d’injecter les femmes enceintes et les enfants de six mois, en dépit du bon sens.
Le CMQ n’avance aucun argument. Et lorsqu’interrogé sur notre campagne, il se contente de répondre lapidairement : « Nous désapprouvons la campagne de désinformation menée actuellement. ». Espérons qu’une réaction aussi limitée fera réagir quelques médecins et qu’ils poseront quelques questions à M. Gaudreault, son président.
En tout cas, ceux-ci ne pourront plus dire qu’ils ne savaient pas et nous vous invitons à en parler avec eux. Pour ce faire, vous pouvez consulter la page que nous avons spécialement dédiée aux médecins et qui est maintenant accessible à tous : https://reinfoquebec.ca/medecins. Vous y retrouverez les lettres que nous avons envoyées au CMQ, celle que nous avons transmise aux 25 000 médecins, ainsi que la documentation que nous avons mise à leur disposition.
Je ne comprends pas le acharnement je vois qu’ils ont peur parce qu’ils ont fait tellement de ravage. Dès la sortie de ses vaccins je ne comprenais pas du tout on sait très bien qu’un vaccin ça prend plus de 10 ans. Ce qui m’a mis la puce à l’oreille ce sont les premiers médecins et professeur sans conflit d’intérêt que j’ai entendu en Europe. Je vous incite quelques-uns le professeur Péronne le docteur Alexandra Henrion Caude, docteur Toubiana ainsi que notre fameux Didier Raoul aussi une ancienne travailleuse de l’OMS et M. NADJALI ÉCOUTEZ LE BIEN
https://www.facebook.com/100001049362437/posts/pfbid02kJGhTja8TUsaonRpBYCWXguGzkuMA47x79MPfAoQY3bgcGQRjTqfphepV1KyBNm5l/?mibextid=Nif5oz
Hélas, cette « noble » institution nous fait la démonstration qu’il n’y pas de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre et de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Mais un jour viendra où leur déni et leur inaction ne pourront plus passer sous silence. Le CMQ et ses dirigeants, ainsi que toutes les sociétés savantes qui nous ignorent auront à faire face à une imputabilité inévitable dont les conséquences seront d’autant plus pénibles, que ces institutions auront fait le choix d’ ignorer systématiquement nos mise en garde bien trop longtemps.
comment peut on agir de la sorte c’est sur que l’argent fait faire des choses inadéquates . il y en a pas un dans CMQ qui on une bonne coscience pour agir de la sorte. un jour le karmas va frapper et ce n’est pas moi qui va pleurer
Le Pr Raoult n’est pas une référence valable…..il a été dénoncé pour de nombreux conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, il est pro-vaccin et a recommandé au personnel de santé de se faire injecter. . Quant à A. H.-Caude. , celle -ci n’a jamais voulu admettre la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène. J’anticipe la lecture de la lettre d’information puisque de nombreux autres grands spécialistes non collabo… ont fait la démonstration du contenu des injections »covid19 » qui n’est pas un vaccin en soi mais une arme biologique provoquant la mort subite, et de nombreux effets secondaires. Pour ne mentionner que Dr Judy Moskovitz, Dr David Martin, Dr Mc Collough, Ana Maria Michealca , la Quinta Columna, et bien d’autres… avec mes respects!
https://twitter.com/haldol/status/1762821753858859047/photo/1
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Recycling_symbol2.svg?uselang=fr
«l rappelle à cette occasion que le « record
mondial de la productivité scientique est détenu par le chimiste Allan R. Katritzky »
(p.82) qui, au cours de sa carrière, a « cosigné 2 215 publications, soit une tous les dix
jours » (p.82). Katritzky pourrait bientôt perdre son titre aux mains du microbiologiste
Didier Raoult. Celui-ci cosignerait, en effet, une publication par semaine. Pour ce
faire, il faut évidemment être à la tête d’un laboratoire bien fourni en chercheurs et
s’octroyer le droit d’ajouter son nom à tous les manuscrits écrits par l’un d’eux, une
pratique bien connue. Comment en effet s’assurer qu’à ce rythme de production les
articles ne soient pas bâclés, ce que d’ailleurs reconnaît le chercheur concerné qui
avoue « ne pas relire les manuscrits comportant sa signature avant soumission »
(p.83). Pour leur part, les publications dîtes incomplètes, qui se traduisent par le
fractionnement des données en vue d’augmenter le nombre de publications, ont
reçu deux appellations au nom signicatif : les publications « salami » ou LPU (The
Least Publishable Unit)»
(https://www.researchgate.net/publication/321814599_Le_cote_sombre_de_la_science)
Bravo aux vaillants guerriers de lumière qui continuent de combattre le narratif officiel qui tient maintenant à un fil au point que les « autorités » s’affairent à vouloir créer sans cesse de nouvelles lois de censure de plus en plus tyranniques. C’est le comble de la malhonnêteté et frise le ridicule!