Auteur : Christian Leray M.A.

 

Alors que l’on a passé les 3 ans du début du premier confinement, Réinfo Québec a décidé de faire un bilan de ce que l’on peut appeler une « plandémie ». Nous avons publié il y a quelques jours les trois premières parties (partie 1, partie 2 et partie 3). Nous avons montré que les autorités ont sciemment laissé entrer le virus avant d’en prendre prétexte pour faire peur à la population et lui imposer des mesures « sanitaires » comme les confinements, les couvre-feux, les masques, et les vaccins… dont nous avons montré que toutes sont inefficaces avec des effets secondaires graves. Nous continuons notre étude avec ce qui a sans doute été le sommet de cette crise : l’instauration du passeport vaccinal. 

 

 

La folie du passeport vaccinal

Partant du principe que nous faisions face à un virus ravageur et que les vaccins étaient surs et efficaces (on a vu dans les parties précédentes que tout cela était faux), sous prétexte de santé publique et de réduire la transmission, les autorités ont décidé de restreindre l’accès à certains commerces ou services aux seuls vaccinés. Ce faisant, elles faisaient face à d’énormes contradictions que bien peu d’observateurs ont alors relevé (mais les médias subventionnés ne donnaient la parole qu’aux « experts » en faveur des « mesures »).

Rappelons tout d’abord qu’au moment de l’application de la mesure, tout comme lors de l’imposition des masques à l’été 2020, il n’y a quasiment plus aucun cas. Donc cette décision n’était pas sanitaire. Cela sera confirmé plus tard par de nombreux chefs de la santé publique de par le monde qui ont expliqué que le véritable but était de mettre la pression sur les non vaccinés pour qu’ils se vaccinent. Par exemple, en France, les médias rapportaient dès le printemps 2021 la volonté d’Emmanuel Macron d’imposer le passeport vaccinal, non pas pour empêcher la transmission mais pour inciter les « récalcitrants » à relever la manche :

Le projet élyséen à moyen terme n’est pas un bien grand secret : créer un système de QR-codes à scanner avant l’entrée dans les lieux publics pour identifier et suivre la personne. Le calcul politique est simple : les quelques récalcitrants, estimés à 20 % par la présidence, devront capituler de lassitude dans la guerre d’usure, sous peine d’être privés de restaurants, de vie culturelle, de vie sociale tout court.

Au Canada, la chef de la santé publique de la Colombie britannique a clairement expliqué que le but des passeports n’était pas de limiter la transmission dans les commerces (elle reconnaissait en toute « candeur » que l’on ne voyait pas de transmission dans ces lieux) mais bien de « créer un incitatif pour améliorer la couverture vaccinale ».

Ensuite, il est essentiel de réaliser qu’au moment de la mise en place de la mesure (qui avait en fait été décidée plusieurs mois plus tôt, par exemple au Québec, l’attachée de presse de Christian Dubé, le ministre de la Santé, en avait parlé dès le mois de février 2021 en ces termes : « C’est une innovation intéressante que nous devons explorer »), les autorités de santé avaient déjà en main les données qui leur permettaient de savoir que les vaccins n’empêchaient pas la transmission. C’était pourtant l’argument décisif, celui qui justifiait la mesure.

 

La protection contre la transmission : un vrai argument?

Tout d’abord, comme l’a reconnu madame Small, une dirigeante de Pfizer, la compagnie pharmaceutique ne savait pas au moment de leur mise en marché si les injections empêchaient la transmission. Elle a ainsi déclaré en riant, en octobre 2022, au parlement européen : « En ce qui concerne la question de savoir si nous étions au courant que le vaccin empêchait l’immunisation [sic] avant son entrée en marché, non ».

La question est donc de savoir si les autorités ont eu des preuves au cours du premier semestre 2021 que les injections empêchaient la transmission, condition impérative pour justifier l’imposition de la « mesure ». Cependant, jusqu’en juillet 2021, aucune étude, à notre connaissance, n’a montré que les vaccins empêchaient la transmission. La presse subventionnée, ébranlée par les déclarations de madame Small, a pourtant cherché à démontrer l’inverse. Les vérificateurs de fait de Libération (checknews) n’ont ainsi pu trouver qu’une seule étude (israélienne) publiée en juin 2021 qui établissait une corrélation « dans une zone donnée, [entre] le taux de vaccination des adultes [et] une baisse du taux d’infection des moins de seize ans, non vaccinés. »

On notera les points suivants :

  • La formulation est pour le moins ambiguë : on ne dit pas que les vaccins empêchent la transmission mais qu’il y aurait une « corrélation ». Rappelons que d’après la presse subventionnée, « corrélation n’est pas causalité ».
  • Ensuite, on ne parle pas d’un effet direct mais d’un impact chez les jeunes… non-vaccinés.
  • On ne dit pas que les vaccins empêchent la transmission, mais on parle d’une « baisse du taux d’infection ».

Finalement, ce qui est incroyable avec cette phrase est qu’elle donne l’impression, sans le dire, que l’étude a bien montré que les vaccins empêchent la transmission… alors que ce n’est pas absolument pas le cas puisque l’on parle d’une « corrélation » qui montre une « baisse » (et non une suppression) chez les « non vaccinés » (et non dans la population en général).

Cela permet pourtant à Checknews d’arriver à la conclusion étonnante que « le fait que les essais sur le vaccin n’aient pas cherché à mesurer l’efficacité contre la transmission avant sa mise en circulation ne signifie pas que celle-ci était nulle. De fait, les études ont donc démontré que ce n’était pas le cas. » Libération conclut donc que l’effet de la vaccination sur la transmission n’est pas nulle. Ce qui ne veut rien dire. Si elle n’est pas nulle, quel est le taux d’efficacité? Le quotidien français ne le dira jamais. On note aussi que Checknews parle d’ « étudeS » au pluriel. Pourtant, c’est à peu près la seule dont les médias ont parlé.

Cela est d’autant plus facheux quand on sait qui l’a réalisée et l’on comprend dès lors l’utilisation d’un langage alambiqué par les médias subventionnés. En effet, on apprendra que la fameuse étude a été réalisée par… le ministère israélien de la Santé et Pfizer. Vous avez dit conflit d’intérêt? De fait, les résultats de cette étude, probablement la seule qui montrait une « efficacité » des vaccins contre la transmission, auraient du être pris avec des pincettes.

 

Un risque de transmission divisé par 12?

Puis, pour justifier le passeport sanitaire, Emmanuel Macron, président français, allait affirmer que les vaccins permettent de diviser le risque de transmission du virus par 12. Pour ce faire, il a employé les résultats d’une étude de l’Institut Pasteur… mais qui était en fait une modélisation. La presse subventionnée a alors du admettre « que l’objectif de l’étude de l’institut Pasteur sur laquelle [il se base] n’est pas d’évaluer l’efficacité des vaccins comme les chiffres annoncés peuvent le laisser paraître, mais d’évaluer l’impact qu’auront les personnes non-vaccinées sur la suite de la pandémie »…

Si vous entrez dans le modèle un taux d’efficacité des vaccins de par exemple 90%, il est probable que vous obtiendrez ce genre de résultat. Cette étude ne prouvait rien et ne pouvait donc constituer une preuve de l’efficacité des vaccins. Mais grâce à une étude réalisée par le fabricant lui-même et une modélisation qui ne prouvent rien, médias et autorités réussiront à faire persister cette idée que les vaccins empêchent la transmission… ce qui ouvrira la voie au passeport vaccinal.

Pourtant, à cette époque les cas d’éclosions dans des environnements où il est censé n’y avoir que des vaccinés ou presque se multiplient :

On voyait donc, avant l’instauration du passeport vaccinal, que les arguments soutenant que les vaccins empêchaient la transmission étaient extrêmement légers, tandis que le principe de réalité (les contaminations en vie réelle) montraient de plus en plus que les injections étaient inefficaces. Ce principe de réalité devait mener à la publication de 3 articles fondamentaux qui auraient du faire du passeport un projet mort-né :

  • Le 23 juillet 2021, la presse subventionnée reconnaissait qu’ « à ce jour, aucune étude n’a réellement réussi a évaluer l’efficacité des vaccins sur les risques de transmission. » Traitant de la modélisation de l’Institut Pasteur, l’auteur de l’article mettra le sous-titre suivant : « Un chiffre à prendre avec des pincettes ».
  • Le Washington Post révélait le 28 juillet 2021 que des données montraient que les vaccinés peuvent transmettre le virus. Il rapportait que cela avait conduit les CDC (Centers for Disease Control) à recommander aux « personnes vaccinées dans les zones à risque de recommencer à porter des masques à l’intérieur ».
  • Pour sa part, Le Monde dévoilait le 30 juillet 2021 les résultats d’une étude israélienne qui montrait que « le vaccin de Pfizer et BioNTech ne protégerait plus qu’à 39 % contre l’infection ».

Cela signifie qu’au moment de l’application de la mesure, non seulement les autorités n’avaient aucune preuve de l’efficacité des vaccins contre la transmission… mais qu’au contraire tout montrait que cela n’était pas le cas.

 

Quand l’INSPQ se contredit à quelques semaines d’intervalle…

Au Québec, la situation fut un peu particulière en raison d’une publication de l’INSPQ (Institut national de santé publique du Québec) qui rapportait le 3 novembre 2021 (date de la dernière mise à jour de la page) « une efficacité vaccinale globale contre les décès de 95 % ». Radio-Canada affirmait que la protection était durable car « cette efficacité semble se maintenir aussi plusieurs mois après l’administration de la dernière dose. » Sauf que l’on devait apprendre que la fameuse publication faisait face aux problèmes suivants :

  • Prévue semble-t-il pour être publiée dans le prestigieux British Medical Journal (on ne peut plus le savoir car l’INSPQ a retiré de nombreuses informations de son site Internet), elle est restée en prépublication de longs mois, en fait durant toute la période du passeport vaccinal, passeport qu’elle était censée justifier.
  • Elle ne portait que sur un total de 96 personnes décédées de la covid dont « seulement 29 avaient reçu deux doses de vaccin depuis au moins 14 jours avant le début de leur maladie »… ce qui permettait de conclure aux auteurs à « une efficacité vaccinale globale contre les décès de 95 %. »
  • Elle a finalement été publiée dans le journal Clinical Infectious Disease le 30 novembre 2022… soit plus de 6 mois après le retrait de la mesure (qui a eu lieu au Québec début mars 2022) et plus d’un an après la prépublication, ce qui montre que cette recherche avait de sérieuses limites.
  • Limites que l’on peut comprendre à la vue de la section sur les conflits d’intérêts qui montre que les auteurs ont reçu de nombreux financements de Pfizer, Moderna et d’autres compagnies pharmaceutiques (Roche, GlaxoSmithKline, etc.). La section fait 20 lignes, ce qui est quasiment du jamais vu et montre que les auteurs de l’étude ne peuvent se prétendre indépendants et pose des doutes légitimes quant aux conclusions.

Puis toutes les études allaient confirmer dans les semaines et mois suivants que les vaccins non seulement n’empêchaient pas la transmission (celle-ci, publiée en décembre 2021, le montrait parfaitement mais il y en a eu bien d’autres, ainsi que cet incroyable article de Radio-Canada qui rapportait que lors d’un party de noël, 80 des 110 participants, tous vaccinés, avaient été contaminés… par une personne) et que la charge virale des vaccinés était égale à celle des non vaccinés, mais que leur efficacité diminuait avec le temps et face aux nouveaux variants… ce qui allait justifier la 3e dose.

Mais comment l’INSPQ, coincé avec son étude qui montrait une efficacité durable, allait-il pouvour justifier la 3e dose? L’Institut a alors publié une autre étude qui elle montrait que finalement l’efficacité n’était pas durable afin de justifier la 3e dose. Celle-ci a été publiée… le 16 décembre 2021 (peut-être plus tôt, la date sur le document n’est pas certaine)… soit à peine 1 mois et demi après la précédente, qui montrait l’inverse.

La section « Érosion de la protection conférée par une immunisation primaire » à la page 4 vaut la peine d’être lue : on y apprend que sur une sélection de 14 études, une seule montre une efficacité durable. Il s’agit de l’étude de l’INSPQ. Mais celui-ci ne s’en vante pas et se contente d’indiquer que « la seule étude ne montrant pas de diminution significative de la protection est celle réalisée au Canada, en Colombie-Britannique et au Québec respectivement. » C’est pourtant cette « étude » qui a justifié le passeport vaccinal au Québec.

Que dire?

On constate donc que les autorités de santé naviguent à vue, se contredisent. Qu’aucune étude n’a jamais montré que les vaccins empêchent la transmission… tandis que les données montrent que ce n’est effectivement pas le cas. Dans un monde « normal », la connaissance de ces informations fondamentales aurait dû faire que le passeport vaccinal, une mesure liberticide, n’aurait jamais du voir le jour.

 

Une mesure liberticide qui contrevient à différents traités internationaux

Mesure liberticide rappelons-le, en ce sens qu’elle a privé de droits élémentaires une partie de la population. Sans parler de l’interdiction d’aller dans les centres d’achats, au restaurant ou au cinéma, nous n’oublierons jamais le traitement abominable dont ont fait l’objet les non vaccinés dans les hôpitaux, qui refusaient de les accueillir (nous avons recueilli plusieurs témoignages à ce sujet), le traitement inhumain imposé aux femmes enceintes, l’interdiction faite aux non vaccinés de pouvoir venir visiter leurs proches, aussi bien dans les hôpitaux que dans les maisons de retraite (CHSLD).

Que penser de ces « médecins » qui ont refusé des greffes d’organes à des patients au motif qu’ils n’étaient pas vaccinés? Comment notre société a-t-elle pu accepter les déclarations d’influenceurs ou « experts » comme le Dr François Marquis qui a suggéré « de donner la priorité aux gens vaccinés pour les opérations non urgentes », prétextant que « c’est normal de miser sur les personnes qui comportent le moins de risque et de ne pas vouloir gaspiller d’organes »? Le plus incroyable est que le Collège des médecins du Québec (CMQ) ne l’a pas sanctionné au motif qu’il « ne [considère] pas que ses propos puissent avoir un impact réel sur l’accès aux soins. »

Et que dire du traitement innomable réservé aux soignants non vaccinés qui n’ont plus eu droit aux primes, ne pouvaient plus se faire engager dans un autre établissement, ont du se faire tester tous les 3 jours, alors que des vaccinés avec les symptômes de la maladie pouvaient continuer d’exercer? Nous avons recueilli de nombreux témoignages à ce sujet qui montrent l’inanité de ce qu’ils ont du subir pendant 2 ans.

Cette « crise » a agi comme un révélateur sur l’état de nos valeurs. Nous qui nous croyons dans des pays civilisés, avec de hauts standards moraux, où la vie humaine et le bien-être sont des valeurs cardinales, nous avons non seulement accepté l’inacceptable… mais nous l’avons même théorisé : refuser des traitements de soin à un non vacciné était soudainement justifié. Rappelons que le code de déontologie des médecins du Québec précise à son point 23 que :

Le médecin ne peut refuser d’examiner ou de traiter un patient pour des raisons reliées à la nature d’une déficience ou d’une maladie ou au contexte dans lequel cette déficience ou cette maladie présentée par ce patient est apparue ou pour des raisons de race, de couleur, de sexe, de grossesse, d’état civil, d’âge, de religion, d’origine ethnique ou nationale ou de condition sociale de ce patient ou pour des raisons d’orientation sexuelle, de mœurs, de convictions politiques ou de langue.

Que penserait-on de médecins qui refuseraient de soigner un soldat ennemi? Rappelons que « la loi stipule que toute personne majeure et capable de consentir aux soins a le droit de refuser un traitement nécessaire pour maintenir sa vie ou de retirer son consentement à un tel traitement« . Mais, en dépit de ce droit, en 2021 les non vaccinés étaient considérés par le corps médical comme plus dangereux que des ennemis (alors que l’on savait que les risques de la maladie étaient très faibles… et que les vaccins n’empêchaient pas la transmission). C’est dire où nous sommes rendus. Il est tragique de voir qu’aucune leçon, aucun enseignement n’a été retiré de tout cela, ce qui signifie que la même chose se reproduira au prochain « virus ». Voilà qui devrait nous inquiéter.

 

La fin du consentement libre et éclairé

Enfin, un concept central a été complètement oublié : le consentement libre et éclairé. Celui-ci a été clairement défini dans le Code de Nuremberg, un texte écrit dans la ville allemande où furent édictées les premières lois antisémites et où eut lieu le célèbre procès des criminels nazis après la fin de la deuxième guerre mondiale. « Au cours du procès des médecins de Nuremberg, l’accusation a mis en évidence la dimension particulièrement atroce des expérimentations médicales. Depuis des siècles, de nombreuses expériences humaines avaient été réalisées sans le consentement des sujets : mais jamais elles n’avaient atteint un tel degré dans l’horreur. » C’est pourquoi a été mis en place le consentement libre éclairé.

Voici ce qu’en dit le premier article du Code de Nuremberg :

Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Il est clairement indiqué qu’il ne doit pas y avoir d’ « élément de force », de « contrainte » ou « d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ». Mais qu’était le passeport vaccinal sinon une « forme sournoise de contrainte ou de coercition »?

Sachant que les injections étaient expérimentales (la fin de l’étude de phase 3 était prévue en 2024… même si l’on note que la page de l’essai indique maintenant février 2023), il s’agissait donc d’un essai et toutes les personnes qui acceptaient de se faire injecter étaient par le fait même des cobayes. Elles auraient donc dû connaître la balance bénéfice/risque et donner leur consentement. Ce qui ne fut pas fait. Et rend passible de poursuites civiles et criminelles tous les soignants qui ont procédé à la « vaccination ».

Depuis, afin de normaliser le tout, notamment après le scandale de la thalidomide, diverses chartes ont été signées par la plupart des États, comme la Déclaration d’Helsinki. Tous ces travaux n’ont pas été fait pour le plaisir mais bel et bien pour s’assurer que d’autres catastrophes ne soient commises. Il est confondant de voir à quelle vitesse les autorités se sont précipitées pour passer outre de tous ces garde-fous. La faillite du Collège des médecins du Québec, garant de son application, est criante.

Finalement, non seulement les autorités savaient que le passeport vaccinal serait inefficace pour enrayer la propagation du virus, mais en plus elles étaient parfaitement conscientes que la mesure, en contrevenant au consentement libre et éclairé, était illégale. Pire, le « passeport » a divisé la population qui s’est entre-déchirée. En dépit de cela, le gouvernement est allé de l’avant. Pourquoi?

Fin de la 4e partie.
Retrouvez la suite dans la 5e partie.