Auteur : Christian Leray M.A.

 

Alors que l’on a passé les 3 ans du début du premier confinement, Réinfo Québec a décidé de faire un bilan de ce que l’on peut appeler une « plandémie ». Nous avons publié il y a quelques jours les quatre premières parties. Nous avons montré que les autorités ont sciemment laissé entrer le virus avant d’en prendre prétexte pour faire peur à la population et lui imposer des mesures « sanitaires » comme les confinements, les couvre-feux, les masques, les vaccins et le passeport vaccinal… dont nous avons montré que toutes sont inefficaces avec des effets secondaires graves. Nous traitons dans cette 5e partie des conséquences sanitaires des politiques menées durant ces 3 années de « plandémie », avec la hausse inexpliquée de la mortalité et la baisse des naissances… le tout alors que règnent censure et propagande.

 

 

Une hausse « inexpliquée » de 10% de la mortalité

Après avoir traité des actions des autorités depuis les débuts de la covid dans les 4 premières parties de notre dossier, on réalise que les autorités savaient :

  • depuis le début que la « pandémie » de coronavirus ne constituait pas une menace pour l’immense majorité de la population et qu’il fallait protéger les personnes à risque;
  • que les confinements et les masques sont inefficaces et que pire, leurs « dommages collatéraux » sont importants;
  • depuis leur mise en marché en décembre 2020, que les vaccins n’empêchent pas la contamination, comme l’a révélé la Dr Birx, ancienne coordinatrice pour le groupe de travail sur le coronavirus de la Maison-Blanche, qui a déclaré sur Fox « Je savais que ces vaccins n’allaient pas protéger contre l’infection »;
  • depuis au moins l’été 2021 qu’ils ne préviennent pas la transmission, comme l’a reconnu Rochelle Walensky, directrice des CDC (Centers for Disease Control). Ils ne le savaient pas déjà auparavant car comme l’a confirmé Madame Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux, l’essai initial n’avait pas permis d’évaluer l’impact sur la transmission (cf. partie précédente);
  • que les vaccins ne protègent pas contre les formes graves. Comme on l’a vu, les propres données des autorités de santé publique montrent que les vaccinés sont surreprésentés parmi les décès et les hospitalisations. Ils ne peuvent donc pas ne pas le savoir. Et à contrario, l’arrêt du partage des données montre qu’ils tentent de cacher cette information.

Pourtant, la Santé publique en fait la promotion, a justifié le passeport vaccinal et est favorable à la mise à disposition de ces produits encore expérimentaux aux femmes enceintes (qui en principe ne peuvent même pas prendre d’aspirine ni une seule goutte d’alcool) et aux enfants dès l’âge de 6 mois. Enfants dont l’INSPQ (Institut national de santé publique du Québec) lui-même reconnait qu’ils ne courent quasiment aucun risque. L’organisme constate en effet dans son rapport sur la Vaccination contre la COVID-19 chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans au Québec que « les enfants de 6 mois à 4 ans sont aussi susceptibles de développer la COVID-19 que les adultes lorsqu’ils sont exposés au SRAS-CoV-2, mais [qu’] ils sont rarement hospitalisés » (c’est nous qui soulignons). Constats similaires pour les jeunes de 5 à 17 ans.

Et encore ne parle-t-on pas ici des effets secondaires. Si Santé Canada affirme que les effets secondaires sont rares et que les bénéfices l’emportent sur les risques (l’organisme ne reconnait que 10 685 « manifestations cliniques inhabituelles » (MCI), ce qui représente officiellement 0,011% de toutes les doses administrées), il en va tout autrement dès que l’on regarde ailleurs. Par exemple le ministère allemand de la Santé reconnait un effet secondaire grave toutes les 5 000 personnes. Les données de la pharmacovigilance finlandaise montrent un effet grave… toutes les 2 000 doses. En Angleterre, une étude montre un effet grave pour une personne sur 990! Au Canada même, le ministre de la Santé de l’Ontario reconnait lui une myocardite chez les jeunes toutes les 5 000 doses. Et il ne parle que des myocardites, qu’en est-il de l’ensemble des effets indésirables? Et on pourrait continuer…

En fait, la différence entre ce que l’on constate ici et ailleurs s’explique simplement : tout est fait au Canada et au Québec pour minimiser les effets indésirables de la vaccination. Deux principaux moyens sont employés :

  • Les médecins sont payés à l’acte mais c’est eux qui sont en charge de remplir les déclarations, ce qui prend environ 15 minutes. 15 minutes durant lesquelles ils ne sont pas payés. En outre, demander aux personnes responsables de reconnaitre qu’elles ont blessé quelqu’un ne peut que mener à une minimisation des déclarations (différentes études montrent ainsi un taux de sous-déclaration entre 1 et 10%). Si malgré tout des médecins font des déclarations, plusieurs d’entre elles sont retirées par la suite. Des médecins nous ont rapporté l’avoir vécu.
  • Les autorités de santé mettent la pression pour limiter le nombre de MCI, c’est que nous dévoilions dans cet article avec le témoignage d’infirmières travaillant à Info Santé et qui racontaient la pression que leur mettaient leurs supérieurs pour qu’elles limitent le nombre de déclarations.

Pour toutes ces raisons, on ne peut se fier à la pharmacovigilance d’ici et il faut regarder les pays où elle est réalisée un peu plus sérieusement. Les « experts » qui prétendent qu’ « il existe des programmes rigoureux de surveillance des effets secondaires liés à la vaccination au Québec, au Canada » devront s’expliquer et rendre des comptes.

Les données montrent donc que non-seulement les vaccins renforcent la maladie mais qu’en plus ils génèrent d’importants effets secondaires. Dans ces conditions, est-il surprenant que l’ISQ (Institut de la statistique du Québec) reconnaisse une hausse « inexpliquée » de 10 % de la mortalité (18 % chez les jeunes)? Et encore ne parle-t-on que de la mortalité : qu’en est-il de toutes les personnes blessées par les vaccins et qu’ignorent totalement médias et autorités? Par exemple, ce jeune qui espérait faire carrière dans le baseball et qui déclare que « depuis la vaccination, je ne suis plus la même personne » et que « du jour au lendemain, j’ai tout perdu ». Mais il n’aura droit à aucune indemnisation.

En France, la situation est ubuesque. Le 1er décembre 2021, la directrice de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) déclarait ainsi devant la Commission des affaires sociales du sénat qu’ « à la mi-novembre […] nous atteignons 110 000 déclarations d’effets indésirables rien que sur les vaccins contre la covid, contre 45 000 tous médicaments confondus pour une année normale. » Bien qu’elle reconnaissait que « la sous-déclaration d’effets indésirables est récurrente en pharmacovigilance » elle concluait : « nous sommes donc très largement informés sur tous les effets des vaccins. »

Elle reconnait donc que les autorités sont au courant de la catastrophe en cours. Mais elles ne réagissent pas… ce qui ne lasse pas d’intriguer. Pourquoi un tel attentisme? Ne pourrait-on pas parler de non-assistance à personnes en danger?

Dans le même temps, les autorités se précipitent pour retirer des pizzas et un médicament qui a provoqué la mort de deux personnes… en 50 ans. Pourquoi une telle différence de traitement?

 

Un étonnant « baby crash »

Notons que parallèlement à cette hausse inexpliquée de la mortalité, les médias remarquent dans le même temps un « baby crash ». Ainsi, en France, la presse subventionnée note que « le nombre de naissances en 2022 est le plus faible depuis 1946 ». Mais elle n’attribue pas cette baisse aux vaccins, alors que de nombreuses femmes font état de problèmes de cycles notamment, mais à la tendance (réelle certes mais qui n’explique pas tout) à la diminution des naissances. Même constat au Québec où le taux de naissance est le plus faible de l’ère moderne. Il y a eu 80 700 naissances en 2022, à comparer à 84 900 en 2021, 82 008 en 2020… et 88 037 en 2014).

En Angleterre, au détour d’un simple paragraphe d’un article traitant d’une étude mettant en relief les effets secondaires graves des masques, le quotidien britannique The Telegraph nous apprend… que « les observations actuelles [montrent] une hausse significative de 28 à 33% des mortinaissances dans le monde« . Le média subventionné fait un parallèle avec le port des masques… mais évite la question de la vaccination des femmes enceintes. Celle-ci est pourtant centrale, car comme le montre Retsef Levi, professeur au MIT et expert analyste, les méthodes employées pour comparer les femmes enceintes vaccinées et non vaccinées sont biaisées, notamment en raison de l’utilisation de la méthode du biais du survivant.

Il prend un exemple fictif pour illustrer sa démonstration, avec 20 000 femmes qui reçoivent en fait un placebo. Il montre que le biais du survivant permet de montrer un risque 7 fois plus grand chez les non vaccinées… alors que l’on a pourtant utilisé un placebo. D’après ses calculs, si on tient compte de ce biais, le taux de fausses couches chez les non vaccinées devrait être 3 fois celui des vaccinées. Mais ce n’est pas ce que l’on constate puisqu’ils sont semblables (celui des vaccinées devrait même être à l’avantage de ces dernières si le vaccin était effectivement « efficace »).

Il faut ajouter à cela que les risques de fausses-couches sont très élevés au début de la grossesse… alors que dans les études peu de femmes sont encore vaccinées, ce qui réduit le risque des vaccinées, injectées tardivement. Levi suppose donc que derrière des statistiques flatteuses pour les vaccins, se cache en fait un véritable drame. Cela pourrait-il expliquer le baby crash actuel constaté par les instituts de statistique à travers le monde… alors que ceux-ci n’ont officiellement aucune explication?

 

Hausse inexpliquée de la mortalité, « baby crash »… mais aucun suivi des décès toutes causes en fonction du statut vaccinal

Pour revenir à la hausse de la mortalité, une façon de mesurer le phénomène et de voir si les vaccins en sont la cause, est d’analyser les données des décès toutes causes en fonction du statut vaccinal. Malheureusement, tout comme pour les hospitalisations et les décès COVID-19, ces données ne sont pas publiques.

Nous avons donc fait une demande d’accès à l’information à Santé Québec pour obtenir ces informations. Quelle ne fut pas notre surprise d’apprendre que ces données n’existent pas! En effet, dans sa réponse à notre demande, Santé Québec explique qu’il ne peut « transmettre les données des décès toutes causes en fonction du statut vaccinal, puisque pour […] transmettre cette information cela nécessiterait de produire un document et d’effectuer notamment des travaux d’extraction, de compilation et de comparaison de données ». La demande serait tellement complexe et chronophage qu’elle « risquerait de nuire sérieusement aux activités de l’organisme ». Rien de moins!

Pourtant, on parle de données qui ne sont pas beaucoup plus compliquées à obtenir que les décès de la COVID-19 en fonction du statut vaccinal. Surtout, tout organisme de Santé publique qui se respecte devrait suivre l’évolution de ces données comme le lait sur le feu, encore plus lorsque la mortalité augmente mystérieusement.

Alors, soit Santé Québec ne collige effectivement pas ces données, ce qui dénoterait une incompétence difficilement imaginable. Soit les autorités mentent pour tenter de cacher la réalité. En tout état de cause, il est fort probable que si les données étaient à l’avantage des vaccinés, celles-ci seraient facilement accessibles, voire feraient régulièrement la Une des journaux.

Ce manque de transparence est l’aveu de l’échec de la vaccination.

 

La censure comme mode de gouvernance

À l’heure où nous écrivons ces lignes, les autorités cachent la plupart des données :

Cette volonté manifeste de tout cacher doit nous faire réfléchir à plus d’un titre. Peut-on continuer de se croire dans une « démocratie » quand des données aussi fondamentales sont cachées? Si quelque-part on peut « comprendre » cette tendance malheureusement assez habituelle à cacher la vérité, le silence des médias subventionnés est assourdissant. Sans parler des réseaux sociaux qui censurent toute parole déviant du discours officiel. Ou encore des « fact checkers », actuellement dans l’eau chaude, avec l’affaire Marianne en France et la fermeture de tous ses comptes du Doc Tik Tok.

Pourtant, malgré cette grande opacité, le peu que la Santé publique a mis à la disposition de la population montre l’échec des autorités. Ces statistiques prouvent tout simplement la faillite de la vaccination et on comprend que les autorités préfèrent les enterrer en affirmant que la « pandémie » est terminée. Avec ces mêmes données en 2020 et 2021, ils nous enfermaient tous et instauraient le passeport vaccinal. Imaginons ce que ce serait si nous disposions, comme cela devrait être le cas, des décès covid et des décès toutes causes en fonction du statut vaccinal. Qu’apprendrions-nous?

 

Une confiance perdue qu’il sera difficile de rebâtir

Nous venons donc de voir que concernant toutes les « mesures » prises durant la « pandémie », les autorités ont systématiquement fait les mauvais choix alors qu’elles avaient toutes les données en main pour prendre les bonnes décisions :

  • Elles ont laissé entrer le virus sans réagir, alors même que la Chine confinait Wuhan;
  • une fois le virus présent dans la population, elles ont adopté un ton anxiogène, égrenant chaque jour le nombre de morts… mais oubliant de préciser qu’il s’agissait essentiellement de gens âgés et déjà très malades;
  • bien qu’elles aient très vite su que les personnes à risque étaient celles qui avaient des comorbidités et étaient très âgées, elles ont confiné toute la population, ce qui a fait plus de mal que de bien (bénéfice sanitaire nul mais dommages collatéraux majeurs avec une hausse des problèmes de santé mentale, des retards d’apprentissage et une situation économique désastreuse);
  • après avoir affirmé que les masques étaient inutiles, voire qu’ils pouvaient nuire, les autorités ont imposé leur port obligatoire. Le plus étonnant est de constater qu’elles recommandent encore son utilisation alors que les études mais aussi les données de terrain (tout le monde a eu la COVID-19 malgré les masques, les confinements et les vaccins) montrent que c’est effectivement inefficace, voire dangereux puisque les impacts sur le développement et la santé mentale sont manifestes tandis que l’on sait que les masques contiennent des produits toxiques cancérogènes;
  • en dépit de l’essai manipulé de Pfizer et du fait qu’elles ne se basaient que sur les données du fabricant multi-condamné par le passé pour des milliards pour fraudes, charlatanisme et autres, qui plus est en conflit d’intérêt (certes c’est la manière habituelle de procéder mais il était ici question de « vacciner » 8 milliards d’humains avec un produit encore jamais utilisé à grande échelle sur l’homme et encore en phase de test), les autorités ont autorisé la mise sur le marché des « vaccins ».
  • bien qu’elles savaient que les données sur les cas et les hospitalisations étaient manipulées puisque les primo vaccinés malades étaient classés non vaccinés, puis surtout que leurs propres données montraient l’efficacité négative de la vaccination et donc son échec, les autorités de santé publique ont tout de même soutenu le passeport vaccinal ainsi que la vaccination des enfants de plus de 6 mois et des femmes enceintes;
  • alors que la pharmacovigilance dans les pays où ou elle est réalisée sérieusement montre que le nombre des effets indésirables graves atteint des niveaux ahurissant (cf. plus haut) et que l’ISQ (Institut de la statistique du Québec) reconnait une hausse inexpliquée de 10% de la mortalité (18% chez les jeunes), en dépit du bon sens « Santé Canada indique que les personnes de cinq ans et plus qui n’ont pas reçu de dose de rappel depuis le 1er septembre sont recommandées de le faire si au moins six mois se sont écoulés depuis leur dernière infection. »

Toutes ces « erreurs », qui en fait n’en sont pas, ont créé un climat anxiogène qui a fait paniquer la population et l’a menée à accepter tout ce qu’on lui demandait de faire. Alors que la sidération et la censure omniprésente l’empêchaient d’avoir une vision claire et juste de la situation. À ce sujet, on notera les incroyables propos de Roselyne Bachelot, ministre française de la Santé, au moment de la grippe H1 N1 (2009-2010), qui a déclaré : « il y a deux choses qu’on se reproche et la prochaine fois je vous promets qu’on fera attention :

  • « La première chose, c’est que les gens n’ont pas eu assez peur. […]
  • J’ai un deuxième regret, c’est qu’on n’a pas assez verrouillé internet. »

On peut dire que la leçon a été bien retenue. Par exemple, une dirigeante de l’ONU s’est félicitée au Forum économique mondial que l’organisation avait conclu un accord avec Google qui faisait en sorte que seuls des résultats favorables aux injections apparaissaient lorsque les utilisateurs entraient des requêtes sur les « vaccins ».  Ce qui lui permettait de conclure qu’ils « possèdent la science » (« we own the science »). Sans parler de tous les moyens mis en place pour organiser la censure sur les médias sociaux et dans la presse subventionnée. On notera à ce sujet la mise sur pied de la Trusted News Initiative (TNI), un groupement qui comprend médias subventionnés (parmi lesquels on retrouve par exemple Radio-Canada et Le Monde) et entreprises technologiques (comme Facebook, Twitter, etc.) et dont le but est d’empêcher la « désinformation » sur les « vaccins ».

Tout cela s’est avéré tellement efficace (allant même jusqu’à censurer les groupes de victimes d’effets indésirables qui devaient certainement « alimenter la désinformation ») qu’il est extrêmement probable que la même recette sera employée pour le prochain virus (ou n’importe quoi d’autre, comme le réchauffement climatique par exemple).

Ainsi :

  • Comme l’ont montré les Twitter Files, les Facebook Files et la TNI, la presse subventionnée et les réseaux sociaux ont censuré tous les propos allant à l’encontre du discours dominant et ont payé des « fact checkers » pour décrédibiliser toutes les personnes questionnant le discours officiel;
  • Les autorités de santé n’ont divulgué que les données qui faisaient leur affaire et ont systématiquement caché celles qui les gênaient et mettaient à mal leur politique sanitariste;
  • C’est même allé beaucoup plus loin avec l’intimidation des professionnels critiquant le discours officiel par leurs ordres (médecins radiés) ou leurs universités (professeurs suspendus ou licenciés).

Les responsabilités sont immenses et politiciens, autorités de santé, compagnies pharmaceutiques, soignants, chercheurs, universitaires et journalistes, qui tous avaient le devoir d’avertir des dangers et de protéger la population mais qui ont fait l’inverse, à quelques rares exceptions près, devront être jugés.

Reste cependant les interrogations suivantes : pourquoi et comment tout cela a-t-il été possible et quelles sont les conséquences? Sans doute car contrairement à ce que l’on pourrait croire, nous ne sommes pas en démocratie.