Cinq ans après l’apparition du « covid », presque tout ce que disaient les « complotistes » est confirmé par les faits. De l’origine du virus à l’efficacité et la sécurité des injections ARNm en passant par les masques et autres confinements, cet article se veut un rapide survol de tous ces dossiers. Il montre à quel point autorités et médias ont menti en toute connaissance de cause… et continuent tranquillement de le faire.
Origine du covid
Voici que l’on apprend que
« 97% de l’Académie de médecine a voté quasi unanimement pour dire que nous pensons plutôt que le SARS-CoV-2 est issu d’une erreur de laboratoire et qu’il faut en tirer des leçons pour prendre des précautions à l’avenir », révèle le Pr Jean-François Delfraissy dans une conférence de presse de l’Académie de Médecine le 2 avril 2025. « C’est vrai qu’en tant que virologue, je ne vois pas beaucoup d’arguments en faveur de l’émergence naturelle du virus SARS-CoV-2« , ajoute la Pr Christine Rouzioux, virologue à l’hôpital Necker (Paris) (c’est nous qui soulignons).
Cinq ans plus tard, après nous avoir assuré que le responsable était un pangolin et avoir tout mis en oeuvre pour faire taire ceux qui trouvaient étonnant que le patient zéro avait été identifié à 1km d’un laboratoire qui travaille sur les… coronavirus, voici que tous les « experts » affirment maintenant, comme si de rien de n’était, comme si cela avait toujours été une évidence, que le covid est bien « issu » (on remarque comment le mot « fuite » est évacué) du labo P4 de Wuhan.
Cela est à mettre en parallèle avec les déclarations d’Agnès Buzyn, ancienne ministre française de la santé, qui après avoir soudainement retrouvé ses textos vieux de cinq ans, vient d’avouer qu’elle était quasiment sûre dès le début qu’il s’agissait d’une fuite de labo! Et pour cause puisque c’est son mari… qui avait participé à la création de ce laboratoire. Elle était aux premières loges pour savoir qu’il y avait d’importantes failles de sécurité.
Dans ce reportage, elle explique qu’
Il y a une épidémie qui démarre dans une ville où il y a un laboratoire de haute sécurité. Mon angoisse c’est qu’il y ait eu des manipulations de virus dedans. Et je me dis : qu’est-ce qu’ils ont fait dans ce laboratoire en fait? C’est ça mon angoisse!
FUITE DU LABO P4 DE WUHAN : LES AUTORITÉS SAVAIENT DEPUIS LE DÉBUT
Absolument incroyable : les autorités savaient parfaitement qu’il y avait du gain de fonction dans le P4 de Wuhan (cf. Posts en commentaires), qu’il y avait de graves problèmes de sécurité et qu’il y avait donc… https://t.co/z1f96RLrgz
— Réinfo Québec (@reinfoquebec) March 31, 2025
Mais elle n’a rien dit.
Ces gens suspectaient donc fortement une fuite de labo dès le départ. Mais plutôt que d’enquêter, ils ont traité de complotistes ceux dont ils savaient pourtant qu’ils avaient certainement raison. Et la presse subventionnée à embrayer, n’enquêtant jamais sur le fameux Peter Daszak, qui faisait du gain de fonction sur les coronovirus… en partenariat avec le labo de Wuhan. Ni sur Ralph Baric et Shi Zhengli, qui auraient publié leurs résultats à ce sujet… avant la pandémie.
En fait, c’était même beaucoup plus que cela puisque l’on sait maintenant que c’est la CIA qui a tenté d’empêcher que la vérité sur la fuite de laboratoire ne sorte. Tandis que les réseaux sociaux, Facebook et Twitter en tête, contrôlés par la CIA, le FBI et la Maison blanche, comme l’ont montré les CTIL Files, censuraient toute personne qui émettait l’hypothèse saugrenue que le fait que le patient zéro ait été identifié à moins d’un kilomètre du fameux labo pouvait avoir un lien.
Enfin, pour conclure cette première partie, il est important de souligner qu’à l’heure où médias et experts commencent enfin à s’interroger sur le P4 de Wuhan, des éléments viennent jeter un doute sur cette hypothèse. En effet, de nombreux cas de pneumonies atypiques avaient été rapportés en 2019, plusieurs mois avant l’éclosion à Wuhan. Les Etats-Unis ont ainsi révélé que sept militaires ayant participé aux jeux Militaires de Wuhan en octobre 2019 ont développé des symptômes très similaires à ceux du Covid à Wuhan ou à leur retour. C’était en octobre 2019. Mais des cas avaient été rapportés encore avant.
Dans le même temps, n’oublions pas que le SARS-CoV-2 (le nom du virus qui déclenche le covid) contient une séquence… qui a été brevetée par Moderna en 2016. Il y aurait une chance sur des milliards que cela soit naturel. Mais son PDG, Stefan Bancel, n’est nullement inquiété à ce sujet.
🔬💉💉💉Catastrophe Vaccinale💉💉💉🧬🦠
S. BANCEL Patron de MODERNA réapparaît pour répondre aux accusations sur la présence D’UNE SÉQUENCE ADN BREVETÉE PAR MODERNA 3 ans avant la pandémie et PRÉSENTE DANS LE VIRUS COVID.
« LA FUITE DE LABORATOIRE EST POSSIBLE »🤡😤 pic.twitter.com/RIvwCQmIKe— L’Autre Monde (@choqlautremonde) March 31, 2022
Ajoutons à cela les déclarations de Robert Redfield, l’ancien patron des CDC (Centers for Disease Control), qui pense que le SARS-CoV-2 pourrait avoir été créé en Caroline du Nord… ainsi que le fait que le site de clivage de la furine (la séquence qui permet au coronavirus de chauve-souris de passer la barrière des espèces et d’être extrêmemement contagieux chez l’hommme) a été inséré artificiellement dans la séquence du virus… et l’on se rend compte que le covid est loin, très loin d’avoir révélé tous ses secrets.
Quand on réalise les enjeux, on comprend que la thèse de la fuite du labo P4 de Wuhan est un moindre mal pour nos dirigeants. Mais ils ont déjà réussi à gagner cinq ans. Dans un monde normal, et rien que pour cela, dirigeants, « experts », journalistes de la presse subventionnée et tous les employés des médias sociaux qui ont participé à cette dissimulation devraient être jugés.
Le covid, une menace de santé publique?
Une fois le virus lâché dans la nature, la question principale était de savoir si celui-ci constituait une véritable menace de santé publique. Et à ce sujet, les autorités savaient aussi dès le début que cela n’était pas le cas. Les lockdown files et les RKI files l’ont parfaitement montré.
Les RKI Files sont les transcriptions des réunions covid de l’Institut Robert Koch, l’équivalent de Santé Canada en Allemagne. Ces documents montrent que les autorités de santé savaient parfaitement que le covid ne représentait aucune menace pour l’immense majorité de la population. Les experts du RKI étaient contre les confinements… mais l’on a appris que c’est le ministre de la santé de l’époque qui est allé à l’encontre du RKI en ordonnant à la population de s’enfermer. Les experts n’ont rien dit… et ceux-ci, ainsi que le ministre, ne sont nullement inquiétés par la justice. Ils sont pourtant responsables d’avoir fortement dégradé la santé mentale de la population tout en hypothéquant leur avenir puisque les « mesures » ont détruit l’économie. Nos États, désormais surendettés, pourront-ils s’en remettre?
En Angleterre, c’est la publication des textos du ministre de la santé de l’époque, Matt Hanckok, qui a fait scandale. On apprend à leur lecture que les politiciens savaient parfaitement que le covid ne représentait aucune menace pour la santé publique. Pire, ils savaient que les confinements feraient plus de mal que de bien. C’est ainsi que Boris Johnson, l’ancien premier ministre, déclarait tranquillement que « Si j’avais 80 ans et que je devais choisir entre détruire l’économie, ou risquer une maladie avec 94% de chances de survie je sais ce que je préférerais ». Il savait donc qu’ils allaient « détruire l’économie » pour rien, comme l’a montré la Suède qui en n’imposant aucune mesure n’a pas mis son économie à terre… pour un bilan sanitaire comparable. Pourquoi alors avoir fait cela? À l’heure actuelle, Johnson n’a toujours pas eu à s’expliquer et est libre comme l’air.
Hanckok, parmi ses nombreux faits d’arme, avait pour sa part décidé d’attendre le moment propice pour annoncer le variant Delta… afin d’avoir un maximum de visibilité et faire le plus peur possible. Il a ainsi déclaré qu’il espérait que « les gens se fassent dessus ». Si ce variant avait été aussi dangereux, ne l’aurait-il pas annoncé dès qu’il avait été identifié?
Outre l’économie, le gouvernement britanique savait que les confinements feraient plus de mal que de bien. Il avait par exemple été mis au courant que l’enfermement de la population aurait des effets délétères sur la santé mentale, notamment celle des jeunes. Il savait que cela ferait augmenter le taux de suicide dans cette catégorie de la population. Alors que les jeunes n’avaient rien à craindre du covid… contrairement à ce que tout le système a tenté de faire croire.
Au Québec, François Legault, ne s’est pas caché pour dire qu’il « [aime] dire qu’il y a une possibilité de 4e vague parce que un, ça inquiète un petit peu les gens. Deuxièmement, c’est possible ». Le « possible » montre bien qu’il n’avait aucune donnée probante pour parler d’une « 4e vague ». Quant au « ça inquiète un petit peu les gens », est-il possible de faire plus clair face aux caméras? Pourquoi vouloir « inquiéter les gens »?
M. Legault et la CAQ ont donc enfermé les gens sachant qu’il n’y avait aucune menace et pour faire peur. Cela est parfaitement résumé par ce tableau de l’INSPQ qui montre que 97% des personnes officiellement décédées du covid avaient au moins une comorbidité (une maladie grave comme le cancer, des problèmes cardiaques, etc., données que les autorités tentent de cacher, celles-ci étant rendues quasiment introuvables sur le site de l’INSQP) tandis que la moyenne d’âge des décès est de plus de 83 ans, ce qui est supérieur à l’espérance de vie. Des décès principalement dus à l’abandon des soignants, au refus de soigner (les gens ne devaient pas à aller à l’hôpital et prendre de l’aspirine, les médecins avaient interdiction d’utiliser des traitements éprouvés), au mauvais emploi de la ventilation (ChatGPT reconnait que les régions qui ont le plus recourus à la ventilation sont celles où il y a le plus de décès : New York, Paris, l’Est de la France… et le Nord de l’Italie) ainsi qu’à l’utilisation de protocoles de fin de vie comme le Midazolam.
Il est essentiel de rappeler qu’en dépit de ces mauvais traitements qui ont généré la « 1e vague », moins de 0,1% de la population est décédé officiellement du covid, ce qui signifie que le taux de survie a été de plus de 99,9%. S’est-il vraiment agi d’une « pandémie mortelle » comme on nous l’a répété?
En fait, la santé publique savait dès le début que le covid n’était pas une menace. Elle avait en effet reçu les données des CDC (Centres de contrôle pour les maladies) chinois et avait pu analyser les données de terrain prises dans le paquebot Diamond Princess, dans lequel une foyer de COVID-19 avait eu lieu en février 2020. Alors que les 3 000 passagers avaient été soumis à une quarantaine très stricte avec interdiction de sortir de leur cabine, l’expérience avait montré au monde entier que les confinements étaient inefficaces. Les médias notaient ainsi que le « taux d’infection à bord du navire [était] environ 4 fois plus élevé que le taux observé dans les zones les plus infectées de Chine »… et qu’une « évacuation précoce des passagers aurait probablement évité plus de 500 cas d’infection ».
Bref, les autorités savaient parfaitement que le covid ne représentait aucune menace de santé publique, ce qui était d’ailleurs parfaitement résumé par le chef de la santé publique de l’époque, Horacio Arruda, qui déplorait le 30 janvier 2020 « une épidémie de peur », expliquant que « les personnes infectées ailleurs présenteraient en grande majorité des symptômes légers et ne nécessitent pas d’hospitalisation ».
Malgré tout cela, après avoir détruit l’économie et la santé mentale des personnes fragiles (une étude de la Dr Mélissa Généreux portant sur 30 000 jeunes a ainsi montré qu’un jeune sur quatre voulait se faire du mal ou mourir) et avoir hypothéqué en toute connaissance de cause l’avenir de la nation, les responsables ne sont nullement inquiétés.
Confinements
Alors que les autorités savaient que le covid ne représentait pas une menace de santé publique, elles ont tout de même décidé de confiner la population pendant des mois. Pourtant, on sait aussi que les autorités savaient que les confinements feraient plus de mal que de bien… Ce que les médias subventionnés reconnaissent maintenant du bout des lèvres. Par exemple, madame Lortie, rédactrice en chef du Droit, découvre cinq ans plus tard qu’
aucune étude absolument concluante ne démontrait l’efficacité des confinements pour lutter contre les pandémies, lorsqu’on a nous tous dit de mettre notre vie sur pause en mars 2020. [Que] les plans mis en place en 2019 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en prévision d’une pandémie, mais avant que celle-ci n’éclate, ne prévoyaient pas de confinement. (c’est nous qui soulignons)
Et pour cause, puisque des chercheurs de l’université John Hopkins avaient conclu que globalement « les confinements ne sont pas un moyen efficace de réduction de la mortalité durant une pandémie. » Le plus étonnant étant qu’ils notent que leurs résultats sont en adéquation avec… l’OMS qui avait remarqué en 2006 que « les rapports sur la pandémie d’influenza de 1918 indiquent que les mesures de distanciation sociale n’ont pas empêché ou semblé réduire considérablement la transmission. »
Mais en fait, d’après madame Lortie,
C’est après un séjour d’à peine une semaine en Chine en 2020 pour observer la gestion du virus par les autorités chinoises que des responsables de l’OMS sont revenus en Occident avec cette idée de confiner tout le monde.
Bref, elle reconnait que nous avons été « confinés pour rien » et que cette décision ne reposait sur aucune science alors que l’OMS planchait sur la question depuis des années… et avait conclu qu’il ne fallait pas confiner. Finalement, elle explique que ce sont les prévisions « fantaisistes » de Neil Ferguson (un épidémiologiste anglais pour le moins « controversé » qu’elle ne nomme pas, on se demande bien pourquoi), qui en prévoyant des centaines de milliers de morts dans chaque pays, auraient fait paniquer les autorités et les auraient amenées à confiner. Sauf que Jean-Dominique Michel montre bien dans son dernier livre que cette idée de créer des confinements date de George Bush (fils)… alors que l’on savait parfaitement en 2019 que les confinements étaient mauvais.
Mais le plus incroyable est la suite de son article. Elle se demande en effet
Est-ce que les sceptiques rebelles [les complotistes, mais que par une pudeur bien compréhensible elle n’ose plus appeler comme ça] n’avaient pas plus raison qu’on n’a jamais voulu avouer?
Puis elle constate :
Ce que l’on pourrait considérer comme les principaux pôles de recherche de la vérité de la démocratie libérale – le journalisme, les sciences et les universités – n’ont pas su encourager des points de vue alternatifs.
En deux phrases, elle reconnait que les journalistes et les autorités ont totalement failli et que les complotistes, pardon les sceptiques rebelles, avaient raison. Puis elle ajoute :
Si on veut mieux faire, la prochaine fois, il faut poser des questions difficiles. Et il faut faire preuve d’autocritique.
Mais quelles questions? Quelle autocritique? Quelles conséquences? Aucune, bien évidemment. Elle ne se pose aucune question sur le sort réservé par exemple à Patrick Provost, ancien professeur à l’Université Laval et spécialiste de l’ARN, dont la suspension de 8 semaines sans salaire vient d’être « réduite » à quatre semaines… après 25 journées d’audiences étalées sur un an et demi! Si bien que l’arbitre vient tranquillement de mettre fin à la liberté académique. Et donc à la liberté d’expression.
Ainsi, en totale contradiction avec l’esprit de la loi 32 sur la liberté académique et tout juste votée par la CAQ, une université peut désormais sanctionner l’un de ses professeurs en raison des propos qu’il a tenus. Alors qu’il est de notoriété publique que les professeurs doivent pouvoir soutenir les thèses les plus farfelues car il a été maintes fois démontré que des hypothèses jugées loufoques ont finalement débouché sur de grandes avancées. Ce sont donc les collègues de M. Provost qui auraient du réfuter ses arguments. Pas la direction de son université.
Désormais, les chercheurs y penseront à deux fois avant de prendre la parole et d’avancer de nouvelles hypothèses… avec pour conséquence le risque de freiner l’avancement des connaissances. En outre, si un professeur en principe protégé de toutes représailles ne peut plus prendre la parole, qui le fera? Voilà donc un énorme coup porté à la liberté d’expression.
Une grande noirceur s’est installée sur le Québec. Madame Lortie, tout comme l’ensemble de ses confrères, le sait. Mais derrière ses grandes envolées, elle n’a rien à dire.
Les masques « inutiles » et qui peuvent « carrément nuire »
Il faut réécouter Horacio Arruda, le chef de la santé publique de l’époque, lorsqu’il expliquait le 18 mars 2020 que « le masque n’est pas un moyen de prévention des infections dans la communauté ». Il est même allé plus loin en « expliquant en quoi un masque non seulement est inutile, mais peut carrément nuire [car] le porteur du masque, se croyant à l’abri, se mettra les mains partout et s’infectera peut-être plus probablement que celui qui n’en porte pas. » Le même jour, Le Droit renchérissait en affirmant que messieurs Legault et Arruda avaient « clamé » que « non seulement le masque n’est pas un outil de prévention, mais il donne aux gens une fausse impression de sécurité et pourrait même contribuer à les contaminer » (c’est nous qui soulignons).
Ces propos étaient on ne peut plus logiques quand on a conscience que les autorités de santé américaines (et donc ici au Canada et au Québec) savaient dès le début que les masques étaient inefficaces. Ainsi, dès mai 2020, les CDC publiaient que « les résultats de 14 essais contrôlés […] n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel [des masques] sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire ». Et on parlait d’études réalisées en laboratoire, on sait comment la population utilisait les masques (sur la gorge, le bras, etc.)…
Fauci, l’alors directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) se moquait du masque… en 2019. Dans une interview donnée à Bloomberg qui lui demandait si le masque permet de se protéger des maladies infectieuses, il répondait en riant : « Non non Non! » En avril 2023, il reconnaissait qu’ils n’avaient qu’une efficacité… de 10%!
On pourrait s’arrêter là car tout est dit. Mais on rajoutera que depuis quasiment toutes les études ont donné raison à messieurs Arruda et Fauci. Et pas que sur la contamination. Ainsi,
- Les études, comme celle de Cochrane, un institut très respecté, ne montrent aucune efficacité des masques. Une autre n’a montré absolument aucun « changement statistiquement significatif » dans le taux d’infection au COVID entre les moments où les masques étaient obligatoires et ceux où ils ne l’étaient plus.
- Les masques sont toxiques. De nombreuses publications scientifiques montrent qu’ils contiennent de nombreux produits chimiques cancérogènes comme de l’oxyde de titane, du graphène ou encore des nanoparticules.
- Des études montrent que les dommages collatéraux des « mesures sanitaires » dépassent largement les bénéfices. Ainsi, l’impact psychologique, notamment sur les jeunes, est catastrophique, alors que l’on connait l’importance pour les enfants de pouvoir lire sur les lèvres et de voir les émotions des personnes qui les entourent.
Tout cela, les autorités le savaient. Et les médias ne pouvaient l’ignorer. Dire que l’on a fait porter cela deux ans à nos enfants donne la nausée.
Un passeport vaccinal mis en place alors que les autorités savaient les « vaccins » inefficaces contre la transmission
On sait aussi qu’autorités et fabricants savaient dès le début que les injections n’empêchaient ni la contamination ni la transmission, comme l’a reconnu le Dr Delfraissy, l’ancien président du « comité scientifique » français. « Malheureusement », comme l’avouait le journaliste français Geoffroy Lejeune, « [les journalistes ont] su assez vite que ce n’était pas vrai, mais on leur a interdit de le dire ».
« On savait tous que ce n’était pas vrai mais c’était interdit de le dire »: les journalistes sur le plateau de Pascal Praud reconnaissent qu’ils savaient que le vaccin ne protégeait pas de la transmission.
✅Ils avouent qu’ils ont tous menti pour ne pas risquer leur place. Ils… pic.twitter.com/SFvxW5wyf5— Philippe Murer 🇫🇷 (@PhilippeMurer) October 4, 2024
Des propos confirmés par la journaliste Christine Kelly qui déclare qu’elle « [peut] aborder tous les sujets que je veux… sauf les vaccins, c’est compliqué partout » (à 54:46).
On notera que le passeport vaccinal a été imposé à l’été 2021 (le 15 septembre 2021 au Québec, une « date qui restera marquée par l’infamie »)… alors qu’au même moment les médias reconnaissaient que les vaccinés transmettent autant le virus que les non vaccinés. Ainsi, le 5 aout 2021 le Journal de Montréal publiait un article détonnant dans lequel il traitait d’un foyer d’infection dans l’État du Massachusetts, qui « a surpris par la quantité de virus retrouvée chez les personnes vaccinées infectées, comparable à celle des non-vaccinées » (c’est nous qui soulignons). Il citait Rochelle Walensky, directrice des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) américains, qui qualifiait ces données d’« inquiétantes ». En fait il reprenait avec quelques semaines de retard des articles de la presse américaine qui révélaient dès le mois de juillet 2021 que les CDC avaient reconnu que les injections n’empêchaient pas la transmission et avaient recommandé aux vaccinés de porter à nouveau le masque.
En dépit des nombreuses études publiées dans les semaines et mois suivants et qui montraient que les injections n’empêchaient pas la transmission, le passeport vaccinal a pourtant été maintenu des mois durant, réduisant de façon inquiétante les droits et libertés d’une partie de la population. Il a ainsi été démontré qu’il suffit de faire gober un mensonge à la majorité de la population pour que celle-ci se dresse contre la minorité et accepte que l’on réduise ses droits. Exactement ce que l’on a vu dans les années 1930. Il est effrayant de voir que l’on n’a rien appris du passé et que tout peut recommencer demain matin. Si la population n’a rien vu, l’oligarchie a elle pris des notes et dieu sait ce que nous réserve l’avenir.
Une pandémie de non vaccinés?
L’inefficacité contre la contamination et la transmission ayant finalement été reconnues, ne restait alors que l’efficacité contre les « formes graves ».
À ce sujet, on savait aussi que pour faire croire à l’efficacité de leur mixture, autorités et fabricants ont classé les vaccinés depuis moins de 14 jours… avec les non vaccinés. Cette capture d’écran du « tableau de bord de Santé Québec » (aujourd’hui disparu…) en est la preuve :
Si la chose peut paraître anodine, c’est loin d’être le cas quand on sait que les vaccinés ont tendance à avoir les symptômes du covid, à être hospitalisés et à décéder du covid… dans les 14 jours suivant leur inoculation (comme le montrent les graphiques ci-dessous). Ce qui a pour effet de faire croire à une pandémie de non vaccinés tout en cachant la pandémie de vaccinés, bien réelle elle.
Les déclarations d’effets indésirables dans le VAERS (le système de pharmacovigilance américain) montrent aussi très clairement que les effets indésirables arrivent essentiellement dans les 14 jours suivants l’injection, même si certains peuvent se produire des années plus tard, comme des cancers ou des maladies chroniques comme l’hypertension, etc.
Mais en classant toutes ces personnes avec les non vaccinés, les autorités ont pu faire croire à une pandémie de vaccinés. Alors que tout montre que les injections ont en fait eu une efficacité négative. Ainsi, les propres données de la santé publique montrent que les injectés décèdent davantage du covid que les non vaccinés, en proportion de leur part dans la population.
Nous avons consacré un volumineux dossier sur les vaccins (qui va de la fraude de l’essai initial de Pfizer aux différents scandales comme les « protéines absurdes » ou la contamination à l’ADN plasmidique) que nous vous invitons à lire si vous souhaitez en savoir plus.
Mais de toutes façons, peu importe que les « vaccins » aient été efficaces ou non. Si on prend un placebo, on remarque que le simple fait de classer les vaccinés depuis moins de 14 jours avec les non vaccinés crée mécaniquement une « efficacité technique » (avec une baisse d’efficacité dans le temps, tel que constaté dans la « vie réelle »), comme le montre ce petit tableau :
L’efficacité vaccinale de 95% brandie par les fabricants et les autorités est donc une pure construction.
Par contre, ce que l’on ne savait pas, même si on s’en doutait très fortement, c’est que même les « études scientifiques » usaient de ce stratagème pour faire croire à une « efficacité vaccinale ». Sans parler de l’étude de Pfizer, totalement manipulée, des chercheurs montrent ainsi que sur 37 études sélectionnées, toutes catégorisaient les vaccinés comme non vaccinés grâce aux fameux 14 jours… ce qui a donné une fausse illusion d’efficacité à ces produits encore en phase 3 et donc expérimentaux.
Cela signifie que de nombreux chercheurs ont sciemment trompé le public. Pourquoi avoir fait cela? Tout simplement en raison des énormes conflits d’intérêt qui voient la plupart des chercheurs financés par les compagnies pharmaceutiques (ou les gouvernements). N’oublions pas par exemple que l’Université Laval reçoit des millions en dons de l’industrie pharmaceutique. Et c’est pareil partout.
Il fallait « croire » en la science » nous disait-on. Mais cette « science » n’est pas la science. C’est une tromperie généralisée.
Et l’on ne parle pas des effets indésirables, sciemment cachés au grand public par des autorités de santé et des médecins complices. Combien de victimes cette « science » aura-t-elle fait?
Quand les responsables seront-ils jugés?
Plus que jamais, méditons ces paroles que Saint-Just, un révolutionnaire français a prononcé le 10 octobre 1793 : « Un peuple n’a qu’un ennemi dangereux, c’est son gouvernement ; le vôtre vous a fait constamment la guerre avec impunité. »
Tout doit être rebâti à zéro. Et cela passe par l’écriture d’une constitution populaire, par et pour le peuple.
Je comprends votre décision de partir vers d'autres défis et je la respecte. Je souhaiterais que vous vous trompiez sur…